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Argent, Moïse - Partie 2 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-02-2010 23:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Business, Esclaves, Industries, Juifs, Sionistes


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Argent, Moïse - Partie 2
Ou établissement pyramidal - Partie 1
Le commerce du vol et des crimes et de la terreur

« Mon Or, c’est le sang des autres !... » Mayer Amschel Rothschild

Pour être banquier il ne faut aucune morale, aucun scrupule, aucune émotion,
mais avoir un égo surdéveloppé.
 
 
Tant que la société judéo-israélienne ne sera pas disposée à se débarrasser de son image orgueilleuse et profondément ancrée de « peuple élu », on aura une vision de division : le peuple élu en haut, et en bas les autres considérés comme inférieurs avec toute la main-mise du fric sur de nombreux pays dont la France ; voir ci-dessous pour la période avant 1945, mais c’est encore le cas actuellement.
 
Le fric des fidèles professant la foi de Moïse et l’adoration du VEAU D’OR, partie 2, toujours avant la seconde guerre mondiale, période où la finance était appelée : Les 200 familles (sous-entendu qui possédait la France, ce qui n’était pas de l’imagination car autour de 1900 certains riches français possédaient une rue entière dans Paris, la rue de Monbel par exemple).
Consulter aussi le site : Les Patrons de France.


Les assurances.

Ce moyen de protection devait remonter à l’antiquité.
1686 : un Edit de Louis XIV crée une Compagnie générale des assurances et « grosses aventures ». 1692 la Lloyd’s s’installe rue des Lombards.
1786, création de la Société d’assurances générales contre les incendies, des frères Périer. Un Edit de 1788 permet à la Compagnie d’assurances générales contre l’incendie de se diviser en branches incendie, et en branche sur la vie. En 1793 un décret supprime les sociétés d’assurances et les caisses d’escompte ; mais ça repart en 1799 puis 1809 avec les assurances contres les ravages de la grêle et les épizooties.
1936, création de la Fédération française des sociétés d’assurance.

Bien-sûr on retrouve les inévitables Rothschild :
- La Nationale, administrée un temps par Robert de Rothschild.
- Assurances Générale, dont le baron Edouard Rothschild figura dans le conseil d'administration.
- Phénix.
- l'Union.
- L’Alliance régionale de France.
- La Concorde.
- La Réunion Française.
- La Préservatrice.
- Seine et Rhône.
- Les Réassurances.

- L'urbaine fut une compagnie indépendante de tout « fidèles de la foi de Moïse ». Naissance de l’Urbaine incendie en 1838. L’inévitable manipulateur d’argent Napoléon III crée en 1857 une Caisse générale des assurances agricoles. Qui dit argent dit escroquerie, aussi cette société eut des problèmes, et un certain Jacques Haïk, producteur Juif de cinéma de l’entre-deux guerres récupéra de l’argent... en plus il s’y mêla la franc-maçonnerie.


Trust de l’électricité et du pétrole (énergies)

Leur chef était Ernest Mercier jusqu’à presque la nationalisation de l’électricité (EDF). Ces deux industries étaient alors comme en découverte et tout était à construire et évidemment à détruire. E. Mercier était bien-sûr sous la coupe des Rothschild et représente leurs intérêts ; comme tout est en RÉSEAU, ce Mercier épousa une dame fortunée (tant qu’à faire) : une Mme Dreyfus, ce qui lui permettra d’acquérir des actions dans les branches électricité et pétrole des Rothschild. Comme me disait quelqu’un : « trouvez-vous une femme riche... ». C’est vrai que ça doit ouvrir des portes, qu’on en juge ci-dessous !

Ernest Mercier fut président de (attachez vos ceintures) :
- L’union financière pour l’industrie électrique.
- Nord-Lumière.
- Société lyonnaise des eaux et de l’éclairage.
- Union d’électricité.
- Société de constructions électriques et mécaniques (Alsthom).

Vice-Président de :
- C.P.D.E. (Compagnie parisienne de distribution d’électricité) (Rothschild).
- Forces motrices de la Truyère.
- Union pour l’industrie et l’électricité.
- Société Alsacienne de constructions mécaniques.

Président honoraire et administrateur de :
- Ouest Lumière.
- Société financière électrique.
- Sud-Lumière,
etc...

Ernest Mercier président ou administre :
- Crédit Commercial de France.
- Compagnie Française des Pétroles.
- L’omnium industriel des pétroles.
- Steaua française.
- Chantiers de Saint-Nazaire.
- Compteurs et matériel d’usines à gaz.

Autres sociétés électrique.

- Thomson-Houston (Thales) avait pour directeur Marcel Cahen et Charles Laurent.
- Compagnie Générale d’Entreprises Électrique (CGEE), avec Raoul Dautry représentant les Rothschild.
- Compagnie hydroélectrique d’Auvergne, contrôlée par la Banque Lazard.
- Compagnie Lorraine d’électricité, toujours Raoul Dautry et Rothschild.
- Énergie électrique de l’Ouest de la France, avec Georges Dreyfus comme administrateur délégué  et Mathieu Goudchaux en administrateur.
- Énergie électrique du littorale méditerranéen, contrôlée par Paribas.
- Est-Lumière, avec un contrôle partiel de la Banque Lazard.
- Forces motrices d’Arrens, encore la Banque Lazard.
etc. etc. car la liste est longue.


Trust du pétrole

- Deutsch de la Meurthe (Pétroles Jupiter)
- Standard Franco-Américaine, dirigée par le beau-fils de Horace Finaly et toujours sous contrôle des Rothschild.
Ces deux précédentes compagnies fusionnèrent pour donner la Compagnie Française des Pétroles (Total), dont on retrouve celui qui a un don d’ubiquité : Ernest Mercier !
- Petrofina (Total), avec un membre de la Banque Gunsbourg.

- Royal Dutch - Shell.
- Standard Oil, de John D. Rockefeller.
- Omnium Français des Pétroles, avec Paribas et la Banque Rothschild.
- Raffinerie de Pétrole du Nord.
- La Steaua Française et Steaua Romana.
etc. etc.


Autres trusts et main-mise des Juifs sur les matières premières et la grosse industrie.

- Rothschild-Fould-Halphen (haute bourgeoisie juive de la fin du 19è siècle) : constructions navales, Denain et Anzin, etc.
- Groupe Rothschild : Houillères : Compagnie des mines de Marles
- Groupe Rothschild-Banque Paribas : chemins de fer : PLM, État, P.O., Indochine, Maroc, Wagons-Lits, etc.
- Rothschild : Produits chimiques : Pennaroya, Rio-Tinto, Kulhmann, Péchiney, Saint-Gobain, etc.
- Groupe Levy-Baumann et Groupe Bloch-Vilgrain : meunerie : Grands moulins de Paris, de Corbeil, de Strasbourg, etc.
- Groupes Bader, Worms, Gompel : Grands magasins : Galeries Lafayette, Lanoma, Monoprix, Unifix, Maison du Blanc, Magasins Réunis, Paris-France, Magmod, etc.
- Groupes Hauser et Cahen : café, lait, vin, fromages, épices, etc.
- Groupe Lévy et Groupe Erlich : chaussures : André, Raoul, etc.
- Groupe Groos et Groupe Levitan : Galeries Barbès (et son bonhomme en bois), Lévitan, Paris-Mobilier, Bois Doré, etc.
 
 

Les Rothschild

Amschel-Mayer ne veut pas être rabbin, mais banquier ! Il est initié aux roueries du métier par un certain Oppenheim, tenancier d’une grosse maison de change dans le Hanovre. Très doué en roublardises, le jeune Amschel s’attire les faveurs d’un prince désireux de faire du profit. Ainsi Amschel devint l’argentier de ce prince régnant : Frédéric II de Hesse-Cassel. Une fois marié à une femme pure juive (Gutlé Schnapper), Amschel fabriqua une enseigne : Rot Schild (à l’Écu Rouge). Pour le prince, Amschel se chargeait de lever les troupes : les habiller, les loger et les nourrir jusqu’à l’heure de leur embarquement, en prélevant bien-sûr une « petite commission » sur chaque transaction. Mais bien-sût il arriva souvent que les souverains ne pouvaient pas payer, surtout celui d’Angleterre. Le prince n’acceptant qu’argent comptant, ce fut Amschel qui paya... avec intérêts évidemment. Il s’ensuit des tours de passe-passe comme savent le faire nos financiers modernes, et où l’on peut voir où cela nous a conduit à partir de 2008. Rien de nouveau sous le Soleil !
Mais pour Amschel, comme il s’agissait de soldats et de guerres, on comprend maintenant pourquoi il souhaitait voir se déchaîner sur tous les continents des guerres interminables : « Mon Or, c’est le sang des autres !... » se serait-il exclamé. Ainsi l’enseigne : Rot Schild porta bien son nom d’écu rouge... de sang !

Sa prolifique femme juive lui donna 10 enfants, époque où le préservatif ne devait pas exister, mais Amschel ne devait pas non plus être un doux rêveur, avec toutes ces guerres et : « ses bonnes et précieuses marchandises ». Bref, tout ce petit monde fit prospérer les pépites du papa comme le virus de la grippe se répand à la mauvaise saison. Ainsi les milliards et les milliards que la famille Rothschild a amassé au cours de presque 200 ans ont été réalisés sur les ruines et les malheurs de millions et de millions de personnes de tous pays, victimes de ces rapaces internationaux, voleurs et criminels, en deux seuls mots.

Le virus de l'argent se répandit à Londres (la City est bien connu), mais aussi à Francfort, et à Vienne en Autriche, et évidemment à Paris en France.
Toujours dans le génie de tirer un quelconque avantage financier de la situation du moment : 1812, époque où Napoléon mit le blocus sur l’Angleterre. Le petit monde Rothschild effectua pleins d’échanges de devises et autres produits entre l’Angleterre à Londres et divers places d’Europe, car tout de même une catégorie de navigateurs étaient autorisés à naviguer : les Smugglers (contrebandiers).

Le manège fut repéré par la police de Napoléon, en voici un rapport (Archives Nationales côte F. 8-6 575-2964 Série 15) :
Rothschild frères, banquiers de Francfort, tenant comptoir à paris, rue Le Peletier n° 17.
... Le rapport étant très long je résume : La Maison Rothschild faisant de la corruption un de ses grands mobiles put être prévenue assez à temps par les agents de la police francfortoise et elle mit en sûreté les doubles livres qu’elle tient pout toutes les affaires qui lui commandent une circonspection particulière.
... A force d’intrigues de la part de ces Juifs (sic), les opérations du commissaire, poussées avec vigueur, succès et sagacité, furent interrompus, cependant il trouva dans leurs papiers des indices contre leurs correspondances à Vienne qu’il envoya à M. de Bacher (alors à Vienne), qui lui assuré depuis que ces indices lui avaient été utiles.
Les frères Rothschild sont extrêmement fins, très prudents, ils ont l’art de se faire des amis ; s’ils faisaient à Paris quelques opérations susceptibles de la répréhension de la police, ils auraient recours à mille moyens pour les soustraire à sa vigilance.
... Je ne suis pas la dupe de cette fausse confidence, et j’ai les plus justes soupçons qu’ils doivent avoir des correspondances secrètes par voies et même des livres de comptes déposés dans des maisons tierces ; ils l’avaient en 1809 à Francfort, pourquoi ne l’auraient-ils pas en 1813 à Paris ?
Je garantis avec la plus intime assurance tous les faits consignés dans ce renseignement...
Le 23 décembre 1813 (au soir).

Ensuite on donna l’ordre d’arrêter les deux Rothschild qui exerçaient leur trafic en France. Bien-sûr, ceux-ci avertis à temps réussirent à s’enfuir...
Il y a aussi le coup de bourse de Waterloo, avec Nathan Rothschild de Londres. il fut mêlé à l’état-major anglais pendant le 18 juin 1815. Quand la bataille fut certaine pour l’Angleterre, Nathan gagna Bruxelles puis Ostende, puis Douvres, bref, il parcours du combattant pour aboutir dans une barque de pécheur auquel il promit 2000 francs pour le conduire à Londres.
Un peu avant Nathan avait fait courir le bruit que la France allait gagner la bataille sur les troupes de Wellington. Ce qui créa une panique en bourse, les fonds baissaient et Nathan les avait fait racheter en sous-mains par ses agents.
Une fois la victoire des Anglais, la bourse marqua une hausse brusque vertigineuse. Et toujours le SANG DES ROTHSCHILD : en deux jours Nathan Rothschild réalisait plus d’un million de livres sterling de bénéfice, fortune colossale édifié sur le charnier de Waterloo. Toujours l’enseigne : Rot Schild.
Cette ignoble horrifique manœuvre inspira Victor Hugo en ces vers :
Veillard, chapeau bas ! Ce passant (Rothschild)
Fit sa fortune à l’heure où tu versais ton sang ;
il jouait à la baisse et montait à mesure,
Que notre chute était plus profonde et plus sûre
Il fallait un vautour à nos morts, il le fut.
Il fit, travailleur âpre et toujours à l’affût,
Suer à nos malheurs des châteaux et des rentes.

Waterloo marqua le début du règne de la tribu des Rothschild en Europe. En 1815 la tribu fut déjà les maîtres des banques, et ils avaient rendu service aux rois par des emprunts dont les peuples payaient les intérêts ! et la France vaincue fut appauvrie.
Tous les rois d’Europe leurs prodiguèrent titres de noblesse.
La dette de la France vaincue était demandée par l’Angleterre, laquelle chargea bien-sûr les Rothschild de cette opération qui évidemment leur rapporta beaucoup. Qui a dit que le malheur des uns faisait le bonheur des autres ?

Un Rothschild eut à un moment une lueur de conscience : James Rothschild devint subitement philanthrope : régulièrement il préleva sur les millions volées aux épargnants français, quelques louis qu’il distribuait ostensiblement aux œuvres charitables et à grand renfort de publicité. Sa famille devait suivre son exemple, ainsi était née la trompeuse « générosité des Rothschild ».
Le James est celui qui s’intéressa aux chemins de fer du Nord. La concession de cette société fut attribué frauduleusement à James Rothschild par le ministre des travaux publics de l’époque M. Dumont en 1845.
il vaudrait un gros livre pour décrire tous les scandales de l’exploitation des Chemins de fer du Nord, la filouterie du Gouvernement anglais, qui après avoir reçu au pair des actions, les vendit à paris au prix fort, ce qui devait causer la ruine d’un grand nombre de Français. Rothschild ayant été averti par son frère de Londres, gagna encore quelques millions.

Le coup des « Régents » de la Banque de France date bien-sûr du Napoléon matérialiste au possible, le troisième. En 1848 celui-ci déclara la guerre à la Russie (guerre de Crimée). Napoléon III obtint un prêt des Rothschild. Toujours le « Sang des Rothschild ». Et aussi en échange le baron Rothschild demanda une place de Régent de la Banque de France à l’un des siens.
Mais il était stipulé que les Régents devaient être français ! Alphonse Rothschild fut « français pendant 6 ans », ainsi il fut élu Régent grâce à l’appui gouvernemental. Ce fut aussi un premier pas dans le gouvernement français.

Sous la Troisième République (la plus longue) on assiste au triomphe de la dynastie Rothschildienne.
A la fin du 19è siècle à la mort d’un seul des Rothschild, la fortune de ce seul membre s’éleva à trois milliards de francs-or.

[La documentation sur les sociétés et les Rothschild provient en partie d’un livre de Henry Coston, 1942]
 
 
Le pouvoir et la puissance tout court.
James Rothschild, le premier Rothschild installé en France : en moins d'un quart de siècle, il devint l'homme le plus riche de France. La fortune de tous les banquiers de France était estimée à 150 millions de moins que celle de Rothschild. Ceci lui donna naturellement une grande influence politique qui allait parfois jusqu'à renverser des gouvernements quand il le voulait. On admet, par exemple, que c'est lui qui renversa le gouvernement de Thiers.
" De plus, Les mariages Rothschild-Rothschild sont nombreux au XIXe siècle. Ils correspondent à une stratégie consciente de lutte contre l’éparpillement du patrimoine et de maintien d’un fort degré de confiance entre les différentes maisons de banque dispersées en Europe ", d'après une étude de Cyril Grange, Directeur de recherche au CNRS.
 
 

Dernière mise à jour : 23-02-2010 03:52

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