Il est incontestable que le monde moderne est de plus en plus en dégénérescence, ça fusent de partout et en s’accélérant ; on voit se poindre une attaque en règle contre l’Islam, matinée de sionisme, économie, mode de vie et travail, sécurité, etc., la liste s’allonge de semaine en semaine maintenant. Au final, on risque fort de retomber dans la boucle temporel d’une sorte de guerre de religions : croyants contre non croyants...
Par exemple, le symbolisme de la Guillotine se retrouve dans la franc-maçonnerie, à travers les 4 farces : Pierrot, Polichinelle, Gilles et Arlequin.
Grasset d’Orcet dans son article sur
John Gilpin (personnage illustrant le symbolisme solaire) :
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Pierrot est Bacchus (liber, hiver). Âme sans corps ensevelie dans le sommeil du
Léthé où elle se purifiait pour une existence nouvelle. Lété sonne comme léthargie, mais aussi comme lithique : pierre. C’est pourtant le clown des farces populaires.
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Polichinelle est Tithon, mari de l’Aurore, avec ses cheveux blancs (printemps). Il était l’âme annexée à un nouveau corps et immédiatement souillée par les débauches de la jeunesse. Polichinelle c’est l’apprenti, le voyou. Il est aussi celui qui a reçu le premier degré de l’initiation maçonnique.
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Gilles c’est Mars, seigneur du tropique du Cancer, il préside à l’été. Il représentait la virilité ou l’âge du chef des troupes. On cherche toujours si le mot gilet vient de Gilles gillet.
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Arlequin est avec son costume collant et bigarré de sorcier thrace, illustré sur des vases grecs. Le plus souvent il est représenté en costume bigarré :
poikilos, indiquant cauteleux, et figurait des écailles de tortue, sa première incarnation, à laquelle il devait son nom d’Argos (lent et roué). Arlequin c’est la vieillesse qui siège dans les conseils et remplace la force par la ruse. Tout ce termine comme un conte de fée par la perte du sort ou destinée que nous avons portée et apportée en naissant.
Son domaine : signe du Scorpion, du Sagittaire et du Capricorne ! et pour le vulgaire : Mercure, Pluton et Neptune (saison équinoxe d’automne au solstice d’hiver, soit d’après des légendes fabriquées il y a environ 4000 ans avant notre ère).
Dans la Langue des dieux ou Noble savoir des Grecs, Arlequin était
Kercops (le rusé, celui à qui on coupe la tête). En grec, un seul et même mot Ker indique la destinée et la tête. Destinée ou tête tranchée par Hermès afin de se purifier dans le fleuve Achéron ou le pays où l’on a ni mains ni têtes.
Le mythe de la décollation se retrouve chez Saint Jean et dans les religions anciennes mais aussi dans toutes les initiations maçonniques modernes, sans même en exclure la
Camorra napolitaine contemporaine. Tout nouvel affilié à la Camorra doit faire
« Cortar la Cara », couper la figure à un passant (au sens figuré bien-sûr, mais certains sont passé au sens propre !).
Alors Joseph Ignace Guillotin demanda dans la séance du 1er décembre 1789 que « la décapitation fût le seul supplice adopté et qu’on cherchât une machine qui pût être substituée à la main du bourreau. » L’utilisation d’un appareil mécanique pour l’exécution de la peine capitale lui paraît une garantie d’égalité. Égalité, effectivement : une seule tête, une seule façon de penser ! Une forme de laïcité sous couvert de la sagesse et de la morale si chères aux francs-maçons modernes, ces gens qui se prétendent « réformateurs de l’Univers » et ne sortent que de vulgaires opinions.
Le drame : si une religion quelconque s’empare de la Création, comme dans le cas de ces 4 farces, il y aura ensuite une destruction : Ce qui « Est » doit perdurer à jamais, et ce qui apparaît nouvellement (comme une religion, une création, etc.), doit aussi disparaître, puisque dans le monde spatio-temporel.
Selon Grasset d’Orcet ces quatre farces personnifiées représentaient autrefois quatre stations solaires, puis quatre phases de l’existence humaine, qui vont devenir carrément des divisions politiques fondées sur la nouvelle religion du christianisme : le vilain (paysan), le domestique (varlet), le soldat, le clerc. On retrouverait ces quatre divisions sociales en Inde : parias, çoudras, kchatrias, brahmines. Par comparaison dans la société romaine on ne trouve que deux classes : les esclaves et les gens libres (négociants, soldats, sacerdoce). Dans bien des cas le loser reste le vilain ou paysan. Mais comme tout est double le loser se transforme en winner, en devenant le Pierrot ou le clown, ces deux mots signifiant également paysan. En tant que « petite gens » il est le frère directe du dieu égyptien PTAH. Les « petites gens », les prolétaires sont la graine sociale. Le costume du Pierrot reflète son caractère social.
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