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Staline le démocrate Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 08-04-2011 23:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Staline le démocrate
 
Le « Fossoyeur des peuples »
 
 
Hitler était aussi un démocrate, il voulait réconcilier
la Gauche et la Droite.
Ça a donné le national-socialisme.
 
 
Religion et politique et troisième Église (franc-maçonnerie) =
manipulation de l’opinion
 
 
 
Après la seconde guerre mondiale, les prisonniers de guerre allemands et d’autres nations eurent droit, comme les « ennemis du peuple », à une éducation politique à la soviétique (comprendre un lavage de cerveau). Dès 1943 le NKVD se mit à organiser des écoles et des cours « antifascistes » dans les camps de prisonniers de guerre. Il s’agissait de persuader les « élèves » de « mener la bataille pour la reconstruction démocratique » (sic) de leurs pays et d’extirper les restes de fascisme, lorsqu’ils retourneraient chez eux en Allemagne, en Roumanie, en Hongrie ; et bien entendu, afin de préparer la voie à la domination soviétique (début de mondialisme). De nombreux anciens prisonniers de guerre allemands finirent par travailler pour la nouvelle police de l’Allemagne de l’Est.
 
 
La démocratie façon Saint-Just : là-dedans on met :
- Les « terroristes » anti-ceci ou anti-cela, notamment « anti-soviétique » en son temps.
- Les « traites à la mère patrie », en son temps chez Staline.
- Les « espions », en son temps chez Staline.
- Les accusations de « diversion ».
- Les accusations de « sabotage ».
- les accusations de « trotskisme », en son temps en URSS.
- Les accusations de « tendances droitières » (ne concerne que les politiques).
- Les accusations de « banditisme » (ne concerne que les politiques).

En fait, cette liste concerne en gros tous les politiques ! et ça n’a pas beaucoup changé depuis 1789.

De nos tristes jours il faut y ajouter :
- Les accusations de « terrorisme cybernétique » ou « terroristes de l’internet », dans le jargon de certains politiques qui se sont trompés de métier.

Pendant la seconde guerre mondiale le sort des esclaves dans les goulags fut encore plus terrible qu’en « temps normal ». Le taux de mortalité des esclaves pour 1942 et 1943 est le plus élevé de toute l’histoire du Goulag. Suivant les statistiques officielles, très certainement en deçà de la réalité, 352.560 prisonniers moururent en 1942, soit un sur quatre ; en 1943 : 267.826, soit un sur cinq. Tout en étant officiellement établi à 22% en 1943 et à 18% en 1944, le nombre de malades était probablement bien supérieur, tandis que le typhus, la dysenterie et d’autres épidémies firent des ravages dans les camps.
La situation alimentaire s’améliora quand le cours de la guerre tourna en faveur de l’URSS, mais même avec des rations supplémentaires les normes alimentaires étaient d’un tiers plus pauvres en calories que les rations de la fin des années 1930.
Au total,, c’est nettement plus de deux millions de détenus qui moururent dans les camps et colonies du Goulag au cours des années de guerre ; et cela sans tenir compte de ceux qui trouvèrent la mort en exil ou dans d’autres formes d’incarcération. Plus de 10.000 furent exécutés, pour trahison ou sabotage, sur ordre des procureurs des camps.



La démocratie avec le NKVD.

Pendant l’avancée des Allemands, le NKVD, pour ne pas « laisser tomber des prisonniers aux mains des Allemands », les fusilla dans leurs prisons, notamment à Lvov, ville polonaise proche de la frontière germano-soviétique. Au total, le NKVD tua quelque 4000 détenus à Lvov, les abandonnant dans des fosses communes qu’il eut à peine le temps de recouvrir d’une mine couche de sable.
De semblable atrocités eurent lieu dans la plupart des régions frontalières, le LKVD laissa derrière lui quelque 21.000 détenus et en libéra 7000 autres. Dans une ultime explosion de violence, les troupes du NKVD sur le départ et les soldats de l’armée rouge en massacrèrent près de 10.000 dans des dizaines de villes et de villages polonais et baltes : Wilno (Vilnius), Drohobycz, Pinsk. Ils les tuèrent dans leurs cellules, dans les cours de prisons ou dans les forêts voisines. Battant en retraite, les troupes du NKVD brûlèrent aussi des bâtiments et fusillèrent des civils, massacrant parfois les propriétaires des maisons où leurs troupes avaient été logées.

Le NKVD et la « déportation administrative »
Nom fantaisiste pour désigner l’expulsion vers l’enfer de population entière : les troupes du NKVD frappaient à la porte d’une maison et disaient à ses habitants qu’ils devaient partir. Ils avaient tantôt un jour pour se préparer, tantôt quelques minutes. Puis arrivaient des camions qui les conduisaient à la gare et il partaient. il n’y avait ni arrestation, ni jugement, ni aucune procédure. 108.000 habitants de Pologne orientale furent arrêtés et internés dans des goulags, et 320.000 déportés vers des villages d'exil. Il faut ajouter 96.000 détenus arrêtés et 160.000 déportés des États baltes, ainsi que 36.000  Moldaves... Entre 1939 et 1945 la population estonienne déclina de 25%.

Un petit Polonais de 13 ans :
Y avait rien à manger. Les gens mangeaient des orties, et ils enflaient et ils partaient pour l’autre monde. On nous a mis de force à l’école russe parce que pas d’école, pas de pain. On nous à enseigné qu’il fallait pas prier Dieu parce qu’y a pas de Dieu et quand, la leçon terminée, on s’est tous levés et on s’est mis à prier, le commandant de la colonie il m’a enfermé dans la prison.

« Un enfant qu’on a privé de tout espoir d’avenir est un enfant qui vit un enfer ». (Bruno Bettelheim).

Tous les prisonniers de guerre polonais ne finirent pas dans des camps. En avril 1944, le NKVD massacra discrètement plus de 20.000 officiers polonais tombés entre ses mains ; les abattant d’une balle dans la nuque, conformément aux ordres directs de Staline. Ce dernier assassina les officiers pour la même raison qu’il avait ordonné l’arrestation des prêtres et des enseignants polonais ; son intention était d’éliminer l’élite polonaise. Puis il dissimula ses agissements. Malgré des efforts considérables, le gouvernement polonais en exil fut incapable de découvrir ce qu’il était advenu des officiers.

Au printemps 1943, le régime d’occupation allemand découvrit 4000 corps dans la forêt de KATYN.
Alors que l’Union soviétique nia toute responsabilité dans ce massacre, celle-ci fut par la suite établie ; alors même que les alliés Anglo-saxons crurent l’Union Soviétique, jusqu’à inscrire le massacre de Katyn au nombre des crimes allemands dans l’acte d’accusation de la parodie de justice dans le décorum du « tribunal de Nuremberg ». Les Polonais savaient par leurs propres sources que la responsabilité en incombait au NKVD. C’est seulement en 1991 que le président Boris Eltsine reconnut la responsabilité soviétique dans ces horreurs.


Les démocrates Staline et Hitler - Un début de mondialisation

Comme Hitler avec les Juifs, Staline voulait déporter plusieurs population, et même les exterminer. Staline voulait éliminer les Caucasiens, les Tatars, la guerre paraît lui servir de couverture, de prétexte pour accomplir des opérations de purification ethnique prévues de longues date.
Les Tsars avaient rêvé d’une Crimée débarrassée des Tatars depuis que Catherine la Grande avait intégré la péninsule de Crimée à l’Empire russe. Le Tchétchènes avaient aussi tourmenté les Tsars, puis causé des soucis pires encore à l’URSS. La Tchétchénie avait été le théâtre d’une série de soulèvement anti-russes et anti-soviétiques, certains après la Révolution, d’autres après la collectivisation en 1929. Une nouvelle rébellion s’était produite en 1940. Staline semble vouloir se débarrasser de ce peuple fauteur de troubles et profondément anti-soviétique.

Encore une fois le NKVD est chargé des basses-œuvres : vitesse d’exécution remarquable, vue les expériences précédentes du NKVD : en mai 1944, 31.000 officiers, soldats et agents du NKVD menèrent à bien en trois jours la déportation de 200.000 Tatars, avec 100 jeeps, 250 camions et 67 trains. Des ordres spéciaux, préparés à l’avance, limitaient la quantité de bagages que chaque famille pouvait emporter. Comme ils n’avaient droit qu’à quinze ou vingt minutes pour faire leurs valises, la plupart n’en emportèrent même pas la moitié. L’immense majorité des tatars furent chargés dans des trains à destination de l’Ouzbékistan, hommes, femmes, enfants et vieillards. Entre 6 et 8000 moururent avant d’arriver.

En 1949 Staline avait décidé d’éliminer des nations entière : hommes, femmes, enfants et grands-parents ; pour les effacer du globe terrestre.
Après leur départ, les noms de tous les peuples déportés furent éliminés des documents officiels, y compris de la « Grande Encyclopédie soviétique ». Les autorités effacèrent leurs pays de la carte, abolissant la République autonome tchétchéno-ingouche, la République autonome des Allemands de la Volga, la République autonome de Kabardino-Balkarie et la Province autonome des Karatchaïs. La République autonome de Crimée fut elle aussi liquidée tandis que la Crimée devint purement et simplement une province soviétique de plus. Ce qui rappelle tout-à-fait le Tibet qui est devenu presque à la même époque une « province de la Chine ».
Donc chez Staline, les autorités régionales détruisirent toutes traces du passé de ces peuples : destruction des cimetières, nouveaux noms pour les villes et villages, effacement de toute trace des anciens habitants des livres d’histoire. Le bêtise était à son comble, et malheureusement si répétitive !

Dans leurs nouveaux foyers, tous les déportés : Tchétchènes, Ingouches, Balkars, musulmans, Karatchaïs et Tatars, furent contraints d’envoyer leurs enfants dans des écoles primaires de langues russes. Tous furent découragés d’employer leur propre langue, de pratiquer leurs religions ou de se remémorer le passé.
Tchétchènes, Tatars, Allemands de la Volga, Caucasiens, Baltes et Polonais, étaient voués à disparaître, à être absorbés dans la société soviétique.
Heureusement, ces nations « resurgirent » après la mort de Staline, le « Petit père des peuples »... et pour cause : le « Fossoyeur des peuples »... Si les Tchétchènes furent autorisé à rentrer chez eux en 1957, les Tatars ne purent le faire qu’après l’ère Gorbatchev. Et ils durent attendre 1994 pour recevoir la « citoyenneté » de Crimée, c’est-à-dire leur droit de résidence officiel...

Mais pourquoi Staline n’a pas purement simplement massacré des groupes ethniques qu’il méprisait tant ? se sont demandés plusieurs témoins. Selon ces personnes Staline en voulait au mental de ces peuples, donc il voulait détruire leur culture, leur passé. Pour Staline c’étaient des « structures sociales ennemis », des institutions bourgeoises, religieuses et nationales susceptibles de lui résister ; des gens éduqués qui pouvaient s’opposer à lui. Comme il avait toujours en tête l’esclavage, ces peuples constituaient tout de même de futur « unités de travail ».

A la seconde guerre mondiale, quand la lutte à mort entre les nazis et les soviétiques tourna à l’avantage de ces derniers, le NKVD captura à tout va : prisonniers parqués dans des champs et laissé là avec un minimum de nourriture et sans médicaments, quand ils n’étaient pas carrément fusillés. Faute d’abri, les prisonniers dormaient dans les bras les uns des autres, pelotonnés dans la neige, pour se retrouver, au réveil, agrippés à des cadavres. EN 1943 : 60% de morts chez les prisonniers ; officiellement, près de 570.000 sont morts en captivité, de faim, de maladies et de blessures non soignées. Mais le bilan véritable pourrait nettement supérieur car quantité de prisonniers ont dû mourir avant que quiconque ne parvienne à les compter.

L’Union soviétique fit 2.388.000 prisonniers de guerre allemands entre 1941 et 1945, auxquels il faut ajouter 1.097.000 autres soldats européens combattant : Italiens, Hongrois, Roumains, Autrichiens, Français, Hollandais, Belges ; et environ 600.000 Japonais. Chiffre sidérant quand sait la brièveté du conflit russe avec le Japon. A l’armistice le nombre total de prisonniers avait dépassé les quatre millions.

Pour être arrêté par le NKVD, il fallait avoir une tête qui ne leur revenait pas ! ou bien être accusé de crimes de guerre, suspecté d’être espion, ou anti-soviétique, ou pour n’importe quelle autre raison. Un jeune Hongrois de 16 ans fut arrêté en même temps que son père parce qu’ils possédaient un radio !
Le NKVD transporta à Moscou tous ceux qu’elle découvrit dans le bunker de Hitler. Il rafla aussi aussi plusieurs lointains parents de Hitler en Autriche, à qui Hitler avait autrefois envoyé de l’argent. Aucun n’avait revu Hitler depuis 1906... Et tous périr en URSS.

Les camps de prisonniers de guerre ne se distinguaient pas des goulags ; et sans raison claire, le NKVD envoya parfois des prisonniers de guerre directement dans les goulags.

En 1943, le NKVD fait comme le franc-maçon Jules Ferry : lavage de cerveaux pour tous : cours « antifascistes » pour les prisonniers de guerre. Il s’agissait de persuader les « élèves » de « mener la bataille pour la reconstruction ‘démographique’ de leurs pays et d’extirper les restes du fascisme » lorsqu’ils retourneraient chez eux en Allemagne, en Roumanie, en Hongrie ; et bien-sûr préparer la voie du mondialisme : la domination soviétique.

Je comprend la méfiance de mon père, émigré russe, car même les russes blancs réfugiés en Occident pouvaient craindre la terreur stalinienne : « Nul ne devait échapper à la vengeance bolchevique ». Parmi les nombreuses décisions controversées qu’ils prirent à Yalta en février 1945, Roosevelt, Churchill et Staline (les vainqueurs anglo-saxons et soviétiques qui se partagèrent le monde), ces terroristes décidèrent que tous les citoyens soviétiques, quel que fut leur itinéraire personnel, devraient retourner en URSS. Alors que les protocoles signés à Yalta en faisaient pas explicitement obligation aux alliés de livrer les citoyens soviétiques contre leur volonté, mais c’est bel et bien ce qui arriva.

En mai 1945, les troupes britannique, obéissant aux ordres censés venir de Churchill, entreprirent de rapatrier plus de 20.000 Cosaques qui vivaient alors en Autriche. Bien-sûr il s’agissait d’anciens partisans anti-bolcheviks, dont même certains avaient rejoint Hitler pour combatte Staline ! Beaucoup avaient quitté la Russie après la Révolution de 1917. Donc la plupart n’avaient plus de passeports russes.
On les a dupés : les britanniques après leur avoir promis un bon traitement les invitèrent à une « conférence », et les libèrent aux troupes soviétiques avant de rafler leurs familles le lendemain.
A Lienz en Autriche, les soldats britanniques se servirent de leurs baïonnettes et de leurs crosses pour forcer des milliers de femmes et d’enfants à grimper dans les trains qui devaient les conduire en URSS. Plutôt que de rentrer, des femmes jetèrent leurs bébés par-dessus les ponts avant de sauter à leur tour. Un homme tua sa femme et ses enfants, les allongea précautionneusement dans l’herbe, puis se tua. Les Cosaques savaient ce qui les attendaient en URSS : les pelotons d’exécution, ou les goulags.


Le franc-maçon Jules Ferry et Oncle Joe (Staline)

Les Américains nommaient ainsi « affectueusement » le « Petit père des peuples ». Entre cow-boy il faut bien s’entendre : l’Ouest sauvage et l’Asie soviétique...
Cher Papa

Avant tout, je vous écris pour vous remercier sincèrement de m’avoir rééduqué. Dans le passé, j’étais un récidiviste, réputé dangereux pour la société, et j’ai donc été placé plus d’une fois en prison, où j’ai appris à travailler. Aujourd’hui, l’armée rouge m’a fait plus que jamais confiance, elle m’a confié des camarades combattants. Avec eux, je vais vaillamment au combat (sic), ils me respectent parce que je prend soin d’eux et pour la justesse (sic) avec laquelle nous accomplissons les tâches militaires qui nous sont assignées.

C’est le genre de lettre du « bon travailleur esclave », qui rappel en tout point la « rééducation » des enfants bagnards au début du 19è siècle en France !


Autre discours entre un « ennemi du peuple » de retour en URSS et un commandant du NKVD :
- Vous pouvez prouver que vous êtes Juif ?
- Je souris, gêné, et je dis que je le pouvais : en baissant mon pantalon.
Le Commandant :
- Et vous dites que les Allemands ne savaient pas que vous êtes Juif ?
- S’ils l’avaient su, croyez-moi, je ne serais pas là.
- Ferme ta sale gueule de youpin ! s’exclama le commandant en lui flanquant un coup de pieds dans le bas-ventre.
- Qu’est-ce que c’est ces bobards ? Allez, fumier, dis-nous pour quelle mission t’es ici ? C’est quoi ton nom de code ?...

Bien-sûr les juifs ne furent pas les seuls visés, mais aussi les bons, les méchants, les justes, les coupables, etc...

(Référence : Goulag, de Anne Applebaum)
(En haut de page : Conférence de Yalta avec la trinité de monstres criminels). Vraiment une photo honteuse ! Staline est certainement pire qu’Hitler.



Le GPU qui est variation de l’Inquisition, et autres organes anti-machins, ou des puissants lobbys et groupes financiers y vont de la défense de leur dogme, c’est-à-dire la position intellectuelle qui, pour l’accusation, est censée être implicitement accepté par tout le monde, comme un centre, une universalité dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. D’ailleurs on retrouve exactement la même chose dans la laïcité. Mais si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Oui, puisque tout est conventionnel, et dépend de la mode du moment.
Tout accusé qui se reconnait lié à la foi d’une religion (c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti, tout particulièrement du parti communiste de tous pays) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » s’il se tait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, il se condamne lui-même par auto-critique (d’être alors remodelé). S’il ne le sait pas, c’est qu’il est fou, et pour ce genre de fous, le post-stalinisme mais aussi les États-Unis avec la CIA ont institués des hôpitaux ou services psychiatriques spéciaux. L’Inquisition les brûlait comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques.
Le GPU ne copie pas l’Inquisition. La similitude vient de configurations mentales identiques. C’est une question de géométrie du mental. (Référence d’après Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux)
Pour mémoire, en France avant 1981, il existait un délit d’homosexualité, c’était même considéré comme une maladie...

« Goethe, Goethe, ça sent le boche ici ! », cité dans : Synthèse et Temps Nouveaux, de Jean Coulonval.

 
 

Dernière mise à jour : 09-04-2011 00:15

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