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Goulag français et autres Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-07-2011 20:42

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
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Goulag français et autres

Goulag des cités

Goulag tout court, celui des Couilles en Or

Les pouvoirs promettent tous le DORG (Demain On Rase Gratis)... sur Terre ! Pour « l’intérêt général »
 
 
 
RAPPEL : en Russie la police politique, Tchéka, fut instituée par Lénine en date du 5 septembre 1918, afin de « protéger la République soviétique contre ses ennemis de classe en isolant ceux-ci dans des camps de concentration », camps gérés par la Tchéka. Et ces gens copièrent 1789 en reprenant la « PRÉVENTION », que l’on retrouve actuellement : internement préventif arbitraire, en qualité d’otages, de catégories qualifiées de « socialement dangereuses » (en URSS c’était les bourgeois, les prêtres et les moines, les nobles, les Cosaques, les intellectuels, les paysans possédant un peu de leur terre). Parallèlement les Juifs bolcheviks expérimentent l’économie basée sur les travaux forcés (la toufta (1)) avec les bienfaits supposés de la « rééducation par le travail », toujours la 'pédagogie'. Tout cela débouchera sur des camps de la mort. L’arbitraire absolu sera monté en maître grâce à l’autogestion qui sera la clé de l’enfer concentrationnaire. Pour faire crever les gens plus rapidement il fut imposé une norme  : la ration accordée au détenu est fonction de son travail. S’il est malade ou âgé il crève ainsi plus vite. Comme tout est cycles, nous ne sommes pas du tout à l’abri de cet extrême du totalitarisme que fut la défunte Union soviétique. Et tragiquement, je répète tragiquement, c’est en train de s’installer en Amérique, chez nous en Europe, en France, avec entre autres, un projet de nouvelle carte d’identité à puces... sans compter la diarrhée législative répressive. Le totalitarisme c’est avant tout BIG BROTHER ou CONTRÔLE TOTAL DE LA POPULATION avec si possible délation généralisée et portée en dogme et donc servilité totale à l’État mondial.
 
 
 
Les Juifs bolcheviks n’ont rien inventé, ni d’ailleurs la police de Pierre le Grand ! Nous avons notre Goulag français bien à nous, établit après la révolution de 1789. Il fallait écarter les indésirables : les paysans de la nouvelle société des Couilles en Or avec leur industrie et leur libéralisme économique. Ce n’était plus le travail de la terre qui comptait, mais la grosseur des comptes bancaires des Couilles en Or. Il s’agissait maintenant avec un État républicain et « libéral » de PRODUIRE, PRODUIRE, PRODUIRE. Le dieu Croissance était né. Et avec les bagnes pour enfants qui se situaient en France, mais aussi dans les autres bagnes de colonies, il s’agissait de produire AU MOINDRE COÛT pour permettre des PROFITS au directeurs, alors on rogne sur l’essentiel : la nourriture, les vêtements, et bien-sûr l’enseignement pour les enfants. Bagnards ou paysans russes au Goulag, ou dans la France si proche de Sarkozy, il s’agit toujours de PRODUIRE PLUS EN DÉPENSANT MOINS.

La première guerre mondiale, et jusqu’en 1929 acheva le monde paysan et un long pan de la troisième république, et aussi la fin des bonniches. Lentement et surement il devint de plus en plus difficile et surtout coûteux de se faire servir. On a de moins en moins de domestiques. « Cette lingère de douze ans qui raccommodait comme un ange, ce jardinier trop jeune même pour garder les bêtes et qu’il suffisait de nourrir de mai à novembre, cette laveuse de petit linge, cette gardeuse d’enfants qui ne coûtait que la soupe et le don de quelques robes de soie au rebut... », écrit Marie Rouanet dans : Les enfants du bagne. Il allait bientôt disparaître la main-d’œuvre de jeunes délinquants. C’est la démocratie, tout le monde a désormais droit à la « dignité » et à certains luxes ! de la société de consommation...

Ainsi, tout au long du si triste 19è siècle, qu’essayait d’égailler à sa manière le compositeur Hervé (Opéra Bouffe, de bouffon), les paysans chassés de leurs terres, ou ne trouvant plus le moyen d’en vivre, se réfugièrent dans les cités, les villes et leur civilisation : si vile !!!
Comme ces paysans ne connaissaient que le travaille de la terre, s'ils trouvaient du travail dans les usines des Couilles en Or ils avaient de la chance. Mais le plus souvent ils étaient obligé de vivre d’expédiants : petits travaux et trafiques en tous genres, jusqu’aux vols. Les fils des paysans allaient aussi en ville rejoindre leurs pères ou s’y rendaient seuls. Tout ce beaux monde se faisait pincer par la police pour vagabondage, vols à cause de la faim. Et tous se retrouvaient dans les bagnes : pour adultes ou pour enfants.
La mode faisant, les jeunes campagnards veulent tous « monter à la ville », soi-disant pour avoir accès « à la liberté des cités » ! Évidemment c’est moins collant et moins « sale » que la terre aux chaussures. Quant aux filles, elles refusent en masse le destin de bonniche de ferme, elle n’ont pas tort, puisque le baron Haussmann leur fait construire de jolies chambres de bonniches situées toujours aux derniers étages, avec accès sans ascenseur, et très souvent par escalier de service !!! Ce funeste destin leur paraît tout de même plus confortable, même si elles finissent aussi comme ouvrières dans les usines des Couilles en Or et de leurs actionnaires.
Par respect pour toutes les petites et grandes victimes de l’État français, ne jamais oublier que ce même État, exactement comme les Juifs bolcheviks, fit sadiquement appeler ses bagnes des « Colonies agricoles », qui évidemment avec le développement de l’industrie s’appelèrent des « colonie industrielles » ou « Établissement industriel », avec profit et productivité à la clé. Ainsi on passa des contrats avec le privé, il s’en suivit une régie directe.
Pour tous les bourgeois et actionnaires habitants dans les beaux quartiers du baron Haussmann, il fallait produire des lessiveuses qu’utiliseront les bonniches, produire des seaux à charbon pour chauffer les pièces des immeubles du baron Haussmann, et pour ces mêmes immeubles produire des kilomètres de tuyauterie pour les cuisines et les toilettes des bourgeois.

Les bagnes et le Goulag des soviétiques sont bien le produit de la nouvelle ère industrielle : le monde paysan se mute en monde industriel, alors on ne cherche pas à réformer ce monde agricole, même si « des progrès techniques » facilitent le pénible travail de la terre. On pousse tout vers le nouveau jouet des Couilles en Or : l’industrie. Avec ce nouveau jouet, le pouvoir est certain que les campagnes vont se vider, amenant une nouvelle population : les « citoyens » ou habitants des cités. Ainsi cette nouvelle société verra se développer de nouvelles villes avec son lot de nouveaux moyens de transports : chemins de fer, notamment celui des riches Couille en Or : les Pereire. Dans ces conditions, à quoi ça sert de former des agriculteurs, surtout avec de jeunes détenus dans les bagnes, encore plus si ceux-ci viennent de grandes villes. D’après les statistiques d’époque, les petits détenus à leur libération reviennent dans leur famille, cherchent du travail en ville, et comme ils sont sans qualification qui puisse leur permettre de trouver le moindre travail, ils sont au chômage et retombent dans la délinquance... et la prison pour adultes cette fois, avec souvent au bout le bagne dans les colonies. Un dicton est explicite : « De l’assistance publique à l’échafaud ! » Ça se résume aussi par un comportement de veaux qu’on mène à l’abattoir, qui se laisse faire et accepte leur situation.

Voilà la société des Couilles en Or : comme dans la Russie des Juifs bolcheviks, et des fous de 1789 : éliminer les opposants, ceux qui ne pensent pas comme tout le monde. En France, tout au long de la si abominable troisième république, on envoyait adultes et enfants crever dans les BAGNES. Mais avant de les faire crever, tous étaient condamnés aux travaux forcés, adultes comme enfants.
Pour les enfants, si certains en réchappaient, ils étaient hébétés, révolté, à jamais détruits.
Adultes comme enfants, au 19è siècle et même au début du 20è, pour avoir volé un bout de pain ou un saucisson pour simplement manger, car sans le sou, on se retrouvait dans ce Goulag français : LES BAGNES, début du totalitarisme à la soviétique. Les Juifs bolcheviks ont tout copiés !!! La France rayonne partout, même dans ses horreurs et son siècle des lumières avec ses fabricants d’âmes... Le style second empire avec le côté militaire des immeubles haussmanniens inspire toujours de par le monde, c’est la même chose que pour la démocratie !!! Et on ose appeler ça la « modernité » ! La démocratie !!!

Femmes adultes ou enfants, garçons ou adultes pouvaient être envoyé au bagne pour le vol d’un simple morceau de pain ; pour des années parfois, 6 ou 10 ans. Mais on envoyait aussi au bagne des orphelins, des bâtards, des « délinquants », des petits coupables de vagabondages attirés par le « disneyland » industriel des Couilles en Or. Au bagne ces petits étaient mélangés à de vrais criminels, comme en Russie, et comme là-bas ils subissaient le froid, la faim et une discipline impitoyable avec châtiments corporels quand ce n’était pas tout simplement de la torture.
Pendant ce temps-là, Monsieur Haussmann détruisait des quartiers entiers de Paris pour faire construire des logements pour les actionnaires des banques des Couilles en Or : LES BOURGEOIS, ceux qui avaient renversés la royauté quelques décennies auparavant. Ces logements haussmanniens avec leurs chambres de bonnes, tel la paysanne bretonne : Bécassine, la bonniche de bourgeois.

Quand on voit les tableaux de peintres impressionnistes du 19è siècle, tel Pissarro, ou du Couille en or Caillebotte, on y trouve la clarté des avenus « bien dégagé » afin d’éviter toute manifestation et tout combat de rue ! On comprendra donc qu’il fallait à tout prix « évacuer » tous les vagabonds et autres « contre-révolutionnaires » dans le Goulag, pardon, dans les bagnes. Les quartiers haussmanniens puent le fric ! Tout comme les chapeaux haut-de-forme de l’époque. J’en sais quelque chose pour avoir vécu si modestement à la limite de la misère, dans une rue populaire et commerçante dans le 17è arrondissement de Paris près du métro Villiers.

Tout est dans LA FAÇADE !!! Et se retrouve bien-sûr dans l’effervescence des peintres du 19è siècle annonçants notre société médiatique de l’image et du cinéma et de la télévision... Tous issue de cette ère industrielle.

1789 et ce qui en a suivit avec Bonaparte, les familles Rothschild et Rockefeller et autres Couilles en Or, et en souterrain la franc-maçonnerie, ont tous contribué à construire cette civilisation inhumaine et aberrante telle que nous la subissons aujourd’hui.


Nous subissons les Couilles en Or À CAUSE DES HONNÊTES GENS.

En règle générale, la pègre travaille peu, les politiques ne travaillent pas du tout, seuls les « brigands » ou contre-révolutionnaires travaillent ! Et nulle part le principe « un pour tous, tous pour un »  n’est aussi strictement mis en œuvre que dans la milieu de la pègre, c’est-à-dire dans le milieu politique !
Ce qui est effroyable, surtout en ce 19è siècle, c’est le point culminant de l’horreur de l’église catholique, uniquement formaté sur « la morale », que cette église sadiquement s’ingénie à salir. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux observait déjà cet aspect uniquement moral dans ce qu’est devenue cette religion. Au 19è siècle le discours de l’église catholique sur le riches les mettaient sur un piedéstal : vertu innée, incontestable et héréditaire, tant qu’à faire. Cette église qui prône l’esclavage « à la sueur de son front », donc une religion « masochiste » de la souffrance : « Sans discipline pas de travail, sans travail la paresse s’installe avec la cohorte impure de tous les vices ». Mais comme l’explique Jean Coulonval, la véritable Église chrétienne ce n’est pas cela.
Il y eut au 19è siècle des curés tarés, dont un certain abbé Redon : « Dieu est l’ordre (sic) Il ne peut être que là où l’ordre est possible... S’il n’y a pas d’ordre, l’enfer règne ». De là débouchera le « sabre et le goupillon ! » Puis le formatage des esclaves aux services et sévices des Couilles en Or. Ce fut exactement la même chose dans le Goulag.

Par exemple le bourgeois. En 1913 à Béziers, il venait des enfants mineurs : filles comme garçons. Inutile de dire que c’était pour le sexe !!!
Les « bourgeois honnêtes gens », puisqu’ils ont le fric, alors ils rendent esclaves les bonniches, ces jeunes filles sorties du bagne et qui se sont amendés après formatage par les curés et autres tortionnaires et fabricants d’âmes des écoles Jules Ferry.
Les bagnes pour enfants furent de grands fournisseurs de bonniches qui se retrouveront dans les chambres de bonniches que leur fit construire Haussmann ! Celles-ci bien-sûr emprunterons « l’escalier de service » pour ne pas croiser leurs maîtres et les importuner.
Malheureusement les curés du 19è siècle firent plus de ravages en 150 ans qu’en 1500 ans. Ils rattrapèrent du massacre de leurs frères en 1789 !!!

L’empire, Bonaparte, le second empire, sont tous synonyme non seulement de BAGNES, mais aussi de BORDELS : convois de prostitués pour les bordels de l’empire colonial !
Ces petites filles envoyés aux bagnes dès 1843, en « cette terre bienheureuse », ce lieux « de retraite et de travail, de prière et d’expiation ». Bien pour les bourgeois, tout le monde y trouve son compte : la morale, la société et ses filles elles-mêmes qui ne se verront pas forcées « de mendier, de subir le mépris, de se prostituer pour un morceau de pain ».
Dans « cette terre bienheureuse », tels les écoles de Jules Ferry, il n’y a place que pour le travail et la prière, ainsi plus de place pour avoir des « idées dangereuses pour la société ».
Ainsi on pourra voir la « différence » avec « l’extérieur » : ces citadins grossiers, vociférant le blasphème à la bouche et l’immoralité dans le corps, révoltés et violents. Comme on aime la douceur d’agneau de ces futurs bonniches dont la prière est un chant de louange à Dieu qui les a sauvées, qui les nourrit. Comme au Goulag, c’est pourtant elles qui se nourrissent du produit de leur travail ! Il ne faut jamais oublier L’ASPECT ÉCONOMIQUE DE CET ESCLAVAGE DU BAGNE OU DU GOULAG : non seulement isoler du reste de la population les « ennemis du peuple » ou société ; ensuite, comme au Goulag, il s’agissait d’utiliser au maximum et au moindre coût possible (d’où l’indigence sur l’essentiel : nourriture et vêtements) la force de travail des détenus pour remplir les objectifs économiques du pouvoir ; ensuite et surtout en Union soviétique, il fallait éliminer physiquement « discrètement », car sans condamnation à mort, une majorité écrasante de détenus.

Les « honnêtes gens » ce sont ceux qui disent que la télévision dans les prisons c’est du luxe. Ce sont les mêmes qui disaient au 19è siècle que l’État français dépensait beaucoup trop l’argent des contribuables pour des « petits voyous dangereux » qui n’avaient pas pitié de ceux qu’ils agressaient ou volaient ; alors qu’on les traite durement ça ne gênera personne ! Ce sont surement ces mêmes « honnêtes gens » qui chassent le gibiers « par sport ou distraction », ceux qui sont du genre « de bonnes familles », et donc qui doivent faire beaucoup d’efforts pour se retrouver au bagne !

Ainsi au 19è siècle, grâce à la religion, à la troisième république, aux Couilles en Or et aux francs-maçons, le nouveau dieu est, et est encore maintenant : PROFIT. Le TRAVAIL industriel ne suffit plus à nourrir l’être humain, mais il sert uniquement AU PROFIT : L’INDUSTRIE DU PROFIT. C’est la le fondement et la richesse de cette nouvelle civilisation ! L’ouvrier et l’indigent la bénissent, et bien-sûr les riches ! Et c’est bien là le problème : tous des veaux qui vont à l’abattoir ! Tous ces gens ONT PEUR DE LA LIBERTÉ. Ainsi Lénine disait avec une cruauté et une lucidité étonnante : POURQUOI LA LIBERTÉ ? D’ailleurs, au bagne pour enfants, un petit détenu qui est puni par quatre jours de cellule, où il trouvera un lit avec un matelas pour dormir, la même nourriture qu’au réfectoire, estimera que c’est un supplice : CELUI DE N’AVOIR RIEN À FAIRE. Évidemment, tous sont drogués par le travail !!!

La liberté est-elle si TERRIBLE ???

La différence entre les bagnes pour enfants et le Goulag soviétique, c’est qu’aux bagnes français ont lavait la cervelle des pauvres enfants à coups de prières : afin que coulent une éternité heureuse et semblable à l’immobile Paradis... Au Goulag on lavait le cerveau à coups de bâtons et autres supplices. Les futures bonniches devinrent de parfaites chrétiennes dans leurs chambres de bonnes du baron Haussmann et dans les bordels de l’empire colonial. Et vous comprenez, arranger des mariages avec les bourgeois du coin, il sera facile de s’assurer « la possession d’une vaste contrée si utile au commerce ». Ainsi ces filles issues des bagnes qui se croyaient appelées au mariage et en « seraient exclues par leur naissance ou le déshonneur » ; et lorsqu’elles auraient donné « des garanties suffisantes pour effacer les souillures de leur passé », on les enverrait aux colonies, en Afrique.
Par contre, une honnête femme totalement innocente et envoyé au Goulag devenait en quelques mois plus misérable qu’une honnête prostituée : un bout de chair sale et puant, sans voix, un objet d’échange et de commerce entre le personnel des camps : les gardes rouges qui servent de surveillants violaient les femmes en toute impunité.

Dans l’horreur du Goulag il s’agissait avant tout « d’éduquer par le travail » c’est toujours la même chanson ! Même les Chinois ont copié le système français ! Lénine crachait aussi sur la bourgeoisie mais il fut bien obligé de s’appuyer sur le système capitaliste ! Bien-sûr que la bourgeoisie et les Couilles en Or « écrasent les classes inférieures » comme le clame les soviétiques mais la religion en inverse du communisme n’a absolument rien apporté, sinon que des horreurs, alors que les soviets voulaient détruire toute forme d’oppression et de violence !!! Les soviets ajoutaient même : « Pour nous tout est permis car nous sommes les premiers au monde à lever le glaive non pour opprimer ou pour réduire en esclavage, mais pour libérer l’humanité de ses chaînes. Du sang ? Que le sang coule à flots ! ».
Que des sadiques, des fous !!! Les pires menteurs en politique furent les Juifs bolcheviks et autres dirigeants ! Ces criminels qui voulurent faire de la Russie « le pays le plus libre du monde », donc le totalitarisme !!!
La révolution de 1789 voulait aussi le « pays le plus libre du monde » puisque débarrassé de la monarchie et de « la religion opium du peuple ». Toute révolutions utopiques débouchent tragiquement sur LA TERREUR. La liberté est-elle si TERRIBLE ???

En France comme chez les soviétiques, ou ailleurs dans n’importe quelle « démocratie », tout pouvoir est le même : il s’agit de DÉTRUIRE l’opposant : écraser totalement la personne humaine par la faim, la torture déguisée ou non, la terreur planifiée, les passages à tabac déguisés ou non, les interrogatoires à n’importe quelle heure, etc. Pour attirer dans ses filets les opposants, le pouvoir a souvent recours à des « agents provocateurs » déguisés afin de fabriquer des preuves. Le système soviétique avait érigé les prises d’otages et les pratiques de répression cruelle à l’encontre des proches, voire des connaissances des contre-révolutionnaires et des émigrés, en un système de terreur planifiée. Il fallait obtenir la soumission absolue du peuple russe à la volonté des Juifs bolcheviks et autres oligarchie communiste (les fabricants d’âmes).

Le communisme est directement issu de l’ère industrielle du 19è siècle et Karl Marx ne s’y est pas trompé. Mais il ne suffisait pas d’associer le marteau du monde de l’industrie à la faucille du monde agricole et nourricier pour faire une utopique société ! D’ailleurs une blague russe racontait ceci :
- Staline est debout à la tribune.
Il tient une faucille et un marteau.
À ses pieds, il y a un paysan
Sans chemise ni pantalon.

ou cette autre :
- Staline est assis dans un val,
Il ronge une patte de cheval,
Qu’est-ce que c’est merdique,
La « viande de bœuf » soviétique.

Le pouvoir soviétique réprima énormément les paysans en août 1920 qui se révoltèrent, lorsque les armées communistes vinrent leur piquer leur blé. Une armée fut créée : 70.000 hommes, une république fut proclamée. L’Armée rouge mobilisa 100.000 soldats qui matèrent la révolte avec une cruauté extraordinaire en fusillant en masse les otages et surtout en utilisant des armes chimiques contre les paysans. La région de Tambov perdit 240.000 hommes.

Dans le Goulag le travail commence à six heures du matin, été comme hiver. Selon le règlement il doit cesser à sept heures du soir. Officiellement ces une journée de douze heures de travail qui est en vigueur aux Solovki, avec une heure de pause pour le déjeuner. Évidemment dans la réalité il en est autrement ! Selon la loi de l’arbitraire et l’humeur du surveillant tchékiste. En été on oblige les esclaves à travailler jusqu’à ce qu’ils tombent d’épuisement : de six heures du matin jusqu’à minuit, parfois une heure du matin. Bien-sûr le dimanche ça n’existe pas.
Au bagne pour enfants c’est la même chose : le droit et règlement c’est une chose, mais la réalité est autre : fraude et mensonge permanent, manger devient une obsession de chaque instant, on se laisse sodomiser pour une bouchée de dessert, on vole les plus petits, on trahit. Le manque de nourriture même minimum et non pourrie faisait souvent défaut, par soucie de « rentabilité », alors que beaucoup de ces enfants étaient en pleine croissance. Voilà la « rééducation par le travail »... Voilà la PÉDAGOGIE : la faim, le fouet, la violence et la peur.
Pour les « punitions », c’est la même chose, au départ il y a un règlement, mais dans la réalité ça vire souvent aux horreurs, au sadisme et aux viols (vous pensez, pour le surveillant de la chair fraîche !), même aux messes noires. Encore la méthode « pédagogique »... Cette « pédagogie » qui est le même fourre-tout que la démocratie puisque souvent balancée par les politiques. Cette « pédagogie » qui se retrouvait si largement dans le marxisme et le Goulag.


Dans tous les bagnes et au Goulag, il s’agit avant tout, mais surtout avant de crever rapidement, de transformer mécaniquement dont industriellement en valeur économique et, pour le cas du Goulag, en bois d’exportation : le bois blanc, par opposition au bois d’ébène qui désignait les esclaves Noirs. Ainsi la Russie des Juifs bolcheviks n’était plus qu’une « démocratie cadavérique ».


En ce qui concerne tout opposant, à toutes époques on les retrouve soit sous le nom de « brigands, de terroristes, de délinquants, d’êtres socialement dangereux », de « vagabonds », de voleurs », de « bandes organisées », etc.
Je remets ici le récit sur Fadeiev rapporté dans son livre par Sozerko Malsagov :
Fadeiv, 16 ans, se retrouve dans un Goulag aux travaux forcés. Il ne comprend même pas ce qu’il lui arrive. Son père avait un petit atelier de reliure avec deux employés. Le fisc des bolcheviks a voulu que son père paye une énorme impôt. Évidemment son père ne pouvait pas payer. La police politique l’a arrêté, a convoqué sa mère, qui a répondu qu’elle devait faire vivre cinq personnes (fils, père, elle et les deux employés)... Son pauvre père a été condamné à cinq ans aux Solovki, sa mère été arrêté quelques temps après et envoyé dans un autre camp pour trois ans. La police a posé des scellés sur tous les biens de la famille de Fadeiev et lui on dit d’aller s’installer ailleurs. Il a vécu un peu chez sa tante, qui elle aussi a été arrêté pour « vente de produits manufacturés au marché », et envoyé pour trois ans aux Solovki. Fadeiev a été chez sa grand-mère, a mendié, puis un agent des bolcheviks l’a arrêté, envoyé en prison pendant deux semaines et finalement aux Solovki. Ce pauvre gosse a été condamné pour : « élément socialement dangereux », et il ne sait pas ce que cela veut dire !!! Bien-sûr, comme en 1789, en 1917 et après, « socialement dangereux » voulait dire dangereux et nuisible pour le système des juifs bolcheviks ou pour celui des républicains de 89 et l’édification de leur dogme-prison, pour l’un le socialisme, et pour l’autre la république façon empire romain. En fait, les deux se regroupent sous le ‘socialisme’ : le bien de l’intérêt général ou du « progrès » social, mais c’était la même chose sous la monarchie !!! SOCIAL : qui est agréable aux autres, de associés, de alliés, de compagnons...

CONCLUSION : depuis 1789, corruption à tous les étages... Et nous sommes encore en plein dedans !!!


Oui, les Chananéens sont venus et sont repartis, non par le pouvoir de Dieu, mais par le fait d’une administration, d’une loi votée par une République, d’un Empire avec ses sceaux d’aigles couronnés terrassant la foudre. Tout cela, et non Dieu, qui offrit à qui voulait les prendre des bras, des muscles, des vies : c’étaient les petits bagnards qu’on venait d’envoyer à Montlobre. (Marie Rouanet)


[En références à Marie Rouanet : Les enfants du bagne ; Sozerko Malsagov et Nikolaï Kisselev-Gromov : Aux origines du Goulag]


Note.
1. Mot russe qui dans l’argot du Goulag signifie à la fois : gâchis, bluff, faux bilan, malversations.
 
 

Dernière mise à jour : 11-07-2011 22:03

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