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Mort de La Palice par Obama Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-02-2012 23:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Mort de La Palice par Obama

Barack Obama et les Grands de ce monde contre le RÉEL. Tous les politiques et les philosophistes et les scientifiques sont contre le RÉEL.


Je veux, je veux, je veux ! Je veux oui ! Ou la Magie et la volonté enrobées d’American way of life et autres diableries.
 
 
 
Le phénomène de foule est comparable à celui de la vibration d’un pont sur lequel marche en pas cadencés des soldats, qui risquent fort de le faire s’écrouler, s’ils ne rompent pas immédiatement leurs pas « symphoniques » et reprennent leurs pas individuels. Ainsi le mécanisme vibratoire est renforcé par l’effet de groupe (relier, religion), notamment si les personnes à influencer vivent une expérience de groupe, ou s’il existe déjà un groupe de meneurs ou solistes dont les accords amplifierons le pouvoir de suggestion. Si la « Foi peut soulever des montagnes », en groupe elle peut aussi faire s’écrouler les ponts ! D’ailleurs, si le pont fait passer la troupe, le pontife fait passer le pont à l’initié ! (Pontife, Pape, qui signifie : constructeur de pont. Le Pontife est à la fois le constructeur du pont et le pont lui-même, comme le médiateur entre le Ciel et la Terre). En un sens, un politique, un roi, sont un pontife. Aussi il y a Foi et foi ou « foi de charbonnier », comme il y soi et Soi.
La Foi est comme la Vérité, l’Instant, le Soi, une même chose qui Est, simplement et donc naturellement et sans ce qu’on nomme « volonté », et ainsi n’a pas à être défendue ! L’être humain s’illusionne à cause de la confusion du Soi conscient avec le corps inconscient comme le précise Ramana Maharshi dans l’entretient 80. Illusion et ego ne font qu’un VOLATIL. Le Soi est simplement caché derrière l’illusion, et c’est ce que TOUS LES POLITIQUES et autres fabricants d’âmes comme les philosophistes, les scientistes ou scientifiques, utilisent avec art (art : de artifice, chatouiller les sentiments ou l’émotion).
Le Soi c’est comme les lunettes que l’on a placé sur le front et qu’on cherche ensuite pour y voir plus nette ou plus véritable !

L’Instant, le Soi Est par la force naturel toujours présente et ne nécessite aucun effort à la Obama et sa volonté « magique » (Yes we can) en droite ligne de l’Abbaye de Thélème (Rabelais) : « Fais ce que voudras » et de Aleister Crowley.
 
 
La « Lapalissade » a été étudié par Clément Rosset, puis j’ai essayé de prolonger un peu dans plusieurs pages. Ce qu’on appelle la plupart du temps péjorativement « lapalissade » n’est pas une « vérité d’évidence niaise », ni une « affirmation dont l’évidence toute formelle prête à rire » comme le précise Clément Rosset, elle se rapproche indiscutablement du Soi, de l’Instant chère à Ramana Maharshi et à ceux qui activent le réel, soit l’éternité. Ainsi si les propos prêtés au Maréchal de La Palice prêtent à rire, alors la réalité du spatio-temporel s’y prête aussi ! Donc je suis en accord avec Ramana Maharshi et Clément Rosset car la Tautologie est tout autre chose qu’une fadaise ou « une répétition inutile » comme l’écrit faussement le dictionnaire Le Robert. Le Robert se rattrape ensuite avec le sens du 20è siècle : Proposition complexe qui reste vraie en vertu de sa forme seule, quelle que soit la valeur de vérité des propositions qui la composent. La tautologie est le fondement des lois logiques.
Mais la Tautologie exprime bien l’Instant, donc une partie de LA Vérité. Vérité qui surprend, fait PAN (peur) car on ne s’y attend pas.

Ce sont encore ces ergoteurs de Grecs dont les Platon Aristote et compagnie qui lient la connaissance des choses à celles de leurs principes, ceux-ci extérieurs à celles-là ; « ne trouvant d’autre solution à l’appréciation de l’ici que celle qui consiste à l’éclairer d’un ailleurs », écrit C. Rosset. Bref, on sort de l’Instant puisque on retombe dans la dualité sujet-objet.

Oui, PAN exprime le TOUT, et ça fait PEUR (Panique), car la Source est toujours surprenante ! on ne s’y attend pas... d’où notre civilisation totalement construite dans le CONFORT : pommade contre la Peur avec les ingrédients de toutes les géométries et lois possibles et imaginables par les humains. L’ailleurs, le merveilleux, les belles histoires sont terriblement fascinantes mais éloignent de l’Instant : elles amusent, du A privatif : privé de Muses. Confort toujours, préférant l’ailleurs à l’Instant ou Ici ou Soi.

Le président des États-Unis de 2009 à 2012 Barack Hussein Obama utilise non seulement la lapalissade, mais il la tue proprement !!!
Il fait comme une foule de gens inconscients qui pratiquent une triple répétition dans le fameux et horrible : « au jour d’aujourd’hui ». Première fois : au jour ; deuxième fois : d’aujour ; troisième fois : hui.
HUI : adverbe, verbe UI, ce jour.
HUI : cri, huée. Verbe HUER : crier. Hoper, Huer, Huier, c’est crier. Le Hucheor était le crieur public. On a bien un rapport à PAN et à l’Instant. D’ailleurs une HUIE est un maillet, une force, un coup.
HUIS est une porte, comme l’est l’Instant ! (ou une Stargate de science-fiction).
(Ces mots viennent du français du Moyen-âge).

Obama au lieu de renforcer la « réalité » avec la lapalissade, il la tue en l’annulant par une formidable présence en dehors de l’Instant, par exemple son « Yes we can ! ». Il ne sait pas ce qu’est la réalité, encore moins bien que chacun d’entre nous. Ce slogan d’Obama proprement publicitaire comme pour vendre une lessive annonce des promesses comme « ça lave plus blanc ». Un très bon medicine man du 19è siècle vendant son Coca anti diarrhée (anti-terroristes).

Déjà il faut savoir que toutes personnes qui « fait de la politique » pratique l’art du mensonge et de la manipulation (voir la série de page sur la magie et la manipulation, série en cours de réalisation)

Dans ce monde on ne peut pas s’occuper de politique avec La Vérité, et par conséquence La Valeur. Or les politiques n’ont que ces mots là à la bouche ! Ils nous bombardent de « vérités », soit de certitudes selon eux, et donc de simples mais redoutables OPINIONS ! outils à illusions. Ce sont avant tout des fabricants d’âmes. Comme les vendeurs de cravates à la sauvette dans la rue, ou ceux qui vendent leurs lessives derrière leur fond de multinationale, ils ont besoin DE FAIRE CROIRE, de rendre plausible (digne d’être applaudi). Le politique NAVIGUE, MANŒUVRE. Il ne peut que respecter les électeurs (dans une « démocratie ») qui lui son si utile, comme le comédien sur la scène doit avoir un public dans la salle.

Nous sommes là encore dans l’ILLUSION, LA MAGIE, LA POUDRE AUX YEU : LE EYES CANDY ou AILLEURS. La politique c’est FAIRE CROIRE, FAIRE AVALER LA MÊME SOUPE POUR TOUS (le peuple, la masse).
Par exemple aux USA, pour convaincre les gens, le parti Démocrate persistait à utiliser des arguments logiques et des faits parfaitement contrôlables, alors que le gens ne votent pas sur des faits ou de la logique, ou du rationnel, mais sur de LA POUDRE AUX YEUX, sur des HISTOIRES. La « démocratie » est devenue une religion (de relier les gens) à la place de la monarchie. Le parti des Républicains savaient parfaitement vendre sa lessive en se servant de la PNL (Programmation Neuro Linguistique) et en appliquant ses outils sans aucun scrupule

Obama tue la Lapalissade car il pratique la répétition SORTANT DE L’INSTANT, donc parfaitement asphyxiante comme :
- Yes we can (oui nous pouvons), biens-sûr qu’on peut tous les jours et à chaque seconde !
- Maintenant, c’est le moment, même style de répétition que le « au jour d’aujourd’hui ».
- Tandis que je me trouve devant vous, là encore même répétition ou l’art de ne rien dire ou de faire passer ou perdre le temps.
- Voilà pourquoi cette nuit je suis ici, même thème de répétition à variation qui se voudrait poétique !
- Nous avons besoins de changement. Alors ça c’est le poncif des poncifs, universel à souhait ! Les révolutions de 1789 et 1917 ont déjà données...

NOUVEAU - VUE À LA TÉLÉ.

Obama utilise ces « sorties de l’Instant » en les insérant immédiatement après l’évocation d’un problème ou d’un objectif à atteindre. Comme tout politique il pratique sa pub du genre face à un mal commun comme : la guerre, le chômage : « Il est temps de changer ». Il il énonce son opinion transformé en vérité : « Oui, nous pouvons ». En ce terme il pratique parfaitement la VOLONTÉ, outil primordial de toute Magie. Puis Obama joue les Père Noël à la American way of life du genre du DORG (Demain On Rase Gratis) : prospérité, logements, santé, etc. Tout cela concours à ce pourquoi il a été élu » : « C’est pour cela que je suis là maintenant », et au cours de sa campagne, cela se traduisait par : c’est pour cette raison que vous devez voter pour moi.

On ne fait donc pas appel à la logique ou mieux, à une quelconque réflexion, mais au SENTIMENT, à L’ÉMOTION. Les USA sont tout de même le pays de Phineas Taylor Barnum ! Puis ensuite de Hollywood...
Obama tel un Monsieur Loyal utilise des techniques comme la lenteur anormale, affectée, puis ensuite une cadence étudiée avec des pauses fréquentes tous les deux ou trois mots, ce qui tient l’auditeur en suspens, donne du poids a des phrases trop vagues. Il fait entrer des images dans la cervelle de l’auditoire.

Obama manipule les gens avec le thème du patriotisme : « Quiconque aime ce pays peut le changer » ; or c’est aux gens eux-mêmes de changer pour ensuite naturellement changer ce qui est autour d’eux ! Alors avec Obama et ses phrase vides de sens le subconscient se met en branle et va chercher des significations possibles et choisit celle qui lui plaît le mieux, comme la couleur d’un caleçon dans un magasin !
Ça Marche dans « Diviser pour régner » de la « démocratie » (droite-gauche) car les discours politiques conviennent bien au dogme de l’opinion où les « avis sont partagés » en deux...

Obama c’est Hollywood : le charmeur, comme le serpent hypnotise sa proie avant de la bouffer. Obama utilise l’émission vers le cerveau droit, l’artistique, avec tout son contenu émotionnel, non rationnel, et détourne ainsi du vrai objectif.
L’OPINION EST DIABOLIQUE, et Obama s’est parfaitement s’en servir jouxté avec la technique PNL : « Une brise souffle d’un bout à l’autre de la Nation... le changement est dans l’air... C’est vous qui écrivez le prochain chapitre de l’histoire de l’Amérique », bien-sûr, tout cela grâce à l’escroquerie franc-maçonnique du « Suffrage Universel ». Car à partir de telles incantations, Obama pouvait s’introduire dans le subconscient des foules, les hypnotiser, leur suggérer des conventions en plus totalement arbitraires se rattachant vaguement aux qualités accrocheuses.
C’est le fric qui tient la masse, aussi Obama et tous les politiques parlent du fameux « Pouvoir d’achat » : salaire meilleur, assistance médicale pour tous (surtout aux USA), etc.  Et la technique d’Obama est de ponctuer ces DORG par son refrain : « Nous avons besoin de changements », ce qui est logique, puisque à chaque nouveaux président (ou chaque roi) il y a un minimum de changement !!!

Obama se vendait comme un arracheur de dents, alors qu’il n’a non seulement jamais été président, mais qu’il n’a pas de compétence en économie en ce qui concerne les salaires et tout ce qui touche aux finances de son pays. Cela ne l’empêchait pas de se déclarer le prochain président en jouant comme au cours d’un spectacle chez Phineas Taylor Barnum : il cueille le frisson émotionnel de la foule, laquelle dans son état inconscient et subjectif cueille le lien causal (feint) entre les diverses propositions et le prend pour une démonstration de vérité.

Les politiques utilisent à fond le « Nouveau, vue à la télé », de la société de consommation et du jetable : « Nous pouvons changer » (comme si c'était des couches culottes) ; « C’est le temps d’une nouvelle énergie et de nouvelles idées... ». On tombe encore et toujours dans le « Il peut le faire.... Nous pouvons le faire... Il va le faire... Ils le font, etc. ». Bref, c’est toujours L’ÂGE DU FER. Et ça rouille...

Voici un exemple d’irrationalité et de démagogie d’Obama : « NOUS sommes ENSEMBLE...MA VOIX EST ENTENDUE... parce que vous avez dit... PARCE QUE VOUS AVEZ DÉCIDÉ que le changement doit arriver... parce que vous AVEZ CRU (avec un geste d’ancrage) que cette année est différente de toutes les autres... parce que vous AVEZ CHOISI (geste d’ancrage) D’ÉCOUTER (climax de la narration) VOS GRANDS ESPOIRS, VOS PLUS HAUTES ASPIRATIONS... NOUS APPORTONS UN JOUR NOUVEAU ET MEILLEUR... Cette nuit, je peux RESTER ICI et DIRE que je serai le candidat démocratique... le PRÉSIDENT des États-Unis... » Bref, si vous voulez restez en accord avec ce que j’évoque, votez pour moi !
Nous sommes dans la continuité des attentats du 11 septembre 2001 et de G.W. Bush, car Obama se présente comme la dénonciation d’un attentat contre la « démocratie » et un appel à lutter pour se la garder.

Une fois élu, Obama suite à la fabrication des faillites financières de 2008 pris des mesures spectaculaires pour sauver des banques, tout en laissant couler Lehman Brothers. Il a choisit de soutenir l’économie spéculative, etc. Si bien que comme président, il n’était pas du tout à la hauteur et largement en dessous des attentes qu’il avait suscitées. Alors il manipule les esprits. Comme un scénariste d’Hollywood, il peut jouer aussi à la relance de l’espoir et des enjeux, il peut trouver, tuer et effacer de la surface de la Terre, comme grâce à un trucage numérique ou dans un jeu pour PC, Oussama ben Laden.


Obama rabaisse terriblement le niveau vibratoire de l’Amérique, et par la même du reste du monde. Il enfonce des portes ouvertes comme s’il y avait à perdre ; et comme la plupart de politiques, il ne tient pas compte ni respect de ses prédécesseurs et parle de « changement », qui de toute évidence viendra naturellement !

« Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel [donc l’Instant]. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience [c’est pourquoi certains Alchimistes considèrent que la clé de l’Alchimie est contenu dans les deux mots : Solve et Coagule]. Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu. Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu ». (Ramana Maharshi, extrait de l’entretient 20, du 30 janvier 1935).

Maharshi : Dépassez le plan présent de la relativité. Un être séparé (le Soi) paraît connaître quelque chose (le non-Soi) qui est distinct de lui-même. Autrement dit, le sujet est conscient de l’objet. Le sujet percevant est dénommé drik, l’objet perçu drishya.
Entre les deux éléments doit exister un lien fondamental qui se manifeste comme « ego ». Cet ego est de la nature de chit (conscience). L’achit (l’objet non conscient) n’est que la négation de chit. Par conséquent, l’essence fondamentale est apparentée au sujet et non à l’objet. En recherchant le drik, jusqu’à ce que tout drishya disparaisse, le drik deviendra de plus en plus subtil jusqu’à ce que seul le drik absolu subsiste. Ce processus est appelé drishya-vilaya (la disparition du monde objectif).
Question : Pourquoi les objets (drishya) doivent-ils être éliminés ? La Vérité ne peut-elle être réalisée en laissant les objet tels qu’ils sont ?
Maharshi : Non. L’élimination de drishya signifie l’élimination des identités séparées du sujet et de l’objet. L’objet est irréel. Tout drishya, y compris l’ego, constitue l’objet. Lorsqu’on élimine l’irréel, la Réalité subsiste. Quand une corde est prise par erreur pour un serpent,il suffit de détruire la fausse perception du serpent pour que se révèle la vérité. Sans l’élimination des fausses perceptions, la vérité n’apparaît pas.
Question : Mais quand et comment la disparition du monde objectif (drishya-vilaya) peut-elle être effectuée ?
Maharshi : Elle est accomplie lorsque le sujet relatif, c’est-à-dire le mental, est éliminé. Le mental est le créateur du sujet et de l’objet et la cause de la conception dualiste. C’est donc lui qui provoque la fausse notion d’un soi limité et de toute la souffrance qui en découle [opinion].
Question : Qu’est-ce que le mental ?
Maharshi : Le mental est l’une des formes sous lesquelles la vie se manifeste. Un morceau de bois ou une machine compliquée ne sont pas appelés mental. la force vitale se manifeste comme activité de vie et également comme phénomène conscient, nommé mental.
(Extrait de l’enseignement 25, du 4 février 1935).

La fonction du mental est d’errer, d’ou la symbolique du Labyrinthe ou de l’Ouroboros. L’errance est sa faiblesse grâce à l’énergie appelée « pensée ». Pour améliorer cela il est intéressant de pratiquer naturellement le Solve et Coagule afin de CONCENTRER (être synchrone, en ACCORD, en FIXATION CAVALANTE).

Il n’y a pas de changement à attendre comme veulent nous le fourguer tous les bonimenteurs que sont les politiques et les élus, car tous les politiques sont des bonimenteurs : des propos que débitent les charlatans, les bateleurs dans les foires et fêtes foraines, pour convaincre et attirer la clientèle. Ils enfoncent tous des portes ouvertes. Semblablement à ce que dit Ramana Maharshi dans l’entretient 97, il n’y a pas de changement attrape-couillon d’électeurs, car la Vraie libération est connu de tous : le Soi, l’Instant. Mais l’individu est malheureux car il confond le mental et le corps avec le Soi. « Cette confusion est due à une fausse connaissance. Seule l’élimination de cette fausse connaissance est nécessaire. Le résultat de cette élimination est la Réalisation [de l’Instant] », dit R. Maharshi dans l’entretient 97.

Le mot SINCÈRE sonne comme Saint et serre, donc celui qui est au plus près de l’Instant. « un homme insincère se brûle au cours de l’épreuve du feu. Son absence de sincérité est dévoilée par l’épreuve du feu. Son absence de sincérité est dévoilée par le feu. La sincérité est évidente en soi. Un homme sincère ou un homme qui a réalisé le Soi reste heureux sans être affecté par de fausses apparence (à savoir, le monde, la naissance et la mort), alors que l’homme non sincère ou l’ignorant en souffre » (entretient 105).


Le fait d’être est le Soi. « Je suis » (Jehovah) est le Nom de Dieu et c’est l’Instant.


« Celui qui réalise la Vérité [le Soi, l’Instant] découvre que l’Univers et ce qui est au-delà [d’autres Univers] sont contenus dans le Soi. L’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne. La vue émane de l’œil. Et l’œil doit se situer quelque part [comme si le centre était partout et la circonférence nulle part]. Si vous voyez avec les yeux de la Matière, le monde aura la même nature. Si vous regardez avec les yeux subtils (ceux de l’esprit), le monde apparaîtra subtil. Et si votre œil devient le Soi, le Soi étant infini, l’œil sera infini. Il n’y a rien d’autre à voir qui soit différent du Soi ». (Fin de l’entretient 106, du 29 novembre 1935).
 
 
(Référence aux phrases hypnotiques d’Obama : Apprenez à défendre votre liberté mentale, de Marco Della Luna et Paolo Cioni).
 
 

Dernière mise à jour : 03-02-2012 00:34

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