Comme déjà écrit dans la page :
Les 4 Pouvoirs, dont voici la phrase principale :
« En triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord ». Le pouvoir du peuple est un gigantesque bluff.
En effet, tous gouvernements recherchera la « cohésion sociale » à coups de sa nouvelle religion : la laïcité franc-maçonnique jouxté à la technologie, et en France jouxté au Nazionistan. Ce duo (ou trio) est totalement incapable de maintenir une collectivité unie et bien coordonnée, ni surtout à créer des « valeurs » éthiques, ni à stabiliser des personnes qui ont besoin d’être équilibrées et de retrouver leur Centre. « C’est surtout parce que le jugement éthique n’est ni vérifiable ni falsifiable qu’il est subjectif, individuel [opinion], et qu’en conséquence la science ne peut le valider ni le réfuter. Il ne peut devenir efficace, agréé, que s’il est largement perçu par les individus qui composent la société, à travers les différents mécanismes d’assimilation, de propagande et d’intégration à la culture commune.
Et surtout par l’imitation grégaire. La cohésion psychique des individus, des « divisés », nécessite une pression sociale et grégaire « sur le terrain ». Pour ce faire, la cohésion sociale demande le partage de règle communes (acceptées automatiquement et dans le subconscient, donc non négociées), de croyances, de valeurs (indémontrables), de convictions (indépendamment de la réalité de celles-ci) », écrivent M. Della Luna et P. Cioni dans :
Neuro-Esclaves.
Donc d’un côté les libérés sont ceux qui se détachent de la masse ; et de l’autre côté les non libérés doivent être irrationnels et moutonniers, car la coordination sociale se base « sur des systèmes de pensée et de valeurs, partagés et irrationnels [de pures conventions ou opinions], ainsi que sur des mécanismes de coordination inconscients.
La règle groupale (le paradigme partagé) n’a pas à être véridique, elle n’a d’autre fonction que celle de sauvegarder la cohésion du groupe et de ses membres ». Ainsi les francs-maçons peuvent aller se faire voir avec leur « morale » ou norme. Parce que nous voyons l’état de notre civilisation devenant de plus en plus fausse, et perdant de plus en plus ses repères depuis 1789 :
Effondrement des règles, des valeurs, des croyances, des paradigmes ou modèles, etc., destruction des institutions sociales : famille, mariage, partis, religions, nations ou États, etc.
Le psychiatre, ce « prêtre moderne et laïque », réintroduit sur le marché de l’esclavage la brebis égarée : il insère ses brebis malades dans un réseau relationnel qui leur offre le CONFORT (mode affectif), soit de puissants facteurs rassurants comme la dépendance passive ; bref, on les récupère pour les canaliser dans la « bonne direction » (celle du pouvoir en place).
Mise au point sur le mot « Brigand », aujourd’hui : « Terroriste » :
Ces demandeurs de libertés ne sont pas des incultes, surtout de nos jours : ils possèdent un niveau de culture élevée (pour les ‘Brigands’ c’était plutôt la culture agricole, mais aidés par des gens cultivés ou intellectuels). Mais même les « Brigands » ou Vendéens de 1793 se mettaient à réfléchir sur leur réalité et comprendre les injustices inquisitoriales introduites par les républicains de 1789. Ainsi, comme de nos jours l’impossibilité momentanée de corriger le monde pour le rendre « meilleur », engendre chez les Brigands comme chez les modernes Terroristes, des frustrations et des souffrances, car les moyens de changer s’avèrent dérisoire. Conséquence : exaspération engendrant une violence désespérée. Par contre, les « terroristes » ce sont aussi les États-Unis et leurs Couilles en Or !
Si les grands médias aux ordres des Couilles en Or sont de véritables drogues, le CONDITIONNEMENT ou DRESSAGE HUMAIN, il en est de même des drogues légales de Big Pharma et des producteurs d’alcool et de tabac ; tout cela joue énormément sur le plan social en hypnotisant sous un CONFORT pour éviter de se retrouver face à soi-même, et de trouver la véritable raison de son mal-être. Ainsi on comprendra que l’État aura intérêt à autoriser un minimum ces drogues, y compris celles illégales ou plus ou moins tolérées, car une société de consommateurs de pilules, d’alcool et de pétards sera une société sous contrôle de l’État et des maffias. Il ne faut pas oublier que la finance mondiale des Couilles en Or tirent un maximum de bénéfice du commerce des armes et de la drogue, et du blanchiment des narcodollars. Et quoi de plus manipulateur que les psychotropes pour « éduquer l’humain » dans le confort ! Une autre manipulation importante est le business des VACCINS, et celui de la grippe est une véritable drogue perturbant plus ou moins le système immunitaire si l’on arrête de se faire vacciner chaque année.
Ce qui marche le mieux en manipulation mentale c’est pénétrer le subconscient : Coca-Cola l’a fait (quelques images insérées dans un film se déroulant à 24 images par seconde), et ça marche ! Tellement bien que ça a été interdit ! Enfin presque, car de nos faux jours la publicité ne se gêne plus guère pour pénétrer le subconscient des futurs acheteurs.
Si le cerveau fabrique la culture, la culture jouxtée aux pratiques existentielles qui peuvent être plus ou moins imposées à des fins de manipulatrices, fabrique notre cerveau ! Ces pratiques existentielles le fabrique en construisant de nouveaux circuits neuraux.
Bizarrement il existe encore beaucoup de « scientifiques » qui considèrent l’être humain comme un robot, ainsi ils considèrent que le cerveau est le siège de la conscience, de la pensée. C’était le cas du « psychiatre »
Ewen Cameron, docteur au service de la CIA, qui prenait le cerveau pour un disque dur d’ordinateur ! Ainsi pour lui : pour guérir la folie, il suffirait d’effacer totalement le mental existant, et de reconstruire complètement un nouveau mental. Une idée enfantine typiquement
American way of life, proche de « l’homme nouveau » de l’
existentialisme de
Jean-Paul Sartre et des communistes ou religion de l’homme, ou de la Bible des droits de l’homme.
Du temps d’Ewen Cameron comme de nos jours avec le
camp de Guantanamo, les USA qui se prétendent « démocratiques » pratiquent le lavage de cerveaux sous des formes les plus brutales et les plus invasives, ce pays qui se prétend porte-drapeau de la liberté et de la Bible des droits de l’homme ne se conduit guère mieux que les pires bolcheviks de l’URSS de Staline. Tout cela a pour base Sigmund Freud et surtout
Ivan Pavlov, qui influença un pratiquant du béhaviorisme façon robotique :
Burrhus Frederic Skinner, partisan de la non existence d’une morale naturelle, exactement comme l’écrit
C.W. Leadbeater dans :
Rites Mystiques Antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie. Skinner était-il franc-maçon ?
La même idée enfantine que le « disque dur » d’Ewen Cameron, c’est le «
sérum de vérité » : soupe aux différentes drogues, qui se développa corrélativement avec les projets MKULTRA, MKSEARCH, MKDELTA, MAKACTION, MKNAOMI (MK pour
Mass Killing ou élimination de populations entières), ARTICHOKE, BLUEBIRD, MONARCH, tous outils censés combattre « la guerre froide » ou le communisme ! Ces projets utilisaient des fréquences électromagnétiques et l’utilisation du radar. Là encore, de 1954 à 1970, on prenait le cerveau pour un disque dur d’ordinateur.
Dans cette Amérique si « démocratique »... on utilisa différentes drogues naturelles comme le
peyolt, et des drogues chimiques et artificielles comme le
LSD et autres substances de Big Pharma.
Les USA utilisèrent aussi le son : projecteurs infrasonores capables de chez les personnes des états de confusion, de terreur, l’impression d’être attaqué par l’ennemi. Ces armes furent utilisées avec succès par l’Angleterre dans la
guerre des Malouines contre l’Argentine.
Des fréquences de 0,4 jusqu’à 4 GHz peuvent endommager les neurones moteurs. Les USA qui se vendent comme « pays libre » pratiquent la torture et surtout la manipulation mentale ; le pire est que ce pays est soutenu dans ses pratiques par l’Égypte (période Hosni Moubarak), par l’Italie, etc.
Le projet MONARCh était destiné à fabriquer des individus à personnalité multiple : dissociation de la personnalité. Ce trouble de dissociation se produit fréquemment chez des fillettes abusées sexuellement, ou par violences, par leurs parents. Pour garder une CONFORT, donc un rapport avec ses parents dont elle dépend pour ses besoins existentiels, la victime produit une personnalité séparé pour vivre et absorber les moments d’abus, alors que la l’autre personnalité, protégée par les barrières amnésiques, garde le reste du temps un rapport « normal » avec ses parents.
« Il faut noter que les parents incestueux (et en général les pédophiles) font rarement recours à la violence dans leurs activités sexuelles avec leur progéniture. Ils sont le plus souvent séducteurs et enjôleurs, ce qui est excitant, érotisant et satisfaisant. Et ça marche, l’enfant mineur est d’accord, et il éprouve de l’amour envers le parent incestueux. Le traumatisme qui se manifeste dans 30 à 40% des cas d’abus sexuel est provoqué, dans ces cas précis d’abus non violent, par la force des émotions et des sensations de plaisir éprouvées, une force trop grande pour la capacité du mineur », est-il écrit dans
Neuro-Esclaves. Lorsque le parent est la source du traumatisme, plus le parent commet d’abus sexuel, et plus l’enfant s’attache à lui (comme un chien ou un jeune animal). C’est le schéma qu’on retrouve chez les adultes soumis à des tortures et emprisonnement (genre
Syndrome de Stockholm)
Le projet MONARCH utilise donc la dissociation de personnalité et la facile production de la transe hypnotique. On dit que les parents des enfants devant être abusés, ou déjà abusés, devaient collaborer avec la CIA pour éviter d’être envoyés en prison pour inceste. Les jeunes abusés devenaient de petits robots facilement télécommandables, du fait que la personnalité primaire restait totalement inconsciente.
L’humain télécommandable ou homme terminal c’est le projet MKULTRA. Il paraît que l’avenir est dans les
nanotechnologies : des marqueurs des réseaux neuraux, ou modificateurs, ou saboteurs de ceux-ci. Bientôt peut-être la neurochirurgie pour « corriger » un individu « antisocial », un « brigand », un « terroriste ». Fini les
lobotomies grossières et invalidantes... Et pourquoi pas dépister les « terroristes » au berceau...
Les téléphones portables sont aussi une excellente arme de télécommande pour robot humain ! Surtout chez les jeunes, les plus nombreux utilisateurs, quand ils ne se baladent pas avec des écouteurs sur leurs oreilles.
Une autre arme de manipulation proche sont les super-hautes fréquences (
SHF de la famille des micro-ondes). Cela peut produire : hallucinations auditives (voix) lorsque le cerveau est bombardé de ces ondes sonores pendant 2 heures par jour. Cela peut implanter des idées confusionnelles, ou des idées de dévouement surhumain ! Des hallucinations visuelles ; un blocage général des voies sensorielles ; un blocage de la pensée, ou une sensation de ne plus être conscient ; une douleur intense indescriptible et enveloppante.
Heureusement, depuis les recherches sur les EMI, les bêtises d’Ewen Cameron et d’autres sont définitivement effacées, par exemple, un expert en informatique :
Simon Berkovich, a calculé qu’en dépit du gigantesque nombre de synapses contenus dans le cerveau, sa capacité de stockage est totalement insuffisante pour contenir les souvenirs de toute une vie et les émotions qui y sont associées. Un nombre important d’études (voir notamment le livre du cardiologue le Docteur Pim van Lommel :
Mort ou Pas ?, qui étudie toutes les EMI ou Expérience de Mort Imminente), montrent que ce qu’on appelle conscience, ne peut être réduit à des activités et processus cérébraux. De là à penser que le
CHRONOVISEUR est une réalité : c’est fort possible puisque tout est lié.
Yôkai 
Voir aussi le 
