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Les Russes sont redoutables et indomptables Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-04-2011 23:06

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Nature, Nucléaire, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Les Russes sont redoutables et indomptables
 
Comme j’ai une origine russe, alors je suis... face à l’Occident et à sa clique d’alliés américano-anglo-saxonne et face aux francs-maçons.

N’ai jamais peur de rien. Il n’existe que la peur de ce que l’autre peut faire, dire, ou penser. Et n’ai jamais peur des Goa’uld.
 
 
 
 
 
Caractéristiques (russes)

Nature de... Personnalité de... Cette personne est une forte nature.
COSAQUE. Le Cosaque ou en Russe KAZAK, KA3ÀK, est naturellement débrouillard.
Habitué à vivre beaucoup en plein air, il est bien préparé à la vie de campagne. La vie de la Steppe lui donne le calme, le sang-froid, le bon sens, l’aptitude à s’orienter, à apprécier le terrain et les distances.
 
Aptitude pour le service de :
1) Sûreté.
2) Reconnaissance.
Cela est dû au goût du Cosaque pour l’action individuelle.
Isolé, le Cosaque est taciturne, au milieu de ses camarades, il est plein d’entrain. Le Cosaque possède des qualités naturelles d’endurance.
Les Cosaques du Don sont les plus importants en nombre.
Le Cosaque est le milieu de la Trinité : PAYSAN, COSAQUE, MILITAIRE.
(D’après le Capitaine NIESSEL “ les Cosaques ” 1898)

Voici les caractéristiques russes, fort bien vues, par Ferdynand Ossendowski, d’après son livre : De la présidence à la prison.

D’abord un rappel : le mot esclave vient du latin sclavus, de slavus « slave », les Germains ayant réduit de nombreux Slaves en esclavage.

On dit aussi que les chants russes étant tristes sont les plus beaux. Indéniablement la Sainte Russie est marqué par le tragique. Le Russe naît avec une « terrible maladie » : la mélancolie, qu’il lui reste a transformer en positif. Rappel : la mélancolie indique le sens de bile noire, humeur noire ; cela faisait la partie des quatre humeurs dont l’excès, selon la médecine ancienne, poussait à la tristesse.
Dès la naissance du petit Russe, comme un lourd fardeau, pèse sur lui les souffles du destin.
L’âme russe, si présente dans le folklore, se révèle dans trois caractéristiques ; c’est chez le Russe qu’on trouve ce proverbe : « Ne dites jamais que vous ne serez pas mendiant ou forçat ».
Une autre maladie est l’Altruisme, ou aussi appelé « service de l’humanité » ; normalement c’est naturel ! Mais on voit ce que font de l’altruisme les Couilles en Or afin d’échapper à l’impôt et autres règlements qu’ils ont eux-mêmes fait voter. Il y a longtemps que l’Altruisme gratuit et naturel s’est évaporé. Et à trop vouloir rendre service on étouffe l’autre. « Vous allez être heureux non de Dieu ! »

Un vrai Russe à qui l’on demande : « Comment ça va ? » ne répondra jamais : « Bien » ou « Mal », mais seulement Nitchevo (Rien), mais en réalité cela signifie pour lui « Comme ci et comme ça », ou « Rien qui vaille la peine d’être signalé ». En fait le Russe se préserve de son côté caché bouillonnant. S’il reconnaissait que tout allait bien, la superstition qui domine son âme lui ferait redouter pour le lendemain quelque forme de châtiment. Et s’il déclarait que les choses allaient mal, ce serait reconnaître ses souffrances et ainsi consolider leur pouvoir. On voit que nous sommes là un peu dans le thème Taoïste... Donc répondre Nitchevo épargne tout sentiment de douleur et de crainte.
Le Russe face à la prière n’est pas comme un fils vers son père, mais évidemment comme un esclave en face d’un tyran : « la puissance divine » ou force omnipotente... Alors on voit que le Nitchevo (le rien, le vide) est proche du Taoïsme et correspond donc au bonheur, mais bien plus : au SOI.
Par exemple un prisonnier disait à Ossendowski : « Ne désespérez jamais, car demain vaut toujours mieux qu’aujourd’hui... ». Et j’ajoute que cela provient de la nature même du pays : de grandes et vastes plaines qui semblent n’avoir aucune limite.
Ce qui rejoins les vastes étendues de sable de l’Égypte :
Ne te précipité pas pour attaquer celui qui t’attaque.
Laisse-le à la divinité,
Car demain est comme aujourd’hui.
C’est lorsqu’il aura mis en pièce celui qui t’a mis en pièces
Que tu rendras compte de ce qu’a fait la divinité.
(Enseignement d’Ani, 21, 14-16)
Le dieu fait la part de la justice,
Quand son [à celui qui t’a agressé] destin est venu se saisir de lui.
(Enseignement d’Ani, fin de 20, 7-12)
Ce n’est pas possible, un Pharaon s’est certainement rendu dans la Russie de l’époque !!!

Pour le Russe, dans les terribles conditions d’existence auxquelles il a été non seulement par les multiples envahisseurs, mais surtout par les systèmes de gouvernement qui se sont succédé, cette mentalité d’esclave, si paradoxale que cela puisse paraître, a été comme un « évangile sauveur », un guide.

La troisième expression caractéristique est Avos.
Si vous demandez à un paysan : « Avez-vous le temps de rentrer votre foin avant l’orage ? »
- Avos, répond-il.
Ce mot indique normalement « peut-être », mais Avos implique l’idée de quelque chose de fatal, chargé d’un profond et dangereux mystère, comme un karma vengeur. Alors Avos est une incantation pour pacifier les Yokaï du coin, donc une formule magique exprimant la dépendance de l’homme soumis à la volonté de puissances inconnues, et pourquoi pas à la « puissance divine ».
La fatalité se retrouve dans l’esprit russe : pourquoi faire des efforts quand le destin accomplira ce qui a été ordonné, ce que nulle influence humaine ne pourra modifier ?

Naturellement, comme dit plus haut à propos d’un bouillonnement caché, le Russe est très facilement affecté par les influences extérieures, comme la grenouille qui indique le temps qu’il fera. L’âme russe souvent rêveuse s’élève et peut être vraiment belle, tout en restant farouche, sauvage car naturelle et spontanée. Là encore on retrouve le Taoïsme.
Un mot prononcé au moment propice peut l’inonder d’une émotion aussi paisible que le calme d’un soir d’automne, ou allumer une flamme ardente, qui fera rayonner une splendeur pourprée.

En Occident on a entendu parlé de l’âme russe : elle a pendant des siècles aspiré à s’exprimer, et jamais n’a été comprise, ni des premiers Varangiens, premiers conquérants de la vieille Russie, qui venaient du Nord, ni des Tartares qui pendant 300 ans courbèrent sous leur pieds le cou des Moscovites, ni des tsars, dont l’origine était à demi étrangère, ni des classes cultivées, étrangères elles aussi, hostiles à la véritable nation qui vivait toujours dans les nuages des vieilles coutumes et des vieilles croyances, ni des chefs juifs bolcheviks, qui n’éveillèrent l’âme russe avec des mots de liberté (style démocratie) que pour mieux la duper, enchaîner la Russie dans l’illégalité, arracher à la nation sa foi en Dieu, dernière lueur d’espoir [ainsi on comprendra que ça pose problème aux francs-maçons actuels], et la précipiter dans un abîme de souffrances, écrivant dans les annales de l’humanité la page la plus tragique de l’histoire.

Confiée aux soins vigilants de la sagesse et de l’harmonie, l’âme russe pourrait surement produire des trésors d’idéalisme et de sacrifice, mais aussi d’inventions ; et c’est cela qui doit faire peur aux pouvoirs Occidental et aux francs-maçons. Mais laissée à elle-même, l’âme russe s’enfonce dans une négativité, poussée par son désespoir et par des aspirations troubles vers des choses dont elle ne se rend pas bien compte elle-même et qu’elle est incapable de cerner.
Cela n’est pas sans rappeler le « candidat » à l’examen, non pas celui qui passe son Bac dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry, mais le candidat à la loupiote, dans les machins pour initiation, genre temple de ceci ou de cela, ou de loge grande ou petiote. Bref, accéder à la PAROISSE, et ceux qui ne serons pas de la paroisse serons ceux qui sont privés de loupiote. Le plus célèbre luminaire est ce pauvre Lucifer (luci et faire = faire la lumière), mais comme pour l’eau et le feu, on pourrait écrire des centaines de volumes avec chacun plusieurs milliers de pages...

RAPPEL :
Quand le TAO est perdu, vient la vertu.
Quand la vertu est perdue, viennent les rites, c’est-à-dire la moralité et la loi.
De même, quand l’innocence est perdue, vient la fraternité.
Quand la fraternité est perdue, vient la notion de justice et d’équité avec tout ce qui s’en suit.

Donc tous les rites et pompes n’ont rien de bon ni de grand puisque ça débouche sur le Grand Architecte ou Grand Administrateur de l’Univers (Satan) et sur les lois et conventions. Alors que penser des rites et vanités maçonniques ? Surtout : qui dit architecte ou administrateur dit POUVOIR, ça tourne (Saturne) toujours autour de ça. Et les francs-maçons osent parler de pureté... genre « proportions irréprochables ». D’ailleurs comment peut-on associer pouvoir et pureté ? c’est comme taper avec un marteau sur un flacon de nitroglycérine...

Et qui dit POUVOIR dit SOMMET (de la pyramide...), avec un œil au-dessus, comme la vigie grimpant au mât du navire pour voir s’il y a une terre en vue. My God ! Et en haut brille le Soleil le jour et la Lune la nuit. Le haut et le bas, la montée et la descente sont des notions terrestres, dans l’espace ça n’existe pas ; tout est une question d’accord, et plus haute et grosse est la pyramide et plus elle « cherche à chatouiller le Ciel » (comme la Tour de Babel). Et qui dit POUVOIR et SOMMET dit ÉCHELONS et ÉCHELLE, ASCENSION ET DEGRÉS, ÉTAGES, ce qui nous ramène à l’Angle de vue ou Thème et Variation :
Je vis quelque chose au loin,
et je crus que c’était un animal.
Je m’approchai, et je m’aperçus
que c’était un homme.
Je m’approchai encore, et je compris
que c’était mon frère.
(Poème Tibétain)

Ils se prennent pour Dieu ou des dieux, comme les Goa’uld : « La Maçonnerie est en vérité " un système de morale voilée dans l’allégorie et illustrée par des symboles ”, mais c’est un système n’ayant point pour base un commandement qui nous aurait été donné, “ ainsi a dit le Seigneur ”, mais au contraire des faits précis et des lois d’ordre naturel au sujet desquels aucun doute n’est possible », écrit C.W. Leadbeater dans : Le côté occulte de la franc-maçonnerie. Mais rien que d’écrire « aucun doute possible » donne naissance au doute... qui est naturel !

Le pauvre Leadbeater ne sait pas comment s’en sortir avec la « race juive » : « L’influence juive a jeté un certain voile sur l’origine égyptienne de la Maçonnerie. Quand Moïse fit connaître aux Juifs la sagesse égyptienne, ils communiquèrent très vite à cette doctrine leur propre couleur. C’est une race remarquable en ce qu’elle assimile facilement, mais qu’elle imprime ses propres caractéristiques sur toutes les idées dont elle s’empare. Ainsi dans le cas actuel les Égyptiens parlaient de la grande pyramide de Gizeh comme de “ la Maison de Lumière ” ou, plus ordinairement, de “ la Lumière ”, mais aux Juifs on apprit à interpréter cette expression comme se rapportant au temple du roi Salomon ». Oui, et qui est ce ‘on apprit’ ?

Les Goa’uld, nos modernes anges et saints de l’Église catholique romaine...
« La religion des anciens Égyptiens offrait une doctrine centrale : c’est que la puissance divine réside en tout homme, même le plus misérable et le plus dégradé, et cette puissance était nommée « la Lumière Cachée », écrit Leadbeater, mais c’est enfoncer des portes ouvertes pour parler du Soi ou Instant ; la Lumière étant le Blanc de l’Instant.

RAPPEL :
Vrai que ce qui nous est parvenu des papyrus ou fresques racontant comment se comporter en société, se regroupe sous le nom de SAGESSE, ce qui ne veut pas dire qu’il faille en faire « toute une salade » comme le fait Leadbeater dans ses ouvrages, expliquant ce qu’il croit pouvoir dire des enseignements de la franc-maçonnerie qu’il connait.
La « Sagesse » ce sont donc des recueils de préceptes pratiques et éthiques, des recettes, constituant un genre littéraire très répandu dans le Proche-Orient ancien, et particulièrement bien illustré dans l’Égypte pharaonique. Cet ensemble de recueils inspira textuellement la Bible des Judaïsants, et surement jusqu’à nos modernes contes pour enfants et adultes. Dix-sept Sagesses nous sont parvenues à travers des manuscrits datant du Moyen Empire (début du deuxième millénaire avant notre ère). Évidemment de ces Sagesses découlent et exposent aussi des points de vue politique.
De là on peut déjà voir une source de la terrible OPINION :
Si à propos de Sagesse on parle de genre littéraire, on entre tout de suite dans l’OPINION, et jusqu’à nous on entre dans l’ignoble « droit d’auteur ou propriété intellectuelle », mais dans l’Égypte Ancienne ça n’existait pas, heureusement ; au mieux les papyrus comportaient le nom du scribe copiste. Donc le mot Sagesse regroupe une littérature d’idées et donc d’OPINIONS. Ces opinions sont cautionnées par le nom de ceux qui les ont émises, ou sont censés les avoir émises, tout simplement (voir les cas du Christ, de Moïse, Lao-tseu, ou de tous autres personnages de légendes). Ce sont des CONVENTIONS cautionnées par ceux qui les ont émises, sans plus de garantie.
Les Sagesses sont donc des enseignements d’idées qui requièrent plus que tout autre genre d’être placées dans la bouche d’un énonciateur particulier. Si on ne peut mettre un nom, cela sera apocryphe (négatif). Alors on voit la notion d’auteur et de « propriété intellectuelle » se pointer avec la notion de VALEUR collé à l’intellect, la notion terrible de MESURE, de JUGEMENT, etc...
Donc les Sagesses étaient destinés à former les fils d’une minorité (l’élite) lettré de la population, qui se confondait plus ou moins avec l’élite politique et dirigeante, et bien-sûr s’opposait à la masse du peuple ou travailleurs manuels. Malheureusement c’est là que commencèrent les pyramides sociales : POUVOIR ET ÉCHELONS :
« Sois soumis aux directives !
Courbe ton dos devant ton chef !
On croirait entendre un Grand Maître Goa’uld, mais c’est tiré de la préface du livre : Sagesses de l’Égypte pharaonique, présentation et traduction de Pascal Vernus. Car à l’intérieur même de l’élite existait toute une hiérarchie avec les dominés et les dominants (actif-passif, positif et négatif, etc.), et c’est le comportement de celui qui est en situation de subordination que les Sagesses définissent.


Pour les Couilles en Or :
« Un mortel, même riche, meurt aussi bien que ceux qui dépendent de lui : seras-tu (toi) un homme éternel ? » (conte de l’Oasien, Égypte ancienne)
Ainsi, pourquoi dépouiller un pauvre ? Comme le font actuellement les Couilles en Or. Un riche n’a, malgré tout, que des besoins limités. Sa clientèle d’esclaves même ne lui coûte pas si cher à entretenir. Il mourra aussi bien que ses esclaves ; alors il n’aura plus besoin de rien...

En espérant que les Couilles en Or occidentales ne feront pas, encore, souffrir le pauvre peuple russe ! (Voir le très possible plan Barbarossa 2 ou 3)
Et si les francs-maçons se prétendent « indomptables », comme l’écrit Leadbeater, les Russes aussi... Et que les maçons plus du tout francs arrêtent de régler sans fin et inutilement leurs partitions, et arrêtent de s’envoyez dans l’œil la pointe de leur compas. Par pitié qu’ils arrêtent leur « puissant rayonnement de l’amour fraternelle »... souterrain...
« Mon frère, pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère et n’aperçois-tu pas la pointe de ton compas qui est dans ton œil à toi ! » On voit déjà qu’une poutre et une paille sont le commencement d’une construction... Luc (Évangile 6-41, Conditions du zèle) était-il franc-maçon ?

Les Anciens Égyptiens ont été endormies non seulement sous des tonnes de sable du désert, mais surtout sous des tonnes et des tonnes de rites et cérémonies à n’en plus finir... et des tonnes de Sagesses à l’adresse bien-sûr d’une élite, franc-maçonnique plus tard. Ça les a étouffés. Ne pas oublier qu’ils étaient à un moment donné quasiment le peuple le plus mystique de la Terre. Si les rites de n’importe quelle religion ne sont pas bons, ou plus bons, alors on voit où cela a conduit les Anciens Égyptiens et nous même. Il y a un problème quelque part ! L’harmonie ne prend toujours pas.
 
 
 
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La OWCL
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Dernière mise à jour : 25-04-2011 00:51

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