Enfants de la culotte des Couilles en Or

Les enfants incultes des pauvres et les enfants savants des Couilles en Or.

Temps d’esclavage adulte = payé à l’heure ou machine à rendement.
Temps de formatage enfant = devoir en 1 heure.
Résultat = nul, fatigue, indéfinis défauts.

Enfants de Dieu ou du Soi, contre l’égalité la fraternité la liberté des communistes.

 

 

 

Le rythme scolaire façon franc-maçon Jules Ferry
Expansion des Couilles en Or chez les sauvages pour les civiliser.

Les « marqueurs biologiques ».
L’heure empêche d’apprendre ! Au bout de 20 à 25 minutes, enfants et étudiants s’endorment. L’heure d’étude n’a pas de sens, elle est idiote puisque basé sur l’ouvrier payé à l’heure dans les usines des Couilles en Or. C’est la même chose avec la journée d’école, elle aussi basé sur la journée de travail de l’esclave adulte : elle empêche aussi d’apprendre !
Quand un enfant commence son cours à 8 heures du matin, s’est levé à 6 heures, après s’être couché à 22 heures après avoir regardé la télévision ou s’être excité sur des jeux vidéos, il est fatigué pendant ses deux premières heures de cours. Vers 11 heures du matin, il entre dans une « hypoglycémie » en forme de  stress, car son système neurologique limbique est altéré et c’est le centre de la mémoire. Conclusion : il ne peut pas apprendre.
À 14 heures l’enfant fait la sieste ! Comme tout le monde. Et son cerveau se réveille vers 16 à 17 heures ; c’est l’heure où il faut rentrer à la maison !!!

 

Des « savants » se sont demandés si la « semaine » permettait d’apprendre. Évidemment la semaine de quatre jours empêche d’apprendre ! À cause de trois jours de rupture et quatre jours de sur fatigue. En poussant plus loin les « savants » se sont demandés si l’année scolaire permettait d’apprendre. Conclusion : vacances d’été trop longues, d’où perte d’entraînement des enfants.

Idéalement il faudrait raccourcir les journées, allonger les vacances : 6 jours par semaine, 11 mois et demi par an, et faire les examens quelques jours avant Noël. Imaginez un gouvernement qui réalise cela : il aura l’ensemble de l’industrie du tourisme contre lui, mais aussi toutes les familles, parce que cela empêcherait les loisirs qui sont des partages affectifs.
Malgré cela il paraît que beaucoup d’enfants se plaisent à l’école. Malgré tout, les enfants apprennent, mais les enfants des Couilles en Or continueront à avoir des diplômes et de futurs bons postes de travail ; et en même temps apparaît une nouvelle classe sociale : celle des filles, qui travaillent mieux à l’école, ont plus de diplômes, et ne seront freinées par la maternité que vers l’âge de 30 ans.
Le mensonge de l’égalité républicaine enfle, entre les « mauvais élèves » qui seront désocialisés, les « bons élèves » gosses de Couilles en Or et filles qui feront la partie de l’élite des Couilles, ce qui va aggraver l’amertume des pauvres et des garçons chassés de la société.

(D’après la chronique de Marie-Odile Monchicourt sur France-Info : Histoire d’Homme, par Boris Cyrulnik, le dimanche 4 septembre 2011 : Les rythmes scolaires).

Terrible est cette conclusion de Boris Cyrulnik. On se rendra compte facilement avec les événements de nos jours que l’argent va à ceux qui l’aiment ! Il attire comme des mouches ceux qui en ont, et même ceux qui n’en ont pas.

Qui dit classe dit inégalité, et la classe la plus base, opprimée et avilie, tendra toujours pour guérir ses malheurs, à retrouver les sources de l’Esprit, et, partant de la caste, c’est-à-dire de sa dignité d’homme en tant qu’être métaphysique et religieux. « Cette dialectique de la classe et de la caste est la cause la plus profonde de la naissance du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n’a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers ». Comme l’écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.
On en revient toujours à cette ultime question afin de résoudre le drame humain : Qu’est-ce que l’Homme ?

« Le Sens est l’oiseau, les mots sont le nid ». (Citation de Jean Coulonval d’après Djalâl ad-Dîn Rûmî)
Le nid est fait pour l’oiseau et non pas l’oiseau pour le nid.
L’opinion, religieuse, politique, ou scientifique, imagine un oiseau à la convenance du nid, un moule à la convenance de la pièce loupée.

Une idée sans forme ne s’attache pas à une convention : un mot, tout comme le vent ne s’attache pas. L’eau prend n’importe quelle forme, le lit de la rivière sera son corps (Rûmi). L’Esprit souffle où il veut. L’homme ne vient pas à Dieu, c’est Dieu qui vient à l’homme ! La « propriété intellectuelle » est une simonie (Volonté réfléchie d’acheter ou de vendre à prix temporel une chose spirituelle, ou assimilable à une chose spirituelle). En un sens la franc-maçonnerie est une simonie.

Les études scolaires partent de conventions : dictionnaires, grammaires, codes de toutes sortes, tout cela pour tenter de donner un sens. Mais il n’existe pas d’école, actuelle, pour aller du sens vers le signe (intérieur vers extérieur). Le sens fait partie de la Source : le Soi, l’Instant, le continu ; alors que ce qui en jaillit est de la chronologie, le discontinu des mots/maux. Ce n’est pas pour rien que dans l’ascèse monacale, la contemplation silencieuse, le rafraîchissement est supérieur à la sécheresse de l’oraison verbale.

 

 

À propos de classes

CLASSE : phénomène psychologique de masse, né des réactions du sensible et du mental d’un groupe social formé de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques. Le classe, dans le sens où elle est comprise à notre époque, ou plus exactement « sentie » par la tripe, est un phénomène d’agglutination des états individuels sentimentaux psychiques : classe ouvrière, bourgeoise, avec les nuances : classes moyennes, cadres, agriculteurs, cols blancs, etc. Les classes sont des effets statistiques. La classe est le contraire de la CASTE : le clergé, le politique, l’économique. (D’après Jean Coulonval).

Les enfants de la culotte des Couilles en Or fabriquent les classes, notamment ils rejettent les fils et filles de pauvres dans la classe des ouvriers. Depuis l’ère industrielle du 19è siècle il est mal vu d’être ouvrier, et les enfants des Couilles en Or feront tout pour éviter de travailler avec leurs mains, et de se les salir, et de ne tenir aucun outil.
Les gosses de riches ont peur de la matière, or on ne triche pas avec : le boulot est bon ou mauvais. Par contre ils ne se privent pas d’en acheter ! Même chose pour les enseignants dont le seul outil est la parole et le stylo ou l’ordinateur : ils peuvent passer leur vie à sortir des bourdes fabriquées par les « élites » sans s’en porter plus mal ; ils peuvent même écrire des bouquins pour arrondir leur fin de mois.

L’ouvrier, le prolétaire : la chair à canons et usines des Couilles en Or. Le prolétaire qui était utile à la Rome impériale que parce qu’il engendrait des enfants, utiles pour fournir la viande pour le travail et pour la guerre.

L’enseignement forme dans gens pour « exister », mais pas pour « être ». Ainsi les ouvriers sont transformés en robots : MATÉRIALISÉS, ce qui est totalement différent de matérialistes. Les gosses de Couilles en Or n’échappent pas à cette procédure.
De toutes les façons, qui dit éducation dit MOULE, DRESSAGE, FABRICATION. Actuellement et depuis au moins 1789, il y a une nette séparation entre fabricants (quelques-uns ou même un seul) et fabriqués (les milliards sur Terre). Pourquoi cette séparation ? Et malgré l’Internet ? Les francs-maçons et autres sectes veulent-elles garder égoïstement leurs savoirs ?

Et à propos d’éducation, de morale, et de dignité humaine et comme déjà écrit : tout n’est que conventions. Par exemple beaucoup de catholiques, et de franc-maçons, confondent la foi avec un code moral : ce qui est permis, ce qui est défendu.
Mais naturellement toute activité concrète dans l’espace temporel se vit comme autonome par rapport au cosmos ou divin, ou ensemble. Les orthodoxies morales sont aussi diverses que les fonctions et les angles de vues de divers groupes de population. Il n’y a que des morales conventionnelles, donc subjectives, au pifomètre, selon la mode du moment, parce que coupées des références à l’ordre naturel, c’est-à-dire métaphysique (je suis CE JE SUIS).

Il est intéressant de différencier CULTURE et CIVILISATION, comme le montre le Docteur psychiatre A. Stocker, dans son livre : Folie et Santé du Monde. Ainsi :
La culture se rapporte à un développement avant tout spirituel, ce qui correspond à l’outil spiritualité qui servira à supprimer l’ignorance, et donc ne sera jamais une quelconque acquisition comme l’achat d’un paquet de lessive ou d’une quelconque « évolution » promise par un quelconque « sauveur » !
La civilisation sonne comme cité, et donc comme quantité ; elle correspond avant tout à un développement matériel de cette civilisation. Le mot civilisation remonte à 1756, « acte de justice », et plein pot dans le siècle des lumières ! Alors il n’est plus étonnant d’attacher le mot civilisation à du matérialisme ! Civile : si vil : qui est sans valeur. L’ambiguité et le terrible danger commence dans « civiliser » : rendre sociable, rendre poli de mœurs. On en voit le résultat par des millions de morts et la destruction de civilisations entières... Ainsi on en revient toujours au Centrum Centri : Qu’est-ce que l’homme ? Aussi on cultive sont Jardin personnel et accessoirement sont jardin potager, loin des poisons de MonSatan.

FREEMASON : libre des corporations. La fraternité façon francs-maçons et leur « morale universelle », ces « chevaliers » armés pour « améliorer la condition humaine » : le DORG (Demain On Rase Gratis)

RAPPEL :
Car enfin, « les animaux semblent se conformer à leurs propres lois naturelles en dépit de leur milieu et des changements, tandis que l’homme transgresse constamment la loi sociale et n’est lié par aucun système défini [surtout pas par un quelconque État !]. Il semble dégénérer [entropie] alors que les animaux restent stables. N’en est-il pas ainsi ?
Maharshi (après un long moment) : Les Upanishad et les Écritures affirment que les êtres humains ne sont que des animaux tant qu’ils ne sont pas réalisés [Soi, Instant]. Peut-être même sont-ils pires ». Ramana Maharshi, entretient 79, du 3 octobre 1935.

J’ai toujours pensé que plein de petits moteurs valaient mieux qu’un gros qui pouvait casser ! Et ne jamais oublier que depuis 1717, la franc-maçonnerie est l’outil des Couilles en Or : Londres et la City. My God ! Fuyez les dealers de paix et de liberté. Fuyez les philosophistes.
ATTENTION : il faut faire une distinction fondamentale entre les ANCIENS francs-maçons de MÉTIERS, des francs-maçons nés en 1717 à Londres qui sont des francs-maçons CHAPEAUTÉS (qui travaillent du chapeau ou du mental). Les ouvriers sont quasiment chassés, il faut être riche pour être franc-maçon : minimum 500 euros de cotisation par an, sans compter les déjeuners entre frères et sœurs.

Une classe de chapeautés et son verbiage indigeste.


Marie Laforêt - Illuminati, Franc-maçon.

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