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Mort du monde de JNCQCQJV Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-05-2012 22:45

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Folie, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Mort du monde de JNCQCQJV

Mort du monde de Je Ne Crois Que Ce Que Je Vois.
Mort du monde de la mesure, du compas et de l’équerre.


Le monde des accidents ne peut être issu que de la spiritualité.
L’actuel Monde des accidents se parant de ses vêtements avec ses compas et équerres.
 
 
 
Mort au JNCQCQJV.
Les Anciens savaient, ainsi ils avaient résumés le compas et l’équerre par : « L’homme est la mesure de toutes choses ». C’est tellement vrai que sa première prise de conscience du chiffre se fit en comptant sur ses doigts de mains et de pieds, pour les pieds lorsqu’il n’était pas encore abîmé par des vêtements. De nos jours, on fait l’inverse, et les « scientifiques », les religieux, les francs-maçons, les philosophes, tous ceux qui croient détenir un bout de la Vérité enseignent que « L’homme doit être mesuré par les choses » ; surtout par l’argent.

Mort effective du JNCQCQJV : « Anéantissez la sagesse et rejetez le savoir, le monde retrouvera l’ordre », écrit Tchouang-tseu. C’est pourquoi toute organisme ou institution qui se prétend « servir l’ordre » ne fait que servir le désordre. Jean Coulonval écrivait prophétiquement dans Synthèse et Temps Nouveaux, que la culture était la glu pour l’Âme. Vouloir trop apprendre amène la ruine précisait Tchouang-tseu. Et la télévision est devenu un parfait outil de désapprentissage.
 
 
 
Le monde du « Compter pour un » ou individu, et celui de la vie limité à la dimension QUANTITATIVE DES BESOINS PHYSIQUES est en train de mourir. Ce monde du Spagiriste, ou moderne physicien qui cuisine la Matière pour s’en approprier égoïstement les richesses énergétiques, et qui se rejette de l’ensemble, est mourant.

« Le matérialisme d’aujourd’hui est né du brutal hier. À moins que sa croissance ne soit arrêtée, il pourrait se rendre maître de nous ! Il est l’enfant bâtard de la Révolution Française, une réaction contre des siècles de répression et de bigoteries religieuses ». (Isis Dévoilées, Vol 1, part 1, H. P. Blavatsky).
« Vivre les choses de l’INVISIBLE sont aussi concrètes que celles du VISIBLE, bien que d’un ordre différent ». (Jean Coulonval).

Deux méthodes :


- VISIBLE > Invisible (physique actuelle), le rationnel qui veut des preuves. Période actuelle : démesure et vouloir mesurer l’infiniment petit.
- INVISIBLE > Visible : c’est Coulonval, Saint Paul, l’Adepte, le Mystique.

C’est la siècle des perruque poudrées et mitées et sa suite : 1789, qui avec leur « raison » résonnante et leur « science » abolirent le rêve ; aussi une grande partie de l’humanité se rattrape maintenant en rêvant aux Dragons et autres récits et croyances de toutes sortes. Mieux vaut rêver avec des histoires à dormir debout. Mais surtout pas celles des usines de Hollywood !

Ce monde du JNCQCQJV qui entretient l’éternelle guerre de la dualité avec son compas-esprit et son équerre-matière, ou dualité sujet et objet, ou nazi ET sionisme (na-zionisme). Il est vrai que le mot/maux JUIF est à lui seul une USINE À GAZ !
Rien que le mot/maux choisit par les sauvages révolutionnaires de 1789 pour désormais désigner un habitant de France : CITOYEN, est synonyme de la mesure, du rationnel, du matérialisme et du fric, de la cité, la ville et ses choses viles et mesurés :
« Dans les rues agitées, domaine du commerce,
L’homme est un coursier revêche, ou une brute vaine et tyrannique,
Qui ne peut revendiquer de parenté plus proche avec moi
Qu’une fraternité par la loi ».
(Henry David Thoreau, Journal : 16 juin 1838, trad. Thierry Gillybœuf)

Ce superbe texte prophétique illustre parfaitement ce monde moderne de la mesure et de l’homme mesuré par la technologie !
Bien-sûr Thoreau était contre la mesure (8 juillet 1938) :
« Ici, le plus gros fardeau pour la brise
Est le murmure du bois, si nous choisissons
De prêter l’oreille ; et si nous n’y prêtons pas attention,
C’est le calme profond. Les langues n’ont été créées
Que pour ennuyer l’oreille de pensées superficielles.
Quand montent des pensées plus profondes, les paroles brutales
Et dissonantes de la discorde sont étouffées et les sens semblent
Fort limités pour partager cette extase ».

La mort du monde de JNCQCQJV c’est par exemple la contre-école franc-maçonnique de Jules Ferry : L’ÉCOLE BUISSONNIÈRE, celle qui fait découvrir le Vide de la Matière dans les buissons, mais avant tout, cette ÉCOLE BUISSONNIÈRE SYNONYME DE L’INSTANT.
« L’air était si doux que c’était un plaisir de le respirer,
Car ce qui semblait cieux au-dessus était terre sous ses pieds.
L’écolier traînait sur le chemin de l’école, Dédaignant de vivre pareille journée sous la férule [sous le pouvoir ou l’autorité] ».
(Henry David Thoreau, 21 mai 1838)

Échapper au JNCQCQJV c’est être dans l’INSTANT:
« Comme les jeunes crabes, le moindre de nos actes, aussitôt qu’il est né, dirige ses pas vers la mer des causes et des effets, et y fait une chute dans l’éternité ».
(Henry David Thoreau, citation extraite du texte du 14 mars 1838)

Être dans l’Instant :
« S’il y a rien de neuf sur terre, il y a toujours quelque chose de neuf dans le ciel. Nous avons toujours une réserve dans le ciel [Instant]. Il nous fait sans cesse contempler la page qu’il vient de tourner. Le vent imprime des caractères sur ce fond bleu, et l’homme qui est curieux peut toujours lire une vérité nouvelle ».
(Henry David Thoreau : Le ciel, texte du 17 novembre 1837).
Thoreau annonce le drame de l’OPINION.

Qui dit INSTANT dit PANIQUE ou PEUR :
« Toute la peur du monde, dont la peur des conséquences est engloutie dans l’impatience humaine de rendre justice à la Vérité »
Magnifique court texte intitulé La peur, du 13 février 1838, illustrant l’Instant, PAN, le TOUT et sa PANIQUE. Quelle peur d’être dérangé par la Vérité !
Vérité qui se retrouve dans le texte du même nom du 4 août 1838 :
« Toute ce que la sagesse passée ou présente a révélé d’elle-même au monde, est un mensonge manifeste jusqu’à ce que cela vienne s’exprimer près de moi ». Henry David Thoreau parle de l’Essence des choses dont chacun doit pouvoir prendre conscience.... et se faire son OPINION. Thoreau parle de l’ACTUALITÉ, donc de l’INSTANT.


Le pauvre humain mesuré par les choses, surtout par l’argent.


La masure, mesure flirte avec l’opinion, puisque en Chine, les héros légendaires et les empereurs servaient de normes, donc de mesures pendant leur règne, qui apparaissent comme une manifestation précise de leurs propriétés physiques et morales ; si un subalterne change la mesure, il est condamné à mort. Donc si un empereur est gros, la mesure sera différente lorsqu’arrivera au pouvoir un empereur maigre. Nous avons la même chose avec la mesure de la chronologie tueuse : on compte les dates à partir de la naissance du roi ou de sa prise de pouvoir. Le mondialisme et son confort, support de la finance internationale, n’avait pas encore provoqué son cancer.

MASURE - MESURE : premier terme du latin mansura indiquant une habitation misérable, une cabane, une baraque ; le deuxième terme du latin mensura indiquant : mesurer.
Une règle mesure, une loi et une justice détermine des limites, etc. Autrefois une main, un pied mesuraient.

La NUDITÉ était une arme redoutable contre le JNCQCQJV, mais en ignorant l’aventure arrivée à Adam et Ève et sa conséquence du « péché originel », genre « chute de niveau » ou passage au dualisme du sujet et de l’objet. Pour l’Occident, se retrouver nu signifie une humiliation : montrer le véritable état de l’humain et donc le chasser du Paradis de la religion de l’homme. Par contre, pour la Grèce antique, la nudité était un idéal sportif et de beauté.
Pourtant la nudité signifie le retour à l’état de pureté originel : les prêtres du Shintô purifiant leur corps nu à l’air pur et glacial de l’hiver. On dit bien : LA VÉRITÉ EST NUE.
Adam et Ève n’ont recours aux vêtements qu’après la Chute : donc on entrait dès cette origine dans LE CONFORT, LE SÉCURITAIRE, puisque l’être humain perdait dès lors de sa SIMPLICITÉ et de la CLARTÉ AVEC LE SPIRITUEL.
Pour les gnostiques, la nudité se comprend comme celle de l’Âme rejetant le corps, son vêtement et sa prison, pour retrouver son état primitif et son origine divine.

La nudité en Occident ne choquerait pas que les humains, mais aussi les VOUIVRES (Guivres, Wivres).
La Vouivre ressemble à un grand Serpent, et le Serpent est comme le contraire de l’être humain : sans membres et froid et sans poils ni plumes. Mais l’être humain a pourtant conservé ce qu’on appelle : « cerveau reptilien ». Le Serpent symbolise la VIBRATION. J’y reviendrai sur de futures pages, mais pour l’Instant, voici un résumé d’une légende par rapport à la nudité.
Au Moyen-Âge dans les campagnes françaises la Vouivre avait une réputation épouvantable, elle dévorait systématiquement ceux qu’elle voyait, et détruisait les récoltes partout où elle passait. Par une chaude journée d’été, un jeune paysan après son labeur décide de se baigner, il se met nu et plonge dans une rivière. Après s’être rafraichit il sort de l’eau mais aussitôt sur la berge la Vouivre surgit d’un buisson. Le jeune homme a tellement peur qu’il ne peut plus bouger et s’attend à être victime de l’haleine empoisonnée de la Vouivre. Cette Vouivre était peut-être de descendance grecque, car à la vue du corps du jeune paysan musclé et bien proportionné... la Vouivre rougit... et chercha à fuir ce spectacle si dérangeant pour elle. Bref, elle prit la fuite. Évidemment, ensuite les paysans savaient quelle arme si simple utiliser pour se protéger. C’est peut-être pour cela que l’on dit « Être dans le plus simple appareil » (c’est mon interprétation). Mais appareil signifie bien : habiller, le décor, l’éclat, le look (dirait-on de nos jours), la pompe, l’apparat, la cérémonie.

Et qui dit vêtement dit mensonges et hypocrisies, car « L’HABIT NE FAIT PAS LE MOINE », ou le Mandarin en Chine. A ce propos depuis au moins les années 1960 les prêtres en France ne portent plus la soutane, pareil pour les religieuses se faisant plus discrètes dans leur uniforme. Cela indique bien-sûr la poursuite de la perte de la sacralité et de la tradition depuis l’époque de la Renaissance. Nous entrons effectivement dans le mondialisme et sa banalisation ou même soupe pour tous et sa norme du JNCQCQJV. Maintenant on n’emploi pas le mot mondialisme, mais on fait dans le réel communisme, puisqu’on parle de « Communauté internationale » comme pour rejeter ceux qui ne font pas la partie de la paroisse ! Dans cette « communauté universelle » y aurait-il égalité ? en tous cas certainement pas chez les curés de l’Église de Rome et chez les francs-maçons tous deux bardés de « hiérarchie ou échelons de la spiritualité », comme s’il fallait s’appuyer sur la chronologie tueuse ou avancement par étapes ! Ou d’ascension !!!

Autrefois et même encore dans quelques pays on parle d’habits sacerdotaux. Selon Tchouang-tseu, le dépouillement de l’ego ou individualité c’est abandonner le vêtement, donc le look. « Tous les êtres naissent de la terre et retourne à la terre » écrivait Tchouang-tseu dans le chapitre 11 : Laisser faire et tolérer.
« Dépouillez-vous de votre corps, crachez votre intelligence, oubliez les êtres et leur rapport [compas et équerre], et tout se résorbera dans l’indistinction primordiale ».
« Qui retrouve sa racine sans le savoir ne s’écartera pas de l’indistinction primordiale, alors que qui prend conscience de sa racine [dont la détruit par son mental] en est définitivement écarté » (Tchouang-tseu, même chapitre).

Dans le vêtement, et le look, se reflète la différence, pourtant « L’homme ordinaire aime celui qui lui ressemble [faire partie de la paroisse] et déteste celui qui est différent [l’étranger, le terroriste]. Celui qui aime la ressemblance et déteste la différence veut, à son insu, surpasser les autres hommes du monde », Tchouang donne une définition du délit de sale gueule, ce que de nos jours on appelle « racisme », ou « terroriste ». En fait, « celui qui se pose comme modèle pour les autres ne surpasse jamais ces derniers parce qu’il se cantonne dans son expérience personnelle, son égo. C’est celui qui prend les autres pour modèles, qui aura la chance de se surpasser ou du moins la sagesse de connaître sa propre limite », écrit avec justesse le traducteur de Tchouang-tseu : Liou Kia-Hway.


Un autre outil du JNCQCQJV : LE NŒUD

On dit bien « faire un nœud à son mouchoir » pour se rappeler de quelque chose, c’est donc l’équivalent d’un instrument de mesure : coïncidence de l’aspect inhabituel du mouchoir avec la mémoire comme la coïncidence d’un aiguille sur un cadran gradué et étalonné.
Comme tout symbole le nœud est positif (comme pour le mouchoir), ou négatif : dénouer une action, on parle aussi de dénouement. Le nœud correspond à la fois à la crise et à la mort : le défaire ; ou à la la résolution et à la liberté : le défaire aussi. Le nœud peut sauver : faire un solide nœud comme savent le faire tous les marins et les boys scouts ! Ces derniers sachant même faire des « cordes à virer le vent », et prennent un plaisir sadique à torturer ou bizuter un autre scout un peu naïf ou non, et qui accepte le jeu de chercher cette « corde » par pitié pour ses persécuteurs.
Le nœud mortel est celui de la corde et de la potence. L’autre nœud mortel est le mental, puisque une injure est lancé : « Tête de nœud » contre celui qui a trop de mental... ou pas assez !
L’autre nœud mortel est celui d’Alexandre (dit à tort le Grand puisque c’était un violent), qui le dédaigne au point de le détruire, mais il en périt, et le nœud se reconstitua puisque enchevêtrement mystérieux des réalités de l’invisible. Alexandre était un crétin.

Quant au compas il représente la chronologie tueuse : il tourne sur un point pour revenir au point de départ, vie et mort semblent identiques. La chronologie tueuse c’est Saturne (Satourne, ça tourne !), c’est le mental, le « petit vélo dans la tête », le plomb, la corruption, rotas-sator-satan. Saturne autrefois présidait à l’agriculture, et était représenté sous la forme d’un Vieillard à longue barbe tenant un sablier et une faux (fauché par le temps destructeur) ! Parfois le temps est aussi constructeur (tout est double dans la Nature !)
Saturne représente la symbolique de la convention du temps chronos comme les aiguilles tournant sur le cadran de l’horloge, parfait instrument de MESURE. Saturne représente l’ANTI-INSTANT, il fixe, il cristallise. Évidemment pour les Babyloniens Saturne est l’astre de la justice et du droit !!! (selon Edouard Dhorme, Religions de Babylone et d’Assyrie).

Quant à l’équerre, pour le franc-maçon elle symbolise l’ordre et le bien !!! L’équerre ordonne la matière, selon bien-sûr la religion de l’homme ! L’équerre épouse les angles. Elle colle... comme la glèbe du G, la note de musique sol en anglais : ground. Rien de plus terrible que l’angle à 90°. Par contre la lettre G étant à la septième place dans l’alphabet français, cela symbolise la perfection, alors ne pas s’étonner de la modestie franc-maçonnique si l’on retrouve la lettre G au milieu de l’équerre et du compas. Mais c’est une perfection uniquement terrestre...

Mise au point :
Satan symbolise le Grand Administrateur : le Sa-tam en Sumérien. Ce Satam est le directeur des opérations.
Le Serpent ne doit pas être synonyme de Satan sous prétexte que l’Ancien testament en à fait le mal dans la Genèse.
Même chose pour le Dragon qui ne doit pas être assimilé à la puissance du mal.
Le Diable et Lucifer sont des moteurs. Le Diable montre la chaîne de la libido dans son côté négatif, et dans son côté positif : l’épanouissement pour se dépasser. C’est un peu l’illustration de la lame du couteau avec son manche ; les deux ont leur utilité et ne doivent faire plus qu’un !
 
 
 
 
 
 
Vidéo émouvante.





L’envers du JNCQCQJV ou comment faire prendre des lanternes pour des vessies : tout n’est que rythmes et on va recommencer avec la Syrie comme on a fait avec le Libye. Il faudrait être un imbécile pour croire que le gouvernement syrien fasse tuer femmes et enfants comme ce qu’on entend dernièrement de la part de l’empire. C’est le système maffieux mondial : je te casse ta baraque, et si tu veux pas que ça recommence, payes ou fout le camp. Il est évident que le massacre de Houla en Syrie est orchestré par l'empire.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 29-05-2012 23:50

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