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Siècle des lumières = ENFER Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-06-2012 00:29

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Siècle des lumières = ENFER
HUMANISME = ENFER
Avec cela la franc-maçonnerie spéculative de 1717
 
 
Page hommage à Jean Coulonval, et à Damien (1715-1757)

L’abomination du siècle des Perruques poudrées.
 
 
Je chie, je conchie sur le Siècle des lumières.
Je chie, je conchie sur la gueule à Voltaire.
Je chie, je conchie sur la Gauche et sur la gueule de François Hollande.
Le siècle des lumières EST UNE SECTE avec des Couilles en Or comme moyens.
Le siècle des lumières :
C’est le responsable de la loi de Marché et du libéralisme économique,
Il a théorisé et mis en pratique le travail des enfants (voir les bagnes pour enfants des 19 et 20è siècles),
C’est la paupérisation des masses,
Les bagnes pour adultes et enfants,
C’est l’explosion du capitalisme,
C’est la dépravation de la morale :
Adultère et inceste étaient la norme.
Être sincère, aimer d’amour, c’était être le roi des cons.
Le siècle des lumières c’est pourquoi aider les autres pour rien, alors qu’on peut se faire de l’argent sur leur dos ; la charité c’est nul.
Le siècle des lumières c’est le plaisir immédiat, et jetable,
Pour favoriser les usines des Couilles en Or.
 
 
 
La Gauche actuelle = le siècle des lumières
Le franc-maçon Jules Ferry = lavage de cerveaux de l’éducation obligatoire à coups de « siècle des lumières ».
Philosophes = Lumières


Louis 15 est emprisonné, empoisonné par les gens des « lumières » et des bourgeois.

L’humanisme est né après la « découverte » de l’Amérique, époque de la Renaissance : d’autres gens ont une religion qui ne correspond pas à Dieu (celui de l’occident). Ces autres gens étaient hautement civilisés. On a envoyé des Occidentaux pour « civiliser » les Amérindiens : résultats : maladies et massacres abominables, puis échanges de bon procédés : introduction de la syphilis en Europe.

Les colons massacraient à qui mieux mieux, et pourtant allaient à la messe le dimanche !!!
Les Amérindiens sont aussi humains que n’importe quels européens. Voilà la grande découverte de la Renaissance, mais avec l’aide des prêtres catholiques se révoltants contre les massacres perpétrés par les colons. Il fallait mettre les point sur les I, aussi étonnant que cela soit, et que la couleur de peau n’avait rien à voir et que nous étions tous des HUMAINS. Et ce sont des prêtres catholiques qui ont apporté cela. Les protestants sont arrivés bien plus tard.

Face au prêtres est arrivé évidemment l’économie : esclavage facile, or métal, richesses minières, etc. L’Église s’oppose à cela. Donc à partir de ces drames sur les Peuples du Soleil, l’Église dit que l’humanité concerne TOUS LES HUMAINS.

Il ne faut pas sortir d’une école de philo pour s’apercevoir que la catholicité est la seule prouvant l’humanisme. Tous les philosophistes peuvent aller se faire voir.


Donc l’Église se scinde en deux : celle qui refuse le commerce, et celle qui VEUT faire du commerce (les Protestants).

- Protestants (Luther) = Dieu donne la grâce (amour de Dieu, inspiration) à qui Dieu veut. On a la grâce ou on ne l’a pas.
Pour les Protestants il y a les élus, et il y a les autres, Donc une élection divine. Pour les Protestants il y a prédestination, l’homme est totalement asservi à Dieu. Donc les hommes ne sont pas libres, et les païens ne peuvent pas faire de bonnes actions : ils ne peuvent que pêcher.
Exemple : un paysan à exploiter ? Dieu a voulu qu’il soit exploité. Ainsi, pas de progrès social possible...
Protestantisme = Sophisme et négativité.

- Catholicité = ÉGALITÉ TOTALE.
Tout homme peut se racheter par ses actes. On peut être rendu juste par les actes que l’on fait. Ainsi tous les hommes sont frères, tous les hommes sont libres, tous les hommes sont égaux devant Dieu. Cela donne la VRAIE TRINITÉ : LIBERTÉ, ÉGALITÉ FRATERNITÉ. L’humanisme est donc au cœur de la CATHOLICITÉ, ce qu’écrivait déjà Jean Coulonval au début des années 1970 dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux.

L’humanisme se situe dans la CATHOLICITÉ.
Concile de Trente : définition de l’Humanisme ; et il n’y a pas d’élus. À partir du Concile de Trente on décide que les femmes ont une âme. La position du Vatican se renforce. Dans la suite de ce Concile se créé les Jésuites qui sont chargé d’appliquer l’humanisme : savoir, éducation. Dans l’Ancien temps il y avait des écoles partout, dans chaque paroisse (depuis Charlemagne). À Paris au 18è siècle il y a 500 écoles primaires paroissiales. Les Jésuites feront dans le secondaire dans la nouvelle tradition humaniste.

Salamanque en Espagne verra les jésuites Molina et Mariana Marianne). De la viendra que l’humanité une et indivisible, que la souveraineté est DANS LE PEUPLE, qui délègue sa souveraineté à un Roi, lequel doit rendre compte au Peuple ; le Roi ne tient sur le trône que parce qu’il fait selon le bon plaisir du peuple. Ainsi le peuple a droit à l’insurrection. Ainsi on arrive à LA VRAIE DÉMOCRATIE. Toujours depuis cette réunion de catholicité de Salamanque, il sortira la LAÏCITÉ. Jésus prône la laïcité dans les Évangiles : rendre à César ce qui est a César, et à Dieu ce qui est a Dieu.
Donc ce sont deux autorités distinctes. Ainsi une autorité civile n’a pas à donner son avis sur une question religieuse. Donc les affaires des juges du civile ne regarde aucunement les croyances d’un accusé.
L’opposition avant 1789 était les juges qui voulaient se mêler des affaires de la religion. Ainsi l’agression venait des laïcs et non de l’Église.

Le vrai Humanisme c’est qu’il faut que l’être humain puisse s’accomplir, se réaliser, et pourquoi pas réaliser le Soi, l’Instant (voir Ramana Maharshi).
Bien-sûr en face il y a une anti-humanisme, celui de Luther, qui éclôt à l’intérieur de la catholicité : le mouvement janséniste.
Les jansénistes font comme les protestants, et n’ont pas rompus avec Rome. Ils sont parti à la conquête du pouvoir et la royauté commence a être sapé. Le pire ennemi des jansénistes étaient les jésuites. Les jansénistes leurs reprochaient de prendre le pouvoir sur les âmes, sur le Roi. Les jansénistes étaient puissants puisque dans la magistrature.

Ainsi le mouvement des Lumières est venu à cause des jansénistes.

JANSÉNISTE = Compas et équerre ou personne qui fait preuve d’une rigueur excessive dans ses idées. Rigide, sévère.

ENCYCLOPÉDIE DE DIDEROT = SIÈCLE DES PERRUQUES POUDRÉES (lumières).

Les francs-maçons ont lancé l’Encyclopédie, pour raison économique entre autre (vendre beaucoup de livres). Loges maçonniques = endroits où la bourgeoisie et l’aristocratie se croisent. Avant 1789 tous les grands maîtres francs-maçons sont des princes, voir cousins du Roi.

L’Église a condamné la franc-maçonnerie, car si ont veut faire le bien il n’y a pas de raison de se cacher, mais si on applique la loi du SAVOIR, POUVOIR, OSER, SE TAIRE, c’est une autre histoire car le pouvoir ne doit pas exister car tous pouvoirs est cancer et destructeur.

L’Encyclopédie est parti en guerre contre l’Église : une formidable machine anti-religieuse. Avant cette Encyclopédie Bien et mal ne se définisse que par rapport au spirituel, à la religion.

LUMIÈRES = Lutte contre l’obscurantisme, donc l’Église dans sont ensemble, pour soi-disant apporter « la raison ».

Les reproches des « lumières » (philosophistes), avec juste raison, critiquait la justice de l’ancien régime et sa barbarie. Ainsi on retrouve l’humanisme attaché aux lumières.
Il est vrai que le supplice de Damien à Paris en 1757 fut probablement un gros déclencheur de 1789. Damien avait juste légèrement écorché le dos de Louis 15, qui avait dit qu’il lui pardonnait et qu’il ne fallait pas lui faire de mal. Les juges jansénistes ont donc inventé une sorte de concours national de sadisme de la perversité humaine. Et dans les écoles on nous a toujours fait avaler que le supplice de Damien avait indigné les philosophistes. En étudiant les textes et journaux de l’époque, des étudiants n’ont trouvé AUCUN MOT DES PHILOSOPHISTES pour dénoncer la barbarie du supplice de Damien, qui A ÉTÉ JUGÉ SANS AVOCAT. Ensuite PERSONNE n’a dit le moindre mot pour dire que c’était cruel et abominable.

Seul Diderot, le rédacteur en chef de l’Encyclopédie, en parlant de Damien à La Condamine, prononça le mot de « malheureux Damien ». Les magistrats, totalement sadiques, ne loupèrent pas une miette du supplice. Donc La Condamine s’était rendu au supplice et prenait des notes, parce que c’était « un amateur ». Les Jésuites furent accusés de cet attentat (voir l’article Jésuites de l’Encyclopédie), pour Henri 4 ce fut pareil, etc. L’article Régicide parle aussi de Damien, mais encore une fois AUCUN MOT SUR LA CRUAUTÉ ET LE SADISME DU SUPPLICE DE DAMIEN.

Ainsi à notre époque on dit que le siècle des perruques poudrées a amélioré le sort du « justiciable ». Cesare Beccaria déclare qu’il faut proportionner la peine au délit, ce qui semble évident de nos jours mais ne l’était pas quand on voit le sort de Damien en 1757, si proche de nous. Seulement le problème avec Beccaria est qu’il veut faire du condamné un esclave (un animal de service) afin de réparer ‘l’injustice’ qu’il a commit : « l’intensité de la peine d’un esclavage perpétuel a tout ce qu’il faut pour détourner l’esprit du public le plus déterminé aussi bien que la peine de mort ». Ainsi « l’esclavage perpétuel » serait-il un progrès ? Sous les coups, dans les chaînes, et dans une cage de fer, pendant des années et des années ? Mais c’est encore plus sadique, plus inhumain que de mettre à mort un condamné. Avec ce Cesare Beccaria on arrive au comble de l’horreur qui verra se développer les bagnes pour adultes et pour enfants, c’est-à-dire l’ESCLAVAGE OFFICIEL QUI DURERA EN FRANCE JUSQU’EN 1945.

Ce que propose ce Beccaria est pire que la mort, comme dans le bagne : sous les coups, dans les chaînes, mais sans la cage de fer pour pouvoir exploiter le condamné jusqu’à ce qu’il en crève. Version moderne des galériens romains qu’on tuait à la tâche. Par la suite viendra le Goulag de Lénine.
Le philosophiste Voltaire a applaudit le Beccaria !!! Voltaire, totalement inconscient... Il dit d’ailleurs : même chose pour les voleurs ; effectivement un gamin qui vole un saucisson se retrouve au bagne jusqu’à sa majorité, s’il survit jusque là !

Ainsi :
VOL = PEINE DE L’ESCLAVAGE
L’esclavage au 18è siècle est un lieu commun, ou plutôt un COMMERCE qui rapporte, non seulement en humains, mais en sucre et autres multiples marchandises. Donc tous ces philosophistes et perruques poudrées savent parfaitement ce que c’est l’esclavage, et savent les fortunes que ça rapporte.

PEINE SELON VOLTAIRE = ESCLAVE SERT L’ÉTAT POUR SE RACHETER !
DONC UTILITAIRE et amorce de la société de consommation où tout se vend et s’achète, même les humains.


Voltaire : « Forcez les hommes au travail, vous les rendrez honnêtes gens. On sait que ce n’est pas à la campagne que se commettent les grands crimes », puis il en vient à la débauche selon lui source de crimes. Alors pour Voltaire la vie doit être sinistre : interdiction des fêtes de villages.
Donc Voltaire invente l’enfer, le bagne, le Goulag où il faut travailler sans cesse. C’est la position des jansénistes, qui réprimandent le moindre plaisir.

Soi-disant le siècle des perruques poudrées a aboli la torture pratiquée sous l’ancien régime. Voltaire ayant un instant de lucidité s’élève tout de même contre la torture destinée à arracher des aveux au supposé coupable ou innocent ! Mais sous l’ancien régime on ne torturant pas les gens pour obtenir des aveux. Les juges n’étaient pas si idiot pour accepter ce le n’importe quoi que le torturé balançait pour faire arrêter les souffrances. Donc Voltaire ment.
Voltaire a fait circuler dans toute l’Europe que les juges français torturaient les prévenus. La torture, APRÈS CONDAMNATION, n’était appliqué que pour faire avouer les éventuels complices. Et pas autrement. Donc en France la torture n’a JAMAIS été appliqué pour faire obtenir des aveux.

En résumé : le siècle des perruques poudrées a réussit a faire abolir quelque chose qui n’avait pas cours.

L’inénarrable Voltaire ajoute que la torture sera réservé à un « scélérat » qui aura assassiné un père de famille ou le père de la patrie. Donc pour Voltaire il faut arrêter la torture sauf pour un type comme Damien ! ATTENTION : à l’époque ‘assassiné’ ne veut pas dire tuer, mais « commettre un attentat ».

Le siècle des perruques poudrées a réclamé simplement la TRAITE DES ESCLAVES : aller piquer des nègres (le bois d’ébène) en Afrique pour les vendre sur les marchés en Amérique. Mais déjà à l’époque de Voltaire ça coûte de plus en plus cher d’aller chercher des nègres. Il fallait trouver une solution à la crise du « bois d’ébène ».

Autrefois les « hôpitaux » était les lieux de concentration où l’on enfermaient les pauvres. Une tâche très grave sur la monarchie.
Alors comme la traite des nègres ça paye plus, on va faire bosser les pauvres se dit ce brave matérialiste Voltaire. Alors on envoie les pauvres aux colonies. Facile pour Voltaire de créer une colonie : on va chercher les nègres : 2000 nègres, autant de négresses et de leurs enfants, escorter le tout avec les pauvres, les estropiers, etc. mais une fois la colonie installé, les nègres ne servent plus, alors Voltaire dit de les revendre.
Donc Voltaire n’est pas un abolitionniste mais un esclavagiste qui va chercher des enfants pauvres dans les hôpitaux, les fait envoyé aux colonies pour en faire des bêtes de somme ou esclaves pour remplacer les nègres, qu’il revend ensuite une fois que les enfants sont efficaces.

Ensuite on va chercher des enfants dans les hôpitaux, qu’on envoie à la campagne afin d’en faire des bêtes à tuer, dans les armées du Roi. Donc suppression de toute tendresse pour ces enfants. Tout cela théorisé par Chanoncey et appliqué par Choiseul : les enfants envoyés à la campagne pourront être tiré au sort et partir à l’armée. C’est la symbolique des Thénardier : on retire des enfants des familles qui les aiment pour les placer dans des familles qui ne les aiment pas et les maltraites.


Qu’est-ce que c’est le siècle des lumières ?
L’éducation du peuple ? Non, l’éducation DES AUTRES, ceux qui ne sont ni philosophistes, ni religieux ! Donc l’élite (la raison) réfléchit, et le commun des mortels sont les imbéciles à « éduquer », à formater un minimum selon l’opinion de l’élite ! La masse, le peuple, marche dans les ténèbres non encore éclairé par l’opinion du philosophiste tenant dans sa petite main le flambeau, telle la femme devant New York. Dans l’Encyclopédie de Diderot, à l’article ‘Philosophe’, il est dit que celui-ci est une lumière et le peuple est con. Ce qui est lumineux là-dedans : ça fait tout-à-fait franc-maçonnique !

Selon la définition des « lumières », un MENDIANT, c’est un oisif qui fait profession de mendier au lieu de « gagner sa vie par le travail ». Donc pour les jansénistes, un gueux qui n’est pas unijambiste, aveugle, invalide ou fou, c’est simplement un fainéant. Donc un pauvre qui tend la main c’est un salaud ! Alors on le fouette, on l’envoie aux galères... Mais hélas celui qui ne mendie pas est obligé de voler pour survivre, surtout s’il a tout perdu suite à une guerre. Pour les jansénistes la pauvreté est un pêché.
Donc le vagabond c’est école du vole, ou plutôt le métier de voleur, ce qui donnera les principaux ingrédients des bagnes pour adultes et pour enfants. Alors le pouvoir veut détruire les familles : les miséreux dans les hôpitaux étaient séparés automatiquement : les enfants étaient arrachés des bras d’une mère, et c’était finit elle ne les revérait plus jamais.
C’est l’œuvre du siècle des lumières.

Pour Voltaire, qui était plein de fric, dans le troupeau humain il y a juste a récupérer les « gens bien éduqués et fortunés » : les bourgeois.

L’esprit d’une nation réside toujours dans le petit nombre qui fait travaillant le grand nombre, et nourrit par lui, et le gouverne (Voltaire). Ce qui est lé définition d’une oligarchie. Alors il n’y a aucune république là-dedans. Et c’est pareil pour l’éducation : il faut juste éduquer le peuple pour ses besoins utilitaires, mais qu’il ne se mette surtout pas à « raisonner », aussi pas d’étude chez les laboureurs ! On voit cela à l’œuvre avec nos médias modernes et surtout avec la télévision. Ces idées découlent d'Aristote.


La moralité prônée par les perruques poudrées.

Pour Voltaire il faut mentir quand cela est arrangeant ! En voilà une morale des loupiottes.

Avec Turgot les loupiottes entre au pouvoir.

Sous la royauté l’obsession était de ne pas s’enrichir sur la nourriture destiné au peuple. Car dans des périodes de famines des fortunes colossales ont été faites alors que les gens mouraient de faim. Ainsi il y avait une « police des grains » du Roi qui était chargé de s’assurer que le grain était distribué à tous : que le pain soit accessible aux plus pauvres des sujets du Roi. Turgot arrive, supprime la « police du grain », et dit que le prix du pain n’est plus fixé par le Roi mais par le MARCHÉ.
Sous la royauté le paysan apporte son grain sur la place du marché du village, et les habitants se servent, et s’il y a du surplus, les marchands ont le droit de passer, après. Avec Turgot plus de police du grain et on à le droit d’acheter chez le producteur, ainsi arrive la guerre des farines. Exit le peuple, bonjour le marché ou la loi de Turgot. Alors il faut faire plier le peuple et tirer au fusil dedans.
Condorcet : « Le peuple ne sera tranquille que quand il saura qu’on a punit un de ses brigands ... » donc aucune indulgence envers le peuple traîné dans ce cas plus bas que terre. Des pauvres bougres qui réclamaient du grains furent pendus.

De ce problème date le prolétariat (l’esclavage du Marché), car avant cela le mot Ouvrier possèdait un sens noble : celui qui ouvre, qui montre la voie.

C’est Turgot le catalyseur de la révolution de 1789 : les salaires baissent et les prix des denrées monte. Alors pour soutenir le prolétaire il faut faire bosser ses enfants. De là vient l’esclavage des enfants se poursuivant tout le 19è siècle.
Pour les chômeurs Turgot fait créer les « ateliers de charité » : travaux forcés, ou « travaux d’intérêt général » mais avec une grande brutalité et mal nourrit ; ce qui préfigure les bagnes d’enfants qu’on exploitait à outrance.
Pour le pouvoir, le propriétaire, celui qui possède, fait du bien à l’État ! C’est peut-être pour ça qu’il y avait marqué autrefois sur certains objets : « Propriété insaisissable de l’État ». Et le « propriétaire » est le seul qui a le droit de se faire représenter dans le système des assemblées et parlement de la soi-disant république. C’est la théorie des lumières sur ce que doit être une Constitution !!! C’est-à-dire une oligarchie de Couilles en Or.


[En référence à la conférence de Marion Sigaut, vidéo ci-dessous. Merci beaucoup Madame Marion Sigaut pour votre formidable conférence. Par contre je ne suis pas d’accord pour votre éclairage en bien des Jésuites]
Marion Sigaut est sur : http://www.egaliteetreconciliation.fr
Conférence de Marion Sigaut à Paris le samedi 30 juin.

Maintenant ce monde est sous la dictature d’OPINIONS de mutilés sexuels pratiquant l’usure. Il faut que cela cesse.

CONCLUSION :
Le siècle des lumières ou des perruques poudrées a apporté le pire obscurantisme depuis l’antiquité.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 28-06-2012 01:17

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