Accueil arrow JDramas arrow Dramas du JAPON arrow Romeo and Juliet
Romeo and Juliet Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-08-2008 22:29

Pages vues : 11526    

Favoris : 54

Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Dramas, Romeo and Juliet, Japon


romj_pst1.jpg
 
Romeo and Juliet ロミオとジュリエット
 
 
 
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Romeo_and_Juliet

Drama diffusé au Japon sur NTV en 2007. Variation japonaise autour du thème de Roméo et Juliette, tragédie attribué à William Shakespeare.

Le jeune Hiromichi Morita (joué par Takizawa Hideaki) est collecteur de vieux objets encombrants qu’il récolte dans une camionnette poubelle en piteux état, et surmonté d’un puissant haut-parleur pour annoncer aux habitants la possibilité de se débarrasser de leurs vieux objets. Au cours de l’une de ses collectes, il sauve un petit chat qui risquait de se faire écraser par un camion, et se blesse au bras en réceptionnant le chat. Son père : Giichi Morita (joué par Miura Tomokazu), chef dans un hôpital, est recherché par la police pour le supposé meurtre de Kousaka Yoshiko, elle a été défenestré.
 
Hiromichi va nettoyer sa blessure à la fontaine d’un parc. Trois jeunes filles l’observent et l’une d’elle, Kihira Juri (joué par Nagasawa Masami), plus téméraire, va à la rencontre de Hiromichi. Un échange de regard entre eux deux peut laisser deviner ce qui va se passer ensuite. Mais Hiromichi la repousse et les filles s’en vont.
Cependant il y a souvent une « sous porteuse », en référence aux phénomènes ondulatoires : Juri a « oublié » sur un banc du parc un livre : Roméo et Juliette, en anglais, avec son nom écrit sur la couverture. Hiromichi le découvre...
 
 
 
Pour corser l’histoire, la scénariste : Inoue Yumiko, attribut au père de Juri la fonction de l’inspecteur de police qui recherche pour meurtre le père de Hiromichi. Kihira Reizou est l’inspecteur, joué par Yamashita Shinji. Ça doit bien payer le job d’inspecteur au Japon, parce que la cuisine où se trouve Juri et où mange son père est spacieuse, luxueuse et moderne, et stupéfiant : un frigo  à deux portes grand comme une armoire normande, même mieux que sur un catalogue de grand magasin parisien.

L’objet en « sous porteuse » rend tout pensif Hiromichi. Là aussi c’est bon pour la suite... Manque de pot, le livre perdu est déposé par Hiromichi à une réceptionniste, sans autre piste pour Juri de retrouver son flash du parc... Mais rassurez-vous, sinon le drama à ce stade serait trop court...
 
 
 
La réalisation, dans ses cadrages, fait très manga ; quoi de plus normal et de plus banal. Il y a aussi quelques plans très pompier, genre sous le coucher de Soleil et avec renforcement en bande son de l’ensemble des cordes, ou l’abus de l’allée trop photogénique du parc aux Ginkgos biloba dans leurs couleurs d’automne, là où eu lieu la première rencontre des deux amoureux futur ; mais c’est Roméo et Juliette, au Japon. Pour la musique, le piano en mode mélodique un peu pizzicati reste un grand accompagnateur de dramas. Un piano Yamaha ? Je me suis aussi posé plusieurs fois la question des jambes des japonaises, les mollets : ceux-ci sont courbés ou bombés à l’extérieur, comme des pieds de chaises style Louis 16, ou 15, enfin peut importe le nombre. Ça se situe au niveau jonction genoux et mollets et c’est bien visible de face.

Moins romantique : la police continu son enquête sur le meurtre. L’inspecteur Kihira Reizou interroge à l’hôpital Morita Tokieda (joué par Tanaka Misako), la mère d’Hiromichi, et qui est hospitalisé. Hiromichi rencontre la police dans l’hôpital, la police une fois sorti, arrivée de Juri... Finalement ils se rencontrent tous...

C’est mignon mais je trouve ça nettement moins convainquant que Majo no Jouken, lequel est le VRAI Roméo et Juliette. J’accroche pas au jeu passe partout de Nagasawa Masami (Juri), même si elle se jette du première étage de sa chambre pour rejoindre son beau Roméo, auquel est pourrait lui dire : t’as de beaux yeux tu sais ! N’est-ce-pas que Takki a de beaux yeux ! J’accroche pas non plus au rôle de la police là-dedans, peut-être est-ce une question de rythme.
Il y a tout de même des moments d’émotion, de lyrisme, de pincements au cœur, coupé maladroitement par le générique des annonceurs publicitaires. Déroutante cette pratique télévisuelle japonaise.
Trois étoiles seulement.

M. R.
 
 
[ Cliquez sur les vignettes, puis pour afficher l’image suivante : cliquez sur suivant ou précédent ou sur la partie droite ou gauche de l’image, ou utilisez les flèches du clavier ] 
romj1.jpg
romj10.jpg
romj11.jpg
romj12.jpg
romj13.jpg
romj14.jpg
romj15.jpg
romj17.jpg
romj18.jpg
romj19.jpg
romj1a.jpg
romj2.jpg
romj20.jpg
romj21.jpg
romj21a.jpg
romj22.jpg
romj24.jpg
romj25.jpg
romj26.jpg
romj27.jpg
romj28.jpg
romj29.jpg
romj3.jpg
romj30.jpg
romj31.jpg
romj32.jpg
romj33.jpg
romj33a.jpg
romj35.jpg
romj36.jpg
romj37.jpg
romj38.jpg
romj39.jpg
romj40.jpg
romj41.jpg
romj42.jpg
romj44.jpg
romj6.jpg
romj8.jpg
romj9.jpg
 
 

Dernière mise à jour : 22-08-2008 00:33

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >