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Ecrit par Sechy, le 18-03-2010 20:53

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Business, Bolcheviks, Communistes, Diable, Juifs, Liberté, Mort, Opinion, Pouvoir, Raspoutine, Religion, Révolution, Russie, Sang, Sectes, Sionistes, Terreur, Terroristes, Tortures


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Communistes et Capitalistes même moteur

Page dédiée à Astaroth, dieu-diable(1) du moteur haine
Et dans la continuité du drame de la Russie et de Raspoutine
Et dans la découverte du système de la République-communiste !
 
 
Quand on peut voir qu'Astaroth enseigne les « Arts libéraux » comme la grammaire, la dialectique, la rhétorique, il y a de quoi partir en courant ! tant cela frise le mental avec son alphabet, l’analyse et l’OPINION... Même chose quand on veut mesurer tout, y compris le niveau intellectuel qu’on appelle : quotient. On ne sort pas de l’analyse prison !

Mais Astaroth aime aussi la haine, ainsi j’y vois plutôt le dieu-diable de ce domaine, où il semble particulièrement doué. Qu’on en juge sur les prémices, justement du libéralisme (fais ce que tu voudras) et la graine des deux mêmes systèmes : le communisme et le capitalisme, lesquels se résument AU PROFIT et donc à la baston perpétuelle ; faire comme tout le monde, porter l’uniforme, ne pas se singulariser, sous peine de prison : consommer les choses fabriquées dans les usines des banquiers. C’est par exemple l’American way of life que l’Américain s’imagine naïvement pouvoir convenir à tous les peuples : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ». C’est le début de l’ethnocide.
 
« ... un vieux diable immonde, déguenillé, estropié, crasseux, répugnant et hirsute, avec un œil crevé, une corne cassée, des ongles pareils à des griffes de hyène, des dents sans lèvres, comme un cadavre, et un grand pansement collé sur le postérieur, sous la queue. il avait sous l’aisselle une liasse de papiers maculés de boue et de sang, sur la tête un vieux chapeau vernis de cocher et une cocarde tricolore, à la ceinture, un poignard et deux pistolets, et dans les mains, un gourdin ainsi qu’un fusil rouillé sans platine. Ses poches étaient bourrées de pavés et de tessons de bouteilles.
Tout un chacun, même sans avoir jamais mis les pieds à Paris, aurait aisément deviné à son allure que ce devait être le mauvais esprit des émeutes, des révoltes et des coups d’État... Il s’appelait Astaroth ».

Ensuite Astaroth se présente devant sa Sinistre Obscurité : Satan. Il est a remarquer que la fin du nom de ce dieu-diable se termine pas Roth, comme le début du nom Rothschild !

« ... Eh bien ? demande le Prince des démons. Qu’as-tu de neuf à raconter ?
- L’ardeur à servir le trône de Votre Sinistre Obscurité qui a toujours guidé mes faibles efforts, ainsi que le souci des intérêts du domaine qui m’a été confié...
- Arrête ! s’écria Satan. je la connais par cœur cette entrée en matière : tous les rapports qui ne parlent de rien commencent par l’ardeur à servir mon trône. [NTMR : cela ne vous rappelle pas le discours de nombreux hommes politiques actuels ?] Exprime-toi de façon concise et claire : combien de nouvelles émeutes as-tu en cours ? »

Puis Astaroth se défend devant Satan et développe son art.
« J’ai toujours dressé les gens les uns contre les autres : j’en veux pour preuve cette corne cassée et cet œil crevé, que j’ai l’honneur de présenter...
- Cela fait huit cents ans que tu m’en parles, de cet œil ! Je me souviens avoir lu dans les œuvres de bollandistes que c’est le célèbre Pierre d’Amiens qui te l’a fait sauter d’un coup de savate pendant la première croisade : quant à ta corne, tu l’as cassée dans le Nord, au début du XVIIè siècle, quand, t’étant acoquiné avec les Jésuites, tu as eu l’idée ridicule de te faire passer plusieurs fois de suite pour Dimitri. [NTMR : allusion au faux Tsar pendant les troubles au début du XVIIè siècle, avant l’arrivée de la dynastie des Romanov]
Astaroth déclenche dans le même pot la République, le Communisme et le Capitalisme ; ce qui provoque troubles chez son Maître Satan

Précision sur le postérieur d’Astaroth et origine de la blessure :
« Un Cosaque du Don avec sa lance, Votre Sinistre Obscurité. C’était fort cocasse, bien que cela se soit terminé de façon désagréable... Tout d’abord, Votre Sinistre Obscurité sait qu’il y a deux ans, j’avais fomenté une superbe pagaille à Paris. Les gens se sont battus et égorgés pendant des jours d’affilée comme des tigres, comme des taureaux espagnols furieux : le sang coulait à flots, les maisons flambaient, les rues se remplissaient de cadavre, et personne ne savait à quel propos...

- Ah, parfait ! Voilà qui est excellent ! s’exclama Satan en se frottant les mains de joie. Et ensuite ?
- Au bout de trois jours, je l’ai ai réconcilié sur les termes d’un accord : chez eux, le roi serait souverain, et le peuple serait roi... [NTMR : il s’agit des Trois Glorieuses de Juillet 1830]
- Hein ? Quoi ?
- Le roi serait souverain, et peuple serait roi. [NTMR : c’est ce que certains s’époumonent a appeler République ! Une pseudo-démocratie et une société industrielle d’esclaves : les nouveaux slaves des goulags des banquiers]
- Qu’est-ce que c’est ce galimatias ? Je ne comprends pas !
- Moi non plus. Et personne ne comprend. Pourtant, les hommes ont accepté cela avec enthousiasme.
- Mais cela n’a absolument aucun sens !
- C’est bien pour cela que c’est ingénieux. [NTMR : c’est ce qu’on appelle chez-nous une Démocratie(2) : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres », nous précise admirablement George Orwell].
- C’est impossible !
- Je le jure sur la queue trois fois maudite de Votre Sinistre Obscurité.
- Et qu’est-ce que cela va donner ?
- Cela a déjà donné quelque chose de magnifique. J’ai tellement embrouillé ces humains stupides avec cet arrangement que maintenant, ils sont comme ivres, comme égarés...
- Mais moi, quel profit est-ce que j’en retire ? Tu aurais mieux fait de les laisser se battre plus longtemps.
- Bien au contraire, le profit est évident ! Une fois qu’ils se seraient bien battus, ils se seraient arrêtés, tandis qu’en vertu de cet arrangement, ils vont se disputer tous les jours, ils n’arrêterons pas de s’entretuer, de s’étrangler, de se fusiller et de s’exterminer les uns les autres, jusqu’à ce que le roi et le peuple soient devenus souverain et roi absolus. Votre Sinistre Obscurité touchera là-dessus un revenu quotidien assuré d’au moins quarante mille âmes perdues ».

Astaroth poursuit le récit de ses exploits devant Satan.
« - Bon, alors ainsi, en ce moment, tu n’as décidément pas une seule révolution ?
- Non, pas une seule, Votre Sinistre Obscurité ! À part quelques émeutes et révoltes en cours dans des chefs-lieux d’États constitutionnels, où cela est dans l’ordre des choses et indispensable afin que les hommes s’assurent qu’ils jouissent vraiment de la liberté, c’est-à-dire qu’ils peuvent se taper dessus à volonté en toutes saisons ».

Ensuite Astaroth se plaint des temps durs, car les hommes ne se fient plus à lui.
« Il y a trop longtemps que je les abuse en leur faisant miroiter un avenir resplendissant, la richesse, la prospérité, la liberté, mes constitutions, mes assemblées et mes budgets n’ont engendré que des persécutions, des prisons, la misère et la destruction. maintenant, on ne les berne plus aussi facilement : ils sont devenus extrêmement intelligents.
- Tais-toi, imbécile ! hurla Satan d’une voix terrible. Comment oses-tu mentir devant moi de façon si éhontée ? Comme si je ne savais pas que jamais les hommes ne seront intelligents !
- Néanmoins, j’assure à Votre Sinistre Obscurité...
- Tais-toi ! »


Pagaille républicaine.

Il s’ensuite une poursuite entre Satan et Astaroth, son ministre des révolutions, sous ce qui reste des yeux des damnés cherchant refuge au plafond ! Pagaille aussi épouvantable en Enfer qu’en France, à la Chambre des Députés, pendant les séances sur l’instauration de l’ordre public ou sur la paix universelle.
Mais il faut savoir que Satan si en colère saisit Astaroth par sa queue, le fit tournoyer de longues minutes en l’air et l’envoya dans le ciel ; si bien que des savants astronomes le prirent pour une comète. « A présent, depuis l’invention du télescope de Fraunhofer, même une chauve-souris ne saurait échapper aux astronomes : ils les élèvent toutes au rang d’astres célestes ».


Le vol d’Astaroth le fit atterrir en plein centre de Paris.
« Mais les diables sont comme les chats : les chutes ne leur causent aucun mal. Astaroth se releva en un clin d’œil, se ressaisit, et se mit aussitôt à hurler à gorge déployée : « À bas les ministres ! À bas le roi ! Vive la liberté ! Vive la République ! Vive Lafayette ! Vive Napoléon II ! » Et il commença à lancer sur les fenêtres les pavés et les tessons de bouteilles qu’il avait dans ses poches, à casser les lampadaires et à tirer avec son pistolet. En un instant une terrible insurrection  éclata à Paris. [NTMR : vrai qu’au 19è siècle la France était fertile en révolutions, mais Astaroth saura déployer son art en Octobre 1917]

Ces extraits proviennent d’un auteur savoureux : Ossip Senkovski (О́сип-Юлиа́н Ива́нович Сенко́вский), d’après son livre : Les travailleurs de l’Enfer, récits : Une Grande Réception chez Satan.

Senkovski est un maître dans l’humour noir et surtout la dérision. Les « romans noirs » découlent de la Révolution de 1789, préfigurant celle de 1917 en Russie : mêmes horreurs, qui auraient tant émoussé les sensibilités que les nouvelles générations réclament désormais des émotions fortes, des cadavres à toutes les informations télévisées. « il y a dans la Révolution française de 1789 un caractère satanique qui la distingue de tout ce que l’on a vu et peut-être de tout ce qu’on verra », cité par Joseph de Maistre dans, Le Diable dans la littérature française. Ossip Senkovski renoue avec les farces du Moyen-Age et le théâtre de boulevard des 18 et 19è siècles. Senkovski a un goût pour l’ésotérisme, redevenant à la mode au 19è siècle après le mesmérisme, et donc un goût pour la mystification. Raspoutine eut comme prédécesseur auprès de la terrible solitude du couple impérial russe, un certain Monsieur Philippe !
 
 
 
Le libéralisme
 
 
LE COMMUNISME OU MARXISME S’APPUIE SUR LE CAPITALISME ET L’INVERSE.

Absolument tout s’inverse, notamment sur le plan politique : ceux qui présidaient autrefois à la bonne marche de la Russie se sont retrouvé en prison et torturés, et les criminels et autres brigands se sont retrouvés au pouvoir !
Si à l’époque des malheureux pogromes en Russie tsariste, pour raison d’usure en particulier, et donc d’énergie, il s’y mêle aussi l’éternelle guerre de religion : chrétiens orthodoxes contre pratiquant de la foi de Moïse, éternelle croisade contre l’hérétique : « fusiller l’hérétique pour montrer à la bourgeoisie et à l’international de quel bois se chauffe le Prolétariat », disaient les Commissaires politiques du peuple au début de la prise de pouvoir par les bolcheviks, ancêtres des communistes. Véritable blessure de la vérité : car ce prolétariat est bâtit sur l’industrie des usines-églises construites et dirigés par des capitalistes et banquiers genre Rothschild, empereur des banquiers. Il faut croire que se « rouler dans la finance » des grosses commissions doit procurer une certaine excitation... tout comme déféquer ou faire caca peut parfois procurer une érection...
Bizarrement le communisme combat le capitalisme, et l’inverse, mais il lui doit pourtant d’exister. Si l’on pouvait fouiller dans les instances occultes qui dirigent le monde, on trouverait certainement des hommes qui influencent à la fois la Russie la Chine et les États-Unis.
Aussi il n’y a absolument rien à attendre d’aucune forme de démocratie, y compris la dictature hitlérienne ou stalinienne, ou toute autre, qui n’est que démocratie à sa maturité. Rien à attendre d’aucune des options politiques actuelles des laïcs catholiques, etc. S’accrocher au capitalisme occidental comme dans une forteresse est une faute, parce que dans ce combat, c’est le communisme qui a l’initiative des opérations, le capitalisme étant acculé à la défensive. Ensuite parce que c’est considérer ces deux formes politiques comme des systèmes clos, alors qu’ils ont entre eux d’étroites affinités. Rejeter le communisme et garder le capitalisme, c’est rejeter le fleuve et vouloir garder sa source !



LE COMMUNISME, UNE RELIGION INVERSÉE
 
Il faut remonter pour cela à l’époque de Raspoutine et de la secte des Khlysty, en total opposition avec ce qui était officiel et donc du pouvoir en place ; ainsi cette partie de phrase de Lénine, cité par Edvard Radzinsky dans son livre : Raspoutine, l’ultime vérité : « ... Je suis convaincu qu’au travers d’un rapprochement tactique des révolutionnaire avec les Khlysty, nous pouvons gagner beaucoup d’amis ». Là se situe la clef qui fait du dogme communiste une RELIGION INVERSÉE, qui jamais ne pourra « faire éclore » l’Homme. De ce même début du 20è siècle date aussi les perversions de l’ésotérisme, dont Hitler a profité et abusé, dévalorisant de ce fait l’ésotérisme aux yeux du grand publique. Le sens d’ésotérisme a malheureusement un connotation de pouvoir : le guru avide de savoir ce que le commun des hommes ne sait pas, et qui est mus par l’obscure désir de domination sur l’ignorant.
Un des fondateurs de la sanglante Tchéka (police secrète et ancêtre du KGB) : Vladimir Bontch-Brouievitch, spécialiste des sectes, qui à l’avénement des bolcheviks, devint aussi directeur des affaires du Conseil des Commissaires du peuple, fit tout pour protéger Raspoutine des accusations d’appartenance à la secte des Khlysty, il était de son devoir de défendre les « amis » potentiels.

Hitler comme les communistes tentèrent d’imposer une religion mondiale, un mondialisme comme nous le sentons venir actuellement. Pour l’instant en occident, c’est plutôt l’autre facette qui triomphe : « Le fruit de nos entrailles est bénit » : le capitalisme... cette MERDE des gros besoins de nos boyaux : le profit des grosses commissions !
Séminaires et écoles de doctrine - Confession et autocritique, lavage de cerveaux (notamment sous la dictature communiste des Chinois), dogmes catholiques et dogmes marxistes - Pape et chef de partie - De part et d’autre, même aptitude au sacrifice.


Les Classes.
Phénomène psychologique de masse né des réactions du sensible et du mental d’un groupe social formé de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques ; un peu comme la paroisse où celui qui n’en fait pas partie ne peut rire à l’unisson de l’assemblée ! Comme le démontre superbement Henri Bergson dans son livre : le RIRE. A notre époque la classe est comprise, sentie avec ses tripes, et est un phénomène d’agglutination des états individuels sentimentaux psychiques : classe ouvrière, classe bourgeoise, avec les nuances et variations : classes moyennes, cadres, agriculteurs, etc. Les dirigeants communistes ne sont pas des ouvriers ! Les classes sont donc des effets statiques, rien de plus. La classe est le contraire de la caste...


Secte des communistes.
Le communisme est une religion en ce sens qu’il mobilise la volonté dans la recherche et l’adhésion à un absolu, à une réalité ultime qui est la matière. Nous devons aussi à Charles Darwin ce dogme matérialiste de l’Évolution, comme si l’homme était né de la matière. Que cette doctrine s’écroule, et le communisme s’effondre avec. Comme le communisme est aussi un système économique, et donc son aspect séduit, ou a séduit beaucoup de gens. Ainsi le communisme est à la fois pouvoir politique, religieux, et économique. Il ne les distingue pas, et par exemple se présente comme l’envers de l’Islam, lequel bloque aussi les trois pouvoirs, mais pour soutenir l’unité du divin.
Le communisme est en une sens un problème interne à l’Église, comme on peut le voir avec le drame de la Russie à la fin du 19è et au début du 20è siècle. Le communisme est un moment de l’histoire de l’Église en son développement interne. S’il n’était pas cela, ce serait un non-sens d’espérer et de vouloir la conversion des pays marxistes. La salissure de l’ésotérisme au début du 20è siècle à aboutit en partie à cette religion inverse qu’est le communisme, tentative de réalisation à l’envers, de la Royauté effective du Christ.

Dès lors que ce n’est plus l’Esprit qui donne un sens dans la matière, c’est la matière qui confère un sens à l’Esprit (comme dans la secte des Khlysty) ; et c’est le matérialisme, lequel n’est ainsi qu’une métaphysique en creux, inversée.
Un état marxiste ou totalitaire est la dictature d’un seul, ou d’un petit groupe ne tenant que peu de temps, et qui dit la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C’est un Pape et une église à l’envers, ou en creux, avec à sa tête un démiurge style Lénine ou Staline, qui décident ce que doivent penser ses sujets et établit leur ligne de conduite pour le lendemain. Le perpétuel prend le masque de l’éternel, le général celui de l’universel, le psychologique celui du spirituel. C’est logique pour le Communisme qui dit que dans le principe était la matière, et non le Verbe, se condamnant ainsi à ne concevoir comme mode d’intellection que l’OPINION qui se construit dans le temps des accident ou temps vécu, par évolution dialectique (celle d’Astaroth) qui se déroule entre un commencement, que l’imagination peut reculer indéfiniment dans le passé, et un futur également indéfini. Là, il n’y a même pas le « Le roi serait souverain, et peuple serait roi » de Ossip Senkovski. Encore une blessure de la vérité.
Le pire, c’est qu’à l’époque de Raspoutine, la religion en Russie commençait sérieusement a se dégradée : une religieuse prenant le train pouvait être insulté, et pouvait être traité de sataniste ; pour voyager elle devait revêtir un habit ordinaire. Les starets qui vivaient dans les grands monastères exprimaient le même chagrin de cette perte religieuse.

Adhérer à un partie politique, c’est se fondre dans un corps psychologique, mental et intellectuel, différent d’autres corps politiques dont on se fait des ennemis : « le Peuple élu » se faisant ennemi du peuple non élu... ou « Ceux qui ne sont pas pour moi sont contre moi », etc. C’est participer à la nature profonde des antagonismes sociaux, à quelque niveau qu’ils se situent, et donc les entretenir, les nourrir. C’est consentir à se faire laver le cerveaux par les maîtres à penser du parti. C’est une attitude masochiste, une singerie de la passivité du mystique devant les impulsions de l’âme. Les martyrs de l’action politique, quels qu’ils soient, de droite, de gauche ou du centre, sont des caricatures sataniques du vrai martyr pour le Christ. La différence est que l’expérience mystique et le martyr authentique se réalisent par dessus, au-delà de la forme de pensée qu’on appelle l’OPINION. Quand on ne croit plus à rien, c’est la panique de PAN, représentant TOUT, la Nature.

L’opinion s’exprimant dans la paranoïa individuelle, celle de l’opinion politique. Les manifestations, les défilés avec pancartes et chants, caractérisant toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). Cela correspond à une sorte de liturgie moderne, celle du délire des foules : nazis, communistes, gaullistes, syndicalistes, estudiantines en 1968, etc. Toute opinion prétend stabiliser, en le défiant, du temporaire, du vent, comme un masque qui déguise. Le sens ne pourra jamais venir d’un homme, quel qu’il soit, pas même le retour de l’avatar Maitreya. Le Tao ou la Voie, ou Dieu pour les monothéistes seul en dispose. Et il faut savoir que Satan ne peut absolument rien sur les essences. Il ne peut que corrompre dans le monde de la Chronologie, celui des accidents, celui de la matière, celui des mots/maux.

Pour terminer sur la pseudo démocratie et la République plutôt des banquiers, en passant par la dictature de la laïcité des écoles de Jules Ferry : qui dit éducation dit dressage, comme des animaux ; fabrication, comme des OGM de l’industrie chimique empoisonneuse ; coulage dans un même moule, comme toutes les industries soutenues et entretenues par les banquiers. Cette fabrication nette et brutale entre fabricants (les banquiers) et les fabriqués (nous tous, les 6 milliards de pauvres cons), n’a jamais été aussi nette qu’aujourd’hui. POURQUOI ? Ici je cite Jean Coulonval d’après son livre : Synthèse et Temps Nouveaux, dont d’ailleurs j’emprunte beaucoup de sa pertinence et de ses chaleureuses et amicales idées universelles, déposées vers 1965 - 1979.
Le bourrage de crâne et les diplômes de l’esclavage des banques ne sont rien, car le TOUT est tout autre chose et plus que le total des parties ! Ainsi pour boucler avec Astaroth, ce maître de la dialectique et de l’analyse meurtrière, toutes choses entrant dans cet autre killer : la Chronologie, là où on ne peut faire les choses que les unes derrière les autres, isolément, chacune des faces du polyèdre. Certaines visions mystiques sont pures contemplations que l’on ne pourra jamais emprisonner avec des pauvres mots/maux.



Notes.
1. Diable, voisin des mythes du Dragon, du Serpent, du célèbre Gardien du seuil et du symbolisme des passages (tout symbole est mouvement). Le Diable symbolise les forces de régression vers le chaos, l’ambivalent, vers la nuit (Votre Sinistre Obscurité), par opposition naïve à Dieu, symbole de lumière. Le Diable est force de désintégration de la personnalité : il DIVISE. Le problème évoqué à propos de la salissure de l’ésotérisme, c’est qu’il faut savoir maîtriser ou se résigner à servir... On ne traite pas avec les forces du négatif. Ainsi, celui qui est soumis à l’instinct, comme celui de la finance, reste un esclave, tout comme il est esclave de sa libido (sens freudien).

2. Le mot démocratie est un fourre tout sans signification précise. Le nazisme se disait démocratique (Hitler a pris le pouvoir avec 95 % des voix), le communisme se dit démocratique. Tous les régimes se disent démocratiques. Ce mot est une glu formidable pour attraper le public comme les alouettes. C’est pourquoi tout parti, tout « isme » est un genre de dictature. La preuve : des gouvernements confie une grosse (très) part de la gestion de leur pays à une think tank comme l’état dans l’État : la société Rand Corporation (corporation : ensemble de personnes exerçant le même métier).
Cette société privée américaine se mêle donc de tout dans une pays, notamment en Europe ; ainsi traite, voir contrôle : éducation, santé, justice, transports économie, organisation industrielle, informatique, etc. Bref, plutôt une maffia dans l’État. La Commission Européenne fait appel à la Rand pour étudier la sécurité intérieure et les technologies de l’information et de la communication (donc ce qui est le plus sensible et le plus dangereux !).
Cette corporation militaro-industrielle s’occupe donc de chose qui ne la regarde pas ! dans une démocratie qui n’a que ce nom pour gérer un pays ; et évidemment c’est le contribuable qui paye les prestation de la Rand. Avec cette privation et privatisation de l’État, on obtient bien une « coquille vide ».
Comme le stalinisme, le système démocratique repose sur du vent, et en revient au totalitarisme de celui qui a le pouvoir, le démiurge qui décide pour les autres, qui n’ont qu’à fermer leur gueule. Une sorte de royauté républicaine, pire bien-sûr que l’ancienne royauté. C’est donc une Merdocratie anti-innovation, anti-création ; donc c’est une merdocratie tueuse qui criminellement empêche un développement de sa société, de son peuple. Le secret de l’État sous couvert de haute sécurité, les mensonges, l’infantilisation des gens notamment par l’emploi du mot « pédagogie » par les donneurs de leçons, qui se sont eux-mêmes proclamés merdocrates, instituer une vérité scientifique sanctionnée par l’État, etc.
Lourde responsabilité de la merdocratie française actuelle : préserver 6000 générations pendant 200 000 ans des déchets du nucléaire enterrés dans une gang d’argile à 400 mètres sous terre. Est-ce bien « raisonnable » ? Car comment faire confiance à des humains ? La liberté d’expression de la démocratie est également un attrape couillon, voir ce qui arrive à ceux qui doutent et remettent en cause des faits historiques, dont on sait qu’ils peuvent facilement être falsifiables. Un caractère historique ne se rencontre jamais tout tracé ; il est toujours reconstruit d’après une « réalité », et celle-ci permet neuf fois sur dix de très nombreuses interprétations psychologiques... L’histoire dépend de l’époque de celui qui la relate, selon le philosophe italien : Benedetto Croce. C’est-à-dire qu’on l’arrange selon la mode et les circonstances du moment ! Surtout avec les mensonges de Simon Wiesenthal, le « chasseur de canards ». Le tout lié bien-sûr à des contraintes financières. Les puissants de ce monde ont un intérêt politique immense à maintenir la vision actuelle de l'Holocauste par tous les moyens dont ils disposent. Les intérêts politiques et financiers majeurs de certains groupes religieux y sont pour beaucoup, comme le spécialiste américain en sciences politiques Norman G. Finkelstein l'a exposé longuement dans son livre l'Industrie de l’Holocauste, réflexions sur l’exploitation de la souffrance des Juifs.
Alors on peut avoir des doutes sur l’établissement et le déroulement du « Jugement de Nuremberg ». Tribunal de Nuremberg préfigurant l'établissement d'un État mondial à la mode de maintenant, ou plutôt en cours de création. (Pour Nuremberg, on essaya de faire passer pour du droit international ce droit supranational qui signifie la mise sous tutelle des nations trop faibles pour dominer le monde. Comme un droit mondial aura la base de tout droit national, il vaudra tant qu’il sera soutenu par la force militaire, des lois et les puissances financières ; ce qui est en train de se passer pour l'Europe).
Ossip Senkovski est un visionnaire au même titre que Savinien de Cyrano de Bergerac, tous deux mort tristement, Savinien d’un accident, et Ossip dans la solitude.

M. R.
 

Dernière mise à jour : 19-03-2010 20:26

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