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Les Grecs inventent le pouvoir du peuple Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-05-2011 22:28

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
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Les Grecs inventent le pouvoir du peuple

Ils appellent ça la « démocratie ». Il paraît que ça repose sur le dogme de l’égalité et que ça représente la liberté !!! Qu’ils sont menteurs ces ergoteurs grecs. Le « pouvoir au peuple » est la plus vaste escroquerie de tous les temps !

En tous cas, ce mot « démocratie » est aussi contagieux que n’importe quelles variations de la Grippe.
 
 
 

Plus de 5000 ans qu’existe le dilemme entre : gouvernement par le peuple, ou par un individu,  ou par un groupe d’individus ! Le système et aussi religion du communisme à la soviétique s’inspire carrément du système sociétal des Incas au Pérou : un État patriarcal à la puissance 10 par rapport au Petit Père des peuples Staline : pas de monnaie, rien qui ne méritait le nom de « propriété » ; impossible d’exercer un métier, d’exercer un travail, ni aucun amusement, autres que ceux que la loi avait spécialement réglés. En résumé, le fait d’agir librement de tout être humain était annulé au Pérou. Ainsi au Pérou, l’homme ne semblait fait que pour le gouvernement, alors que cela aurait dû être l’inverse ; et en Union soviétique Staline était bien qualifié de « Petit père des peuples », donc comme au Pérou, l’être humain n’était fait que pour Staline et ses pères Lénine etc.
 
Depuis 1789 on voit bien que le « pouvoir au peuple » est un vaste et terrible mensonge. Dans la durée, ce qui a le mieux fonctionné, PARCE QUE NATUREL, ce fut la royauté.
Le conventionnel s’étant catalysé à l’époque de la Renaissance avec l’invention de l’imprimerie, de quelques autres technologies comme la lunette astronomique, et par l’extension des voyages en mer et la re-découverte de « nouveaux » continents, ce qui amena l’ethnocide de nombreux peuples du Soleil (Incas, Mayas, etc.), finit par nous donner LE GOUVERNEMENT REPRÉSENTATIFS, les « représentants » représentent le peuple ! C’est donc une CONVENTION. La personne qui représente le peuple rend présent ce qui n’est pas effectivement présent (l’unité politique du peuple) : c’est une CONVENTION, comme une pensée sur une autre pensée masquant l’ORIGINE, la SOURCE. Bref, de l’artificiel, ce que n’était pas la symbolique du roi. Donc le peuple n’est unifié seulement que par la médiation d’un individu ou d’une instance qui lui sont extérieurs.

Donc un gouvernement représentatif est totalement BANCAL, car l’élu est par définition du sens du mot, un « aristocrate » (sens du meilleur), mais sans noblesse depuis 1789, et il ne peut pas représenter le peuple puisque il ne lui ressemblera pas, pour la bonne raison qu’il ne pensera pas et n’agira pas pareil... C’est pour cela que les partisans du gouvernement représentatif et les plus attachés aux principes du gouvernement par le peuple préconisaient la pratique des mandats (charge, fonction donnée par une personne à une autre pour qu’elle la remplisse en son nom), et des instructions... Ces gens réclamaient des « contraintes légales » pour adoucir l’aspect aristocratique.

Ne jamais oublier que pour le rationaliste, le libre penseur, le démocrate façon 20è siècle, le cordon ombilical ne peut jamais être coupé entre l’opinion, qu’il érige en dogme, et la vie, ce qui donnera des CONVENTIONS. Car pour lui, l’acte de penser (l’intellect) est le sommet ultime des manifestations de la vie : « Cogito, ergo sum ». La libre pensée née avec la Renaissance et le besoin d’étudier la matière selon des disciplines intellectuelles autonomes et libérées des « suggestions » de la théologie chrétienne et de la métaphysique (on rationalise), a effectivement conduit à la liberté des opinions personnelles (début de l’égalité) et à la révolution de 1789. Mais, en prenant le pouvoir politique, elle se niait du même coup. Elle est obnubilé, paralysé dans le consensus social les prises de conscience métaphysiques, ôtant ainsi tout principe de stabilité dans le gouvernement politique, principe qui jusqu’alors, résidait dans L’ESSENCE MÉTAPHYSIQUE DU POUVOIR ROYAL (1), et dont la prise de conscience s’était éteinte de plus en plus depuis la Renaissance, même chez ses détenteurs (voir Louis XIV). La révolution de 1789 a été ainsi, tout à la fois, l’accouchement d’un processus commencé avec la Renaissance et le début de temps nouveaux.
En triomphant, la libre pensée signait sont arrêt de mort, car il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Le pouvoir au peuple est un immense mensonge, et les régimes d’Assemblée, si subtile que soit leur dosage, n’ont pu tenir que parce que les sociétés secrètes exerçaient occultement, en usant habilement de tout le clavier des appétits économiques des individus et des groupes, le pouvoir métaphysique qui avait été abandonne par la royauté officielle.
Ils n’ont pu tenir qu’en identifiant dans les consciences, par un jeu subtil d’institutions légales et de systèmes éducatifs (le franc-maçon Jules Ferry), le politique avec l’économique. Le pouvoir proprement politique, c’est-à-dire légitimé  par la connaissance de qu’est l’être humain en soi, sur le plan métaphysique où il trouve sa définition, a continué à être exercé très consciemment mais occultement, par les sociétés secrètes.
Je fais référence à Jean Coulonval et à son livre : Synthèse et Temps Nouveaux, en ajoutant que Bernard Manin, dans son livre : Principes du gouvernement représentatif, ne parle pas de la franc-maçonnerie.

Mais alors, et le ROI, il représente aussi le peuple ! Le Roi est le CHEF DE LA TRINITÉ : le Ciel, l’Homme, la Terre (en Chine). Il est bien un RÉGULATEUR entre la source du domaine cosmique et le vulgaire domaine social. Le Roi est le naturel représentant de l’univers, le seul habilité à le représenter, choisit par la reconnaissance de son peuple. Au Japon l’empereur est le descendant direct de la Déesse du Soleil.
Le Roi est le seul symbole possible permettant l’équilibre et l’harmonie du monde. Le Christ-Roi l’a été par la présence des Rois-Mages, représentants de la tradition primordiale. Si le Roi est est l’ORIGINE, il est aussi MAÂT, la déesse égyptienne de la justice, avec sa plume sur la tête. Le roi celtique est par exemple élu par des nobles, parmi les représentants de la classe militaire, mais attention ! sous la surveillance et la garantie religieuse des Druides.
Le BLANC est bien la couleur de l’INSTANT, de l’ORIGINE, la Source, le Soi. Le Roi de par son origine naturel et sa fonction a pour couleur symbolique le Blanc. Il ne combat pas puisqu’il est la Source, mais sa présence est nécessaire : on ne gagne pas une bataille sans roi ; mais son rôle n’est jamais militaire, comme pour Pharaon, le Roi assure la PROSPÉRITÉ de ses sujets (les gouvernés, et nous sommes tous les gouvernés de l’hydre républicain. Comme les rayons du Soleil le Roi DISTRIBUE et ne prend pas, sinon il est le mauvais roi qui lève des impôts pour faire des guerres et s’enrichir lui et sa famille. La mauvais roi déchu finit toujours horriblement : brûlé, noyé, tête coupée, empoisonné, pendu, fusillé et sa maison ou palais incendiée.

- IMPORTANT : alors avec ses représentants du peuple, le gouvernement représentatif entre bien dans la FAUSSETÉ de l’inversion entre UNIVERSEL et GÉNÉRAL. La république n’a pas comprise que sans roi elle ne peut pas durer. Cette république qui singe le spirituel (Mithra) en se couvrant d’un bonnet phrygien pour ne pas attraper froid et pour rappeler l’esclavage par l’Empire Romain, Empire dont s’inspire portant les États-Unis. Mithra : une religion militaire où les femmes ne furent jamais admises aux rites initiatiques... Donc l’universel du suffrage du même nom repassera. Les franc-maçons se disent originaires du culte de Mithra (entre-autres). Dans ce culte on y entend déjà le mot « terroristes » : les ennemis de leur culte... C’est de la que vient le sens de « fraternité » : tous unis contre les « terroristes », ou les « brigands » de 1789, ou les « ennemis de la liberté » de Saint-Just, ou les « ennemis du peuple » de Joseph Staline.

Il y eut un précédent à la chute de la royauté en 1789 : dans la Gaule du premier siècle avant notre ère, la royauté était moribonde, l’anarchie à son comble, parce que le Roi représente tout, et que s’il lui arrive un accident, par exemple la perte d’un bras (Roi Nuada), il ne peut plus régner, sauf à se faire mettre une prothèse en métal symbolisant son bras perdu ; alors que sous l’Empire romain, on faisait porter la faute et les interdictions sur les REPRÉSENTANTS, comme par exemple les prêtres, fusibles protecteurs entre le Roi et le peuple.
Le Roi possède les deux trois pouvoirs : spirituel, politique, économique ou temporel. Idéalement il ne devrait pas régner plus d’une saison (un an) renouvelable un maximum de deux fois dans sa vie.


Le monde est dirigé par le dogme de l’égalité (fausse), puis par le fric, le cul, et la maintenant le plus important : la TECHNOLOGIE (« maîtrise de la Nature ») ; alors que l’être humain FAIT PARTIE DE LA NATURE et qu’il n’est pas capable de se maîtriser lui-même, de se CONDUIRE LUI-MÊME. Tragique.

La course à la « maîtrise de la Nature » se retournera naturellement contre l’être humain ne jurant que par le matérialisme.
Je ne sais pas comment les Anciens Grecs comprenaient le mot LIBERTÉ, mais son vrai sens est que TOUT EST LIÉ, et encore une fois NOUS SOMMES LA NATURE. Quant au mot ÉGALITÉ, il ne doit pas se comprendre par l’horreur géométrique mode binaire (2) à la Aristote, mais passe par par la connaissance de chacun. Voilà la véritable égalité, car il y aura toujours des êtres avantagés par la Nature (comme une plante poussant au soleil et une autre dans un endroit moins ensoleillé), par leurs activités et leur entourage, par leur personnalité.

Les mots : liberté, égalité, sont autant de pièges à cons que le mot UNION, dont les soviétiques s’emparèrent. Le mot SOVIET fait aussi la partie du thème gouvernement représentatif : le Soviet est le Conseil de délégués ouvriers et soldats en 1917, puis ensuite la Chambre des représentants de la nation, tout comme en France et aux USA ! Qui ne veut pas l’Union !? Adolphe Hitler voulait l’union de la Droite et de la Gauche, fracture ouverte à la révolution de 1789, nous en subissons le résultat : une guerre permanente depuis 1945 !!! La préparation du Nouvel Ordre Mondial (NOM) vient bien de 1789 !



Notes.
1. Précision importante sur le Roi : il représente une projection du moi supérieur (le Soi de Ramana Maharshi), un idéal à réaliser (le Soi). Malgré tous ses efforts sincères aucune république ne peut représenter cela. Le Roi n’a plus dès lors aucune signification historique (politique) et cosmique ; il devient une VALEUR morale et psychologique. Son image concentre sur elle les désirs d’autonomie, de gouvernement de soi-même, de connaissance intégrale, de CONSCIENCE. Le Roi figure le type de héros, le Saint, le Père,le Sage, l’archétype de la perfection humaine, et il mobilise toutes les énergies spirituelles pour se réaliser. Bien-sûr dans sa phase de déséquilibre cette harmonie peut basculer et le roi devenir un tyran, expression de la cacophonie de la puissance de la volonté mal contrôlée.

2. La géométrie déductive constituait l’apanage des mathématiques grecques et eut une profonde influence sur la philosophie hellénique. Sa méthode, consistant à partir d’axiomes (vérités indémontrables, donc PRISON-OPINION) pour en déduire des théorèmes par l’intellect et donc la logique, devint caractéristiques de la pensée philosophique grecque ; la géométrie était par conséquent au centre même de toutes les activités intellectuelles et formait la base de la formation philosophique. Pas de place au hasard et à la probabilité que les Grecque ignoraient par la force des choses, ce qui fait penser à une société totalitaire : celle du « pouvoir du peuple »... On dit que la porte de l’Académie de Platon à Athènes portait l’inscription : « Que nul n’entre ici s’il n’est géomètre ». Ainsi les Grecs croyaient que leurs théorèmes mathématiques étaient les expressions des vérités éternelles et immuables du « monde réel », et que les formes géométriques étaient les manifestations d’une beauté absolue. Ils considéraient la géométrie comme la combinaison parfaite de la logique et de la beauté, et la croyaient ainsi d’origine divine. De là l’adage platonicien « Dieu est géomètre ». (Référence à Fritjof Capra : Le Tao de la Physique).
La philosophie orientale, à la différence de celle des grecques, a toujours soutenu que l’espace et le temps sont des constructions du mental. Les mystiques orientaux les considèrent comme les autres concepts intellectuels : relatifs, limités et illusoires. (Voir Ramana Maharshi)

Les Grecs ont tout copié la géométrie chez les Anciens Égyptiens et l’ont interprété et adapté à leur manière.
A. Fournier des Corats dans « La proportion égyptienne et les rapports de la Divine Harmonie » (Éditions Vega, 1985), après des études sur les propriétés du nombre d’or et la série de Fibonacci, il consacre la majeure partie de son ouvrage aux « rapports de la Divine Harmonie ».
Ces rapports sont issus du carré, de la diagonale déterminant phi et du partage de cette diagonale en moyenne et extrême raison. A. Fournier des Corats applique cette théorie au temple de Karnak. Cependant, il reconnaît « qu’il démontre là un principe et que d’autres chercheurs pourront confirmer ce résultat en ayant en main les éléments indispensables ».

Document pdf CNRS intéressant, du Centre Franco-Égyptien d’étude des temples de Karnak Louqsor (Égypte), par Jean-François Carlotti.
 
 

Dernière mise à jour : 23-05-2011 00:44

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