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La République des Petits Pères la Morale Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-11-2011 22:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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La République des Petits Pères la Morale
La République franc-maçonnique et ou la mort
Maintenant c’est la République Et la mort !
 
 
Comment construire un monde « objectivé » au travers de
la langue écrite
 
 
 
Partout où se porte la démocratie, elle fait des milliers et des milliers de morts.

Le temps n’est plus à cette affiche qu’on peut voir dans la troisième partie du film de Raymond Bernard : les Misérables, d’après Victor Hugo :
« La République ou la mort »
Citoyens.
L’ébranlement révolutionnaire a fait dans Paris des fissures par où coule la souveraineté populaire.
Nous voulons la fin des oppressions, la fin des tyrannies, la fin du glaive, le travail pour l’homme, l’instruction pour l’enfant, la douceur sociale pour la femme.
L’égalité, la fraternité, le pain et le droit de penser pour tous !
Citoyens,
Nous voulons vivre libre ou mourir pour la liberté !
Vive la république.
Paris, le 5 juin 1832.
 
Non, non, ce n’est pas la traduction d’une affiche des bolcheviks de l’équipe de Lénine, c’est bien une publicité franc-maçonnique d’époque 19è siècle sous emballage « République » !

Vous remarquerez que le « droit de penser pour tous » inaugure une autre tyrannie, celle de l’opinion ! Et que le mot « citoyen » rejette les habitants des campagnes, ou paysans, ou PAÏENS, ou PAGIEN, ou PAYS.

« Le travail pour l’homme » : future société industrielle et esclavagiste.
« L’instruction pour l’enfant » : voir plus bas à propos d’humanisme et de fabrication des pensées.
« La douceur sociale pour la femme » : la bonniche au foyer pour faire de la chair à canons et à Couilles en Or.
« Droit de penser pour tous », c’est hallucinant, ils ne l’avaient pas avant ? L’Église de Rome lavait tellement plus blanc les cerveaux que les médias maintenant ? En tous cas nous sommes tombés sous le joug de la tyrannie de l’opinion et de la laïcité, cette religion franc-maçonne.

MY GOD, délivrez-nous de la République universelle, de son humanisme, et de ses tyrannies de l’opinion et de la laïcité.
Avec les francs-maçons : l’enfer sur Terre : tous les êtres humains sont égaux ! Le bétail mange la même bouffe au même râtelier.

Le franc-maçon Jules Ferry frappe encore depuis l’endroit où il se trouve : le pouvoir mélange maintenant la convention « humanisme » l’histoire, la géographie, la littérature et tous les arts. C’est nouveau, comme la théorie du GENDER (court-circuit entre sexe et société)(1), et c’est franc-maçonnique, puisque c’est la liberté de choisir... Les petits pères des peuples et pères-la-morale ont encore frappés. Il est connu qu’un maximum de francs-maçons sont dans l’éducation nationale et dans la police : l’ordre, toujours l’ordre du Grand Architecte Satan et de ses compas et équerres.

HUMANISME :
1765, plein pot dans le « siècle des loupiotes » : « philanthropie », de humaniste, d’après l’allemand Humanismus.
Sens de 1845 :  Théorie, doctrine qui prend pour fin la personne humaine et son épanouissement, comme le font les communistes ou la république : dans le principe est la matière et non le Verbe (les essences). Cela donnera les existentialistes de Jean-Paul Sartre, le libéralisme, « les pays industrialisés » comme on dit maintenant, etc.
Sens de 1877 : Mouvement intellectuel européen de la Renaissance, caractérisé par un effort pour relever la dignité de l’esprit humain et le mettre en valeur, et un retour aux sources gréco-latines. Nous en vivons le triste résultat...
Formation de l’esprit humain par la culture littéraire classique ou scientifique. (D’après le dictionnaire Le Robert).

Ainsi c’est cette dernière définition que l’éducation obligatoire nationale veut ajouter à la fabrication des futurs esclaves des Couilles en Or... et des francs-maçons.

Voir la page : Horreurs de l’humanisme

RAPPEL : l’opinion qui veut qu’existe un rapport entre éducation et alphabétisation et développement social a été fabriqué de façon radicale par le killer Luther au 16è siècle, plein pot dans la Renaissance, avec mise en place de l’instruction obligatoire. Bien-sûr tout retard de l’humain sera mis sur le dos du diable ou à une quelconque « colère divine » amenant la peste, la syphilis, les guerres et les tyrans de l’époque.
C’est depuis Luther que le sens littérale prime, on a pas à imaginer autre chose, c’est circulez ya rien à voir. « Il faut revenir au texte ! ».
De plus l’invention de l’imprimerie ayant rendu les documents accessibles au plus grand nombre : début de la naissance de l’opinion, l’imprimerie a ainsi joué un rôle déterminant pour le développement de l’Europe.
Avant la Réforme des killers Luther, Francis Bacon et compagnie, le mot SCIENCE possédait le sens de SACRÉ, après la Réforme ce mot se transforme en TECHNIQUE.

Ah l’usage des « lettres » ! qui permet à certains de croire que le savoir lire, écrire et compter fabrique le gentil, et que celui qui n’est pas façonné par les autorités sera naturellement le méchant. Ainsi tout déclin du niveau d’instruction constitue une menace pour le pouvoir dit démocratique et de la sainte Croissance dans la ligne droite du dogme de l’évolution à la Darwin.
La démocratie est spécialiste de la colonisation des peuples, bien-sûr sous couvert d’universalisme à la mode franc-maçon.

« On est pas des imbéciles, on a même de l’instruction, au lycée Papa, au lycée papi, au lycée Papillon », comme dans le refrain de la chanson de Georgius (vidéo ci-dessous).

Ne jamais oublier que l’invention de la langue écrite est un INSTRUMENT DE POUVOIR, et de RATIONALITÉ : pouvoir étatique royal, contrôler les marchés et la finance, collecter les impôts, contrôler les fonctionnaires.
Par exemple au temps des Sumériens, leurs textes sur des tablettes d’argile ne concerne QUE des enregistrements de besoins administratifs ; et lorsque des textes littéraires ont été écrits, à partir de 2600 ans avant notre ère, ils l’ont été dans cette « écriture administrative ». Bref, leur écriture était une sorte de formulaire, comme une abaque.

« Ce sont des signes dénués de signification, reliés à des sons qui n’en ont pas davantage qui donnent sa forme et son sens à l’homme occidental », écrivait Mcluhan en 1962 dans : La Galaxie Gutenberg.

Les grands-pères des geôles (loges) maçonniques furent, et sont encore, les CLUBS. De nos jours voir par exemple celui du Siècle, qui fait parler de lui sur le web car c’est une groupe de riches et influents personnages qui pètent plus haut que leur cul, mais vraiment plus haut !!!
En 1793, pendant les horreurs du génocide en Vendée, les districts de Bressuire et de Thouars étaient sous la coupe d’une armée de révolutionnaires commandée par Pierre Quétineau, et qui devait combattre les « brigands » (nos actuels « terroristes »). Armée c’est beaucoup dire tant les « soldats » étaient indisciplinés, mal armés et corrompus par l’esprit des clubs genre des philosophistes. Quétineau était un spécialiste de la retraite, il faisait systématiquement replier ses troupes.

Quétineau est bien-sûr rappelé à l’ordre par la Convention, pendant que les blancs (les royalistes vendéens) gagnent du terrain, et pendant que les soldats de l’armée de Quétineau ne pensent qu’à rentrer dans leur foyer ; tout en reprochant au général Quétineau de ne pas les mener au combat ! La famille de Quétineau est menacée. les Soldats de son armée, des Poitevins, prennent la fuite.

RAPPEL : les « Brigands » de l’époque (nos actuels terroristes) sont les paysans vendéens qui voulaient garder leur roi et qui luttaient contre la tyrannie des républicains (les Bleus). Voici un extrait d’un détail d’une attaque par les « Brigands » contre l’armée de Quétineau :
« Les « brigands » de tous les points de l'horizon accourent sans interruption. Leur flot déferle contre les murailles, qu'ils attaquent à coups de piques. Monté sur les épaules d'un paysan, Texier, Henri de la Rochejaquelein donne le signal de l'assaut. Des grappes d'hommes s'accrochent aux pierres des remparts, se hissent au sommet, tombent dans les jardins, débordent dans la ville. Les bleus les fusillent à bout portant ; mais ce flux de vingt mille hommes monte toujours plus pressé, plus terrible. Les bleus reculent ; ils se forment en carré sur la place d'armes ; alors, les grandes faux des paysans les moissonnent.
Les habitants, fous de terreur se barricadent chez eux. Soudain, vers cinq heures, on voit paraître sur une des terrasses du Château Quétineau, escorté des membres de la municipalité et du juge de paix. Redon-Puy-Jourdain, qui porte le drapeau blanc des parlementaires (rapport d’un mémoire). Les autorités civiles, d'accord avec le général, ont décidé de capituler (Archives nationales W.338) et le cortège se dirige vers la porte de Paris, à la rencontre de d'Elbée commandant en chef des « brigands ».

Bref, les Vendéens ont gagnés pour cette fois-ci. 3000 républicains sont libérés par les Blancs ; de par leurs officiers on exige par serment qu’ils ne portent plus les armes contre le roi Louis 16. Beaucoup s’engagent alors dans l’armée royaliste. Quétineau fut prisonnier à Thouars, il fut aussi libéré et muni d’un sauf-conduit il pouvait aller où bon lui semblait, à la même condition de ne pas porter les arme contre le roi. Quétineau fut arrêté et conduit devant une sorte de Jean Valjean avant l’heure : Carra (ancien forçat évadé devenu journaliste et député), qui le libéra en lui donnant la « ville pour prison » (lettre de Carra au Comité de Salut Public).

Mais les révolutionnaires du Comité de Salut Public suspect Quétineau de faiblesse dans ses actions militaires, et de trahison contre la République ; cependant il ne fut pas inquiété.
Quétineau fut arrêté ainsi que sa femme et ses enfants. Carra tenta de s’interposer, il le paya de sa tête qui tomba dans le panier à Tours en 1793. Quétineau et sa famille sont sous surveillance à Paris au 22 rue de Rohan. Il put vivre là pendant un été mais avec des soucis d’argent car on ne se hâtait pas de lui payer sa solde de général. On l’oubliait.
Quétineau est maintenant qualifié de « traitre », car considéré comme un ami de Carra. Nous sommes exactement en plein système révolutionnaire des bolcheviks : ils ont tout copié sur 1789 !
Quétineau est aussi accusé d’avoir eut des « liaisons intimes » avec Dumouriez « cet être vendu au despotisme et à la tyrannie des cours de Vienne, de Berlin, de Madrid et de Londres, dont La Rochejaquelein et autres n'étaient que les lieutenants ». Et voilà le parrain que Quétineau avait choisi à son fils ! Donc preuve de trahison...

« Le tribunal, faisant application de la loi, condamne Pierre Quétineau à la peine de mort ; ordonne que ses biens seront confisqués au profit de la Nation [racket d’État identique au communisme soviétique] et qu'il sera procédé à l'exécution du jugement, dans les vingt-quatre heures, sur la place de la Révolution ».
Mais dans le tribunal, la femme de Quétineau crie « Vive le roi ! ». On imagine la réaction des républicains ! Arrestation immédiate, cachot de la Conciergerie, pendant que sont mari est conduit à la mort.
« Peut-être attendait-elle de cette audience comme la fin de ses misères ? Elle avait tant souffert, transplantée dans ce Paris fiévreux, hostile, séparée de ses enfants, campée en garni, rue de Buci, tout près de la prison de l'Abbaye, pour être mieux à portée de réconforter le prisonnier...
Et voilà qu'au lieu de décerner à son mari les éloges, la récompense que méritait sa fidélité, la Nation le condamnait à mort, comme un criminel ! En entendant l'arrêt, la malheureuse, folle de douleur, n'avait trouvé, pour protester contre tant d'injustice, que ce cri si souvent poussé à ses oreilles par les Vendéens dont elle regrettait brusquement que son mari n'eût point suivi la fortune : Vive le roi !

« Le surlendemain de son arrestation (18 mars), Marie-Anne Quétineau subissait un premier et unique interrogatoire. Précisément, Foûquier-Tinville préparait une importante affaire, celle de Hébert « et dix-neuf autres de son honnête compagnie ». Quoi de plus simple que d'ajouter un nom sur cette liste déjà longue ? ». Il est si facile de faire tomber des têtes en ces temps de révolutions...
On ne s’occupa de Marie-Anne Quétineau (née Marie-Anne-Catherine Latreille) que pour la condamner à mort.
Elle avait 34 ans, étant née à Montreuil-Bellay en 1760. Dans la prison de la Concergierie, là pendant que les quatre commis de Sanson (terme générique pour le bourreau) procédaient à la toilette des malheureux alignés sur des bancs autour de la pièce, échancraient les chemises, coupaient les cheveux qu'ils jetaient pêle-mêle dans un panier, Marie-Anne Quétineau sortit du silence d'agonie où elle était plongée.
Soit qu'elle connût la loi, soit plutôt qu'elle fût conseillée par quelqu'un de ses compagnons d'infortune, elle s'adressa au commis-greffier Grébauval ; elle avait, lui dit-elle, à faire une révélation ». Elle était enceinte de quatre mois. Son exécution est retardée. Hélas le malheur fut qu’elle fit une fausse couche. On lui délivre un certificat de convalescence. Mais c’est sans compter sur Fouquier-Tinville qui ordonne son exécution (lui aussi passera à la casserole) ; ainsi la Terreur fit une victime de plus.

(Pour la période révolutionnaire, référence à Gustave Hue).

« Nous voulons vivre libre ou mourir pour la liberté ! »
« L’égalité, la fraternité, le pain et le droit de penser pour tous ! »
Est-il écrit sur l’affiche républicaine de 1832 censée illustrer les « désirs du peuple », qui peuvent fort bien être ceux de la franc-maçonnerie et de sa propagande !

« Vive le Roi ! » conduisit un grand nombre indéfini de « Brigands », ou « terroristes », ou « ennemis de la liberté » à la mort. Comment un être humain peut-il être un « ennemi de la liberté » ?
LIBERTÉ DE PENSER MON CUL OUI ! ET C’EST PAREIL EN CE MOMENT.


Il est probable que suite à la Révocation de l’Édit de Nantes beaucoup de protestants français se réfugièrent en Angleterre, et que certains durent occuper de hauts postes francs-maçonniques. Il est connu que Voltaire et nombre de fabricants de l’Encyclopédie de Diderot étaient francs-maçons, et que des opinions dont ils se firent les propagateurs venaient des philosophistes genre John Locke, Francis Bacon et compagnie. L’Affaire du Collier de la Reine est aussi une machination de la franc-maçonnerie spéculative, qui venait juste de naître en Angleterre en 1717.

La secte de 1789 possède une constitution imitée des institutions anglaises ; il y avait alors à Londres deux sociétés, l’une dite de la Constitution, l’autre de la Révolution, qui s’occupaient exclusivement des affaires de la France. Plus tard les Girondins et les Jacobins s’accuseront réciproquement d’être des agents de l’Angleterre...
Napoléon Bonaparte appuiera son pouvoir sur la franc-maçonnerie. Sous la Restauration (retour à la monarchie) la franc-maçonnerie commence à conspirer...



Note.
1. Pourquoi en Occident, on analyse tout, on coupe on divise on étiquettes : Marina Castaneda écrit dans : Comprendre l’homosexualité : « On ne naît pas hétérosexuel ni homosexuel [déjà deux étiquettes], et on est jamais ancré dans une orientation ou l’autre de façon définitive, même tard dans la vie, on peut se découvrir une attraction ou un amour contraire à son orientation habituelle [sic]... Les gens peuvent changer d’orientation selon leurs besoins ou désirs, ou selon les étapes de la vie. Et cela prouve bien que l’orientation sexuelle n’est pas fixe ; elle peut varier, quand les conditions sociales, idéologiques et personnelles le permettent ». M. Castaneda résume ce qui est plutôt une mode comportementale du moment : le Gender, mais certainement pas une « théorie ». Bref, ce « machin là » fait encore partie de l’humanisme... Mais c’est sûr que ça remue le thème de la famille.
 
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 20-11-2011 23:31

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