2009, mois de juillet : dans tous les pays contrôlés par le groupe Bilderberg, passent des lois dégageant les politiciens et les laboratoires de toute responsabilité concernant les effets secondaires et décès dus aux vaccins.
- En raison de l’échec mondial de la première campagne, 2010 est épargné ; en revanche, début 2011, les principaux dirigeants de l’OMS (les laboratoires Baxter, Sanofi et Novartis) prévoient une nouvelle pandémie qui déclenchera des campagnes de vaccination obligatoire (dans chaque pays des lois passent pour que celui qui refuse soit considéré comme criminel et incarcéré ou vacciné de force). L’opération est presque prête (il ne reste que quelques pays qui n’ont pas encore adopté ces lois), les vaccins chargés aussi, il ne suffit plus que de créer quelques cas pour la lancer, et choisir le meilleur moment pour le faire (selon nos analyses, il est très probable que ce sera avant 2015). Les vaccinations provoqueront alors la plus effroyable des pandémies, et personne ne pourra dénoncer les vaccins puisque ce sont les mêmes qui contrôlent Internet, les statistiques et les médias. Il est probable qu’à cette occasion, il sera offert le vaccin-implant qui permettra ensuite de contrôler chaque individu par ordinateur.
Les chemtrails, dont le rôle majeur est d’abaisser le système de défense immunitaire, sont très pratiques, car les épandages journaliers peuvent être modifiés à tout moment. Ajouter aux nano robots des bactéries qui commenceront à provoquer la pandémie est ce qu’il y a de plus facile. L’intérêt d’avoir mis en place un programme de destruction du système immunitaire (fluor, OGM, Codex alimentarius, chemtrails…) est que cela n’oblige pas à utiliser un virus dangereux (ce ne sera ni Ebola, ni Anthrax), mais plutôt un virus bénin, qui n’aura donc d’effet que sur les gens dont le système immunitaire est défaillant, essentiellement les classes sociales les plus défavorisées (des études montrent qu’en 2010, une personne qui veut s’alimenter sainement dépense mensuellement six à sept fois plus qu’un client de grande surface, ça sert aussi à cela, la crise économique). Par la suite, c’est la vaccination qui permettra de contaminer les autres couches sociales, et personne ne pourra savoir que la mort est due au vaccin, puisqu’il suffira de déclarer que la personne est morte de la pandémie.
Le cocktail est prêt : crise économique, chaos social, lois pour permettre à l’OMS d’ordonner la vaccination forcée, lois pour décréter la loi martiale et installer une dictature militaire, technologie en cours (implants humains, nano robots des chemtrails et dans l’alimentation, satellites espions, Haarp…), armées prêtes, camps de concentration prêts...
Il ne manque plus que la date, mais là, c’est plus compliqué car le programme n’est pas encore complet : la Chine et la Russie se font tirer l’oreille. Ceux qui tentent d’établir leur « Nouvel Ordre Mondial » ne souhaitent pas déclencher l’anéantissement de la Chine en même temps que le chaos dans leurs pays. Il leur faut donc d’abord convaincre les dirigeants chinois de se rallier à leurs idées (pourparlers en cours), ou déclencher avant 2018 une guerre contre la Chine (d’où la construction récente des plus grandes bases militaires américaines autour de ce pays).
Source :
r-sistons et lire la suite.
Bien-sûr, cela reste possible, mais il sera trop tard lorsque nous serons devant la seringue ! ou face à la police !
Résumé dans le pire des scénarios :
- 2011 : vers fin de l’année nouvelle crise économique avec super inflation.
- 2012 à 2015 : instauration de dictatures militaires effectives, faible résistance, seulement des jeunes.
- 2015 à 2018 : Obligation de se faire robotiser : micro-chip RFID.
- 2018 : réalisation du vieux rêve multi millénaire de l’Empire mondial façon Star wars.
RAPPEL :
Une société doit être le reflet de l’ordre cosmique, par conséquence, la révolution de 1789 est déjà la réalisation d’un embryon d’Empire mondial, puisque
on confond désormais universel et général. La révolution de 1789 a voulu par ce fait d’universaliser se comporter comme Dieu, donc 1789 est non seulement simoniaque, mais aussi dictatoriale. 1789 provoquant par définition la rupture entre un passé et un futur, entre les dimensions nationales et générales, mais aussi universelles, dont l’union est la constitution de l’être humain, crée l’espace où peuvent se déployer les entreprises qui tendent à les réunifier, et donc, à re-constituer l’humanité. Or ce n’est pas du ressort de la chétive créature humaine.
Liberté, égalité, fraternité, ça n’a jamais existé depuis 1789 !
1789 plus le
18 Brumaire sont la source des totalitarismes, notamment de celle de Hitler.
Cette révolution de 1789, telle une entreprise simoniaque, du diable, a voulu, tel Dieu, fabriquer l’être humain. « Fonder l’Homme » n’est pas entreprise humaine, c’est l’Œuvre de l’Esprit et donc ça n’appartient à personne, sinon c’est de la manipulation d’opinion.
Court-Circuit entre Opinion et Universel
Je répète que la révolution de 1789 est simoniaque, nous vivons depuis dans l’âge de la bête, le 666 des Chrétiens. La philosophie, les mentalistes du siècle des loupiotes se bombardèrent d’universel, alors que ce n’est que le produit de leur cervelle. Ils ont instauré une dictature en imposant leurs idées à tous en s’ingérant dans la politique. Dans un certain sens, le célèbre procès de
Socrate fut une première tentative de celui-ci pour s’en défendre. Vain effort ; moins d’un siècle plus tard, derrière les campagnes
d’Alexandre, il y a déjà la logique et raison du funeste
Aristote.
La Bête : symbole d’origine juive : « ... Que l’homme doué d’esprit [alors le mental et la convention opinion] calcule le chiffre de la Bête, c’est le chiffre de l’homme : son chiffre c’est 666 ». Où va donc se ficher l’universalité ??? Il peut y en avoir une bonne et une mauvaise. Monde de cinglés.
Je poursuis, en référence au livre de Fabrice Bouthillon :
Nazisme et Révolution, histoire théologique du national-socialisme 1789-1989 ; et de Jean Coulonval qui écrit dans le même sens dans son livre :
Synthèse et Temps Nouveaux.
C’est à Rome que se concrétise la synthèse du local et de l’universel (ce qui doit être nommé général), parce que la première, elle accepta de plier sa culture à la discipline universalisante (donc générale) de la rationalité des ergoteurs grecques ; la conséquence en fut qu’elle exhaussa son pouvoir, à l’origine tout local (national), au rang d’un Empire rationnel (prémisse du siècle des lumières), régi par un système juridique philosophique ordonné, et par là, au moins en droit, « universel et éternel comme la Raison même ».
Voilà bien une preuve que nous vivons dans l’âge de la Bête, du 666, et la souffrance ne fait que commencer, les victimes énormes sont à venir.
Rome est un anneau de la longue chaîne des despotismes qui soumettent les pouvoirs locaux (les gouvernements des pays) à celui d’un potentat à prétention universelle : de nos jours c’est la religion de l’argent grâce à 1789 et son libéralisme.
Ces anciens Empires rêvaient donc déjà de mondialisation : union du locale et de l’universel (le général), qui s’opposa aussi à la romaine, et qui est la biblique. L’Ancien Testament parle de l’alliance entre un Dieu unique et un peuple élus : les Juifs. Il en découle la promesse d’un Messie, annoncée par une foule de mentalistes, et donc d’opinions porteuses du meilleurs comme du pire, forcément, puisqu’humain.
L’Ancien Testament comporte aussi des personnages bien sombres, qui représentent un despotisme oriental : Pharaon (on en fabrique un Néron genre 666),
Nabuchodonosor,
Aman (ministre d’
Assuérus),
Antiochus Épiphane (alliance avec la tyrannique rationalité grecque).
SACRIFICE
Terme éminemment religieux, tout dictateur quand il se sent perdu déclare qu’il se sacrifie pour son peuple : le sacrifice est par nature violent, il fait jaillir le sang de la victime et nourrit avec l’énergie de son sang. C’est comme si la mémoire du sacrifié devenait immortelle, au travers des cérémonies répétitives, elles-mêmes sacrificielles, qui rappellent la mort.
La mort de Hitler fut une forme de sacrifice, il le dit lui même dans son testament politique : « J’espère que mon esprit restera parmi eux et les accompagnera toujours ». Le nazisme devenait ainsi une religion ; on comprendra que ses insignes et symboles soient recherché par des « croyants ».
L’amour de Hitler pour son peuple, son remerciement pour les combattants, l’utilisation d’un lexique évangélique, concourt à sanctifier le nazisme. La sanctification sous forme d’une dieu vengeur en une liturgie : « Avant ma mort, j’expulse hors du Parti... »
Sacrifice, testament politique font porter l’art de la manipulation des foules à sa limite ; par ce que le maquillage du sacrifice exclut tout rapport religieux authentique à ce qu’il manipule...
L’Empire de Rome fut combattu par Luther, voir son pamphlet : Sur la captivité babylonienne de l’Église. Un autre constructeur du mondialisme fut
Napoléon Bonaparte : impérial empereur romain ! dans la vieille tradition du mondialisme. Le bonapartisme unit l’expérience romaine antique et l’expérience totalitaire contemporaine, de même que c’est aussi avec lui qu’on peut comprendre que ce lien passe par la révolution de 1789.
La chute de Rome et son universalité (généralité) fut remplacé par l’universalité (généralité) de la chrétienté de l’Église romaine. Ce fut concrétisé par le sacre et baptême de Clovis et Charlemagne ; et c’est précisément cette universalité (généralité) qui fut détruite par 1789 ; le régime auquel les députés du Tiers État mirent fin, lorsqu’ils se proclamèrent « Assemblée Constituante » ; c’était toujours l’Empire romain.
Le bonapartisme est né de la révolution de 1789. Il n’avait de sens que de mettre fin aux contradictions et conflits : guerres, vacance de la légitimité, etc., où l’écroulement du régime monarchique, par 1789 provoqué, avait jeté le corps social.
La révolution de 1789 avait détruit le prolongement que le régime de la Chrétienté avait procuré à la stabilité impériale romaine, Napoléon rétablit l’Empire : mais cette restauration façon Empire romain n’est pas que tournée vers le passé, pour l’avenir ça annonce l’histoire européenne des 19 et 20è siècles, avec Napoléon III, le fascisme en Italie, le nazisme en Allemagne.
1789 à divisé entre Gauche et Droite, le bonapartisme essaye, comme le nazisme, de réunir les extrêmes, pour expérimenter le centrisme par addition, ce qui est typique des régimes totalitaires. Napoléon aussi se prendra pour un Dieu, par exemple devant Moscou : « ...il eût dit que je m’étais élevé au ciel pour prendre ma place parmi les dieux ».
1789 a mis un terme à 14 siècles de continuité : le régime de la Chrétienté et celui de l’unité de l’Empire romain. 1789 voulu remplacer la Chrétienté en s’égalant au divin, en prenant sa place, puisque se bombardant d’universalité, de République universelle, de Droits Universels, de valeurs universels, etc... Cette diabolique, puisque organisatrice, prétention de refonder l’humanité, et donc s’égaler à Dieu, devait s’exhausser jusqu’à une religiosité diamétralement hostile au christianisme. Et c’est pour cela que 1789 constitua un parfait modèle pour le communisme des Juifs bolcheviks. Pareil pour le nazisme, étant donné qu’il prétendait procurer par lui-même la même réconciliation qui s’est opérée par le Croix (remplacée par la svastika ou croix gammée).
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