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Personne ne pose la vraie question Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-12-2011 21:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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Personne ne pose la vraie question
à savoir : Qu’est-ce que l’être humain ?
et Quelle est sa place sur Terre ?
 
 
 
Car le chaos est devenu tel, et jusqu’à présent sans encore trop de morts et de ruines, mais ça ne peut tenir longtemps, qu’on ne peut résoudre le dilemme qu’en posant la vraie question : « QU’EST-CE QUE L’ÊTRE HUMAIN ? »

Seul, ce questionnement et sa réponse rendra libre l’être humain, lui permettant alors de réellement être en ACCORD avec la MATIÈRE, sa MATIÈRE et en faire des choses merveilleuses ; ainsi en une osmose parfaite permettant, par exemple, de dématérialiser une surface dure pour en faire une porte, puis de rematérialiser cette surface pour « fermer la porte ». Seule cette libération permettra ce « rêve », et par la même un contact avec les autres formes de vie extraterrestres plus avancées que nous.
 
Avec ce qu’il se profile d’ici 20 à 150 ans, l’être humain ne devrait plus longtemps errer dans son existant ou esclavage, il est avant tout un être qui se regarde exister. L’être humain n’est vraiment libre, ne prend vraiment conscience de sa liberté, de l’essence ontologique de sa liberté, que lorsqu’il est devenu à lui même son propre problème, lorsque son âme est devenu objet de connaissance pour l’Esprit, lorsque le ‘Je’ ou Soi s’est soumis le soi ou ‘je’.

Il devient urgent de sortir du bourbier « démocratie », lequel est devenu synonyme de tyrannie, de PROPRIÉTÉ, ou de total attrape-couillons.
Attrape-couillons pour les esclaves ou « petites gens », ce que d’autres appellent « la masse », donc les patates à peler... Des veaux à mener à l’abattoir : « L’homme seul, l’animal redoutable aux réactions imprévisibles qu’ils n’estiment maniable, comme les taureaux d’Andalousie, qu’en troupeau », écrit Georges Bernanos.
Ainsi le principe « Un pour tous, tous pour un » est parfaitement appliqué par exemple dans la société de la pègre, donc dans les banques !!! mais aussi dans la maffia et autres sociétés secrètes où le copinage est érigé en système.
Le concept de démocratie n’existe pas : « Tout homme doué d’un minimum de sens historique devrait comprendre que la mystique démocratique survit bien qu’absolument isolée du fait démocratique qui devrait lui correspondre ainsi que l’âme séparé du corps », écrit Georges Bernanos dans : La France contre les robots.
La « démocratie » n’est qu’une étiquette, une CONVENTION de plus. « Un idiot devrait comprendre que le suffrage universel doit devenir rapidement, sous un Régime Capitaliste, un trust comme les autres, et dans un Régime socialiste à tendances totalitaires, un instrument de puissance au service de l’État - ce qu’il était d’ailleurs en Allemagne. Car c’est le plébiscite [de plèbe] qui a fait Hitler, Hitler est sorti des entrailles du peuple, les peuples aussi font des monstres, il n’y a même qu’eux, sans doute, qui soient capables d’en faire [pour cause de non connaissance et de pauvreté du vivier à élites] », écrit Bernanos.

« L’égalité prolétarise les peuples, les peuples deviennent des masses, et les masses se donneront toujours des tyrans, car le tyran est précisément l’expression de la masse, sa sublimation. On ne fait pas une société avec des masses, et sans société véritable [connaissance de ontologique de l’être humain], pas de liberté organisée. Si vous voulez être libres, commencez donc par refaire une société, imbéciles », écrit superbement et prophétiquement Georges Bernanos.
Il poursuit : « Le monde réaliste moderne dans sa hideuse cupidité, dans son cruel orgueil, a non seulement corrompu les traditions, les institutions, les lois, mais il a aussi corrompu les hommes. Pour refaire une société digne de ce nom, il faut refaire des hommes ». Bernanos dit exactement la même chose que Jean Coulonval, Ramana Maharshi, etc.

C’est la masse du peuple (ou le réseau) qui créée le tyran. Je cite à nouveau Fernando Pessoa et son « Banquier anarchiste », qui va dans le même sens que la réalisation du Soi ou Instant cité plus haut et sur nombre de pages du site : « J’ai dit que nous devrions travailler dans le même but [trouver la liberté], mais séparément [c’est-à-dire à l’opposé du mouvement actuel baptisé : « les indignés » qui ne peut créer que de la tyrannie]. Si nous travaillons tous pour la cause anarchiste, chacun de nous contribue à détruire les fictions sociales [les conventions et opinions], ce qui est notre but, et à créer la société libre de l’avenir ; mais en travaillent séparément, nous ne pouvons absolument pas créer de tyrannie nouvelle, puisque aucun de nous n’agit sur les autres [opinion] et ne peut donc, en les dominant, réduire leur liberté ni, en les aidant, l’amoindrir ».
C’est-à-dire qu’il suffit d’appliquer toujours cette loi de la Nature énoncée en son temps par Cyprian Piccolpassi Durantoys, que je ne me lasserai jamais de citer : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu ». (Note du mode de faire des mélanges du Livre 3, des 3 Livres de l’Art du Potier). Effectivement, ce sont les microbes ou ‘chouses’ naturelles qui vaincront les « grands ou ‘princes’ de ce monde », donc tous les Satan !!!

Je rappel que le mot ANARCHIE signifie : absence de chef, donc « Plein de petits moteurs valent mieux qu’un gros qui peut casser ». Mais le mot Anarchie ne veut pas dire systématiquement « absence de règles et compas » des francs-maçons, non, il est très bien illustré dans la nouvelle de Pessoa, où il précise : « Si nous travaillons ainsi, séparément, au même but anarchiste [se libérer des gens de pouvoir], il en résulte deux avantages, l’effort d’ensemble, et l’absence de toute nouvelle tyrannie. Nous restons unis puisque nous le sommes moralement et que nous travaillons de la même façon pour la même cause [la liberté] ; nous restons anarchistes, puisque chacun travaille pour la société libre ; mais nous ne trahissons plus notre cause, volontairement ou non, et nous ne pouvons même plus le faire, car nous échappons, en agissant isolément, à l’influence délétère des fictions sociales [conventions et opinions] qui marquent de leur emprunte héréditaire les qualités que la Nature nous a accordées », oui, puisque nous nous sommes coupés de la Nature depuis la Chute du Jardin d’Eden.

Tout comme en politique, la Gauche ou la Droite, ça ne devrait pas exister, sinon c’est exactement une forme de racisme comme avoir l’opinion d’être contre un groupe d’individus ! ou se prendre pour le « peuple élu ». Cette division violente et guerrière perpétuelle vient évidemment de 1789 où le roi n’est plus là pour symboliquement souder le peuple :
LA GAUCHE : les membres d'une assemblée politique qui siègent à la gauche du président et professent des idées avancées, progressistes. La fraction de l'opinion que représentent ces membres de l'assemblée. Bizarrement on parle de quelqu’un « il est gauche », pour l’étiqueter de maladroit ! D’ailleurs senestre veut dire gauche et vient de SINISTRE. Dans la Bible les damnés vont à gauche ! Au Moyen-Age chrétien la Gauche c’est le côté femelle, la nuit et le satanisme. Chez les Celtes la Gauche est néfaste et la Droite bénéfique. En politique la Gauche symboliserait la recherche puisqu’il y aurait insatisfaction et recherche d’une plus grande liberté (sic).
Le mot DROITE signifie : honnête, loyal, sincère, etc. Évidemment qui dit ligne droite dit « libéralisme », dans la vision euclidienne des ergoteries grecques.
Pour ces divisions politiques en Droite et Gauche plus le Centre, leur naissance vient encore probablement de l’époque de la Renaissance. Bizarrement la Droite serait plutôt franc-maçonnique, donc à fond dans le « liberté-égalité-fraternité » républicain, mais plutôt socialiste, donc de gauche !!!

Un autre mot explosif à cause de notre époque de brisures de toutes sortes, et de la coupure invraisemblable de l’être humain d’avec la Nature : LA TRADITION.
Ce mot possède le sens de FLUIDITÉ, de TRANSPARENCE, donc de TRANSMISSION.
TRANSMETTRE : mettre en transe, en passage (trans) pour la continuité de la TRADITION (trans-diction).
Il est totalement imbécile d’associer le mot Tradition avec la Droite, « extrême » ou non ! Et le mot Progrès à la Gauche. C’est source de violences continuelles car basé uniquement sur des conventions et opinions.

« Seul peut reposer l’équation de l’homme celui qui a souffert dans les profondeurs les plus intimes de l’âme, et qui a été conduit à être à lui-même le propre objet de sa connaissance », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveau.


Depuis l’époque de la Renaissance et suite à la monté crescendo de 1789, c’est le LIBÉRALISME, donc on FACILITE LA CIRCULATION, non seulement du FRIC, mais comme nous sommes « égaux », « libre » et « fraternelle », on gesticule, on parle beaucoup, on échange à toute vitesse des idées comme on échange du fric, une idée appelant l’autre, comme dans notre société de consommation du jetable, et de la profusion des images produites par les médias comme dans le déroulement des rêves. C’est la définition de l’OPINION. J’ajoute celle de Jean Coulonval : « J’appelle « opinion » toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant. Dans cette vision des choses, aucune doctrine ne peut être immuable parce qu’elle a sa source dans le temps ».

Depuis des millénaires, le monde ne s’est jamais organisé pour la vraie Paix. Il ne s’organise que pour faire des guerres perpétuelles, car il ne connaît pas SA MATIÈRE. Ne se connaissant pas, ce monde des humains se sent incapable de s’organiser pour la Paix. Chaque pas fait contre la liberté est un pas pour la guerre. Seule une civilisation digne de ce nom sera composé d’êtres humains qui connaissent la, leur Matière.
1789 et la révolution russe de 1917 sont des parfaits exemples de guerres perpétuelles : emploi du mot OPPOSANT ou opposition, donc DIVISION : « Les ennemis du pouvoir soviétique n’ont pas leur place en URSS car, comme l’a dit le camarade Staline, nous devons éliminer impitoyablement les ennemis du pouvoir soviétique et détruire les koulaks et l’hydre bourgeoise de la contre-révolution ! », un secrétaire du Komsomol, cité dans le livre de Sozerko Malsagov et Nikolaï Kisselev-Gromov : Aux origines du Goulag. C’est exactement le même propos façon « humaniste diabolique » que celui de Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Ce sont tous les tyrans de la Terre qui veulent instaurer une « société libre » et « démocratique ». Un régime révolutionnaire, comme en 1789 ou en 1917, est l’équivalent d’une dictature de guerre, ou un régime militaire et despotique (voir par exemple l’ethnocide en Vendée), puisqu’il est imposé par la violence et la terreur par une fraction de la société à la société tout entière...

BOURGEOIS : celui qui vient du bourg (la ville), il est donc le CITOYEN par définition ! Ce CITOYEN de 1789 qui est désormais synonyme de FRIC !

La preuve qu’on ne pose pas LA VRAIE QUESTION et que tout est fait pour détruire au lieu de construire. J’appelle ça : Huminité :
Depuis des millénaires c’est toujours le même principe :
- Écrasement absolu de la personne humaine ; tortures en tous genres pour soutirer des informations ; privation de nourriture et de sommeil, passages à tabac ; exécutions désordonnées en dehors de tout jugement, etc.
- Esclavage : instituer le Goulag et y pratiquer un business avec l’aide des esclaves qui vivent dans des baraquements construits à la hâte et qui ne sont jamais chauffés, même par un hiver où la température descend à moins soixante degrés. Pour toute nourriture : une pomme de terre au petit déjeuner, des pelures de pommes de terre cuites à l’eau pour le déjeuner, et une pomme de terre pour le dîner. Pas de viande, ni de beurre, pas même de croute de pain, encore moins un seul morceau de sucre. reste à ronger l’écorce des arbres en cas d’inanition. Si l’esclave ne veut pas essoucher les arbres, travailler dans les carrières, flotter le bois, il sera torturer ou mis à mort. Telles étaient les conditions de vie aux début de l’institution du Goulag.
- Dernier exemple d’huminité :
Si un nouveau arrivant au Goulag était habillé décemment, on le fusillait aussitôt pour s’emparer de ses vêtements.
- Dans toutes concentrations ou prisons du totalitarisme, le but est d’imposer une discipline militaire démultipliée, porté à un point de cruauté maximal par l’arbitraire total auquel les détenus sont soumis. Ainsi il s’agit d’éliminer chez les prisonniers la moindre velléité de résistance ou de désobéissance.
- Dans tous systèmes pénitentiaires, il s’agit encore et toujours d’esclavage : transformer mécaniquement en « valeur économique » les esclaves.
- Pour finir : le cycle infernal de la haine de l’autre se retrouve dans le « pouvoir moscovite et youpin » visant à l’extermination des « Ukrainiens » ; bref c’est toujours les « ennemis de la liberté » à la Saint-Just.

 
 

Dernière mise à jour : 21-12-2011 22:29

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