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Indiens et Gardiens de vaches Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-01-2012 22:17

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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Indiens et Gardiens de vaches
ou Indiens et Cow-boys
ou les bons et les méchants
 
Le Cacabinaire ou les cacabinets sont fermés de l’extérieur.
Seul compte le PROFIT, la GROSSE COMMISSION
 
 
 
« Admire, mon fils, la sagesse divine qui a fait passer les fleuves, juste au milieu des villes ! » Citation de Joseph Prudhomme créé par l’Écrivain Henry Monnier. Citation résumant parfaitement la coupure de l’être humain d’avec la Nature.
C’est aussi bien illustré par un auteur plus ancien : « Ceux qui ne s’unissent que par intérêt se repoussent quand la malchance les frappe, alors que ceux qui s’apparentent par la Nature se resserrent plus étroitement ». (D’après Tchouang-tseu : l’Arbre sur la Montagne. Traduction Liou Kia-Hway).
Ainsi il y a famille et famille...
 
 
 
 
Indiens et Cow-boys pour symboliser le drame du monde binaire, à commencer par l’outil désormais le plus utilisé au monde : l’ordinateur qui ne comprend que des zéros et des uns et qui utilise l’électromagnétisme que personne ne comprend. Concept moderne de l’ordinateur d’ailleurs inventé par Alan Turing, qui eut de graves problèmes avec son homosexualité (voir plus bas sur les abus sexuels et le binaire). Alan Turing qui chercha toute sa vie à comprendre l’origine de ses pulsions parce qu’il se considérait comme un « anormal ».

Pourtant la vie est une JEU, un JEU DIVIN (le ‘Je’), il suffit de regarder pousser les plantes pour s’en apercevoir.

Le poncif c’est le méchant (l’Indien) et le gentil c’est le cow-boy, symbolisant les valeurs américaines et leur impérialisme en forme de rodéos. Aujourd’hui le méchant c’est le terroriste.
Et tout est comme ça : les extraterrestres comme les microbes ce sont les méchants, aussi la médecine du Killer Louis Pasteur et « compagnon de Phineas Taylor Barnum » repose-t-elle sur la défense contre les méchants microbes, etc.

Pour Pasteur les germes provoquent des maladies
, ils envahissent le corps, chaque maladie est spécifique à un germe, etc. Louis Pasteur est un charlatan de première, tout comme Sigmund Freud d’ailleurs. Pasteur et Freud sont des terroristes, des dictateurs qui imposent leurs conneries au monde. Les mythes si bouffés au mites de Pasteur et Freud font toujours de graves ravages !

Voir la page : En finir avec Pasteur et Big Pharma.

La médecine est une affaire de charlatans, au mieux, le patient ne devrait payer son médecin, et selon son bon vouloir et avec la somme qu’il veut, seulement s’il s’estime guérit ou dans un état amélioré ; c’est ce que pratique encore quelques praticiens (acupuncture notamment) en France mais surtout en Chine.
Le seule médecin, c’est soi-même, à condition d’avoir un minimum de connaissance de son corps et de la planète dans laquelle il se déplace. On peut aussi demander des conseils.
En cas d’accident :
Les maux du corps demandent du secours,
Les mots/maux de l’esprit demandent du temps.

(Savinien de Cyrano de Bergerac)

Le microbe ne fait qu’envahir le château quand son enceinte est en ruines.
L’origine du mal ce n’est pas le microbe c’est l’individu lui-même. Même chose que se connaître ou « Je suis ce JE SUIS ».


Pasteur et Freud sont des Killers parce qu’ils COUPENT DE LA NATURE, ils ne voient pas l’ensemble et rejettent ceux qu’ils considèrent comme des « terroristes », les microbes pour l’un et les causes externes pour l’autre. Tout cela se résume encore et toujours par le mot : PROGRÈS, synonyme de CONFORT. Le fric c’est aussi le confort puisqu’on on inventa autrefois des pièces de monnaie pour les échanger contre de la marchandise.
Tout est comme cela. Tout tend à maintenir par le bas : béhavioristes, chercheurs en « sciences sociales », psychologues, psychanalystes en tiennent compte que du rationnel, du mesurable, donc du monde du sensible. Et quand ils rencontrent, comme Freud, quelques problèmes dont les causes sont manifestement en haut, comme Freud ils se livrent à des acrobaties de logique pour prouver que cela vient d’en bas, du mesurable et observable ! Ils ne veulent connaître que le sens ÉVOLUTION et nient le sens INVOLUTION.

Le drame de l’être humain est que de tout temps il aime à raconter des histoires et donc à manipuler les autres. Faire rêver en racontant des histoires c’est ce que faisaient autrefois les colporteurs et autres troubadours. Les religions entrent dans ce thème de raconter des histoires. Mais il y a histoire et histoire et certaines sont du domaine équerres et compas : rigidité gigantesque. On tombe alors dans l’Inquisition l’intolérance et le totalitarisme. L’appétit du merveilleux comporte aussi une boulimie ! C’est pourquoi il faut toujours et toujours veiller !

À nouveau je fais référence à l’article du journal Nexus n°78, de janvier-février 2012, où le médecin sexologue Patrick Dupuis explique sa théorie des ravages sexuels qui détruisent mentalement pour la vie les êtres humains. Bien-sûr il souhaite qu’on en finisse avec la dictature freudienne.

Tout est double dans la Nature, à commencer par les deux parties de notre cerveau. Quand il y a un problème sérieux on se trouve confronté devant UN DILEMME : une alternance entre deux contraires : pile et face... Le Docteur Dupuis cite l’exemple du tsunami où sa cause provient d’une cause invisible : un séisme sous-marin. Tout comme l’inhibition ou l’impulsion ne sont pas refoulement ou défoulement, mais sont le résultat d’une cassure, d’une perte. Si traumatisme le cerveau crée une branche « maladie » qui se dédouble en inhibition d’un côté et compulsif de l’autre. Ainsi soit la tendance sera la névrose et la perversion-addiction, soit une oscillation entre les deux genre « gentil-pervers ».

Le mental, la pulsion sont aussi basé sur la dualité à n’en plus finir : bien-mal, combattre-fuir, mort-vie, dieu-diable, gagner-perdre, sacré-profane, etc. Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux cite le prêtre Sertillanges qui cite une phrase de Henri Bergson : « L’Homme se fabrique ses opinions à la façon d’un carrelage ». Effectivement, les opinions sont le résultat d’expériences réalisées dans le temps et l’espace, et elles seront différentes selon que l’on soit aveugle, ou sourd et muet (nous n’avons que cinq sens). La conséquence est que toute opinion est comme une construction géométrique dont les paramètres sont d’une part les dispositions de l’homme (hérédité), et d’autre part l’expérience externe et événements vécus (éducation, vie de tous les jours...) Les conséquences font qu’il y a autant d’opinions que d’habitants sur cette planète. Il est alors parfaitement illusoire de rechercher « la Paix » dans une prétendue possibilité de l’unité d’opinion ou « pensée unique » comme le voudrait le mirage démocratique et sa « République universelle ».

Le Docteur Dupuis explique une chose fondamentale sur Freud, qui aux débuts de ses recherches avait bien identifié l’abus sexuel comme source des psycho-pathologies, jusqu’à ce qu’il se rétracte pour fabriquer sa théorie psychanalytique (sa « propriété intellectuelle »). Freud ne pouvait pas accuser son père d’inceste, à cause de sa religion juive. (Voir les livres : Sigmund, fils de Jacob ; et Le réel escamoté).

INCONSCIENT : mot de 1920 dans la foulée du développement du système de Freud. Déjà que nous ne savons pas exactement ce qu’est la réalité et encore moins la conscience, il est inutile d’employer le mot/maux inconscient !
Freud et ses suiveurs devaient parler de « subconscient », c’est-à-dire des influences de la vie sensible sur l’âme, mais jamais ils ne parlèrent du « superconscient », c’est-à-dire des influences de l’Esprit sur l’âme, qui viennent d’en haut et non d’en bas. il y a confusion du psychique qui est du domaine du sensible, de la quantité, et du spirituel qui est de l’esprit et de la qualité. Freud et ses suiveurs voient dans le psychisme le Tout, or c’est faire du cerveau (du mental) un vulgaire disque dur !
Il n’y a que deux consciences : la sacré et la profane, puisque tout est double. L’une est la source, l’autre est l’existant.

Les scandales de pédophilie sortent depuis les affaires Dutroux, Outreau, le prêtres pédophiles, les livres de David Icke dénonçant les messes noires sataniques de « grands de ce monde » comme le cinéaste Stanley Kubrick nous le montre dans son film Eyes Wide Shut. Il semble logique que plus on possède de pouvoir et plus il est tentant de s’offrir le pire des perversions. Et pour ce faire, comme le film de Kubrick nous le montre, ce pouvoir fera tout pour MASQUER ses vices. Si bien que dans l’affaire d’Outreau, le Docteur Dupuis dit que les adultes de cette affaire qui ont été innocentés et qui n’étaient peut-être pas si innocents que ça, parce que l’enfant ne peut pas tout seul inventer l’horreur ; si bien que cette « affaire d’Outreau » est utilisée comme alibi par tous les pédophiles qui peuvent maintenant s’exclamer en chœur avec Freud : les enfants sont menteurs, ils affabulent, ils inventent tout... Un enfant de six ou sept ans ne peut pas inventer un abus sexuel, parce qu’il ne peut même pas imaginer que cela existe », écrit le Docteur Dupuis. Effectivement, chez les adultes il y a toujours un intérêt caché sous la culotte... sous la calotte... dans les bourses....

Le Docteur Dupuis précise que les récits d’adultes ou d’enfants assimilés à un traficotage de la mémoire sont une invention de parents accusés d’inceste en 1992 aux États-Unis. Ainsi les spécialistes inventèrent la convention : « false memory syndrome foundation », où on décrébilise la parole des enfants, on les prend pour des menteurs comme pour l’affaire d’Outreau.

La mode de « l’inconscient » date bien-sûr de la fin du 19è siècle et de Freud, qui voulait reporter les fantasmes incestueux sur l’enfant lui-même, et déclarer fausses les affirmations d’abus sexuels faites par les enfants.
Je veux bien croire le Docteur Dupuis quand il parle de « ravage dans le secret des demeures familiales », notamment voir ce qu’il en était de certains rois... Et que dire de ce qui pouvait se passer dans des fermes, où la zoophilie pouvait s’en donner à cœur joie. Et puis, dans l’isolement, on prend ce que l’on a sous la main ou à portée de bouche... Ainsi un enfant de 9 ans peut très bien faire une fellation (tailler une pipe) à son grand-père (pédophilie domestique)...

Réseaux pédophiles et satanistes et autres « paroisses noires » sont une réalité si tabou, car « faisant partie de la paroisse », ou plus simplement de la FAMILLE, alors cela semble une « fonction sociale » utile, comme un fusible pour empêcher une révolution. Les bordels officiels servaient justement d’outil de maintient de l’ordre ; et de nos jours non seulement ils sont interdit mais en plus on veut pénaliser les clients... Monde politique à partie prenante (voir DSK) parfaitement hypocrite et sainte nitouche avec la complicité du Vatican et autres sperme de bénitiers...

David Icke dénonçait les tortures que subissaient les enfants pour les « programmer », afin qu’ils deviennent comme des robots dont la CIA et autres Agences souterraines pourront se servir plus tard.
Il existe bel et bien des réseaux de pédocriminalité organisée et surprotégée, car la-dedans la forme sexuelle est extrême : infanticide rituel. Surprotégé (loi du silence) car comme le montre le film de Kubrick, même sans aller jusqu’au crime, ces monstruosités impliquent des « grands de ce monde » : « notables », personnages de la politique, magistrats (pratique pour étouffer des affaires), ecclésiastiques, hommes et femmes d’affaires, stars, etc. Voir aussi le film de Pasolini : Salò ou les 120 Journées de Sodome. Pasolini qui fut assassiné, et dont le film s’inscrit dans le mouvement de libération sexuelle, ou plutôt : désinhibition de la perversion sexuelle, amorcée en 1968 en France et un peu avant avec le mouvement Hippies aux États-Unis. On peut alors parler de cette période comme d’une « fantaisie sexuelle » comme les fleurs du mouvement Hippies.
 
 
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Tous ces traumatismes sexuels et donc de violence engendrent soit peur, honte, culpabilité (inhibition) ; soit colère perversion et haine (pulsion).
Nous naissons tous INNOCENT. Hélas quand il y a fracture, on ne guérit qu’à la mort. Dans ces conditions la convention républicaine « d’égalité » est encore une hypocrisie.
L’incapacité à ressentir du plaisir sexuel avec une autre, ou un autre, est soit un drame, soit une voie vers la spiritualité, ce que ne mentionne pas le Docteur Dupuis, et qui selon moi s’est peut-être produit chez l’Alchimiste et médecin Paracelse, qui n’était pas « mécanisable », et était rebelle à la pensée unique de son temps.

SEXE : s’il y a bien un binaire naturel, ou plutôt qui l’est devenu à cause de la Chute, c’est le couple masculin-féminin, ou Yin et Yang, soit la bipolarité de la dualité. Unir les « deux sexes » c’est accomplir l’ANDROGYNE (l’hermaphrodite alchimique), soit l’accomplissement de l’UNITÉ, autre nom de Dieu, de l’Instant, du Soi, etc.

Pour s’y retrouver dans le binaire, IL FAUT CROISER pour passer au-dessus du dilemme. Parce que si le sexe vient se fourrer là où il ne faudrait pas, le sans sexe ou amour « affectueux » peut aussi être mortel : cas des mères vampirisantes qui aiment tellement qu’elles étouffent et rendent pris au nier (de ‘Nier Dieu’)...
Ce qui évoque cette réplique d’après un conte russe :
« Frère, j’ai pleuré ma chance en train de dormir sous un buisson en chemise de fête. Elle ne fait rien ni le jour ni la nuit, sauf dormir ! ».
Ce qui rappel aussi l’évocation d’un fou par Nicolas Boileau, que mentionne le Docteur Psychiatre A. Stocker dans son livre : Folie et Santé du monde :
« C’est au repos d’esprit que nous aspirons tous
Mais ce repos heureux se doit chercher en nous.
Un fou, rempli d’erreurs que le trouble accompagne
Et malade à la ville ainsi qu’à la campagne,
En vain monte à cheval pour tromper son ennui
Le chagrin monte en croupe et galope avec lui ».

Bref, on fait ça EN FAMILLE. Tout est double, il faut prêter une extrême vigilance, surtout maintenant...
 
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 07-01-2012 23:05

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