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Sans Raspoutine pas de Lénine Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-04-2011 01:48

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Nature, Nucléaire, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Sans Raspoutine pas de Lénine

Le Sabre et le Goupillon (Orthodoxe)
 
 
 
 
Effectivement « Sans Raspoutine pas de Lénine » résumait parfaitement Kerenski, car au début du 20è siècle en Russie le gouvernement était plongé dans un mélange de religion et de sorcellerie satanique ; comme plus tard le cycle se reproduira en variante avec Hitler et ses charlatans et autres Aryens ou Tibétains.
 
Il est connu que lorsqu’un groupe de personnes parlent ou de religion, ou de politique, rapidement ils se « tapent sur la gueule ». Alors introduire la religion dans la politique c’est donner un coup de marteau sur un flacon de nitroglycérine ; beaucoup de rois de France l’avaient bien compris et ils n’ont pas attendus la laïcité des francs-maçons pour séparer les deux pouvoirs : religieux et politique. Mais en ce moment nous en prenons le même chemin avec une montée dangereuse contre l’Islam, puisque celle-ci est en opposition du dogme franc-maçonnique : elle bloque les trois pouvoirs (religieux, politique, économique) au service du divin. On avance l’instabilité de l’Islam, mais toutes les religions sont instables !!! et possèdent divers variations. Il y aura toujours la trinité plus un : fondamentalistes, traditionalistes, modernistes, et les séculiers voulant séparer les trois pouvoirs comme pour imiter les Occidentaux (religion reléguée à la sphère privée).

Adresse de Raspoutine en 1914 :
3 avenue de l’Angleterre
Saint-Pétersbourg
Russie

Téléphone : 64646

Le numéro de téléphone de Raspoutine contient rien moins que trois 6 ! Le 666 serait le nombre de l’épreuve, du travail et de la servitude dans la loi hébraïque, qui ordonnait de travailler pendant 6 jours, d’ensemencer la terre pendant 6 ans, et qu’un esclave serve son maître pendant 6 ans. C’est aussi le chiffre de Néron, sixième empereur. Mais trois fois six égale 18, et 8+1=9, soit le chiffre du Ciel en Chine. Quant au 8 (4+4) il est donné symboliquement comme la perfection, et à l’horizontal il donne le signe de l’infini.

Dans le déclin du régime monarchique en Russie, il n’y a hélas pas que Raspoutine qui favorisa et facilita la prise du pouvoir de Lénine et de ses Juifs bolcheviks, il y a surtout la déliquescence du gouvernement des derniers tsars. Un gouvernement dans une sphère où se télescopent grands-ducs comploteurs et princes travestis, pèlerins illuminés et prostituées des faubourgs, banquiers véreux et politiciens fanatiques, sectes ou sociétés secrètes et services secrets, vanité, etc. Tout ce cirque dans des décors de steppes de Sibérie, des canaux de Saint-Pétersbourg et des coupoles dorées du Kremlin.

« 18 février 1912 : Jamais nous n’avons connu d’époque aussi honteuse. Ce n’est plus le tsar qui règne sur la Russie, mais cette canaille de Raspoutine... Raspoutine se plaint des attaques de la presse, dit qu’il est prêt à partir, mais qu’ici « les siens » ont besoin de lui ». Voilà parfaitement résumé la situation politique du moment par la générale Bogdanovitch.

Raspoutine démocrate.

Il aborde les sujets les plus divers en usant d’aphorismes et d’images. Il a une grande foi dans le peuple russe, et semble avoir une attitude « raisonnable » envers le pouvoir autocratique. Il se disait favorable au rapprochement du tsar et de son peuple sans intermédiaire de la bureaucratie... (selon un riche propriétaire de banque et de journal à succès : Alexis Frolovitch Filippov).

Les « fautes de grammaire » au temps de Nicolas II
Les tendances homosexuelles étaient condamnées à cette époque. Un certain Dimitri Pavlovitch et protégé du tsar, amant de Félix Youssoupoff, le sera plus tard de la célèbre Coco Chanel.

L’amour entre deux garçons s’appelait à l’époque en Russie : faire de fautes de grammaire. C’est typiquement un euphémisme à la mode égyptienne ancienne. Encore une fois je suppose fortement qu’un Pharaon a rendu visite à la Russie.

La pureté selon Raspoutine.

Aller aux bains avec des prostituées après avoir fait la chasse au corps féminin, et ça sans se soucier des agents secrets qui le suivent continuellement.
Ce qui ne l’empêche pas de jouer les illusionnistes en faisant quelques « miracles » : par exemple sauver la vie d’Alexis, héritier du tsar Nicolas II, quand à l’automne 1912 il fut victime d’une hémorragie secondaire provoquant une infection généralisée. L’année précédente il eut une hémorragie rénale. Voir sur le Wikipédia le récit horrible de son massacre par les Juifs bolcheviks, dont Iakov Iourovski.

Donc la foi de l’entourage du tsar en Raspoutine aura permise se sauver plusieurs fois Alexis. Chose que les médecins de l’époque n’arrivèrent pas à comprendre. Médecins qui condamnèrent Alexis, alors que Raspoutine disait que ça s’arrangerait avec l’âge.

Les filles de Raspoutine.
« Une force sibérienne sauvage se dégageait de leurs larges visages pâles aux lèvres épaisses et colorées... Leurs corps puissants sentant la sueur faisaient éclater leurs robes de petites filles en fin cachemire ». Barbara avait 13 ans, et Matriona 16. Matriona avait un visage blanc, large, un menton proéminent et un front bas qui surplombait des yeux gris et moroses... elle secouait la tête d’un mouvement impatient pour chasser de ses yeux une frange trop longue... Elle passait le bout de sa langue sur ses épaisses lèvres rouges vif, à la façon d’un carnassier ».


Décadence sur décadence.

Alix, femme de Nicolas II, cesse d’aimer le premier ministre parce que celui-ci a conseillé à Raspoutine d’aller se faire voir ailleurs alors que c’est un « homme de Dieu ». La tsarine testait en fait ce nouveau premier ministre pour savoir s’il adhérait à ses idées, s’il était « des nôtres ».
Ce ministre qui s’appelait Kokovstev, décrit ainsi Raspoutine : Je suis resté onze ans dans l’administration pénitentiaire centrale... et j’ai eu l’occasion de voir tous les bagnes, et parmi les vagabonds sibériens d’ascendance inconnue, il y a tous les Raspoutine qu’on veut. Tout en se signant, ils sont capables, toujours avec le même sourire, de vous prendre par la gorge et de vous étrangler ».

Raspoutine qui appelait la tsarine « Maman » compris qu’il fallait tout faire pour virer le premier ministre : « Le renvoi de Kokovstev eut lieu sous la pression tenace et très ingénieuse de Raspoutine, lequel avait le don, au détour d’une conversation, de caractériser la personne haïe par une petite phrase ou une épithète bien placée, qui produisait un effet magique sur une faible personnalité ou arrogante, notamment la tsarine ».

Les banquiers se rapprochent de Raspoutine : Pavel Bark, 43 ans, enfant chéri du jeune capitalisme russe. Ce fut un haut fonctionnaire du ministère des finances qui quitta ce poste pour devenir directeur général de la banque Volga-Kama, où évidemment il pût mettre à profit ses anciennes relations au gouvernement. Puis il abandonna sa banque pour revenir au gouvernement. On a l’impression de vivre la même chose dans la France de Sarkozy. Sous Kokovstev, Bark était devenu vice-ministre du Commerce et de l’Industrie. Raspoutine « sentait bien » Bark (intuition divine...), aussi le fit-il nommer ministre des finances. Ce Bark devint le protégé des puissantes banques, qui allait gérer les finances d’un pays encore beaucoup dans la féodalité (85% de paysans).

Portait de Raspoutine par une femme qui le côtoyait de près.
« Trapu, d’une largeur d’épaule inhabituelle, il portait une longue chemise avec une ceinture framboise, un pantalon anglais à rayures et des pantoufles à carreaux avec des revers... Peau sombre et ridée... Cheveux séparés au milieu par une raie approximative et barbe assez longue presque uniformément blond foncé... S’approchant à ma toucher, il prit ma main et s’inclina devant moi, Je remarquai son gros nez grêlé... Puis il planta dans les miens ses petits yeux clairs, profondément enchâssés au milieu des rides. Dans celui de droite apparaissait une petite excroissance jaune... Une force désagréable et sauvage émanait de ses yeux. son regard était insistant, ses yeux clignaient rarement, et ce regard fixe et magnétique était troublant... »

Raspoutine le sataniste et le sadique - Forniquez, il en restera toujours quelque chose !

« Ne te fie pas aux popes, ils sont bêtes, ils ne connaissent pas le mystère dans son entier... [note : à la façon des francs-maçons et de leur degrés] Le péché nous est donné pour que nous puissions nous repentir, et le repentir, c’est la joie pour l’âme, la force pour le corps, tu comprends ? Ah, toi ma douce, ma petite abeille de miel... Le péché, il faut le comprendre... Sans péché, il n’y a pas de vie, parce qu’il n’y a pas de repentir, et sans repentir, il n’y a pas de joie... Tu veux que je te montre le péché ? Jeune la semaine à venir et viens me voir après la communion, quand le paradis sera dans ton âme. Alors je te montrerai le péché... »
Étonnant, pas une fois, c’est le cas de le dire, il n’est question de FOI !

Un autre « péché » pour la route : « Ne craignez jamais de libérer les prisonniers et de faire renaître le pécheurs à la vie juste. Les prisonniers à travers leurs souffrances... sont plus hauts que nous à la face de Dieu ».
Raspoutine emploi un double langage ou d’un ésotérique vérolé, par exemple en parlant de ses amies : « Là-dedans il n’y a pas de péché... Ce sont les gens qui ont inventé ça... Regardez les bêtes sauvages. Est-ce qu’elle connaissent le péché ?... Dans la simplicité est la sagesse. Ne sèche pas ton âme ». Le plus terrible c’est qu’il dit juste à propos de simplicité. Alors il n’est pas étonnant que des jeunes filles pures et innocentes le prennent pour un saint : « Il rend tout saint », et ces jeunes filles de demander qu’on ne le tourmenta pas, et de lui céder, « car avec lui il n’y a pas de péché ».
L’ambiguité est terrible !!!
Il est vrai que la pureté brûle ! C’est bien pour ça qu’on brûlait des gens pour les purifier...

Maintenant il faut savoir que la décadence a commencé au moment de la guerre de la Russie avec le Japon puis avec la révolution de 1905 avec le tragique Dimanche Rouge où l’armée mitraille la foule. Déjà à cette époque le tsar était entouré d’incapables : par exemple en Chine ou en Manchourie les officiers qui établissaient les cartes d’un territoire donné demandaient à ses habitants comment s’appelait la commune. Ils répondaient : Pu tung te (Je ne comprends pas), répondait Chinois et Mandchou, l’un et l’autre dans cette région, parlant la langue mandarine. Et les officiers inscrivaient sur la carte le nom du village : Putungte. Cela se reproduisit si souvent que la carte d’état-major fut couverte d’un réseau de villages et de hameaux portant le nom de Putungte, créant ainsi des confusions dont les chefs militaires ne purent jamais venir à bout. Plus tard les plans de défense étaient incomplets et des pièces d’artilleries lourdes n’avaient pas encore été mises en position. Le gouvernement russe et les autorités locales, civiles et militaires, ont préparé de leurs propres mains l’immense désastre national de Mandchourie et le châtiment, en plus de celui de Raspoutine, vint quelques années plus tard avec le révolution des juifs bolcheviks - « châtiment qui tomba cependant beaucoup plus lourdement sur la nation tout entière, innocente pourtant des crimes de son gouvernement », écrit lucidement Ferdynand Ossendowski dans son livre : De la présidence à la prison.

Un autre exemple d’incapable : pendant la guerre avec le Japon on raconte que le général comte Stackelberg avait sa femme auprès de lui, qu’il ne quittait pas son wagon spécial les jours où il faisait chaud, que des équipes de soldats étaient continuellement employées à arroser de seaux d’eau la toiture pour maintenir une température fraîche, et q’un autre wagon était aménagé en laiterie... Aussi ne fallait-il pas espérer de grandes victoire d’un tel chef... Quand les Japonais eurent mis ses troupe en déroute, le comte s’échappa avec difficultés et rejoignit une autre armée.

Dans d’autres cas de décadence ou plutôt d’imbécilités, certains commandants de corps d’armée avaient le cœur léger, envoyé à une mort certaine des milliers d’hommes, tout simplement pour pouvoir télégraphier au grand quartier, et de là à Saint-Pétersbourg, des rapports détaillés de batailles sanglantes, dans l’espoir de recevoir de l’avancement et des décorations.

La politique impériale de Saint-Pétersbourg (un mondialisme à la russe) colonisa de force les Polonais, les Lettons, les Estoniens, les Finlandais, les Tartares, les Arméniens, les Géorgiens, les kirghiz et d’autre peuples qui avaient été dépouillés de leur nationalité et traité sans aucune considération.
Beaucoup de gens commençaient sérieusement à détester le tsar et son gouvernement remplit d’incapables. La police politique agissait partout, les arrestations, les sentences de bannissement, les condamnations à mort devenaient quotidiennes. C’est à cette période que fut créé la Douma pour doter le gouvernement d’une forme parlementaire.

Bien-sûr cela ne plut pas aux réactionnaires, lesquels formèrent « Les Cent Noirs », un mélange d’aristocrates les plus influents, de chefs religieux, et de criminels sortis de prison ! et toute une racaille formée de la lie de la société des grandes villes, écrit Ossendowski. Cet organisme voulait détruire le Parlement, mais c’était aussi sont œuvre !!! Elle accusa les éléments non russes, y compris les Juifs, d’avoir des idées révolutionnaires et de les répandre dans le pays. Il s’en suivit des pogroms dont celui de Tomsk, le 20 octobre : 1200 personnes périrent dans un théâtre, ceux qui parvenaient à s’enfuir dans la rue furent rattrapés, assommés, tués à coups de revolver ou jetés dans la rivière.

Un confrère de Raspoutine, l’évêque Makari, aussi fils de paysan sibérien, persécutait tous le nouveaux courants de pensée dans l’Église ou la société. Il s’était fait une réputation en christianisant les indigènes de l’Altaï qu’il commençait par enivrer d’alcool et baptisait ensuite alors qu’ils étaient inconscients. Après le massacre de Tomsk, il obtint un avancement rapide, jusqu’à ce qu’il attire la haine de la tsarine, cet évêque et d’autres dignitaires voulurent forcer la tsarine à divorcer...

La technique de libérer des prisonniers pour fomenter un début de révolution ne date pas de 1905 ou 1917, mais elle fut employée aussi en 1789 ! Mais la révolution bolcheviks de 1917 à ceci de particulier qu’elle fut l’œuvre des bolcheviks dont certains étaient des criminels notoires

(Référence au livre de Edvard Radzinsky : Raspoutine, l’ultime vérité ; et à Ferdynand Ossendowski : De la présidence à la prison)
En haut de page : Staline le tsar rouge, de sang.



Troïka franc-maçonnique pour s’accaparer le pouvoir :
« Il est des notre » ou « Notre ami » :
- Infiltration.
- Neutralisation.
- Déviation ou recomposition.
C’est quasiment l’Œuvre alchimique : Putréfaction, Solution ou Sublimation, Conjonction ; mais appliqué complètement à la matière, au collectivisme, à la colonisation du peuple.



La Maçonnerie par Ploncard d’Assac. Attention : on en prend et on en laisse... En résumé, c’est toujours le drame et le paradoxe de l’individuel et du collectif. Comme le dit Ploncard d’Assac, l’Islam vient du Judaïsme, mais le christianisme aussi ! et toutes  trois découlent du berceau de l’Égypte ancienne... On va chercher les sources où l’on peut, y compris chez les extraterrestres...
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 24-04-2011 02:27

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