À la fin du 13è siècle un acte notarié n’est plus une cérémonie en langue orale officialisée par l’échange d’un bien réel et symbolique et concret : une motte de terre par exemple ; mais comme de nos jours par une CONVENTION totalement éloigné de la chose : donc un parchemin portant un sceau en cire. Ainsi l’idée est lancé qu’un écrit serait plus durable que la parole donnée. La « raison » et les preuves et la rationalité s’installent ! Par là même l’idée conventionnelle de ce qu’est la « Science » : « Une expérience reproductible et contrôlable par d’autres personnes » (égalité ou pensée unique).
L’écriture devient le premier instrument puissant de contrôle par le pouvoir : lois et autres conventions, contrôler les marchés, les fonctionnaires, etc.

La logique est en train de s’installer à la fin de l’an 1000 et vers le 12è siècle : l’enluminure perd son sens symbolique pour le laisser en grande partie au texte, qui a fini de plus en plus, par être conçu comme le véritable porteur de signification ; l’ensemble devient alors UN DOCUMENT.

DOCUMENT : terme du 12è siècle : enseignement, du latin documentum : ce qui sert à instruire (archives, dossiers, pièces, papiers, sources, témoignages, etc.)

Cité dans l’Univers de l’écrit, de David R. Olson, il est dit dans un texte typiquement en forme de géométrie chère aux GADLU (Grand Architecte De L’Univers), et annonciateur du siècle des lumières : « La vérité n’est pas révélée dans la parole de Dieu mais dans son œuvre ; elle n’est plus fondée sur le témoignage des Écritures [religions du Livre] ou de la tradition, elle est visible par chacun d’entre nous en permanence (1). Mais elles n’est compréhensible que pour ceux qui connaissent l’écriture de la Nature et qui savent déchiffrer son texte. La vérité de la Nature ne peut être exprimée à l’aide de simples mots [mais] en constructions mathématiques [sic], en figures et en nombres. Et dans ces symboles, la Nature se présente dans une forme parfaite et claire [sic]. La révélation que l’on atteint grâce aux paroles sacrées ne peut jamais présenter... une telle précision, car les mots sont toujours... ambigus. Leur signification ne peut être donnée que par l’homme... Dans la Nature... l’ensemble du plan de l’univers est là, devant nous ».
Dans ce texte il y a déjà une coupure d’avec la Nature. C’est-à-dire qu’on rationalise, on coupe d’avec la Nature : par exemple création de la Royal Society of London qui fabrique le dogme d’être « objectif », d’une « simplicité de style mathématique » ou « neutre » ou « objectif ».


HYPNOSE et FRIC

Découvrir la tombe d’un riche Égyptien, et s’emparer des bijoux et autres objets en or nécessaire à la vie future du défunt, devait procurer aux antiques pilleurs de tombes un état hypnotique ! L’or, depuis longtemps, fascine ! Comme déjà écrit, l’or ou le moindre métal est VIVANT, aussi l’or se venge depuis belle lurette... L’or se venge comme le dominant et le dominé en hypnose, qui par exemple sera conditionné par hypnose à effectuer des missions importantes.
Les suggestions répétées et effectuées dans des moments de fatigues, de privation de sommeil, d’états de jeunes, dans les communautés religieuses, sont un formidable outil de conditionnement !

HYPNOSE = FORT ACCORD ENTRE AGENT ET PATIENT.

Évidemment la CIA a étudié l’hypnose (projet Artichoke), toujours le rêve d’un être humain docile, tel un robot, donc une civilisation du CONFORT. Pour le diabolique pouvoir US il s’agissait de « programmer » des comportement désirés, comme si on faisait son marché dans une grande surface commerçante, donc l’homicide faisait partie des marchandises, tout comme le renforcement de la résistance à l’interrogatoire sous la torture, sous l’hypnose ou sous effet de drogues, en cas de capture d’agents secrets américains agissant en territoire étranger. Les outils de ce pouvoir devaient provoquer des suggestions, ou transmettre des ordres post-hypnotique, et de les renforcer périodiquement par hypnose, leur effet pouvant durer des années. Le problème de l’hypnose est que ça ne marche pas si l’ordre est contraire aux principes moraux du patient ou hypnotisé. Selon la CIA ce n’est pas un problème et un hypnotisé peut commettre un vol, n’en garder aucun souvenir et donc nier ce vol !

Je ne m’étendras pas sur l’hypnose et la CIA, et passe à un autre hypnotiseur : LA TÉLÉVISION.

La TÉLÉ, terrible outil hypnotique ! Mais sans aller jusqu’à la civilisation du tube cathodique, remplacé par l’écran crêpe, toujours l’État fasciste : les États-Unis, un microscopique radiorécepteur (Radio Hypnotic Intercerebral Control) fut introduit dans le cerveau de sujets le plus souvent non volontaires. Ainsi on peut mettre la personne dans un « état mental altéré » pour la faire exécuter des ordres post-hypnotiques pour lesquels elle avait été programmée. De même cet outil peut créer la peur, l’agressivité.

Les 884 MHz des téléphones portables peuvent retarder le sommeil et rendre moins efficace l’attention et la concentration, peuvent provoquer des céphalées, et même des symptômes dépressifs.
Électromagnétisme, radio-biologie, tous des jouets pour militaires déments et diaboliques jouant avec le feu, ce qui leur brûlera le cul ! Et les neurones...

- Quel est le contenu et le moyen des échanges entre neurones ?
- Quels effets les champs électromagnétiques ont-ils sur ces échanges ?
- Ces effets peuvent-ils être exploité, comment ?
- Existe-t-il des prototypes, des appareils fonctionnant dans ce sens ?

Comme déjà écris sur plusieurs pages à propos de la circulation d’un fluide nerveux dans le corps humain ; ce fluide doit circuler comme des sucres ou dominos basculant les uns sur les autres.


L’être humain piloté par radio-fréquence comme un « modèle réduit ».

Le plus grave et plus dangereux conduisant à l’être humain robot ce sont les nanotechnologies. Ainsi on introduit des nanodispositifs dans le corps qui agiront sur le système nerveux et sur les circuits neuronaux, de façon à conditionner sélectivement le fonctionnement de l’encéphale (ce qui est dans la tête).

Mais déjà il est possible de conditionner les gens à travers non seulement la télévision, mais aussi à travers l’ordinateur, d’ailleurs en train de remplacer la télévision classique. Il existe des expériences qui montrent la production d’une fréquence agissante sur les sens à 1/2 Hz et à 2,4 Hz chez une personne se trouvant près de l’écran. (Dans le livre Neuro-Esclaves il  n’est pas dit si l’écran est le vieux tube cathodique ou le moderne écran plat). De toutes façons, dans un programme, ou même un système d’exploitation comme Windows ou OS pour Mac, ou un DVD, il peut être fabriqué des programmes introduisant des variations de fréquence dans les signaux numériques Rouge Vert Bleu. Et des écrans peuvent émettre des fréquences électromagnétiques destinées à provoquer une résonance chez une personne à proximité, à travers des vibrations d’images si faibles qu’elles ne sont visibles que par l’inconscient.

La réalité de cette civilisation technologique est que nous sommes noyé dans l’électromagnétisme : courant de 50 Hz, liaisons radio, télé, téléphoniques, les mobiles,, les ordinateurs portables, le wifi, etc. Tout ceci peut facilement être utilisé à des fins de conditionnement.
Ainsi les forces du désordre, pardon, de l’ordre, peuvent utiliser les ondes pour contrôler une foule : provoquer des états d’angoisse, d’excitation, d’inhibition, de malaises, de diarrhée, etc., bien plus efficace que les antiques bombes ou grenades lacrymogènes (protection contre ses effets par le Diphotérine).

Dans les années 1960 les soviétiques bombardèrent l’ambassade des États-Unis à Moscou par des ondes UHF,  ce qui cause sur le personne des malaises, des maladies et des décès. Après la découverte de cette attaque les USA lancèrent l’opération Pandora.
Dans les années 1970 on découvre que les ondes THF peuvent ralentir ou accélérer les ondes du cortex cérébral.
Les sinistres et diaboliques Paul Wolfowitz et Dick Cheney demandèrent la mise en fabrication « d’armes non létales », cela donna un canon à infrasons à haute puissance et à basse fréquence pour mâter une foule houleuse. Selon Neuro-Esclaves, qui ne donne pas de précision, cette arme fut utilisée par le gouvernement français, puis en 1983 par le gouvernement anglais. Des calculs physiques ont montré la présence de fortes émissions électromagnétiques quand il y avait des manifestations de protestation. Certaines bandes de très hautes fréquences peuvent, suivant la puissance, désagréger les organes internes du corps humain, et à une puissance encore plus forte faire s’écrouler des murs.
En 1979, toujours la CIA, qui lance le Woodpecker Project : faire rebondir les signaux radio ou de micro-ondes sur l’ionosphère, pour soi-disant influencer les fonctions mentales de gens dans des régions ciblées, comme par exemple créer un état de confusion.
Ces armes agissant sur le système nerveux en se reflétant sur les hautes couches de l’atmosphère sont de la même famille que HAARP.
Les chemtrail sont du même ordre.

Avec la CIA et le pouvoir américain il faut s’attendre à tout : jouet qui comme Jeanne d’Arc fait « entendre des voix dans la tête » (le Psycho-Acoustic Projector, breveté le 23 février 1971).

Ou encore : le Silent Subliminal Presentation System : de très basses fréquences et très hautes fréquences et d’ultrasons : des ondes amplifiées portant des informations destinés aux « méchants ». Ces ondes sont alors transmissent soit par des sons, soit par des vibrations à travers le terrain et des rochers.

Des sons peuvent être transmis dans la tête des méchants par irradiation d’ondes hertziennes, entre 100 et 10.000 MHz. Dans le crâne ces ondes produisent des sons audibles : le méchant entend des voix !
Bien-sûr ce dispositif peut servir pour faire acheter des conneries.
Voir aussi le Neurophone : transmettre des suggestions à travers la peau, sans qu’on entende ou que l’on voit quoi que ce soit...

Voir aussi le site lesurvivaliste.
(En haut de page, une vue de Florence au 15è siècle)

NOUS SOMMES PRIS DANS UNE BOUCLE TEMPORELLE soigneusement entretenue....