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Hitler un parfait démocrate - 1 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-02-2011 00:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail

 
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Hitler un parfait démocrate - 1

Je hais un autre et Je est un autre (1) mais au final il haïssait tout le monde !
Et puis, que cela doit-être fatiguant de refaire le monde comme 1789 et l’UMP en démolissant à chaque cycle le travail de son prédécesseur (2).
 
 
 
 
Ah ! HADOPI et la « liberté d’expression... », voilà la « démoncratie ».

C’est terrifiant ce dualisme politique inventé par la révolution de 1789 et le monde occidental en crève, d’autant que vouloir réunir les deux parties pour en faire un centre aboutit à un total qualifié de TOTALITARISME : comme le stalinisme, le marxisme, le fascisme, bref : une « Gauche ! » Il y a vraiment un problème ; tout comme le paradoxe individu et nation ; nation et monde.
 
Il y a aussi le problème du « suffrage universel », héritage franc-maçonnique et du siècle des lumières qui nous donnera les meetings, les assemblées générales où on vote à mains levées, autant rire de la validité du résultat ! Évidemment le meeting ça fait typiquement démocratique, donc franc-maçon... Le Sénat ça fait plus aristocratique : conseil des Anciens, explique le dictionnaire Le Robert, mais encore : Conseil souverain de la Rome antique sous la république. Mais normalement n’importe qui peut faire parti du Sénat et y prendre la parole, en vertu de quoi égalité et liberté sont au maximum. Fabrice Bouthillon écrit dans Nazisme et Révolution que 1789 en est le modèle le plus ancien avec les Assemblées révolutionnaires (les Assemblées de tous groupes humains y compris dans les entreprises industrielles). L’Égypte ancienne devait comporter une forme d’assemblée dans la Maison de Vie (qui résume sa fonction...).

Le drame des meetings et des Assemblées générales ou dites révolutionnaires, ou du Suffrage dit Universel, c’est l’OPINION, à laquelle on attribue une valeur « universelle », que Raymond Ruyer qualifie de paranoïa individuelle et collective ; ce qui est la définition même de l’opinion politique écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux. Il ajoute : « Les pancartes, chants, et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est une véritable liturgie. Ce sont les délires des foules [ou des Assemblées], nazies, communistes, gaullistes [de nos jours UMP sur les médias modernes genre Internet et télé], estudiantines, syndicalistes ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent [voir la vidéo plus bas]. C’est une singerie du religieux. Comme le dit mon ami Gustave Thibon : Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise ».

Si Gustave Thibon était un « philosophe paysan », Jean Coulonval était un « philosophe ouvrier ». J’espère qu’il ne m’en voudra pas de lui coller une telle étiquette, qu’il pourra d’ailleurs décoller de lui-même. Jean se désigne comme un agnostique, et pour lui toute opinion politique est une pseudo-gnose. Comme Jean, je m’efforce de me comprendre moi-même, et le social dans lequel je galère.

Il y eut la « maladie de l’assemblée générale » en mai 1968 avec les meneurs de grèves : la chienlit, comme l’appelait De Gaulle. Plus proche de nous : les grèves estudiantines avec blocus des universités vers la deuxième moitié des années 2000. C’est dans la tradition de 1789, avec constante du rappel de cette période et des mots : république, démocratie, égalité, liberté, etc. Et on ressort les mêmes refrains de slogans, les même drapeaux et pancartes.
A Munich, dans la brasserie Hofbräuhaus, l’arme de l’opinion était en action d’une manière redoutable : manipulation politique à fond la caisse, dans le style de la « démocratie directe », dont le déroulement est, sauf dérapage, parfaitement contrôlé par ceux qui en ont été les initiateurs (déjà dénoncé par l’historien Augustin Cochin). Adolf Hitler à Vienne en Autriche avait vu à la manœuvre sur les chantiers auxquels il lui arrivait de travailler, les chefs des syndicats socialistes.

Donc dans la brasserie, au cours des assemblées générale, Hitler reprend à son compte toutes les techniques de la Gauche, en faisant mine de laisser la parole à l’opposition, chose indispensable pour donner une apparence de liberté et faire démocratique, alors que les couillons qui s’y prêtent sont perdants d’avance.
La meilleure technique dans ces assemblées générales est le vote à main levée, qui d’ailleurs s’apparente au salut nazi, mais est typiquement franc-maçon. Faire l’unanimité ça fait démocratique, et tant pis pour ceux qui ne sont pas d’accord, les gros bras de la majorité sauront y remédier. « Tous ces point furent acceptés au milieu d’un enthousiasme toujours croissant, à l’unanimité, et encore, et toujours à l’unanimité » écrit Hitler. Alors le salut nazi est née de la « démocratie » ! de la Gauche ! Car à la révolution de 1789 on prêtait serment la main tendue dans le style du Serment du Jeu de Paume en juin 1789, dont on peut admirer le nombre des mains tendues sur une « photo d’époque ». Cela nous donnera le futur « référendum » attrape-couillons.

UNANIMITÉ : Conformité d’opinion ou d’intention entre tous les membres d’un groupe ; expression de la totalité des opinions dans le même sens. Nous sommes bien dans le dogme, la norme de l’opinion.
Le Hiéroglyphe latin U indique le principe de division, d’un pôle à l’autre, d’une alternance à l’autre comme la vibration des deux branches du diapason : on divise et on accorde en même temps les instruments et les humains. Unique : de Un, onde en coupure de l’Unité : quelqu’un d’unique se sépare d’un ensemble (voir le paradoxe du couteau) ou qui recherche l’Unité s’en retire ! (Même problème que la réalisation du Soi, il est là de toute éternité il n’y a donc pas à le chercher).

Le cancer se trouve dans le terme même d’Assemblée Générale, comme la réponse se trouve souvent dans la question : on ne peut pas qualifier de « général » un groupe de personnes qui sont en désaccord ! donc des opposants et une majorité ou déchirure politique.
D’autre part, l’Assemblée révolutionnaire a ajouté de l’huile sur le feu en se bombardant de « Constituante » : recoller les morceaux du nouveaux régime avec ceux de l’ancien régime démolit. Il s’agissait de reconstruire l’unité perdue. Et il n’y a pas à tortiller, l’unité c’est dans la foi, censée être universelle ! (la bonne foi, pas la mauvaise... pas la division Gauche et Droite...)

Rappel : la conception humaine de l’universel ne se comprend que par l’opinion générale, et ne peut pas se qualifier d’universel puisque ce mot désigne ce qui est de l’esprit, alors il faut employer le terme de GÉNÉRAL collant aux êtres humains de chairs et de sang. Et le GÉNÉRAL poussé à son maximum donnera le communisme des juifs bolcheviks.

Mais attention à la foi ! « Je n’ai jamais connu la Foi telle qu’on la conçoit à l’école, famille, catéchisme, je me suis toujours méfié des sentiments », écrit Jean Coulonval. L’être humain ne vaut qualitativement que par le cœur, qui n’est nullement le sentiment retombant dans le piège de l’opinion et du point de vue...
Ainsi le nazisme, comme le communisme, comme le capitalisme et bien d’autres ‘ismes’, deviendront des singeries religieuses. Hitler comme Staline se présentent, l’un comme un Nouveau Messie, et l’autre comme « le Petit Père des Peuples ».
La révolution de 1789 a si bien comprit la perte du ciment spirituel, qu’elle avait instituée une substitution spirituelle sous la forme du « Culte de la Raison et de la Fête de l’Être Suprême », façon « Grand Architecte de l’univers » des francs-maçons au grand jour.

Le drame des guerres incessantes de la dualité politique ouverte par 1789 se veut guérissable par des êtres humains, parce que les révolutionnaires, comme toutes les révolutions, avaient prétendu couper tous liens avec le passé. Le drame vient qu’il est impossible à l’humanité de construire l’humanité ! Cela ne peut se faire que naturellement, sans intention, sans fin en soi. L’ambition révolutionnaire de 1789 était au-delà de l’humanité, d’où le recourt à la fabrication de dieux genre libéralime ; le mot religion indiquant : RELIER.
En Allemagne la sauce a prise en 1933 avec le dieu Hitler.

Le dictateur Napoléon Bonaparte a aussi essayé de refermer la fracture de 1789, Gauche et la Droite, en un centrisme par addition des extrêmes sous la forme du Suffrage Universel appuyé par une dictature militaire. C’est aussi le bonapartisme qui a créé en France, sous le Second Empire et non sous la troisième République, le droit de grève, rendant ainsi possible les fameuses assemblées générales et le machin de l’unanimité.

Fabrice Bouthillon précise que dans l’histoire allemande, le nazisme constitue à la fois l’apogée de la haine entre la Gauche et la Droite la plus extrême, et qu’il vomit la Gauche, et en même temps, l’ébauche d’une réconciliation, justement parce qu’il se veut national-socialisme, unissant à un nationalisme d’extrême-droite, un socialisme d’extrême-gauche. On a donc un centrisme par addition des extrêmes ! Vieux rêve du germe de la mondialisation : unifier Orient et Occident.

Si la PEUR, la TERREUR instituée autrefois par les Hassassins en 1092 devant soumettre les esprits (ils inventèrent l’opinion), est si présente à notre époque et surtout depuis le 11 septembre 2001, Hitler à fabriqué ou plutôt catalysé la peur du Juif, comme si celui-ci était un virus à éliminer. La peur, la terreur fait FONCTION DE PÉDAGOGIE. C’est bien connu, on fait peur aux enfants pour leur interdire quelque chose ; d’une autre côté braver la peur c’est bien excitant !
Chez Hitler, la pédagogie de la terreur passera de la menace verbale au cassage de gueules, jusqu’aux camps de concentration, puis au bannissement des opposants.


Les WINNERS et les LOSERS

Extraits du livre Mein Kampf de Adolf Hitler :

« Selon la volonté éternelle qui gouverne ce monde, la victoire du meilleur et du plus fort [les winners], à exiger la subordination des mauvais et des faibles ». On voit déjà le diabolique se profiler plein pot.
Ici on voit nettement l’eugénisme, et l’actuel projet plus ou moins secret de réduction de la population mondiale. Si Hitler n’a pas réussit, d’autres oligarques tentent maintenant sournoisement le coup avec Big Pharma et Monsanto...

« ...dans un monde abâtardi et négrifié (sic), toutes les conceptions humaines de beauté et de noblesse, de même que toutes les espérances en un avenir idéal de notre humanité, seraient perdues à jamais ». Vouloir construire humainement le meilleur aboutit toujours au pire...

« La conception du monde völkisch répond à la volonté la plus profonde de la nature, puisqu’elle rétablit le libre jeu des forces qui doit amener le progrès par la sélection. Un jour, ainsi, une humanité meilleure, ayant conquis le monde, verra s’ouvrir librement à elle tous les domaines de l’activité.
Nous sentons tous que, dans un avenir éloigné, les hommes rencontreront des problèmes que, seul, pourra résoudre un maître-peuple de la plus haute race [le peuple élu ?], disposant de tous les moyens et de toutes les ressources du monde entier ».

Le pauvre Adolf ne peut fonctionner que par dualisme, l’opposition, mais pire qu’un courant électrique dont les deux pôles sont nécessaires ! Adolf fait fonctionner la machine de Gauche plus ou moins marxiste qui se prétend universel, façon peuple élu. Un comble ! Pour lui l’État est la valeur suprême et universel, et donc un début d’une gouvernance mondiale avec le libéralisme comme moteur. Si Hitler n’a pas réussit, Sarkozy, les banquiers et compagnie nous l’ont bien promise cette gouvernance mondiale...

Incroyable que la cuisine de Hitler ait pu prendre parmi le peuple ! Évidemment en hypnotisant le peuple avec le socialisme et le libéralisme... Hitler qui crachait sur Marx à cause de sa foi de Moïse et sur le marxisme est contraint de l’utiliser !
D’un autre côté le racisme était à son comble à la révolution de 1789 où on voulait tuer les aristocrates, le sang bleu... les « ennemis du peuple ». 1789 est notre Shoah ! et celle des Vendéens.
Nous n’arrivons pas à sortir du paradoxe en forme de géométrie euclidienne : individu et collectif ; local et universel ; général et universel... Ainsi la Droite est localiste ou nationaliste ; la Gauche est égalitaire et donc « universel » mais non ! GÉNÉRAL ou GÉNÉRALISTE : même soupe pour tous. Effectivement la Gauche avec son égalisation ne peut pas concevoir de races et des différents modes de vie attenants à ces races, si tant est que le mot race date de la Renaissance, quand les Conquistadors allaient faire la guerre aux ennemis de la religion du Christ du côté de l’Amérique...
Dans ces conditions le mot génération est aussi une race : on s’entend bien avec ceux « de sa génération »... Monde de fous ! Car la race ça n’existe pas, il n’y a que trois familles : minérale, végétale et animale ; et à l’extrême limite IL N’Y EN A QU’UNE PUISQUE TOUT EST VIVANT.
D’autant que lorsqu’il s’agit de bonifier la race de gens qui se bombardent ‘civilisés’ grâce à une sélection physique et intellectuelle : ça s’appelle de l’eugénisme et Superman et le KKK ne sont pas loin.

Mais les États-Unis font du racisme de première classe à leur façon, avec leur culte du dollar et de la réussite à coups d’universités et de winners et de losers... Ceux qui se bombardent de « Peuple élu » en prenant les autres pour leurs serviteurs font aussi dans le racisme ! ou plutôt pratiquent l’esclavage.

L’empire du juste milieu doit être le rêve de tout occidental ! Réunir la monarchie et la démocratie, quel rêve ; fabriquer un centrisme par exclusion des extrêmes pour aboutir au parlementarisme : là où seule une élite, comme actuellement en France, s’occupe de politique, une élite qui se voudra représentative pour ne pas tomber dans l’oligarchie... Pour Hitler c’est une duperie nous explique F. Bouthillon, la bourgeoisie ne peut fabriquer du centrisme pour la bonne raison qu’elle est de Gauche (façon libéralisme) : « imprégné de ces poisons [le monde bourgeois] et rend hommage à une conception du monde qui, d’une façon générale, ne se distingue de la conception marxiste que par des nuances ou des questions de personnes ».

1789 a été une révolution de bourgeois à cause de sa sainte doctrine : le libéralisme : un régime qui mélange pouvoir politique et pouvoir économique pour former un pouvoir spirituel : le dieu OR, car actuellement tout se résume à ça. Capitalisme et communisme s’appuient l’un sur l’autre comme l’écrivait Jean Coulonval. Le seul lien qui unit la Droite et la Gauche ce n’était pas Hitler, c’est le FRIC, L’OR, le SAINT POUVOIR D’ACHAT. Voilà le diabolique ciment universel.
Le cœur de la Gauche c’est le marxisme disait Hitler : « Le marxisme lui-même vise délibérément à remettre ce monde dans les mains des Juifs [le Peuple élu] ». Donc aux yeux de Hitler la Gauche c’est le diable juif Karl Marx, qu’il qualifie « d’adepte de la magie noire » ; ce qui est comique puisque Hitler sera attiré par l’ésotérisme et le religieux, notamment avec l’emploi de la désormais célèbre svastika et les accointances avec la société de Thulé produisant des Superman à la chaîne comme des Goa’uld. En définitive c’est Hitler le premier pratiquant de magie noire...
Ne pas oublier non plus que magie noire ou blanche et autres sectes, c’est toujours une histoire de pouvoir : prendre le contrôle de quelque chose et de l’autre.
Ainsi chez lui il n’y a que deux camps, comme en 1789 : « Ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi », les fameux « ennemis du peuple » de 1789 et des Lénine et compagnie.
« Il nous faut châtier non seulement nos ennemis, mais ceux qui restent neutres, tous ces gens qui restent passifs envers la République et ne font rien pour elle » s’exclamait l’excité Saint-Just, incarnation d’une des vies de Hitler.

Certain que Hitler a de sérieux problèmes avec Karl Marx et n’aurait jamais du entrer en politique, et rester se contenter de faire de médiocres peintures, ou mieux, d’étudier la conception chinoise du Yin et du Yang ; mais encore plus se connaître lui-même avant de vouloir s’occuper des autres. Hitler fut un spécialiste de courts-circuits : son parti à la fois national et socialiste réconciliateur de la Droite et de la Gauche, du local et du général bombardé « universel ».


Les winners de la gouvernance mondiale


Le rêve de tous les Numéros 1 du Spectre est de mondialiser la planète « par facilité » de l’avoir sous sa coupe. On appelle ça réunir la Gauche et la Droite pour « former une humanité meilleure », tous les habitants de la planète étant enfin égaux, grâce aux poisons de Big Pharma, et aux bidouillages électroniques d’ondes laveuses de cerveaux. C’est l'Homme blanc qui sera le peuple élu selon le Le Ku Klux Klan ou l’Empire invisible ! Ainsi est le rêve de Hitler de réunir nationalisme et socialisme (des conventions somme toute), en une forme d’aristocratie planétaire, pour parvenir à une future humanité...

La révolution de 1789 a dissout une société et bien-sûr a été incapable d’en fonder une nouvelle. Depuis nous naviguons dans un No man’s land où l’être humain est un code barres, une marchandise comme un paquet de lessive. Comme par hasard, un Juif ashkénazes, Mayer Amschel Rothschild, fonda son empire financier aux alentours de 1789 en plein siècle des lumières : GOLD, l’Or inoxydable, et on en fait le patriarche de la mondialisation de la finance, le Petit Père du libéralisme. Qu’est-ce qui ne fait pas l’unanimité sinon l’Or !
Je dis que le diable ce n’est pas le pauvre Karl Marx, mais l’OR lui-même, ou ce que TOUS LES humains en font, car le métal Or n’y est pour rien !


Enfin :
Se connaître soi-même c’est essayer de respecter tous les humains, comme l’enseignait Ramana Maharshi. Même l’homme le plus horrible, comme les Staline et autres Ceausescu et bien-sûr Hitler, sont aussi respectables, sinon on ne se respect pas soi-même, comme le montre Ramana Maharshi à propos d’un de ses détracteurs, car il a eut aussi des opposants. Alors on ne peut pas maudire l’UMP tant que ça.

« Personne n’est plus dogmatique, plus sectaire qu’un libre penseur et que le principe républicain prend nécessairement à sa maturité la forme de la dictature et réclame la suppression morale ou métaphysique des minorités qui sont rejetés en enfer », écrivait Jean Coulonval.
Plus c’est simple et plus c’est compliqué !


M. R.


Notes.
1. Comme l’écrit Fabrice Bouthillon, page 196, Hitler tissant un invraisemblable rapport en miroir que lui renvoi « le Juif Karl Marx », en une fascination, comme le mot fascisme contenant cette attraction, il essaya de réconcilier la Gauche et la Droite qu’il avait dressé l’une contre l’autre... Un spécialiste de courts-circuit et des sacs de nœuds !
Adolf Hitler aurait voulu naître de confession juive !

2. Voir le mythe de Sisyphe.



Vidéo typique de l’entretient guerrier Gauche - Droite depuis 1789 (la guerre du dualisme majorité et opposition vers la minute 18). Bien-sûr dans cette vidéo on parle toujours de démocratie... C’est un débat comme on dit, mais dans le mot il y a BAT, du verbe battre ; encore un jeu de winners et de losers. Démocratie et Euro sont les deux actuels suppositoires de la République. Dans la vidéo pour la Droite (UMP), Internet est de Gauche... Encore une parcelle de l’histoire de fous du monde des humains.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 18-02-2011 01:58

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