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Judaïsme et Commerce Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-02-2011 23:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Espace, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Morale, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail

 
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Judaïsme et Commerce
 
 
$$$ Jéhovah le dieu équarri à coups de hache,
dieu du commerce et de la morale $$$

Depuis que je sais je suis devenu fou ! (D’après un Imhotep imaginaire)


Un beau Rébus et pièges de Sphinx


Les francs-maçons veulent SOUMETTRE L’UNIVERS et jouer
avec le Grand Architecte, toujours au nom du
BIEN COMMUN, comme le Peuple élu.
 
 
 
Cette confusion du sacerdoce et du pouvoir n’a rien qui doive surprendre. On la trouve à l’origine de presque toutes les sociétés, soit que dans l’enfance des peuples il n’y avait que la religion qui puisse obtenir d’eux l’obéissance, soit que notre nature éprouve le besoin de ne se soumettre jamais à d’autre empire qu’à celui d’une idée morale. (D’après Fustel de Coulanges). Et quand le sacerdoce perd de son pouvoir, il s’installe la laïcité des bourgeois, genre francs-maçons ; qui eux ne jurent que par la morale, le bien, la valeur, etc. Le VIDE appelle le PLEIN...

Akhenaton (Celui-qui-est-utile-à-Aton), nom que prit Aménophis IV lors de la révolution religieuse dont il se fit le protagoniste. Akhenaton est donc un catalyseur du monothéisme. Probablement que les tribus juives adoptèrent le dogme du monothéisme en s’inspirant de celui d’Akhenaton.
 
 
Monothéisme est proche de l’Androgynisme, lequel s’est aussi développé chez les Aryas (Aryens) de l’Inde. En Perse, cet Androgynisme a été étouffé par une sorte de protestantisme qui a donné le Mazdéisme (encore un ‘isme’ !), pour ensuite redevenir monothéiste avec le dieu Ahura Mazda.
Pour l’Égypte, l’androgynisme ne s’y est introduit qu’avec le culte de Sérapis (divinité introduite en Égypte par les Lagides. C’est un compromis entre les dieux grecs et l’antique Osiris égyptien).
 
Grasset d’Orcet, dont je fais ici référence, explique dans « De l’Androgyne dans l’Art ancien et moderne » que le rude idiome de la Bible ne réussirait jamais à traduire le dialogue de Socrate et de Diotima ; il fallait un dieu équarri à coups de hache, comme son Jéhovah.
L’androgyne est spécial aux peuples celto-pélasgique (Pélasges : les premiers habitants de la Grèce).

Tacite le signale, sous la forme la plus simple, chez les Naharvales de son temps. Tacite explique que les Naharvales adoraient deux divinités, puissance divine sous le nom Alci, dans un bois sacré, où préside un prêtre en habit de femme ; et il précise qu’il fallait assimiler ces deux divinités à Castor et Pollux.

Castor et Pollux dieux des Gaulois et des Étrusques, très souvent représenté sous forme féminine (voir la collection des bronzes au Musée du Louvre).
Les Naharvales étaient resté fidèles à la doctrine iconoclaste (briseur d’images ou culte des icônes), nommaient donc leur double divinité ALCI. Ahl, en allemand, signifie « pointe », et « kitz » se traduit par « chatte » et « chas d’aiguille ». Définition essentielle de l’androgyne ; lequel chat si adoré en Égypte ancienne, est devenu le double chat à une seule tête nommé CARABAS ou CARVAN. De nos jours Charles Perrault en a fait le Marquis de Carabas dans le Conte du Chat Botté.
Couri, en chypriote, veut dire « matou », et « bas » était l’espèce de bottes que les Grecs nommaient « bassarides ». Carabas est donc le Chat Botté.


Soumettre l’Univers

Vieux rêve de ceux qui veulent établir un Empire mondial sur cette planète, et pourquoi pas dans toute la Galaxie... comme dans les Star Wars. D’ailleurs l’aigle se retrouve comme emblème sur les drapeaux de beaucoup de nations sous la monarchie !
Ces penseurs, ces ergoteurs et philosophes qui rêvent de soumettre l’Univers à leurs opinions ! Comme l’explique Grasset d’Orcet, c’est probablement de Troie que le dogme de l’androgynisme a rayonné sur le monde antique. Vingt siècles plus tard, Socrate devait boire la ciguë pour l’avoir divulgué.


Mais le plus grave, c’est ce qui se trouve dans la Bible !


« Cette vaste compilation d’anciennes légendes dont le texte avait scrupuleusement conservé, mais dont le sens était perdu pour les classes marchandes qui s’étaient approprié ces dépouilles d’une caste sacerdotale dépossédée », écrit lucidement Grasset d’Orcet. Déjà on peut voir poindre la Révolution de 1789 et notre drame actuel. La dépossession de la chrétienté par les révolutionnaires de 1789 instituant une autre religion : le matérialisme et libéralisme.
L’histoire du mosaïsme biblique comporte deux périodes : de Moïse à Salomon ; de Salomon à l’ère chrétienne.
Des spécialistes allemands en sanskrit, qui probablement n’avaient jamais lu la Bible dans l’original, ont prétendus faire des tribus hébreux une « race homogène », très ‘inférieure assurément à la race germanique’, mais doué d’un sens tout spécial : celui du monothéisme ; toujours d’après Grasset d’Orcet.


Un dieu nationaliste :
« Tu diras : Ainsi parle le Seigneur Yahvé à Jérusalem. Par ton origine et par ta naissance, tu es du pays de Canaan. Ton père était amorite et ta mère hittite ». Ézéchiel, 16 - 3, Histoire de Jérusalem.

Grasset d’Orcet explique que les Amorrhéens ou peuples du sud de la Palestine, dominèrent pendant 15 siècles la population rurale composée de Sémites (de Sem, fils de Noé), tandis que eux se livraient à l’industrie. Leur cour, leur armée et administration se composait de Philistins et de Crétois ; ce furent eux qui construisirent le temple de Salomon, d’après l’ordonnance pélasgique et non l’ordonnance égyptienne.

La coudée royale de l’Égypte vaut : 525 mm
La coudée sacrée de Jérusalem vaut : 775 mm
La coudée du temple de Jérusalem vaut : 428 mm
La coudée du second temple de Jérusalem vaut : 437 mm

L’Égypte adorait plutôt le TRIANGLE, alors que Moïse et Salomon était tournés vers le CARRÉ. Or le carré est le symbole de la matière, du terrestre, du concret, par rapport au CERCLE symbolisant le Ciel. Le plan du temple de Jérusalem figurait un homme étendu, les pieds à l’Ouest, la tête à l’Est, le flanc droit au Nord, le flanc gauche au Sud. Chaque angle correspondait à une des quatre tribus régnantes de la nation, qui y arborait sa bannière :
- Dan (mince, épine, source, corde, ce qui rappel la déesse Maât), Brun et Blanc, Nord : Aigle
- Juda, Vert, Est : Lionceau
- Ruben (rouge), Sud : tête de femme
- Éphraïm, Ouest : Taureau

Lionceau et taureau représentent Jéhovah, amalgamés dans une tête de lion à cornes de taureau qu’on retrouve dans les monuments étrusques et asiatiques.

Chez Dan, la corde était avec l’aigle un des plus anciens symboles de l’androgyne. Grasset d’Orcet explique que seule la tribu de Juda peut revendiquer le sémitisme.

Ces quatre tribus et symboles symbolisent bien-sûr les quatre points cardinaux, avec l’aigle, le lion, la femme, le taureau. Ils formaient le krub ou chérubin androgyne, qui était la grande divinité nationale. Elle avait les griffes du lion, la face de la femme, la croupe du taureau, les ailes de l’aigle.
Le krub ou chérubin (kérub) est comparable au Minotaure assyrien ; mais celui-ci reflète le principe mâle, bien que ses ailes soient généralement signe d’androgynisme.

Dans le sphinx égyptien, le taureau et l’aigle manque. Seul le sphinx grec avec ses ailes (voir la céramique corinthienne du Louvre) correspond au chérubin de Moïse et de Salomon.

Le principal c’est qu’on retrouve ces « quatre tribus » sculptées au somment de la Tour Saint Jacques à Paris. Quatre symboles illustrant les points d’équinoxes et de solstices de l’ère du Taureau (entre 4000 et 2000 avant notre ère). L’aigle se substitua au scorpion jugé maléfique ! On retrouve cette symbolique du CARRÉ dans les quatre évangélistes...

Sur le haut de la Tour Saint Jacques on trouve : quatre génies protecteurs symbolisant le sphinx. En 1793 les statues représentaient le lion ailé, le taureau, l’homme-ange, l’aigle et Saint-Jacques. Ces statues ont été détruites. Au 19è siècle, les animaux refaits ne sont plus à la même place :
- Bœuf ailé (Sud-Est), avant c’était l’ange ou Saint.
- Lion ailé (Nord-Est), avant c’était l’aigle ailé.
- L’ange (Sud-Ouest), avant c’était le lion ailé.
- L’aigle ailé (Nord-Ouest), avant c’était le bœuf ailé.

Selon Grasset d’Orcet la Tour Saint Jacques est un Chérubin construit selon les données mystiques du plan de Salomon, genre carré de base de douze sur douze accompagné de son multiple d’ or PHI, basé sur quatre... (voir Gérard Cordonnier et le nombre radiant PSI).

Le dieu CARRÉ de Salomon et de Moïse n’est donc pas une divinité égyptienne, ni assyrienne, mais une divinité éolienne de toute pièce. Platon et Moïse avaient puisé à la même source, précise Grasset d’Orcet.


Quand et comment cette divinité carrée est-elle devenue le Jéhovah unitaire du judaïsme ?

Grasset d’Orcet explique qu’il n’y a qu’à lire les prophètes pour s’en rendre compte. Après la dépossession de la caste des Lévites (dont faisait partie Moïse), et plus tard de la dynastie de David, tout le monde se fit docteur et se mit à interpréter les vieilles archives nationales. Les prophètes, surtout ceux des basses époques, n’étaient pas des lettrés ; c’étaient des commerçants et artisans : cordonniers, charpentiers, laboureurs, qui « s’improvisaient prophètes, comme on s’improvise aujourd’hui journaliste » écrit Grasset d’Orcet. Donc nous sommes tous des prophètes en puissance...

Il continue par : « Ce qui rend cette partie de la Bible si vivante et si moderne, c’est qu’elle n’est qu’une série de pamphlets politiques d’une violence et d’une crudité d’expression qui dépassent souvent celles de nos écrivains les plus révolutionnaires. Ces robustes ignorants se sont fait un Dieu à leur image, violent, jaloux et autoritaire comme eux [donc selon leurs opinions].
Il n’est pas de conception théologique plus pauvre que celle de Jéhovah des derniers temps du judaïsme ; mais c’est bien le dieu des armées ou plutôt de la gendarmerie [voir l’occupation de la Palestine], tel qu’il le fallait à une bourgeoisie qui, de révolutionnaire, était devenue non moins résolument conservatrice et cléricale, du jour où elle avait expulsé la dynastie royale et abattu la puissance de la caste sacerdotale [exactement comme en 1789]. Jéhovah fut le plus ferme maintient de « l’ordre moral » ; il l’est encore. Et comment ! il n’y a qu’à voir ce qu’il ce passe avec les officines inquisitoriale genre CRIF, et autres lois Gayssot. Et on vous parle de « valeurs » à tout bout de discours et de textes républicains, alors que ce mot, comme le mot démocratie, ne veux plus rien dire : ou plutôt il ne concerne que des vulgaires marchandises et biens de consommation.

Donc le catholicisme de Rome s’appuie aussi sur le CARRÉ des Salomon et Moïse : le dogme de la Trinité plus celui de la Vierge mère.

Séparer le Ciel et la Terre c’est déjà DUALISER ou construire le monde spatio-temporel, l’androgyne disparaît. Séparer le passé du futur est encore une division, une convention humaine. De la même façon qu’on sépare Ève d’Adam.

Un auteur comme C.W. Leadbeater indique dans son livre sur un bref résumé historique de la franc-maçonnerie, que des personnes conçurent l’idée de personnifier les « enfants d’Israël » sous l’aspect d’un être unique capable de répandre sa grâce sur tous les peules (le fameux « Peuple élu »). Pour ce faire ils tentèrent d’éveiller chez ces peuples un sentiment d’unité, notamment par l’utilisation de rituel. On a un début de mondialisation, de totalitarisme en puissance, même si le souhait de faire régner une harmonie entre tous les peuples humains est bon. Dans l’absolu cette volonté d’un peuple qui se prend pour son propre créateur est bien l’image du totalitarisme, comme 1789. Et les francs-maçons avec leur laïcité prétendent fabriquer la crème de l’espèce humaine ! Toujours au nom du BIEN COMMUN... AU FOUS !!!

Donc pour résumer, le Chérubin symbolise l’androgynisme, et l’androgyne pullule surtout dans l’art grec ancien. Il sera abâtardit, détruit notamment par les divagation de la gnose, la brutalité des démocraties romaines pour aboutir au célèbre Antinoüs, et mourir à l’arrivée du christianisme. Il est vrai que la beauté surhumaine attire et repousse à la fois ! Tout comme n’importe quelle monstruosité ou personnage hors du commun, genre dictateur, on parle alors de charisme, toujours au nom du bien commun ! et donc égalitaire...
Comme le fait remarquer justement Grasset d’Orcet, l’androgynisme et sa statuaire se terminant par les Antinoüs concerne la FORME, alors que depuis la Renaissance porteuse de l’embryon révolution de 1789 et de la démocratie c’est la COULEUR qui prédomine.
Enfin, l’androgyne se retrouve dans la femme à barbe (vraie ou fausse) des fêtes foraines et du cirque de Phineas Taylor Barnum.

Bien comprendre la symbolique :
- La Nature desséchée qui refleurit, l’homme se féminise.
- La Nature fleurie qui se dessèche, la femme devient homme.
Voir les représentations de femmes munies de casques et d’un bouclier. Voir l’Atalante et le dessin ci-dessous. C’est aussi illustré par le Taiji Yin et Yang.
 
 
astro_homme_femme.jpg
 
 

Dernière mise à jour : 25-02-2011 00:14

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