Carl Gustav Jung à propos de Richard Wilhelm :
Un destin qui ne supporte pas l’intervention humaine. Inexploré, inexplorable, un être profond qui suit la ligne obscure du destin.
Jung dit :
- Si aucunes réponses ou aucunes solutions à des complications de la vie ne vient de l’intérieur, c’est que l’épisode correspondant n’est que de peu d’importance. Les circonstances extérieures ne peuvent remplacer les expériences intérieures.
- Les hommes s’imaginent n’être rien de plus que ce qu’ils savent d’eux-mêmes. Or c’est un savoir borné, rationalisme et doctrinalisme (quantité) sont maladies, car ils prétendent répondre à tout. Pourtant nos notions de temps et d’espace ne sont qu’approximatives. Elles laissent ouvert un champ de variations relatives ou absolues.
Blaise Pascal parle des deux excès : irrationnel et rationnel : l’un : « exclure la raison » ; l’autre : « n’admettre que la raison » (
Pensées 253). Le premier conduit à l’égarement et à la déchéance de l’homme ; le second, au rationalisme et à son frère le matérialisme.
Jung à propos de DIEU :
L’homme crée à l’image de Dieu, mais aussi l’inverse : le Créateur à l’image de l’Homme : il est semblable ou égal à l’Homme, c’est-à-dire qu’il est aussi inconscient que lui, ou plus inconscient encore puisque d’après le mythe de l’incarnation, il se sent amené à devenir Homme et à s’offrir en sacrifice à lui.
On cherche son chemin comme le fait le ver de terre. Nos ancêtres ont laissé des choses. Jung les termine. Moi aussi, tout en ne sachant pas nettement qui ils sont. C’est précisément la perte de relation avec le passé (coupé de ses racines), qui crée un malaise dans la civilisation. Une course en avant (la croissance style dogme de l’évolution) uniquement tournée vers le futur,
alors que l’arrière plan historique n’a pas encore atteint le présent. Passé, Présent, Futur, ne sont pas synchrones dans l’Instant !
- Économie de temps (dynamique) = accélération du temps vers la vieillesse.
- Perte de temps (statique) = ralentissement du temps vers la jeunesse.
Nous restons ignorants, nous ne savons pas si le monde ancestral en nous participe à notre vie avec un plaisir primitif, ou si au contraire, il s’en détourne avec dégoût. Les temps échappant à l’aujourd’hui se prolonge fortement.
La platitude de la vie sociale.
Les conversations les plus belles et les plus lourdes de conséquence que j’ai eu dans ma vie sont anonyme (Jung).
Le génie est un cas à moitié développé (Jung).
Jung fait le point en lui-même, note ses fantasmes, tente de s’orienter pour ne pas se perdre dans le monde incompréhensible et difficile des fantasmes. Il obéissait à une volonté supérieure en résistant aux assauts de l’inconscient.
Très justement Jung dit que plus un symbole est ancien (origine) et profond, plus il devient collectif et universel.
Comme moi, Jung était terrorisé par les chiffres et les mathématiques et les formules, il avait une mémoire visuelle.
Ainsi :
Pourquoi a = b.
Si a = cheval et b = lune,
Cheval ne peut-être égale à la Lune !!!
Il est permis d’être NAÏF si on est artiste, sinon, il y a danger de tomber dans un gouffre.
Il y a bien une universalité à trouver, mais celle-ci n’est nullement dans le communisme ou la république universelle des francs-maçons tripatouillée en plus par quelques prêtres de l’Église de Rome. Un vrai merdier pour l’Église comme l’écrit Jean Coulonval.
Il écrit, dans
Synthèse et Temps Nouveaux : Une église déchirée, en plein désarroi doctrinal. Progressistes contre intégristes. Une peau bourgeoise changée en une peau ouvriériste, ce qui est aller de
Charybde en Scylla. Le manichéisme de ceux pour qui tout le bien est du côté chrétien et tout le mal du côté marxiste, sans voir que le communisme est une solution fausse à des problèmes vrais et que le réfuter sur le plan de la doctrine ne supprime pas le problème. Des prêtres marxistes qui ne voient pas que le communisme est une synthèse en ce sens qu’il prétend unifier l’homme à partir du dogme « Dans le principe était la matière », ce qui en fait une singerie satanique du Corps mystique, et qu’il est donc absurde de vouloir n’en retenir que l’aspect économique. Des prêtres ouvriers qui foncent dans la lutte des classes et déchirent l’Église. Une nouvelle liturgie anarchique qui tend à sensibiliser le public au seul sentimentalisme social en étouffant le sens du transcendant métaphysique et divin, prenant ainsi le contrepied de l’ancienne liturgie qui était un peu trop ésotérique et obscure pour le commun du peuple. Une action catholique spécialisée qui découpe la société en rondelles en introduisant l’idée de lutte des classes [maintenant le
‘choc des civilisations’] au sein même de la doctrine...
La république devenue mature donnera le communisme ou totalitarisme ou Nouvel Ordre Mondial, qui, loin d’incarner un nouvel ordre social authentique et vraiment universel, ne réalisera qu’un renversement de fond en comble de la moindre hiérarchie des valeurs d’une société humaine. Et ce renversement portera le nom de TERREUR, un nom qui accompagne toute « démocratie populaire ». Car dans un authentique ordre social fidèle aux exigences de l’accord avec les lois cosmiques en harmonie avec la personne humaine, il n’y a aucune place pour la violence. Violence = Force, tout simplement.
L’ordre nouveau, ou Nouvel Ordre Mondial ne sera que la énième mouture d’un totalitarisme ou l’État mondial obéira aux injonctions militaro-industrielles et policières dans la tradition de l’Union Soviétique.
Toutes révolutions prétendent apporter un « machin nouveau », qui donnera un désordre inné, un ordre nouveau qui de l’ordre authentique n’a pas le moindre trait !
1789, 1917 se sont instaurés par la violence et maintenues par la terreur, les deux clés de « démocratie populaire ». il y en a une troisième : L’ÉPURATION (voir
les guerres de Vendée et en 1944-1948).
Malheureusement le peuple est devenu comme les moutons : il attend tout de l’État républicain et collectiviste ; il attend tout de l’autre. On appelle ça « socialisme » (le bien général) ou nivellement, ou « même soupe pour tous ». Le Nouvel Ordre mondial sera un totalitarisme à tendances grégaires. Et comme l’écrit Jung : « Bientôt la houlette de l’État devient règle de fer et les bergers [oligarchie] se changent en loups ».
Jung écrivait aussi qu’il fallait que l’individu soit préservé de son instinct de conservation ; « car l’homme privé des racines nourricières de ses instincts [sa nature humaine], devient la proie des vents. Il n’est plus un animal malade, démoralisé et dégénéré, et ce n’est qu’à travers une catastrophe qu’il a une chance de recouvrer la santé ».
Actuellement la personne humaine est totalement bannie de notre civilisation. Son sens de la personne humaine est ignoré. Son vrai sens des responsabilités est ignoré.
La Docteur A. Stocker, psychiatre comme Jung, le suit parfaitement lorsqu’il écrit dans son livre :
Folie et Santé du Monde, « Une fausse affirmation, celle de l’individu et surtout celle de la collectivité, est venue se substituer à l’affirmation de l’homme authentique, de l’homme fidèle à l’ordre hiérarchique de la personne. On parle beaucoup aujourd’hui de religion de l’homme [c’est l’époque des existentialistes de
Jean-Paul Sartre], et plus encore de religion de l’humanité [c’est actuel et c’est ce qui nous pend au nez pour remplacer en une religion mondial balayant les trois ancienne religions monothéistes], le seule fait que l’on puisse parler ainsi indique à quel point le sens de l’homme et de sa dépendance d’un Absolu transcendant est obnubilé [obscurci]. Ces religions de l’homme et de l’humanité sont des usurpations pures et simples, ou plutôt impures et fort compliquées, de l’ordre normal des choses. Ces religions [existentialisme, communisme, république universelle ou démocratie] qui mettent l’homme et l’humanité à la place de Dieu sont des comédies de singes savants ».
Comme Carl Gustav Jung je suis seul, lequel dit : « J’avais été égaré par ma passion de la solitude, par ma passion d’être seul ! »
DESTIN (le mien) : s’aider : C’éder. FLUIDE - ATTENDRE - Monter le dernier dans le Train.
Dans le Destin se trouve « le petit lumignon intérieur », le petit cœur, le Soi qui malgré tout est toujours là, à toujours été, et sera toujours. Le destin, le dès teinte la vie.
Une vie digne se trouve hors d’atteinte des jugements et des appréciations d’autrui (la sœur de Jung).
GUERRES DE VENDÉE, en liaison avec l’ensemble comme exposé plus haut avec le synchronisme dans l’Instant. Intéressantes vidéos résumant quelques points clés et mettant l’accent sur le crime républicain ou Nouvel Ordre Français ! Dans les deux vidéos, baissez la bande son plus que forte et sans utilité précise !
Note.
1. Cette même république et démocratie qui traita de façon inhumaine les prisonniers de guerre allemands dans les camps américains et français à la fin de la Seconde Guerre mondiale. (Livre détaillé de James Bacque :
Morts pour raisons diverses).
« Sous-alimentés, sans le moindre abri, privés des installations sanitaires les plus rudimentaires, les prisonniers commencèrent bientôt à mourir d'inanition et de maladie. Du mois d'avril 1945 jusqu'au cœur de 1946, près d'un million d'individus furent anéantis, la plupart d'entre eux dans les camps américains, les autres dans les camps français.
Depuis les atrocités commises au cours de la guerre de Sécession, dans la prison d'Andersonville, administrée par les confédérés, aucune cruauté de cet ordre n'avait été perpétrée sous contrôle militaire américain.
Pendant plus de quarante ans, cet épisode tragique de la Seconde Guerre mondiale resta enfoui dans les archives des Alliés ».
« Les conditions de détention de ces prisonniers furent délibérément entretenues par des autorités militaires, qui avaient pourtant les moyens d'y porter remède. Les organismes de secours se virent interdire l'accès des camps par l'armée.
Ces faits, dissimulés à l'époque, furent démentis lorsque la Croix-Rouge,
Le Monde et
Le Figaro tentèrent d'alerter l'opinion publique. Des dossiers ont été détruits, falsifiés ou gardés au secret. C'est encore le cas aujourd’hui ».
Bien-sûr la vérité est toujours recouverte par plusieurs couches de mensonges.
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