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Trouver la Vérité et le Monde disparait Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-04-2011 23:01

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Nature, Nucléaire, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Trouver la Vérité et le Monde disparait


La Vérité n’a pas à être trouvée, Elle Est.
Celui qui prétend l’avoir trouvé est dans l’erreur.
 
 
 
Déjà Krishnamurti disait dans son discours à Ommen que « La Vérité est un pays sans chemin ». En effet, comment peut-on définir, trouver l’Instant ! C’est absurde, ce que d’ailleurs Ramana Maharshi explique dans le recueil de ce qui a été compilé de son « enseignement » consistant en questions et réponses de l’auditoire qui venait journellement le voir. La Vérité, l’Instant, le Soi, en tant que la Source se suffit à Elle-même. Le ‘Je’ est nu, il ne passe pas par le raisonnement qui est chronologie tueuse. « Qui se conforme en toutes choses au TAO est armé contre les coups du sort ».
Personne ne possède l’Instant, Il est commun à tous, et en même temps personnel (l’angle vibratoire) ; cela implique chez l’être humain, et même jusqu’aux mammifères, ce qu’on nomme solidarité ; elle implique le respect de l’autre, et par la même, le respect de soi-même. Bref il y a ÉCHANGE, même chez les cailloux.
 
Le Soi, l’Instant, ne peut conduire qu’à la réalisation de l’être, c’est-à-dire de Tout, puisque c’est L’INSTANT, le BLANC. Ainsi en réalisant le Soi, on supprime ou transcende le soi vulgaire ou ego : on « meurt à soi-même » quand la pleine conscience agit. Le terrible ego qui détruit le monde : ce désir de la possession... L’horreur suprême étant l’invention post-1789 de la « propriété intellectuelle » ; prendre conscience de l’association de ces deux noms est déjà un début de délivrance et d’éveil... Même si le désir de rémunérer les artistes est louable, c’est le concept de « propriété... du mental », qui est ignoble. La beauté cachée en toute chose ne se monnaye pas ! car nous sommes amoureux de la vie même, la vie qui se trouve partout et au-delà de notre planète, car pourquoi cela ne serait-il pas possible ? Tout comme les mots « perpétuité et infinie » décrit plus bas, nous ne savons pas la signification du mot Amour, lequel est aussi vaste que le mot FEU, que le mot TEMPS... Nous faisons du mot Amour une notion physique et donc égocentrique, où même des crimes se commettent à son propos.
Oui, l’Amour véritable a un rapport avec le FEU, et les Alchimistes ne s’y sont pas trompés... Car on prépare le terrain pour l’Amour. Aucun effort du mental ni de la volonté chère à la magie ne peut contraindre d’aimer. Comme l’explique à longueur de pages Ramana Maharshi, la seule façon de libérer cette nature d’Amour (le Soi) de l’état latent qui est le sien en nous, est de connaître qui fait obstacle et pourquoi.



Pourquoi le monde gémit dans les souffrances depuis des millénaires ? Pourquoi la perte de l’Âge d’Or ? Pourquoi la perte du TAO ?

Quand le TAO est perdu, vient la vertu.
Quand la vertu est perdue, viennent les rites, c’est-à-dire la moralité et la loi.
De même, quand l’innocence est perdue, vient la fraternité.
Quand la fraternité est perdue, vient la notion de justice et d’équité avec tout ce qui s’en suit.


A cause du « Péché originel ». Je fais référence à l’explication si belle et simple de Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) :
« 1. Le tour, ou toute autre machine pour usiner le métal avec des outils de coupe. Il possède une essence : la conjonction de deux mouvements, l’un circulaire de la pièce à usiner, et l’autre de translation de l’outil sur la pièce (ou l’inverse). Cette conjonction, ou sa possibilité, existe de toute éternité dans les essences de la Création, avant même qu’aucun homme ait eu l’idée, dans le temps et l’espace, de construire un tour. Les tours, fraiseuses, perceuses, imaginés à partir de ces essences géométriques pour une multitude de besoins particuliers, je les appellerai des « accidents ». Il se trouvera toujours un imbécile pour essayer de faire fonctionner la machine à l’envers, c’est-à-dire renverser l’ordre essences-accidents. Résultat : il bousille quelque chose.
La révolte de Lucifer, le péché originel, ce n’est rien de plus. C’est simple comme le fil à couper le beurre.
2. L’équerre à centrer. C’est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d’une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d’une barre d’acier plus ou moins cylindrique. En portant l’appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l’ont imaginé, fabriqué. C’est ce que fait le mode de pensée qu’on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l’homme se fait de l’Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents ».
 
 
 
 
Il faut donc en conclure qu’il y en a un, ou une, qui a voulu « CORRIGER LA NATURE ».
 
Corriger la Nature c'est se prendre pour Dieu.
Ainsi si l’être humain voit une créature courir ou voler, il la vise et tire dessus, ce qui est un instinct animal. Même chose pour s’emparer de la fourrure de l’animal et s’en revêtir, alors qu’elle est la peau de l’animal. L’être humain a donc chuté en ce sens qu’il s’approprie toutes choses pour son plaisir et son profit, alors la vie est à l’envers, comme dans la Chute, et rendue cruelle et laide. Nous tuons et nous exploitons nos frères et sœurs aussi bien animal dit « évolué », qu’animal dit « inférieur » par l’être humain, parce que nous n’avons pas ce sens de la vie.

Ainsi :
Les Anciens étaient dans une sorte d’état de confusion qui faisait partager avec toute leur époque la paix et le détachement.
En ce temps là, l’Obscurité et la Lumière s’équilibraient harmonieusement ; les mânes et les esprits ne troublaient personnes ; les quatre saisons se succédaient régulièrement ; les êtres ne cherchaient pas à se nuire ; personne ne mourrait prématurément.
Bien que doué d’intelligence, les hommes ne s’en servaient pas.
C’était l’époque de l’unité parfaite ; personne n’agissait, tout se déroulait toujours naturellement.
...
En somme, l’Ancien qui savait se préserver ne fardait pas son intelligence avec des discours, ne réduisait pas le monde ni la vertu à la détresse par son intelligence (1). Prudemment, il gardait sa place et rejoignait sa propre nature. Pourquoi agir ?
(Extrait du chapitre 16 : Corriger la Nature, de l’Œuvre complète de Tchouang-tseu, traduction de Liou Kia-hway)
Effectivement, pourquoi agir ? « Tout ce qui est destiné à ne pas se produire ne se produira pas (2), quel que soit votre effort. Tout ce qui est destiné à se produire se produira, quel que soit votre effort pour l’empêcher ». (Préface d’Eleonore Braitenberg, du livre sur l’enseignement de Ramana Maharshi)

La Chute « du Paradis » c’est augmenté d’une façon gigantesque avec la naissance d’abord de l’agriculture il y a très longtemps, mais surtout au 19ème siècle, le développement de l’argent et des industries, justement au détriment de l’agriculture. Le monde entier est plongé dans une folie technologique qui se veut « scientifique » alors qu’il n’en et rien, puisque ce n’est qu’une « intelligence conquérante », la pire des horreurs puisqu’artificielles (par exemple voir ce qu'il se passe actuellement au niveau du nucléaire...).
Attenter à un filon de cuivre pour en faire des ustensiles de cuisine et des fils électrique, c’est DÉJÀ UN CRIME. Ruiner le TAO et la vertu et leur substituer la bonté et la justice, voilà le crime du Saint, explique Tchouang-tseu dans Sabots de chevaux.


La Vérité ce n’est pas :
Les formes et les couleurs, les noms avec des alphabets et des phonèmes représentants uniquement des conventions. C’est en ce sens que « qui sait ne parle pas, qui parle ne sait pas ». Mais comment le monde s’en rendrait-il compte ? Puisque tout le monde prétend posséder la vérité ? Comment un être humain peut-il inventer les mots « perpétuité », « infinie » ? Ce n’est pas de son domaine....

Ye k’iue demanda à Wang Yi : « Connaissez-vous une vérité unanimement admise par tous les êtres ?
- Comment pourrais-je la connaître ? répondit Wang Yi.
- Connaissez-vous que vous ne la connaissez pas ? demanda Ye k’iue.
- Comment le pourrais-je ? répondit-il.
- Alors les êtres ne connaissent rien ? demanda Ye k’iue.
Comment le saurais-je ? reprit Wang Yi. Pourtant je tâche de vous exposer mon opinion. Comment peut-on savoir si ce que j’appelle « connaître » n’est pas « ne pas connaître » ?
« Ainsi par exemple, un homme couché dans la boue y attrapera un mal de rein mortel, mais en sera-t-il de même pour une anguille ? Un homme juché sur un arbre tremblera de frayeur mais un singe en fera-t-il autant ? Lequel de ces trois connaît la demeure idéale ?...
(Chapitre 2 : La réduction ontologique, de l’Œuvre complète de Tchouang-tseu)


Ainsi suite à la perte de l’Âge d’Or, il est évident que nous ne savons plus ce qu’est un gouvernement, car c’est seulement à celui qui se désintéresse du gouvernement du Monde que l’on peut lui confier le Monde. Voilà le véritable mondialisme ; tout autre mondialisme est du mensonge, du totalitarisme et de la tyrannie.
Car nous le voyons tous les jours avec la diarrhée législative du monde : les actes humains qui se prétendent justes et bons ne sont généralement qu’hypocrisie et sont mis alors au service de la convoitise et de l’appât.
Donc celui qui réalise l’Instant fait la partie de ceux qui peuvent diriger le Monde car il Est véritablement dans l’Univers et son intelligence ne connaîtra alors que ce qui est à sa portée : « L’intelligence de l’homme ne connaît pas ce qu’elle rencontre, mais non ce qu’elle ne rencontre pas ». C’est-à-dire que l’intelligence humaine est limitée dans sa structure interne. Ainsi elle ne connait que ce qui coïncide avec sa propre structure, mais non ce qui ne peut pas coïncider avec celle-ci.
Seul celui qui réalise l’Instant peut diriger le Monde : Le Vide, la tranquillité, le détachement, l’insipidité, le silence, le non-agir sont le niveau de l’équilibre de l’Univers, la perfection de la voie et de la vertu. C’est pourquoi le roi et le saint demeurent toujours en repos, écrivait Tchouang-tseu (La Voie du Ciel).

Ainsi la mode du sécuritaire héritée de la seconde guerre mondiale et du 11 septembre 2001 entretient le terrorisme, le nourrit copieusement. Tchouang-tseu disait déjà que ce qu’on appelle la prudence ne servait que les bandits... Alors vous pensez, les banques... c’est fait pour être volé, mais c’est plutôt l’inverse par les temps qui court, ce sont elles, en compagnie des États à leur solde qui nous volent, les serfs.

Seul le Vide de L’Instant permet de s’abîmer dans l’harmonie universelle. A ce compte là le mondialisme existe depuis la création de l’Univers !.... Mais absolument pas comme certains politiques et banquiers le comprennent !
 
 
Le mondialisme et son drame : la colonisation rampante ou nouvelle grippe HNX-machin, ou le terrible parasitisme des « civilisés démocratiques »

Le souverain de la mer du Sud s’appelait Rapidement ; le souverain de la mer du Nord s’appelait Soudainement ; le souverain du Centre s’appelait Indistinction. Un jour, Rapidement et Soudainement s’étaient rencontrés au pays d’Indistinction qui les avait traités avec beaucoup de bienveillance.
Rapidement et Soudainement voulurent récompenser son bon accueil et se dirent : « L’homme a sept orifices pour voir, écouter, manger, respirer. Indistinction n’en a aucun. Nous allons lui en percer ». S’étant mis à l’œuvre, ils lui firent un orifice par jour. Au septième jour, Indistinction mourut. (Tchouang-tseu, chapitre 7 : L’idéal du souverain et du roi).
Par cette parabole, on voit de façon lumineuse le danger de la mondialisation !



Qui dit Vérité dit Univers, Un, Unique, Individu.

Alors, y a-t-il plusieurs Univers ? Je suis de ceux qui pense qu’il y a un nombre indéfinie d’Univers, ce qui implique une UNITÉ, même si chaque Univers, comme chaque individu, possède sa propre caractéristique et ses propres lois et dimensions physiques. Pourquoi en serait-il autrement ? Le fait de croire qu’il y a une multitude d’Univers ne date pas d’aujourd’hui, la pluralité des mondes elle aussi doit exister depuis la naissance de NOTRE Univers.
Comme l’explique un chercheur, nous vivons dans un Univers comme dans une bulle de champagne, et évidemment il y a plein d’autres bulles autour... avec plein d’autres Galaxies, etc... et en nombre indéfinie, car pourquoi chercher nous humains à le définir ?
Donc chaque Univers possède sa propre loi, non seulement comme chaque individu, mais aussi comme chaque pays, chaque terrain, qui là encore possède leurs caractéristiques, comme celui qui est né à Paris n’aura pas le même accent que celui qui est né à Marseille ; mais l’Unité reste universelle : un être humain de Paris ou de Marseille... Même chose pour chaque pays ou zones terrestres. Il existe une osmose entre tout : insectes et fleurs, terrains et humains, plantes et terrains, choses de nuit et choses de jours, etc. Jacob Boehme appelait ça les « Signatures ». Et plus il y a de signatures, plus il y a de richesse, donc l’uniformité du totalitarisme de la mondialisation montante, C’EST LA MORT. Et c’est ce que prône Jacques Attali...

Ce que nous appelons « monde visible », le rationnel, la preuve que l’être humain veut à tout prix mesurer, ne sont que les parties reposant SUR L’INVISIBLE. Comme la théorie des Super Cordes, l’être humain trouvera-t-il un « truc » pour unifier sa physique ? (intéraction électromagnétique et gravitationnelle) et si cela est, ne se condamnera-t-il pas à mort ?

La Chute du « Paradis » est bien une inversion, au sens où l’expliquait Jean Coulonval cité plus haut, car le monde actuel et depuis longtemps DORT et fait des CAUCHEMARS.
 
Les trois états d’après Ramana Maharshi (Enseignement 2, du 15 mai 1935) :
- État de veille : corps grossier percevant les noms et les formes eux aussi grossiers car ce sont des conventions.
- État de rêve : le corps mental perçoit les créations mentales sous de multiples noms et formes.
- Sommeil profond : il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions (monde des accidents) ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman [Être suprême, Absolu] met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi.
 
Rêve et veille dans l'absolu sont tous deux irréels.
...
Le Monde est un fait. La réponse est que le Monde est une surimposition sur l'unique Réalité, telle une corde enroulée, qui, dans la pénombre, est prise pour un serpent. La fausse identification cesse dès qu'on nous révèle qu'il s'agit d'une corde. Tandis que le Monde persiste, même quand on sait qu'il est irréel. A quoi cela tient-il ? Prenez l'exemple d'un mirage. L'apparence de l'eau trompeuse persiste, même quand le mirage est reconnu comme tel. Il en est ainsi avec le monde. Bien que l'on sache qu'il est irréel, il continue à se manifester. Mais personne ne se met à la recherche de l'eau d'un mirage pour s'en désaltérer. Aussitôt qu'on sait qu'il s'agit d'un mirage, on reconnait l'inutilité de l'atteindre pour se procurer son eau.
(D'après l'Enseignement 399, du 15 avril 1937)



À l’adresse des Francs-Maçons plus ou moins spéculatifs et travaillant du chapeaux, et à l’adresse des Anciens ergoteurs grecques.

Un début de maîtrise de la Matière.


Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ;
Qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres.
Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique (3), qui les protège par la bonté et les relie par la justice,
Celui-là corrompt leur nature originelle.
Tout état de nature est tel qu’il est ; la courbe naturelle ne provient d’aucun crochet ; la droite naturelle d’aucun cordeau ; le cercle naturel d’aucun compas ; le carré naturel d’aucune équerre.
Ce qui est uni naturellement n’exige ni colle ni laque ; ce qui est attaché naturellement n’exige ni corde ni ficelle ;
Tous les êtres naissent spontanément sans savoir pourquoi ils naissent ; ils ont reçu telles ou telles qualités sans savoir comment ils les ont reçues.
En un mot, l’état de nature est resté invariable depuis l’antiquité jusqu’à nos jours sans que rien n’y manque.
Comment la bonté et la justice censées unir les hommes comme la colle et la laque, la corde et le cordeau, pourraient-elles avoir quelque influence sur un monde régi par le TAO et la vertu ?
Elles ne provoquent que des égarements.
(Tchouang-tseu, chapitre 8, Pieds palmés)

On doit laisser le monde à lui-même et être tolérant à son égard et non le gouverner. On doit le laisser à lui-même afin que les hommes ne s’écartent pas de leur nature innée. On doit être tolérant afin qu’ils n’altèrent pas leur vertu propre. Si chacun ne s’écarte pas de sa nature et conserve intacte sa vertu, est-il besoin d’un gouvernement ? (Tchouang-tseu, chapitre 11, Laisser faire et tolérer).

 
 
 
Notes.
1. L’être humain fait de son intellect des horreurs technologiques qui asservissent l’humanité au lieu de la servir, en voulant singer les forces cosmiques auxquelles il ne comprend rien. Puis il appelle ça « la civilisation », où effectivement depuis le 19è siècle les campagnes se dépeuplent pour grossirent les cités « modernes ».

2.Voir le film : Danse avec les loups, où au début le héros s’expose à des balles de fusil et où aucune ne le touche. Son « temps » n’est pas encore venu, quoi qu’il fasse.
On trouve la même constatation chez l’écrivain Joseph Conrad : Les Frères de la Côte : « Les hommes qui courent au-devant de la mort ne la trouvent généralement pas ».

3. Le rite plie les êtres humains à la discipline sociale. La musique retranche quelque chose dans la pureté de l’être originel.
 
 

Dernière mise à jour : 19-04-2011 01:10

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