Ecrit par Sechy,
le 23-02-2011 19:42
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Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Espace, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Morale, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail |
République, Francs-Maçons = terroristes
Heureux les fêlés, car ils laisseront passer la Lumière (d’après Michel Audiard)
Ce qui rejoint : « les derniers seront les premiers », ou encore :
Seuls réussissent à sortir quelque chose de la Matière les humbles ( Auguste Rodin sculpteur)
À la vue de la situation mondiale actuelle, je m’efforce ici de comprendre avec mes moyens en fouillant dans le passé, qui est la source du futur. Aussi les périodes occidentales de catalyses que furent l’antiquité grecque, la Renaissance, la Révolution de 1789, sont particulièrement intéressante pour comprendre le drame actuel en constante fièvre depuis la guerre de 1939-1945. À cela s’ajoute hélas le drame de l’énergie : la pollution de la planète et par nos déchets industriels et par le pétrole, puisque après le charbon du 19è siècle, nous ne sommes toujours pas capable de produire de l’énergie à partir du vide ; et pourtant, maints chercheurs estiment cela possible. L’énergie du vide inépuisable et disponible gratuitement par tous, et la révélation que nous ne sommes pas seuls dans l’Univers, et notre civilisation s’écroule ! Simple...
Ces crétins d’hommes et de femmes politiques actuelles qui prétendent que « la République est universelle », qui parlent de « valeurs universelles ». Non seulement il n’en est rien, mais en plus c’est une simple convention et une opinion ; bref, une GÉNÉRALITÉ, quelque chose de l’ordre GÉNÉRAL.
De plus, dans une République comme dans une Monarchie, il y eût des crimes et des mensonges à n’en plus finir, alors rien d’universel là-dedans, sauf que dans la Monarchie, il y avait plus d’unité à cause du pouvoir spirituel et d’une frontière plus nette entre pouvoir politique et pouvoir économique.
Quant à une catégorie de francs-maçons comploteurs, ce sont aussi des criminelles, des terroristes pour employer un mot à la mode. De véritables terroristes, car ils se cachent et trament des intrigues, notamment dans l’Antiquité à Athènes. C’est la secte de francs-maçons de l’oligarchie athénienne qui se bombardait de République, qui forcèrent Socrate à s’empoisonner pour cause d’impiété (mépris, sacrilège), sous prétexte que celui-ci avait révélé les secrets de la franc-maçonnerie aristocratique dans laquelle il avait été admis ; car tel est l’unique sens qu’il faut attribuer au mot « impiété », dans le quatrième siècle avant notre ère. Vingt-cinq ans après sa mort, son disciple et son éditeur devait encore courir les mêmes risques, à en juger par le luxe de précautions de toute sorte dont il croit devoir s’entourer... Explication de la mort de Socrate en référence à Grasset d’Orcet : De l’Androgyne dans l’Art ancien et moderne.
Dans ce temps là le mot République était associé à l’oligarchie : une classe d’aristocrates.
La Révolution de 1789 avec sa cohorte républicaine émit son opinion en
se qualifiant d’universel ; ce qui est en rapport avec l’androgyna. Un
certain idéal façon amour platonique, qu’une société qui se nomma
« Société de Jésus », et qui fit vœux de pauvreté, de chasteté,
d’obéissance ; réunit les trois conditions dans lesquels doivent se
trouver les membres d’une société qui veut soumettre l’Univers.
L’androgyne indique : qui présente des caractères du sexe opposé, dont
les organes génitaux externes sont mal différenciés. Un centrisme en
somme ! Ce qui aboutira en politique au national-socialisme et au
totalitarisme (voir le livre de Fabrice Bouthillon : Nazisme et
Révolution, Histoire théologique du national-socialisme 1789-1989).
Oligarchie républicaine et démocratie athénienne
- Richesse collective
- Pauvreté personnelle
Voilà résumé sur quoi la République de 1789 se base.
La République ne sait pas montrer de jolies choses. Les Rois savaient
encourager et montrer de jolies choses. La bêtise bourgeoise commencée
au milieu du 19ème siècle, notamment avec l’invention de la « propriété
intellectuelle », a distingué l’Art gratuit du travail qui n’aurait pour
fin que l’argent. Voir le business autour des œuvres de « peintres
reconnus ». On enferme l’art dans des musées payants au lieu de le
répartir dans l’ensemble de la société.
De nos jours on ne jure que par le mot VALEUR. Qu'est-ce qui est joli ? Ce qui se vend ! Telle est l'unique règle de l'art contemporain : un salaire nourricier des artistes.
Dans le monde occidental, depuis la société antique gréco-latine, ces
sociétés dites modernes ou civilisées ne sont pas organisées pour dégager
l’individualité de chacun, comme l’oligarchie athénienne. Par
conséquence dans notre République actuelle rien ne sera fait pour
favoriser le « Connais-toi toi même », ou la Réalisation du Soi divin
comme l’explique si bien Ramana Maharshi.
Il entre dans le dogme républicain : la laïcité, typique de 1789 et de la franc-maçonnerie complotiste, responsables de la pauvreté personnelle.
« Par contre, la laïcité autorise et impose l’enseignement de la théorie de l’évolution biologique de l’espèce humaine, basée sur l’athéisme, mais elle interdit catégoriquement l’enseignement de la théorie de la création biblique ou autre. [v. les ouvrages du Dr Kent Hovind [USA] sur le créationnisme v/s l’évolutionnisme]. L’athéisme préconise, entre autre, que c’est la nature temporaire de la vie qui pousse les humains vers une croyance divine incertaine, et que la divinité, si elle existe vraiment, n’est que d’ordre spirituel et non temporel, entravant ainsi le progrès et le développement, ce qui est tout à fait faux, bien sûr ! ». En résumé, on vous fait croire que votre vie de consommateur n’est définie que du berceau à la tombe. Bref, vous êtes une marchandise.
« Les Ismaélites, les Templiers, les milices musulmanes des mameluks et
les janissaires furent autant d’application de la doctrine de Platon et
de la théorie de l’androgyne », écrit superbement Grasset d’Orcet dans :
D e l’Androgyne dans l’Art ancien et moderne.
« Le mythe de Poros et de Penia n’était donc que le code politique et
religieux de l’aristocratie athénienne et de toutes les anciennes castes
sacerdotales de l’antiquité [y compris dans l’Égypte ancienne] (1) ; car
on le retrouve deux ou trois fois dans la Bible, aussi bien que dans
les Védas [prototype de la fable de Psyché, légende de Judith, etc.], et
Socrate fut condamné à boire la ciguë pour avoir divulgué la doctrine
secrète qui se cachait sous les fleurs de l’art grec », explique encore
Grasset d’Orcet.
Donc une société qui se prêtant universelle ne fait que vouloir
SOUMETTRE L’UNIVERS, comme la République actuelle et de 1789 façon
Anciens grecques. C’est de la DICTATURE tout simplement. Par cette
prétention humaine à l’universalité, la République est SIMONIAQUE,
DIABOLIQUE, VENDUE À SATAN. L’universalité n’est pas du ressort humain,
c’est du ressort de la Nature, dont effectivement l’humain fait la
partie ; mais depuis les divisions criminelles de 1789, l’être humain
s’est coupé de la Nature, d’où des inventions d’écologie, économie
durable, de ceci et de cela, drame de l’énergie, etc.
La connaissance par l’être humain de sa nature
humaine ne peut être une science puisque toute science naît d’une
dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par
ailleurs l’être humain étant ontologiquement, en ses essences, le
résumé, la globalité de l’Être et de l’existant, il est de ce fait dans
l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’une Univers qui lui
serait extérieur. Il n’existe pas la Nature d’une côté, comme la Droite ;
et nous de l’autre, comme la Gauche ou le peuple. Examiner l’Univers et
donc l’être humain est géométriquement impossible. V’est pure illusion
satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et
accidents (monde spatio-temporel).
La politique est la science de la gestion des sociétés selon l’idée
qu’on se fait de l’être humain (au sens générique). En conséquence, elle
implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la
connaissance des essences de l’Homme, de son ontologie. Connaissance qui
ne peut s’acquérir à partir des accidents (monde spatio-temporel), pas
plus que l’équerre à centrer ne peut définir un centre absolu,
géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être un opinion.
L’Absolu (l’universel), c’est ce que toutes les religions appellent
Dieu, l’Être source de tout l’existant. Ce besoin de l’absolu régit tous
les individus, ceux qui se disent civilisés et ceux qu’on dit sauvages ;
mais il est vrai aussi que l’Homme a toujours été tenté de rechercher
cet absolu au travers des accidents du spatio-temporel et qu’il est
difficile d’atteindre la perception pure de « Je suis Celui qui Est »
(la Réalisation du Soi comme le montre Ramana Maharshi), ce qui
correspond à être totalement dans l’Instant. Les civilisations se sont
toujours construites sur des compromis entre Absolu et perceptions,
contingentes et limitées du spatio-temporel. Le règne de l’opinion en
tant que critère de vérité politique n’a pris sa valeur dogmatique
qu’avec la Révolution de 1789, et le communisme en est la maturation
historique en se parant des prédicats de l’Absolu, ce qui en fait une
religion à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé. Il en faut pas
s’étonner d’entendre dire par ceux qui ont quitté le communisme qu’ils
ont perdu la foi. Référence à Jean Coulonval.
La République se dit
« Universelle » comme si la philosophie à laquelle est prend source pouvait être universelle ! alors
qu’elle n’est qu’opinion de miroirs aux alouettes et qu'elle impose à
l’ensemble, comme le fait toute dictature ou tout totalitarisme, en acte
ou en puissance.
Tout peuple qui se prend pour son propre créateur est
bien l’image du totalitarisme, comme 1789. Les Gnostiques qui
s’emparèrent du symbole de l’ Ouroboros y virent l’emblème du
« renouvellement de la substance » dans un sens panthéistique (tout est
en Dieu et divinisation de la Nature) qui frise le matérialisme du
« retour perpétuel ». C’est donc le serpent qui se dévore la queue. Ce
totalitarisme mélange les trois pouvoirs : politique, spirituel et
économique.
Dans la société athénienne dite démocratique, l’ordre devait régner, et
comme tout ordre et organisation découlent du Grand Satan, quel ordre
devaient se farcir les pauvres athéniens ! Et nous basons nos sociétés
occidentales sur ça ! Ainsi, comme notre actuelle République, nos
démocraties attrape-couillons, avec leurs cadres somptueux habillés
d’universalité, mais qui n’y placent que des « chromos » sans valeur,
elles ressemblent à un moine qui de son état religieux n’a que l’habit !
Le vrai ne peut en aucune façon, par aucun peuple, aucune religion, être
un objet de propriété. On ne peut pas parler de « religion de sa
race »... ou de « peuple élu ».
Maintenant toujours en compagnie de Grasset d’Orcet, voyons ce qu’ Aristophane fait de l’universalité (Dieu ou Zeus), au risque de devoir boire la ciguë. Il paraît que Zeus était une tête de Turc sur laquelle s’exerçait impunément tout « gommeux » (prétentieux) de l’oligarchie athénienne ; c’était le dieu de la canaille. Il n’était permis de parler du véritable Dieu ou de l’androgyne que d’une manière incidente et détournée, en lui attribuant un rôle subalterne ; l’impiété consistait à révéler les secrets de la classe dominante, comme Socrate va le faire plus loin, tandis qu’Aristophane enveloppe ces révélations d’un mélange de bouffonnerie et de sublime, que le profane ne savait comment démêler le vrai du faux.
Le mythe de l’androgyne s'apparante à la source de la division républicaine de 1789, si habilement décrite par Fabrice Bouthillon dans son dernier livre : Nazisme et Révolution, Histoire théologique du national-socialisme 1789-1989 : division en GAUCHE et DROITE.
« Car la comparaison de la pièce partagée en deux [par soucie d’égalité ?] est encore en usage dans le bas peuple parisien [les citoyens], et mon charbonnier à qui je demandais pourquoi il ne se mariait pas, me répondait dernièrement : « Que voulez-vous ? Je n’ai pas pu retrouver encore l’autre moitié de ma médaille ».
Effectivement, il n’y a pas si longtemps mon grand-père du côté français parlait souvent de sa « moitié ». Je ne sais pas si l’expression est toujours en usage.
M. R.
Note.
1. La confusion entre pouvoir politique et pouvoir spirituel fut fréquente, le Grand prêtre faisant souvent aussi fonction de chef politique. « Cette confusion du sacerdoce et du pouvoir n’a rien qui doive surprendre. On la trouve à l’origine de presque toutes les sociétés, soit que dans l’enfance des peuples il n’y avait que la religion qui puisse obtenir d’eux l’obéissance, soit que notre nature éprouve le besoin de ne se soumettre jamais à d’autre empire qu’à celui d’une idée morale », écrit Fustel de Coulanges.
Pourquoi vous travaillez ? Victime et bourreau = totalitarisme (voir plus haut). L'organisation de Satan.
Monde proche de s'écrouler.
Dernière mise à jour : 24-02-2011 20:17
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