Voici une courte représentation de l’Ennéade d’Héliopolis, d’après une étude que j’avais faite en 2004 du livre de Jean Haab : L’Alphabet des dieux, édité par l’auteur, au chapitre : l’Arbre dans l’Antiquité ; et j’ai superposé un schéma de Jean Coulonval (point 1 : Espace, à point 10 : Dieu).

L’Arbre ci-dessous correspond à l’Arbre des SEPHIROTH de la Kabbale (ésotérisme hébraïque). On retrouve ce même arbre avec d’autres symboles et en disposition identique chez les Touareg, les Scandinaves, les Druides. Comme l’écrit J. Haab :
- on s’interrogera à l’infini sur l’origine du caractère universel du glyphe séphirothique, formidable instrument de travail. La disposition et les noms des vingt-deux sentiers ou branches n’a, à ce jour, toujours pas été retrouvé malgré la multiplicité des systèmes proposés ! Elle constitue un héritage perdu de la vieille Égypte.

De toutes façons, « les choses secrètes se confient oralement et non par écrit ; Dieu fait de même ». [ Clément : Stromates 1I - 13 ] C’est-à-dire qu’il faut être capable de recevoir ces choses secrètes et de s’y conformer.

M.R.

 Fichier pdf plus complet sur l'Ennéade.