Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Quittez la Geôle et le Goupillon
Quittez la Geôle et le Goupillon Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-06-2011 22:28

Pages vues : 8097    

Favoris : 36

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
Free Image Hosting at www.ImageShack.us
 
 
Quittez la Geôle et le Goupillon

ou : Quittez la Loge (franc-maçonnique de Londres, matrice de la religion maçonnique universelle) et la Fille ainée de l’Église.

ou : Quittez l’Élysée et le Vatican.


ou : Quittez les États-Unis et le judaïsme.


ou : Quittez le « on existe » car « ON N’EST PAS » (1)
 

Le libéralisme ce n'est pas la libération de l'Homme mais la libération de tous ses vices.
 
En résumé ça veut dire quitter la république façon socialiste franc-maçonnique. Le drame du monde actuel : le dilemme individualisme-collectivisme. Un jugement à la Salomon est le bienvenu.
 
On ne risque rien en pensant à l’Unité, la monade, dont se composent les sept dimensions comprenant le VASE, et son CONTENU.

L’ennemi de la liberté comme disait Saint-Just, c’est l’être humain actuel en train de se sécuriser, de s’enfermer dans un cocon se robotisant à la vitesse grand V. Les êtres humains deviennent inexorablement MÉCANISÉS, et non plus matérialistes. Ceux qui croient pouvoir échapper à cet enfer démocratique et républicain, grâce à leur intelligence, sont vite rattrapé pour être replacé dans le troupeau, et on leur offre un travail pépère bien payé dans un bureau ou un grand laboratoire, ou dans le NSA ou dans une armée quelconque, ou au pire dans la politique.
 
La mode du sécuritaire c’est le DORG (Demain On Rase Gratis) : bientôt une soi-disant « immortalité » pour quelques élites et Couilles en Or ; le DORG c’est aussi le dogme de l’évolution implanté depuis Darwin, le dogme du bien étouffe-chrétien et de l’amour sentimental, ce que Jean Coulonval dénonçait, car rien n’est plus trompeur que les manifestations extérieurs du sentiment. (Voir l’histoire du bon larron et de Judas le disciple). L’être humain ne vaut qualitativement que par le cœur, qui n’est nullement le sentiment (1).
Le DORG c’est évidemment la CULTURE allant parfaitement avec le confort, le sécuritaire, bref, les jeux du cirque d’antan remplacés par nos modernes technologies médiatiques de distraction des masses pour mieux les contrôler. La masse, les salariés, les prolétaires et ouvriers, ceux qui ne pensent pas, mais n’ont qu’une psychologie, des formes particulières de réactions mentales ; et la notion de « philosophie », en tant que forme de pensée qui existe « en soi », ou tout au moins se vit comme effort vers la possession du « vrai en soi », libéré des suggestions de la sensibilité, leur est totalement étrangère. Alors la masse des salariés et des ouvriers sont la proie rêvée et la meilleure matière première pour les politiques qui pratiquent le viol des foules, qui en connaissent la musique et savent utiliser tout le clavier des moyens sensibles en vue de déclencher les réactions psychiques et mentales dont on a besoin. Évidemment cette malléabilité n’est pas spéciale aux prolétaires, les « intellectuels » sont très largement des « êtres fabriqués », mais elle les caractérise éminemment.
 
Free Image Hosting at www.ImageShack.us

Ce n’est pas un hasard où encore une fois la catastrophe actuelle prend sa source, en grande partie, à l’époque de la Renaissance, des Conquistadors, et de l’invention de l’imprimerie, on invente la notion d’HUMANISTE : l’adoration de soi-même, ce qui donnera au 20è siècle les existentialistes de Jean-Paul Sartre (voir plus bas l’invention de l’humanisme). Alors le seule but deviendra matérialiste, qui nous donnera la société de consommation. Le FAUX, LE VIRTUEL (2) et le CONVENTIONNEL, L’INVERSION, prennent leur ampleur à la Renaissance pour exploser à la révolution de 1789. L’humanisme de la Renaissance avec l’apport de technologies naissantes, puis ensuite le funeste siècle des lumières enlève, lève au dehors la spiritualité de l’être humain.
L’être humain actuel prend rapidement le chemin de la robotisation, avec dans un premiers temps l’INTERCONNEXION totale et donc le Big Brother effectif ; c’est indiscutable.

Indiscutable aussi que nous allons droit vers un monde communiste, les juifs bolcheviks de 1917 auront gagnés. Car le prochain mondialisme et totalitarisme étouffera la personne, ce qui est déjà fait rien qu’avec la carte nationale d’identité et autres numéros et passes de sécu-machin, et le capitalisme étouffe déjà très bien l’être humain, la personne, car comme le marxisme ils prétendent faire accéder la personne, par descentes vers le bas, à cette spiritualité renversée qu’est la mystique marxiste-léniniste. C’est cela que signifie la dictature du prolétariat : tout le monde passe par « la même soupe pour tous », donc une impersonnalité spirituelle avant d’accéder par descente vers le bas à la foi marxiste, qui confère à nouveau, une fausse personnalité, comme une renaissance, mais dans un sens inverse, comme sentiment d’être une « cellule », au sens biologique, d’une humanité divinisée.
1789 puis le marxisme ont réellement commencés à l’époque de la Renaissance.
Le dogme de l’évolution est totalement attaché à la dialectique matérialiste : l’Homme né de la matière. Que cette doctrine s’écroule, et le communisme se dissout ! Et avec lui le capitalisme, car le communisme s’appuie obligatoirement sur le capitalisme, il suffit de voir la véritable industrie qu’était le Goulag : un capitalisme d’État (totalitaire).

Bien-sûr l’humanisme, encore une prison du « isme », fait partie du DORG : démocratie, égalitarisme, droits de l’Homme, « progrès », technologie, etc. Le « isme » connote un système de pensée, l’adhésion à une certaine conceptualisation de la totalité de l’existant (une universalité conventionnelle), un système du monde, et que l’immense majorité ne pense pas. ils sont la proie des sensations et des médias, du monde du sensible. Bref, la dimension métaphysique de l’Homme échappe au plus grand nombre.  Toutes conséquences de la libre pensée de la Renaissance donnera le dogme de l’OPINION. Comme la guillotine de 1789, la démocratie fait le même travail : plus d’aristocratie, dans le vrai sens de ce mot qui indique : le meilleur, et la force ; meilleur devant se comprendre au sens qualitatif : de l’Esprit. Ainsi comme la démocratie a coupé les têtes des aristocrates, le peuple n’a plus de repère et de protection, et encore moins de racines. Le peuple n’a plus DE VRAIE FOI, qui comme la Vérité n’a pas à être défendue ! Elle est invulnérable par nature. Elle n’a pas à se défendre contre elle-même. C’est pourquoi personne n’est moins dogmatique que le vrai mystique.

L’intellect qui rayonne à partir du Verbe ne connaît virtuellement aucune contrainte. Mais personne n’est plus sectaire et censeur qu’un libre penseur rationaliste qui ne connaît que l’opinion, comme un athée, un marxiste, un anarchiste, parce que toute idée tenue pour « vérité », à tort ou à raison, constitue un dogme et en joue le rôle. Or, les opinions, si proches qu’elles soient, sont toujours contradictoires par quelque côté ; elles ne peuvent être tenues, légitimement, que pour des hypothèses et travail analytique de la pensée, sans oublier que la synthèse n’est en aucune façon un jeu de puzzle qui consisterait à emboîter l’un dans l’autre tous les résultats analytiques. C’est pourtant cette erreur qui conduit à la confusion du général et de l’universel.

L’humanisme est une arrogance de l’être humain qui croit pouvoir établir sur sa planète des conditions indépendantes des lois cosmiques. Encore une fois : IL SE COUPE AINSI DE LA NATURE, alors qu’il EST la Nature. C’est exactement la même chose que la connaissance par l’Homme de sa nature humaine, laquelle ne peut pas être une science puisque toute science naît d’un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l’Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l’Être et de l’existant, il est dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait extérieur. C’est géométriquement impossible. L’HOMME EST LA NATURE. Il n’a pas à être humaniste, écologiste et autres conneries. Comme l’Homme EST la Nature, il n’est QUE DE PASSAGE SUR CETTE TERRE et doit ranger et nettoyer avant de partir.

L’humanisme commence au 13è siècle où on tente à développer systématiquement et donc conventionnellement la notion de sens littéral, qui interdit de plus en plus de « lire entre les lignes ». C’est donc le début de notre moderne binaire informatique et du rationalisme façon siècle des lumières et autres modernes encyclopédistes tueurs.
Tueurs car on commence à se COUPER DE LA NATURE, en faisant la distinction entre le littéral par rapport au spirituel, et du naturel par rapport au merveilleux. Il faut savoir que durant le Moyen-Âge, selon quelques chercheurs, il n’y avait pas de règles pour définir [le sens littéral], pas plus qu’il n’y avait de règles pour établir le texte, la syntaxe notamment était totalement libre.
Les humanistes de la Renaissance se présente donc en Inquisiteur et maîtres à penser. Ils consacrent tous leurs efforts à établir minutieusement la forme verbale des textes, à corriger les textes existants pour retrouver « l’original ». On commence a trouver que seules les Écritures ont un double sens, alors que nécessairement tout est symbolique et à double ou multiples sens ! Donc on en vient à coller des étiquettes et à dire que le sens spirituel est l’affaire de la théologie. ON DIVISE, on occidentalise.
Évidemment Luther est un des killers responsables de ces divisions et coupures d’avec la Nature. pour lui les textes antérieurs de ses prédécesseurs sont des fantasmes, des extrapolations qui sont là pour étayer les « dogmes de l’Église ». Alors le terrain est prêt pour le protestantisme (encore un « isme »). Mais nous savons maintenant que Luther avait tort ; les textes, en particulier ceux qui ont été créées au sein d’une culture et sont lus dans une autre, ne dévoilent jamais aussi clairement la signification qui a précédé à leur rédaction. Ils ne livrent jamais leur intention communicative, et elle doit donc être déduite d’indices textuels et contextuels. Il est alors possible de d’y découvrir de nouvelles significations : il suffit de se souvenir de la relecture que Freud propose du mythe d’Œudipe ! Et un texte doit toujours vivre, même après une vingtième relecture.



Le général n’est qu’une opinion d’opinions, le centre de gravité de toutes opinions particulières, et c’est ce centre que prétend définir le principe de la majorité du corps électoral. Il tend à jouer le rôle de l’universel, à s’ériger en dogme oppresseur de la minorité. C’est pourquoi personne n’est plus dogmatique, plus sectaire qu’un libre penseur et que le principe républicain prend nécessairement à sa maturité la forme d’une dictature et réclame la suppression morale ou métaphysique des minorités qui sont rejetées en enfer (voir le génocide vendéen en 1793).
Donc INVERSION : le général singe l’universel, qui lui est vraiment universel : la Nature est la diversité et les possibilités infinies, comme le démontre la merveilleuse quantité de formes de vie dans les trois règnes. Mondialiser est une agression violente, un viol masquant notre grande impuissance à faire vivre en harmonie des sociétés diversifiées. Mondialiser c’est la dictature du : « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ». L’être humain par confort, conformisme, EST RÉDUCTEUR.

Comme ce mot est souvent cité dans le site, voici l’explication du mot ESSENCE, d’après Jean Coulonval.
Jean a exercé le métier de tourneur sur métaux, entre autres. Le principe du tour, c’est déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne. Résultat : des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT ESSENCE éternelle du tour. Mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe : c’est L’EXISTANT. Un tour ne peut pas engendrer son principe, ni aucune autre machine, pas même le plus avancé des ordinateurs, même quantique. La recherche, le bricolage, peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas. Quand un homme découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui à l’état latent, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être. C’est vrai du moins, quand l’opinion n’a pas la prétention, pour se justifier, d’imaginer des principes à sa mesure. Que dirait-on d’un mécano qui prétendrait monter une machine à coudre avec les pièces détachées d’une bagnole ? C’est pourtant ce que fait le communisme, Teilhard de Chardin aussi, et Sigmund Freud.

Ce qui est en dehors des essences c’est l’opinion, puisqu’il y en a autant que d’individus, parce qu’il n’y a pas deux individus qui aient vécu le même événement, ils ne l’ont pas intercepté de la même façon, n’en ont pas tiré la même leçon. C’est normal, c’est le domaine des accidents ou monde spatio-temporel, mais pas des essences.
Le catholicisme est un « isme » de plus qui marque le système (éducatif, sentimental et scolaire), qui fabriquent tout comme le système des écoles du franc-maçon Jules Ferry les individus dans un moule imaginé par les « têtes d’œuf », et n’est rien de plus qu’un complexe social d’opinion. Qui dit éducation dit dressage, fabrication, coulage dans un moule. A croire que seuls les franc-maçons savent, et que le peuple doit se glisser dans leurs opinions !!! Il est bon de se demander pourquoi depuis 1789 la séparation nette et brutale entre fabricants (quelques-uns et à la limite un seul hors de notre dimension) et fabriqués (des milliards) n’a jamais été aussi nette qu’aujourd’hui. Alors, pourquoi ? Peut-être simplement par vampirisation d’êtres situés dans les quatre premières dimensions de l’Unité, et inaccessibles depuis le monde spatio-temporel (voir plus bas à propos du marxisme).
ATTENTION avec notre monde du FAUX : deux esprits cohabites : le vrai et le faux. Le faux lui aussi prétend dépasser toute opinion (Roubachoff dans le Zéro et l’Infini), en prenant le masque de l’absolu. L’orgueil d’être homme ! qui toujours est là pour nous piéger ! Même sous le masque de l’humilité !
Toutes opinions se clôt sur elle-même, comme un Ouroboros, comme la surface de la sphère. Toutes les opinions sont autant de billes-pensées qui s’entrechoquent sans se pénétrer. Par nature, elles sont antagonistes, inconciliables. Seul, l’esprit d’en haut n’a pas d’opinion, les pensées qu’il inspire sont complémentaires et ne peuvent se combattre. L’Esprit n’a pas d’ennemis, alors que le marxisme, l’anti-Esprit en a besoin pour s’en nourrir.
La catholicité est universel, dans son sens du terme, mais sans le isme. Le Christ l’apporte, selon Jean Coulonval, mais le catholicisme-opinion l’ignore.



Oh oui il est grand temps, quittez Geôle (Loge) et Goupillon, car ça dure depuis des millénaires, depuis même ce que des « savants » appellent « la préhistoire ». La « Chute » remonte vers cette époque.

BREF : toujours veiller, toujours. Et en circonstance essentielle : FERMEZ LES BOUCHES !


[Références à Jean Coulonval : « Synthèse et Temps Nouveaux » ; et David R. Olson : « L’univers de l’écrit, comment la culture écrite donne forme à la pensée »]



Notes.
1. Le mot « Être » est à double sens. Si je dis « Je suis français » ou « Je suis un ouvrier », cela veut dire que je suis un individu né à un endroit déterminé dans l’espace et le temps, que les circonstances ont fait que pour manger j’ai dû travailler en usine et non ailleurs. Mais si je dis « Je suis un homme », je mets en cause ma nature d’homme, par dessus le fait que je sui né à tel endroit et que j’exerce tel métier. Dans le second cas je fais abstraction des adjectifs pour ne considérer que le squelette autour duquel s’agglomère la chair des accidents, des adjectifs, dans la chronologie et l’histoire. Comme Janus, le verbe être a deux visages, et il faut les distinguer ; toutes les discussions des hommes sont un combat de nègres dans un tunnel.

L’existant étant de l’être manifesté, on se perçoit comme existant, mais au-delà on ne perçoit pas l’Être dont on est issu et duquel on participe. Alors, qu’est-ce que l’Être ? Question jamais formulée, non résolu, et pourtant toujours présente d’Instant en Instant. Même chose pour le corps physique que nous « savons » si peu, alors on a recours à des médecins quand ça ne tourne pas rond, et le médecin lui-même ne « sait » pas. La science médicale est un pur pragmatisme.

2. Le VIRTUEL correspond à une forme de « spiritualité » : une dématérialisation en inverse, ou négative. L’Internet, le New Age en font partie. Ainsi avec la technologie new age et électromagnétique il est possible que le « commerce » avec les Yôkai et autres divers esprits soit facilité, donc dans les quatre premières dimensions de l’Unité, dont l’astral ; cela risque de porter à se croire « éveillé et conscient », alors qu’il ne sera question que d’illusions psychiques, donc du mental, du soi vulgaire.
Presque comme dans des jeux vidéo, la virtualité augmentée par l’Internet permet même maintenant de déclencher des révolutions dans le monde spatio-temporel... Alors ces crétins de politiques s’en inquiètent !
L’humanitarisme ou « amour humanitaire » ressemble trop au communisme et est une caricature de la véritable bonté, sinon il n’y aurait pas eu le génocide en Vendée ni le Goulag de Staline et des juifs bolcheviks.


(En haut de page, portrait du franc-maçon Jules Ferry, par le peintre photographiste Léon Bonnat, 1888)
 
 
 
Conférence intéressante de Laurent James sur l'histoire du monde et de sa spiritualité.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 07-06-2011 03:34

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >