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Modèle de société romaine 4 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-11-2011 01:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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Modèle de société romaine 4

POUVOIR = FORCE = MERDE-FRIC = CONFORT du SÉCURITAIRE
Il est si facile de recourir au sécuritaire dans ce nouveau meilleur des mondes des Couilles en or.
My God ! Que la force est confortable et rase Gratis !

Déjà au temps de Rome, le Dieu n’était pas Jupiter, mais le DIEU FRIC, ce SANG DES TERRIENS

Le SOUVERAIN PONTIF C’EST LE FRIC
 
 
 
 
 
 
Rappel : depuis le 12è siècle en passant par la pointe de montée en flèche à la Renaissance pour aboutir à la Révolution de 1789, le règne de l’OPINION, totalement devenu mature, prend le masque de l’Universel en renversant les rôles : Ce sont les accidents qui engendrent les Essences, ce qui est la marque parfaite du satanisme absolu. Ainsi dans la suite de la République façon 1789 qui finira par donner le système communisme, peut importe de quel pays, se trouve une catholicité (sens d’universalité comme le mot l’indique) en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé.
Le social, la soi-disant trinité franc-maçonne : liberté-égalité-fraternité ne brasse que du sentimentalisme grossier, du dessous de la ceinture et de l’exacerbation des passions les plus viles, comme les villes et cités qui est sont les symptômes, aujourd’hui comme au temps des Romains. Et les passions les plus viles ça fatigue...
Ces francs-maçons qui se prennent pour des Dieux tout en sachant que la majorité, par définition, ce sont les CONS, parce qu’ils sont la matière première de cette entreprise franc-maçonnerie péteuse plus haut que son cul. Par définition même, la plupart, sinon la majorité des sociétés plus ou moins secrètes sont des impérialistes et des dictateurs en puissance. Et le pire des impérialistes, ce sont les cuistres, donc les fabricants d’âmes qui pètent plus haut que leurs culs.
Le savoir genre Alpha et Oméga est une solide prison...


Nous sommes en train de perdre l’ORIGINE pour le remplacer par une origine de fabrication complètement humaine, soit quasiment prétendre « maîtriser » la Nature, donc censé s’être par la même maîtrisé, soit se connaître parfaitement. Or depuis des millénaires déjà ON NE SE CONNAÎT PAS. Seul le labeur de l’Alchimiste peut prétendre « aider le travail de la Nature », de Sa nature. Cependant il existe d’autres voies moins difficiles que l’Alchimie. La civilisation qui veut forger la Nature selon son bon vouloir est damnée par avance !!! Comme déjà écrit sur le site, nous ne sommes que de PASSAGE dans cet Univers.
Le travail de l’humain est condamné à la charité, celui de la Nature est lent, et celui de Dieu est instantané, comme écrivait Louis Cattiaux ; qui écrivait aussi une chose fondamentale : « Celui qui est dans l’erreur essaie de l’imposer aux autres. Celui qui possède la vérité s’efforce de l’appliqué à lui-même. C’est la marque qui ne trompe pas ».

Péter plus haut que son cul c’est vouloir faire mieux que la Nature. Or l’être humain est « la plus chétive des créatures » comme l’écrivait déjà Savinien de Cyrano de Bergerac. En un sens l’Alchimiste a aussi le projet de « faire mieux que la Nature », il veut l’aider, comme rattraper la « Chute dans la matière », c’est pourquoi l’Alchimiste est le ministre du RIEN du TOUT. Car il va au-delà de l’au-delà. Son « utilité » EST RÉDUITE À CELA. Ainsi il ne sera JAMAIS QUESTION DE POUVOIR. Par le passé il y eut accident de pouvoir, donc destructions de mondes...


ACCIDENT.

[ACCIDENS] [INCONVENIENT] Monde du Courant, du fluide. Accident /survenir : contraire de constant/fluide.
C’est le monde des êtres gouvernés par la Nature, hors du domaine « des dieux ». Accident parce que prisonnier de la Matière.
Quand l’homme se fait de l’absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde du temps profane (ou spatio-temporel). Fabriquer ou imaginer un extérieur, en oubliant son intérieur. D’où le danger d’une imagination mal contrôlée. C’est aussi ce qui arrive quand on naît : on entre, comme toute Matière, dans le temps profane ou temps des accidents. Il y usure et fatigue : « l’injure du Temps » ou Chronologie tueuse.

En ce qui concerne la peur que cultive tous pouvoirs à l’égard du peuple, ce n’est pas pour le protéger d’un égarement ou pour renforcer son instinct de conservation, mais pour l’ASSERVIR. C’est le mauvais côté de la peur.
Le bon côté de la peur est pour renforcer, défendre l’instinct de conservation, renforcer la vie, la soutenir. Ce bon côté de la peur s’appelle VIGILANCE : de vigile, veiller sans défaillance. Pour maintenir cette VIGILANCE on se sert donc de la CRAINTE. Dès la naissance, le DANGER, les PIÈGES sont partout, aujourd’hui comme hier. Le principale piège étant la SÉDUCTION, qui va avec l’OPINION. Comme tout est double et selon la loi des Croisements, celui qui est contre la séduction laisse voir qu’il fut séduit !
Être VIGILANT c’est réaliser l’INSTANT pour éviter la PANIQUE. Toute panique est le résultat d’une non vigilance, on est surpris, ou pris au piège, comme la souris attirée par un morceau de fromage et qui n’obéit qu’à son instinct. Tous pouvoirs feront comme celui qui pose le piège à souris : séduire les gens par les bas sentiments, donc le confort ou sécuritaire.
Être vigilant c'est être constamment en APPRENTI-SAGE. Tel est le but du compagnon ou compains.

Prenons garde : Tout est lié. Soyons VIGILANT. Soyons FOUS, comme le poète, l’initié. Ne suivons pas la NORME et sa prison, car rien de paraît plus fou que la sagesse, pour qui s’accroche à la norme, AU BON SENS. Mais de quel sens ? Certainement celui de la tyrannie de l’opinion. Ne pas oublier que derrière ce que certains considèrent comme la folie se cache le mot transcendance, mais aussi le PRÉ Point Focale insaisissable. Fluons, Fluons, Fluons toujours. Ne jamais rester comme de l’eau de tuyau.
 
 
 
Les catastrophes semblent s’accumuler sur l’Italie aux alentours de l’an 100 avant notre ère. Pourtant, cette nation continuait son développement. Les ergoteurs grecs, l’instruction qui se répand, et une re naissance de la technologie rendaient plus sensibles la sévérité du droit antique et certaines superstitions inutiles qui infligeaient des souffrances à tous. Ainsi l’abolition des sacrifices humains qui existaient encore allait être décrété (en 97 avant notre ère selon Pline). On commence à se baser sur l’égalité. Sous l’influence de la Grèce on commence à construire des habitations raffinées et à se cultiver : des personnages aisés s’aventure dans les arts littéraires, etc. La rhétorique (de rhetorica : orateur) se met en place. Évidemment le désordre économique va en s’accentuant, un peu comme à notre époque ! Le même désordre règne dans la politique et donc dans la morale. La débauche ruinait presque toute la noblesse historique de Rome et l’obligeait à vivre d’expédients, de dettes, de rapines (Cicéron en donne des exemples), à rechercher les amitiés et les mariages avec les obscures Couilles en Or de l’époque : les fermiers notamment. Beaucoup de fermiers lisaient le manuel de l’agriculteur du carthaginois Magon ; ils empruntaient un petit capital, plantaient des oliviers et de la vigne, s’ingéniaient à cultiver mieux ; mais par inexpérience, manque de routes, organisation vacillante du commerce, une usure galopante, en empêchaient beaucoup de réussir.

Dans les cités commence à s’ouvrir des écoles de rhétorique pour accueillir de plus en plus d’étudiants. Le latin gagnait le terrain, et toute cette instruction sert bien-sûr pour tout ce qui est lois et règlement !!! Comme les États-Unis sont la patrie des avocats, l’Italie des Romains était, aussi, la patrie des avocats de ce temps ! Mais comme ils devenaient trop nombreux, ils ne trouvaient pas de clients à défendre !!!
Beaucoup d’Italiens s’enrichissaient à Délos dans le commerce des esclaves, achetant et vendant les hommes volés par les pirates sur tout le pourtour méditerranéen. Les fermiers, tous Romains et italiens, soutenus par les gouverneurs, pillaient la province, y commettaient toutes sortes de fraudes et de violence, poussaient les gens à faire des dettes pour payer les impôts, leur empruntaient l’argent et peu à peu leur prenaient leurs biens ; ils s’entendaient même avec les pirates pour qu’ils puissent accaparer des hommes afin de les revendre en Italie. Ainsi de grande fortune se faisaient et d’autres s’effondraient ! La violence et la ruine s’amplifiaient, les esprits commençaient à s’échauffer, un peu comme maintenant mais nous n’y sommes pas encore à fond.

Les déclassés, les désespérés, les marchands désillusionnés, les propriétaires ruinés encombraient de plus en plus l’Italie à côté d’un petit nombre de Couilles en Or ! L’oligarchie monte en puissance, comme aujourd’hui. Une oligarchie composée d’un peu de noblesse romaine, des restes des anciennes noblesses locales d’Italie, de chevaliers, de plébéiens, d’affranchis ; tout ce monde accaparait les terres d’Italie, pillait l’Asie, amassait d’immenses richesses au milieu de la haine qui devenait universelle !!!
Pendant ce temps les finances publiques étaient ruinées, les esclaves commencent à se révolter.
S’il y a une chose bien universelle et de toutes époques, c’est LE DÉSORDRE PROVOQUÉ PAR LE FRIC.

Supprimez le commerce des esclaves dans la Rome antique, en passant par les États-Unis du 19è siècle jusqu’au milieu du 20è siècle en Afrique, et vous ruinez l’économie mondiale ; aujourd’hui supprimez la vente d’armes en tous genres et des drogues en tous genres, et vous ruinez également l’économie mondiale. Et les femmes étaient des « potiches » jusqu’à il n’y a pas si longtemps, lorsqu’elles accédèrent enfin au droit de vote, et n’étaient plus censées faire de la chair pour les usines et de la chair pour le casse-pipe contre les « terroristes » !

Déjà, toujours autour de la période de l’an 100 avant notre ère, l’argent est la source de désordre principal. La noblesse aigrie par sa pauvreté et par l’insolence des parvenus, regrettait sa puissance de jadis. Elle réclame des lois sévères contre les abus du capitalisme ! Toute une maffia, comme maintenant, s’installe aux principaux rouages de l’État pour faire régner la fraude, la corruption électorale et la violence : le FRIC devenait à Rome, comme autrefois à Carthage, le but unique de la vie et la mesure suprême de la valeur universelle. Ainsi cela fait 2000 ans que ça dure !
Les écoles de rhétorique faisant naturellement des ravages : des révoltés, des déclassés, des scélérats : « Celui qui étudie le grec devient une canaille » disait-on communément. Un édit frappe d’interdit ces écoles de rhétorique à Rome. Les faiblesses de la répression encourageant les scélérats, les criminels, les vols, les drames de familles devenaient plus nombreux. La famille romaine ne remplissait plus les fonctions disciplinaires et judiciaires que la constitution lui attribuait autrefois. Le législateur ne s’occupait plus du tout de l’aspect familiale. Les délits prévus par la loi demeuraient presque toujours impunis, s’ils étaient commis par des citoyens romains.
L’ancien droit romain était grossier et ne connaissait d’autres peines que les corporelles avec des coups ou la mort, car la prison n’était pas une peine et les accusés n’y restaient que pour attendre leur jugement, l’acquittement, ou la condamnation aux verges ou au supplice. La troisième peine était l’exil en dehors de Rome, à Naples par exemple ! pour les coupables il était facile d’échapper à ces châtiments.
Voilà le « meilleur des mondes » à la Romaine, aussi plein de personnes veulent se faire citoyen romain ! c’était comme en 1789 une aspiration révolutionnaire qui grandissait dans la classe moyenne de l’Italie, au grand effroi des conservateurs. Pourtant cette classe moyenne criblée de dettes haïssait Rome et son oligarchie politique. À cela il faut ajouter la contamination par les ergoteries des philosophistes grecs : d’innombrables contradictions et doctrines en forme d’OPINIONS.

RHÉTORIQUE = OBSCURANTISME et PERTE DE TEMPS


À Rome on divisait à n’en plus finir et on discutait sans fin sur le bien et le mal, sur les malheurs de Rome, si bien que personne n’agissait ! Tel Berlusconi considéré comme un sauveur à ses débuts en politique, l’Italie se fait refourguer un nouveau sauveur tout aussi Couilles en Or que le Berlusconi et en plus technocrate : Mario Monti. Mais c’était pareil à la Rome de l’An 100 avant notre ère ! LE RÈGNE DES COUILLES EN OR DATE AU MOINS DE 2000 ANS !!! Aujourd’hui les principales Couilles en Or sont Goldman Sachs : les sacs d’Or du man, ou la mise à sac des mines.

« Les caisses de l'État étaient vides ; les capitalistes effrayés cachaient leur argent, ne voulaient plus prêter et s'efforçaient au contraire de faire rentrer leurs créances ; la monnaie devenait rare à Rome et celle qui circulait était le plus souvent fausse ; un préteur qui voulait réfréner la cruauté des créanciers fut assassiné, un matin, par une poignée de capitalistes tandis qu'il offrait un sacrifice ; Rome était pleine de tumultes, d'assassinats, de vols, de rixes entre les vieux et les nouveaux citoyens », écrit G. Ferrero dans : Grandeur et décadence de Rome. En attendant la chute, au Sébat on étudie des projets de lois... comme maintenant !
Inutile de dire qu’à Rome, ce n’est plus une oligarchie qui règne, mais une PLOUTOCRATIE (un gouvernement par les Couilles en Or).

Rappel : les banques de ce temps étaient, déjà, tenues en certains endroits par des croyants de la foi de Moïse.

ITALIE ROMAINE = PLOUTOCRATIE

ORGUEIL, PÉDANTISME et RIDICULE, BASSESSES et BÊTISES = DÉMOCRATIE



Le ROI, ce Magistrat suprême.

En fait, le mot démocratie est censé dire que le peuple choisit son « Père », celui qui le représente, celui qui l’éclaire. Or il n’existe qu’un symbole pour cela : le ROI. Mais alors, qui élit le roi ???
Le peuple bien-sûr. L’idée reçu qui voudrait que le roi soit une fabrication par héritage de famille en famille n’est que récente. UN ROI EST ÉLIGIBLE PAR LE PEUPLE. Et à Rome on s’est posé la question qui élira le roi, le fut le Sénat qui reçut le privilège d’accorder l’investiture au personnage désigné par le peuple, en d’autres termes, le peuple se bornait à émettre un souhait. En ce sens il devait se passer la même chose chez les Anciens Égyptiens, du moins à certaines époques. Ainsi le peuple peut être consulté pour choisir parmi le vivier des élites, ce qui est la moindre des choses, puis c’est un collège qui décide de sélectionner le futur roi ou pharaon.
Il reste le gros problème des élection, car le suffrage dit improprement universel, la république se cachant derrière l’universalité alors qu’elle n’est qu’une tentative d’organisation humaine, est une escroquerie, comme tente de le démontrer les études d’Étienne Chouard sur l’élection par tirage au sort, qui peut paraître à première vue absurde. Comme expliqué à la série de pages sur la Taocratie, une élection peut prendre des formes complexes n’ayant rien à voir avec la moindre élection que nous connaissons aujourd’hui. Et à Rome comme chez les Anciens Égyptiens, le spirituel s’accordait sur le pouvoir politique, à Rome on consultait les auspices, les augures, les jours fastes. Pierre Grimal dans La civilisation romaine, écrit que dans ce système des jours fastes ou néfastes pour valider une élection, le système ne tient pas compte du peuple, sauf si le peuple est en ACCORD avec ses institutions et si celles-ci ne le trompe pas ! De nos jours le suffrage dit universel est aussi une supercherie, on croit voter pour le président de la république de son choix et c’est le candidat qu’on ne voulait pas qui est élu, on trouve cela injuste ; puis tout le monde sait que c’est la finance qui mène le monde et tire les ficelles, et fait placer qui elle veut à la tête d’une nation... À Rome comme dans toutes zones qui se bombarde aujourd’hui de « république » et de « démocratie », on ne fait que SAUVER LES APPARENCES.

Mais à Rome un certain sens du SACRÉ existait encore, et on croyait au présage pour l’accession au pouvoir d’un magistrat. À Rome « l’acclamation populaire » était une variante du thème élection. Par exemple les soldats, si nombreux en ces temps de guerres perpétuelles, comme aujourd’hui, adressent leurs acclamations à leur général victorieux sur le champ de bataille. Ce n’est pas un signe de plus envers un magistrat déjà nommé comme général, mais une coutume qui garantit la tradition, l’origine, soit une qualité.

Le roi était donc le Magistrat suprême dans la Rome antique, puis il se transforma en CONSULS, ces magistrats de la forme politique républicaine romaine. Puis vinrent les sénateurs.
SÉNAT : synonyme de CURIE. Assemblée de notables qui existe dès la royauté et représente de nos jours et même à la Rome antique le pouvoir essentiel sous une république, et surtout avant l’émancipation plébéienne, puis il voit son rôle réduit sous l’empire où il représente l’opposition « républicaine ». Le Sénat fut peu à peu éliminé de la marche des affaires par les empereurs. C’est la classe et le vivier des chevaliers (ordre équestre) qui fournira un grand nombre de fonctionnaires impériaux. Pierre Grimal écrit que Rome doit au Sénat ses plus décisives victoires, son rayonnement de grande puissance, les premières tentatives d’organisation des provinces.

Le mot CENSURE date des romains : les Censeurs sont au nombre de deux, élus pour cinq ans, avec la coutume qu’ils se démettent de leur charge au bout de dix-huit mois ! Leurs missions : les statistiques avant l’heure : recenser les citoyens et les biens, de façon à procéder au classement systématique de chacun d’après son « cens », donc sa fortune. On voit bien là encore une tare du Grand Administrateur : SATAN. De nos jours c’est encore pire, nous sommes tous sous contrôle d’un quelconque pouvoir économico-politique. Les Censeurs romains devaient aussi « noter d’infamie » qui ils voulaient, en raison de sa conduite privée. Leur pouvoir à cet égard est quasi discrétionnaire ; aussi la tradition voulait-elle que l’on choisit comme censeurs des personnes unanimement respectés, parvenus au terme de leur carrière politique.

RÉPUBLIQUE = DICTATURE EN CAS DE CRISE


C’est-à-dire que lors de troubles, on tombe dans la dictature de l’état d’exception (état d’urgence). On voit ce qu’il s’est passé aux États-Unis et dans le monde après les attentats du 11 septembre 2001 ! Tous troubles politiques graves tombent dans la dictature. À Rome, la dictature échappe à la collégialité ou collectivité. Comme pour Dieu, il ne peut y avoir qu’un seul dictateur !!! Il est dangereux et aventureux comme le fait Pierre Grimal de tenter d’associer dictature et royauté, sous prétexte qu’il n’y a aussi qu’un seul roi ou une seule reine. La dictature façon Romains semble spécifique puisque aussi chargé de spiritualité et de rites, par exemple le dictateur était chargé de planter rituellement un clou dans une paroi du Capitole. La signification de cette action ne nous est pas connue, et ne pouvait être accompli par personne d’autre qu’un dictateur. Cependant l’expression « enfoncer le clou » indique une SOUFFRANCE !
Avec les Romains où tout est réglé comme du papier à musique, un dictateur ne « pouvait s’élire » que pour six mois !!!

En résumé : on peut se demander comment Rome s’est écroulé, tant cette civilisation s’est construite un ensemble de règles et de lois à n’en plus finir. Tout simplement c’est le manque de simplicité, de NATUREL qui provoqua sa chute. LE MANQUE DE FLUIDITÉ.
NOUS SOMMES ARRIVÉ COMME AU TEMPS DE ROME !

Prenons garde : Tout est lié. Soyons VIGILANT surtout, car nous ne sommes plus que le bétail des Dieux de la finance, SURTOUT FIN 2012. Et n’oublions pas Fukushima ni le nucléaire.


[Références à : La civilisation romaine, de Pierre Grimal ; et Grandeur et décadence de Rome, de G. Ferrero]



La MERDE NUCLÉAIRE vu par les Japonais scatologiques. Il est vrai que MERDE = FRIC = ÉNERGIE. Donc c’est bien vu.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 15-11-2011 03:05

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