L’esprit analytique fonctionne sans repère spirituel, car il n’y a que le résultat qui compte. ANALYSE : elle est mentale (duelle : sujet et objet) et ne permet pas d’atteindre la Vérité. L’outil binaire et le monde informatique dans lequel nous sommes plongé est du domaine de l’analyse.
La
fission atomique (fendu : diviser pour
‘régner’) sert à libérer de la chaleur qui sert à chauffer de l’eau afin de produire de la vapeur. Cette vapeur fait tourner les turbines qui génèrent de l’électricité.
Évidemment ça produit de l’énergie radioactive, donc énormément dangereuse à tous points de vue. On devrait plutôt parler de Scission nucléaire, le contraire de la fission étant la Fusion nucléaire. Mais ça on ne sait pas faire...
« Le philosophe, avec ses pensées et opinions (vaines), devient incroyant : ordonne-lui d’aller se fracasser la tête contre ce mur !
La parole de l’eau, la parole de la terre et la parole de la boue sont perçues par les sens des mystiques.
Le philosophe qui ne croit pas au pilier qui gémissait est étranger aux perceptions des saints ».
(Versets 3279-3280 du Mathnawî, Livre premier)
Comme nous sommes dans le monde spatio-temporel où tout est double, il y a forcément des contraires aux dieux : les Asuras (terme sanskrit). Ce sont des élémentals et des dieux mauvais, négatifs, considérés comme maléfique : ce sont donc des entités démoniaques.
Mais le problème réside dans l’interprétation du mot Asura soit ésotérique, soit exotérique. Dans le sens ésotérique c’est le contraire, ils sont bien des dieux dans les parties les plus anciennes du
Rig Veda, le terme est employé pour l’Esprit Suprême, et les Asuras sont donc spirituels et divins. Ce n’est que dans le dernier livre du Rig Veda – sa dernière partie, dans l’Atharva Veda, et dans les Brâhmanas, que l’épithète, qui avait été donnée à Agni, la plus grande divinité védique, à Indra et à Varuna, en est venue à signifier le contraire d’un dieu. Asu signifie souffle, et c’est par son souffle que
Prajâpati (Brahmâ) crée les Asuras. Lorsque le ritualisme et les dogmes prirent le dessus dans la Religion-Sagesse, la lettre initiale a fut adoptée comme préfixe négatif et le terme finit par dire « pas un dieu », et Sura seulement, une divinité. Mais dans les Védas, les Suras ont toujours été rattachés à Sûrya, le soleil, et regardés comme des divinités inférieures, des dévas [êtres célestes, bons, mauvais, ou indifférents]. Extrait du
Glossaire théosophique de H. P. Blavatsky.
Et comme tout est vibration, Ces puissances ne peuvent émerger dans le monde humain qu’à travers certaines fréquences vibratoires : la radioactivité et les systèmes électromagnétiques de la technologie informatique. C’est pour ça qu’il n’y a pas si longtemps, la célèbre
Maison de la Radiesthésie à Paris ne faisait pas payer les achats par Carte Bleue, mais pas un classique chèque ou en argent liquide, simplement pour ne pas créer des ondes nocives qui pouvaient imprégner les marchandises sensibles contenues dans le magasin.
Et il est bien possible qu’avec l’addition de la radioactivité et de l’outil informatique binaire actuel, nous soyons enfermé petit-à-petit. Ainsi peu à peu, notre liberté de penser s’évanouira sans même que nous nous en rendions compte. De manière insensible, nous abdiquons chaque jour devant l’inéluctable transformation de notre mode de vie, de notre environnement, de notre comportement, et de l’inversion de nos processus de conscience. (Reprise d’un extrait de
l’article de crom.be en changeant les vous en nous]. Et effectivement, peut-être qu’un jour l’humanité ne sera plus q’un corps abandonné à la volonté asurique.
Rumî (1207-1273) qui était le fondateur de la confrérie soufie, connue en Occident sous le nom de derviches tourneurs, parle déjà du danger de la fission (scission) nucléaire, et de la pluralité des mondes.
Le Mathnawî est autant lu que le Qor’an.
Si le mondialisme s’est accéléré à l’époque de la Renaissance, avec Galilée et l’ethnocide produit par les Conquistadors espagnols et portugais, c’est la révolution française de 1789 qui en est le véritable déclencheur. Dans tous les cas des révolutions de 1789 jusqu’à 1917 et plus récentes, le communisme n’ai jamais social mais anti-social : loin d’incarner un ordre social authentique, il s’est contenté de réaliser un renversement de fond en comble de la hiérarchie des valeurs d’une société humaine. La vie n’est pas révolution, elle est MOUVEMENT, lent respectueux d’une harmonie ; alors que la vie pathologique est un processus violent, producteur de désordre, de cacophonie. C’est valable aussi bien pour un individu que pour une nation.
1789, les révolutions communismes, toutes se sont instaurées par la TERREUR, le CHOC, la violence, et elles ont entretenues par cette TERREUR. Elles ont mit ces outils de POUVOIR à la première place dans leur système de « démocratie populaire ».
La société totalitaire est guidé par son instinct.
Le communisme, le capitalisme, c’est l’ordre nouveau.
La vraie fin de la nature humaine est de vivre en conformité à l’ordre des essences. Or depuis la Chute, c’est précisément de cet ordre que « l’âme schismatique », l’âme en « Scission nucléaire » ne veut plus. Cet âme rêve de se forger un « ordre nouveau ». Tout comme les existentialistes de Jean-Paul Sartre : « c’est l’existence qui crée son essence ! ».
Au lieu d’assurer une union harmonieuse dans laquelle essence et existence vivent dans la concorde, elle aboutit à une rupture discordante : par la faute de l’âme, le « fils », n’ayant pas reçu « l’amour » du « père » ne peut pas le lui rendre. De ce fait, la sérénité, la paix et la sécurité, que donne le sentiment d’être dans la bonne voie de l’ordre disparaissent. Elles sont remplacés par le trouble, l’inquiétude et l’insécurité.
Je fais encore référence au livre du Docteur A. Stocker :
Folie et Santé du Monde :
Nul autre qu’Arthur Rimbaud n’a décrit cette situation [être possédé], précisément dans une page de Une saison en Enfer.
« La vraie vie est absente », dit le poète de
Délires. « Nous ne sommes pas au monde. je vais où il va, il le faut. Et souvent il s’emporte contre moi, moi pauvre âme. Le Démon ! - C’est un démon, vous savez, ce n’est pas un homme ! » On ne saurait rendre d’une manière plus poignante le drame du dédoublement de la personnalité ; Le drame de la personnalité de l’homme qui s’est « retiré » de Dieu.
Donc le comportement « social » des puissants de ce monde se trouve commandé par la cupidité et non par le respect qu’inspire une institution sociale bien constituée. Mensonges, trafiques, convoitises et intrigues en tous genres seront les « forces occultes » qui dérègleront la marche de la production et de la consommation des biens temporels. Cet état de fait entraîne l’ensemble de la société, aussi bien matériel que spirituel. Ainsi est le règne de l’OPINION : la conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant (comme les existentialistes de Sartre). Ainsi là-dedans rien n’est repérable puisque dans la chronologie tueuse. Alors la doctrine communiste est perpétuellement fluante, souple, se pliant aux circonstances. Ainsi là où deux opinions sont contraires, une seule est bonne et l’autre doit disparaître ; ou toutes les deux ont tort et une troisième doit les éliminer par dépassement dialectique.
Comme normalement il devrait y avoir trois pouvoirs, politique, spirituel et économique, pour former une harmonie sociale, si le pouvoir spirituel ne fonctionne qu’avec le pouvoir politique, ça ne vaut pas grand chose quand le pouvoir économique est ignoré. Mais l’économie n’est rien sans le facteur et humain et spirituel. Cette trinité de pouvoir dont donner la supériorité au vivant, et non à un quelconque « pouvoir » de ces trois pouvoirs. Par exemple le travail est pour l’homme et non l’homme pour le travail (comme actuellement). Ainsi, pour prier, il faut faire de la politique et surtout manger ; cependant pour avoir à manger il faut bien que quelqu’un travail, au moins la terre, pour procurer de la nourriture... Tout est lié.
En résumé : seule parade aux agressions invisibles : le VIDE, celui qui donne un repos vivant ; à condition d’un ACCORD PARFAIT : recevoir le monde illimité, éternel, immatériel et caché. Donc réaliser le Soi, le
Centrum Centri. Quand il faut se mettre totalement à nu, la Vérité comme le Vide est terrifiante, du moins pendant un moment...
Le VIDE, comme le
Qi (Souffle vital), ni matière ni esprit, antérieur au monde, et toute chose n’en est qu’un aspect et un état de plus ou moins grande condensation...
Seul subsiste un mouvement, comme le mystère : tant il est présent la joie est infinie, s’il s’en va l’esprit disparaît, est il écrit dans la tradition
Ge Hong.