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L’Empire matérialiste d’Hollywood Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-07-2012 01:28

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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L’Empire matérialiste d’Hollywood
ou entreprise de lavage de cerveaux mondiaux
ça tourne même la tête du chat Félix !


Pouvoir des médias aux États-Unis, et par
conséquence dans le monde !
 
 
 
Encore une interférence entre « réalité et fiction » où un tueur devait tout mélanger entre le « vrai et le faux »... près de Denver, aux États-Unis... C’est à l’aéroport de Denver que l’on trouve les fresques murales bourrées de symboles...

Hollywood est une création de Wall Street, en cheville avec des multinationales comme General Motors, General Electric, Dupont de Nemours, Western Union, etc. La haute finance choisit, par ses hommes de confiance, les sujets des films qui doivent, avant d’être réalisés par un réalisateur, plaire à une poignée de Couilles en Or.
 
Le cinéma était à l’origine une attraction foraine pour distraire le peuple, comme il était distrait et hypnotisé par les jeux du cirque dans l’Empire Romain. Le cinéma américain actuel est toujours du divertissement au pays de l’entertainment et de son Dieu Phineas Taylor Barnum.

Devant le succès de l’attraction « Cinématographe », les forains transforment leurs établissements en cinémas. Ce mouvement débute en Angleterre, puis se propage aux États-Unis, en France et dans toute l’Europe. La manipulation des foules pouvait commencer. Pour ce faire, il faut remonter à la pépite de Nickel que découvrit Johann Sutter en 1847 près de Saint Francisco. Cela donna le départ à la fois à la ruée vers l’Or et vers le Nickel, cette pièce américaine de cinq cents, qui était le faible prix d’entrée des salles de cinéma. Ainsi naissait les Nickel Odeons au prix réduit, permettant aux classes pauvres (surtout les émigrants) de « se rincer l’œil », peut-être pour éviter de se rincer la gueule avec de l’alcool pour atténuer sa misère d’esclaves. Ainsi les bénéfices furent rapidement énorme et permirent d’ouvrir toujours plus de salles. D’autant que l’ignorance de la langue anglaise interdisait aux émigrants venus pour la plupart de l’Europe centrale d’aller se divertir au théâtre.
Bref, le business de l’entertainment était déjà florissant, puisque lancé par Barnum. 10 salles de cinéma aux États-Unis au début de 1905, et près de 10.000 salles à la fin de 1909 ! À la même époque la France ne possède qu’environ 200 à 300 salles, et le reste du monde guère plus de deux ou trois mille. L’Empire américain s’installait depuis la création de cette banque privée : la FED, et la main-mise des banques privées sur le peuple américain.

La maffia bancaire jouxtée avec la maffia de l’entertainment allait faire ses ravages jusqu’à nos jours. Un peu avant l’avénement du cinéma parlant Hollywood fut une création de wall Street avec sous sa coupe la Paramount, la MGM, la Fox, la Warner, et la RKO (Radio-Keith-Orpheum) ; derrière venaient Universal, Columbia, United Artist.
En 1913, l’industrie du cinéma investissait déjà 125 millions dans la construction de salles, 50 millions étaient consacrés à la production. Ainsi Wall Street ne pouvait que contribuer.
Le cinéma comme art forain convenait bien aux émigrants de tous origines. De l’artisanat il passa à l’industrie et bien-sûr la finance s’y intéressa dès le début. De gigantesque combinaison commençaient à s’élaborer. Des usines de pellicules allaient se développer, notamment avec George Eastman.

Je remet ici l’extrait d’un courrier au Journal Nexus de janvier 2008, où un lecteur détail l’essentiel de l’opium du peuple et de la désinformation :
Ce lecteur explique que le gouvernement américain finance les studios de cinéma pour qu’ils fassent des films basés en partie sur la réalité et en partie sur la fiction, déconcertant ainsi le spectateur afin qu’il confondent les choses. Puis, si celui-ci lit ou entend un fait qui sort  de la normalité subjective, il vous dira qu’il ne s’agit que d’un film et ainsi, que l’on ne peut pas le considérer comme vrai car tout provient de l’imagination du scénariste. Ainsi, le gouvernement et ses agences de sécurité (comme le NSA par exemple, qui est une sorte d’état dans l’état) se servent des médias comme d’un poste de contrôle. Un tiers de la population y croira, un autre tiers s’y refusera et le restant sera un peu en retrait, et ces trois groupes dépenseront leur énergie inutilement à se disputer (créer la confusion est une spécialité démocratique). Comme l’a dit un sage : « On ne peut éduquer que les gens intelligents » qui sont prêts à profiter de toutes les occasions pour apprendre et à ouvrir les yeux et les oreilles face à ce qui se passe dans les coulisses de ce spectacle théâtral auquel nous assistons. Car c’est bien dans les coulisses que se passe l’action véritable.

Cette manipulation hollywoodienne s’apparente fort à la « démocratie » ou tyrannie de l’opinion, soit la MANIPULATION et le FRIC. Et ne pas marcher à la géométrie franc-maçonnique occidentale, donc de mort, c’est maîtriser ces 3 paramètres.
1 - Faits, preuves, informations soutenant une réalité ou donnant un statut ou une convention à cette réalité.
2 - Faits, preuves, informations contredisant cette réalité, et qui doivent être mis à l’écart d’une façon ou d’une autre.
3 - Introduction volontaires de faux si le 1 et le 2 ne peuvent pas être accordés ou gérés de façon efficace.
Celui qui sait maîtriser ces paramètres devient un « conseiller en communication » (spin doctor), bref : un MANIPULATEUR. Et il n’y a pas plus manipulateur que l’industrie hollywoodienne dans son ensemble.



Le tiroir-caisse ou compte en banque


C’est la seule chose qui intéresse Hollywood. Les « exécutives » (producers) viennent des écoles de droits et de commerce, les USA étant le paradis du Copyright et surtout des Avocats ! Les studios sont devenus des branches des banques et les Agents et Agences ont prises le pouvoir. Le producer est le maître de tous les éléments du succès ou de l’échec d’un film. Seul compte le rendement du film : le Box Office et le tiroir-caisse. On se fout de la critique surtout indépendante, inexistante au début du 20è siècle aux États-Unis.

Aujourd’hui, la MPAA, fondée par des financiers et le puritain William Hays, un puritain rigide et leader du parti républicain, est une puissante maffia de l’entertainment. Le film est un produit comme le Coca-Cola.
William Hays dirigea pendant 20 ans l’Office Hays et attacha son nom à un code de la pudeur, rédigé par un Jésuite, le R.P. Daniel A. Lord. Il exista aussi une « légion de la décence », venant renforcer le code de la pudeur. Les banques ou Couilles en Or redoutent plus que tout ce qui touche l’humain, la civilisation. Pour eux ce sont des vices ! Aussi les Couilles en Or, selon le taylorisme et selon le FAIRE, divisent le travail à n’en plus finir, et n’accordent une confiance aveugle qu’à ce qui touche le fric : les businessmen et les statisticiens.

Les temps actuels n’ont pas changés, Hollywood est, toujours, une gigantesque usine à fabriquer des saucisses, suivant l’expression inventée par Stroheim. L’après seconde guerre mondiale profita formidablement à Hollywood : 5 milliards de billets vendus en 1946. Et Hollywood conquit de nouveau marché : Japon, Italie, Allemagne occidentale, etc. Une propagande anti communistes se développa.

« La pudeur fut moins une fin qu’un moyen et servit à transformer le cinéma en instrument de propagande glorifiant le standard de vie des États-Unis et leurs principaux produits industriels [l’American way of life]. Le cinéma devint voyageur de commerce, en appliquant la formule de Hays : La marchandise suit le film : partout où pénètre le film américain, nous vendons davantage de produits américains », écrit Georges Sadoul dans : Histoire du Cinéma mondial des origines à nos jours, dont je m’inspire sur cette page. Georges Sadoul qui précise bien que l’édification d’Hollywood s’accompagne de la décadence ou de la perdition des pionniers : Thomas Ince, Mack Sennett, D.W. Griffith.

Dès le début, Hollywood fait dans le communisme : il élimine la personnalité et l’individualité, tant des réalisateurs que des artistes : les Stroheim, ou les Griffith devinrent la proie des producers. « Le jour où Griffith fut chassé des studios par Irving Thalberg au cours de la réalisation d’un film a été considéré par René Clair comme le début d’une nouvelle Hégire, comme la date de la vraie fondation d’Hollywood », écrit G. Sadoul.

Steven Spielberg est le réalisateur typique de films à « boxe-office » jouant sur la sensibilité, et donc la manipulation, comme ce qui est décrit plus haut dans le courrier d’un lecteur.
Avant Spielberg la manipulation des masses s’exerça avec les westerns, puis avant avec les comédies musicales qui lavaient le cerveau des gens en les transportant dans le CONFORT qui ne connaissait d’autres soucis que les problèmes d’alcôves ; et convainquaient que chaque Américain pouvaient être Président des États-Unis ou richement marié. « Les bouffonneries de Frank Capra et Robert Riskin furent aussi respectueuses pour les familles Rockefeller ou Morgan, maîtresses d’Hollywood, qu’avaient pu l’être jadis les Fous du Roi, pour leurs monarques », écrit G. Sadoul. Effectivement, si un réalisateur ou un scénariste parlent du moindre Juif, ils courent à la censure et aux procès à n’en plus finir, pour « antisémitisme »...

De toutes façon, Hollywood c’est l’éternelle guerre de la dualité entre bons et méchants !!! Donc entre les « brigands » ou « terroristes », et les gentils « démocrates » ou « républicains ». Et de temps à autre, pour donner le change et embrouiller le public, on fait du gentil banquier le méchant milliardaire ! Ce sont toujours des films à MORALE, des films de PRÉDICATEURS, il n’y a qu’à voir les films de Walt Disney, la smala des super héros genre Superman et compagnie...
 
 

Dernière mise à jour : 21-07-2012 01:52

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