Accueil arrow Yôkai arrow Élémentals, Divinités, Yôkai arrow Énergie du Point Zéro - Laya
Énergie du Point Zéro - Laya Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-08-2012 23:21

Pages vues : 8384    

Favoris : 44

Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Égrégore, Esprit, Europe, Feu, Fontaine, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
Hebergeur d'image
 
 
Énergie du Point Zéro - Laya

Page dédiée à toutes les FONTAINES des mondes.
 
 
 
LAYA : terme sanskrit, de la racine Li, « dissoudre », « désintégrer ». Point d’équilibre (point zéro) en physique et en chimie. En occultisme, c’est le point où la substance devient homogène et est incapable d’agir et de se différencier. (D’après le Glossaire Théosophique de H.P. Blavatsky).
Effectivement, il ne peut exister deux univers, deux globalités de connaissable et donc d’existant, car aucun ne pourrait alors être dit universel, parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Cela pour la même raison que, si l’on tient que Dieu est infini, il y en a nécessairement qu’un seul puisque, s’il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre [sujet-objet], aucun ne pourrait être dit infini. (D’après Jean Coulonval)
 
Cela amène à la morale, tant prônée par une certaine franc-maçonnerie : « La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être [on dit bien « la morale chevillée à l’âme »]. Est moral tout acte qui respecte les lois que Dieu a inscrites en sa création [par exemple respecter un lieu et ne pas le polluer]. Est immoral tout acte qui les viole en quelque façon [comme la dette et le profit et la ‘croissance financière’] », écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux. La difficulté est de connaître un minimum ces lois. Des évolutionnistes expliquèrent que la morale se construisit avec l’évolution, alors qu’un franc-maçon comme C.W. Leadbeater, explique que c’est à la maçonnerie d’apporter la morale au peuple ignare.
   

LAYA - Uni vers, Uni vers la FOCAL-FOCUS-FOYER, le PUITS, la STARGATE. La PIERRE comme le LAYA EST, et FRAPPE tant elle DURE.
Le point focal ou foyer : pas de réalité concrète, conception d’un point contenant la totalité de l’image. Sujet et Objet ne font qu’Un.
Il ne peut exister un plus petit grain de Matière (sens Euclidien) Infiniment/non défini/ petit, et Infiniment/non défini/grand = mêmes problèmes. (Jean Coulonval)
Le point focal ne subit plus la loi de cause et d’effet qui oblige au recours à la chronologie tueuse.
Le PUITS a un caractère sacré dans toutes les traditions. Étant focal il groupe ciel, terre, sous terre. Il est donc un le FOYER, le MICROCOSME, la synthèse cosmique. Un proverbe populaire dit que ‘la Vérité est caché au fond du Puits’. Le puits est une Stargate en ce sens qu’il fait communiquer vers d’autres dimensions, d’autres mondes. Et la Stargate est bien un PUITS avec on eau jaillissante. L’Eau est le grand symbole de la LUNE, comme l’EAU est le symbole de l’EAU PRIMORDIALE, c’est pourquoi on pratique le baptême : immerger. Le Puits de Jacob, auquel Jésus abreuva la Samaritaine, a le sens d’eau vive et jaillissante comme la Stargate de la série télé Stargate SG1. Il y a analogie avec la FONTAINE si présente en Alchimie. Le Puits étant une Stargate ou un Point Focal, on disait autrefois qu’il fallait puiser pendant que la corde était au Puits, c’est-à-dire travailler à faire fortune pendant qu’on en avait l’occasion, donc être dans l’Instant, dans le Point Focal ou COÏNCIDENCE.

L’Eau de la Stargate évoquant la LUNE, elle évoque aussi la Chronologie, que les Germains utilisaient pour mesurer le temps d’après la nuit (Tacite, Germania, cité par Mircea Eliade). De plus la Nouvelle Lune est synonyme de RENAISSANCE : la Lune est une POMPE (germination de la rythmique cosmique, compose et décompose).

POMPE :
du latin pupp : sucer, téter (comme une poupée ou un bébé), aussi respiration, souffle, mouvement où rien n’est définitif puisque Fixation Cavalante.
POMPE : du latin pompa, parure trop recherchée et faisant vulgaire : gloire, luxe, splendeur, vanité, excès, outrance, profusion (ce qui reflète notre civilisation).

PUIS : plus.
PUISOR : descendre à la rivière pour PUISER.
PUISOUIR : puisoir, instrument propre à la pêche.
PUISSEDI : depuis le jour.
PUISSEOIR : endroit où l’on va puiser l’eau à la rivière.
PULLULER : engendrer, germer, abondance.
(Glossaire François, de Du Cange)

Le PUITS c’est l’INSTANT et L’INSTIGATION : exciter, pousser, inciter, INSUFFLER (la Nature a horreur du Vide), on amorce le Puits. PUITS, de PUISSANCE.

Naturellement le Puits évoque le SECRET, on parle « d’un puits de science ». On sait aussi que la vraie Vérité ne peut sortir que NUE. Quand on ne sait pas « s’y prendre », le Puits devient un Abîme, un Gouffre, une perdition.
L’Hexagramme 48 du Yi King : le Puits, ne concerne que son utilité quand il n’y a pas utilisation de « l’Eau de tuyau » : « Les fiefs changent mais non pas les Puits. Il n’y a ni perte ni gain (pour les Puits). Les gens vont et viennent tirer de l’eau au Puits. Les Puits tarissent avant que de nouveaux soient creusés. La cruche à eau se brise, infortune » (texte canonique).
Comme on peut le voir dans des épisodes de Stargate SG1, le Puits symbolise la CONNAISSANCE, puisqu’il est est Point Focal, Centrum Centri, Dieu, Conscience, Instant. C’est ce qu’en dit par exemple Victor Hugo parlant du Soi : « Chose inouïe, c’est au-dedans de soi qu’il faut regarder le dehors. Le profond miroir sombre est au-dedans de l’homme. Là est le clair-obscur terrible... En nous penchant sur ce puits, nous y apercevons à une distance d’abîme dans un cercle étroit [comme la Stargate], le monde immense... [comme la STARGATE] ».
Le Puits c’est l’être humain lui-même lorsqu’il est DANS la Stargate.

FONTAINE, suite du Puits et du LAYA : elle symbolise le rajeunissement, le Jardin et donc le Paradis, l’Origine, l’immortalité ou éternité en forme de transformation permanente : le rajeunissement ou FIXATION CAVALANTE (de la Pierre Philosophale). C’est encore une variation du thème Instant ou Soi.
La Fontaine est à elle seule le Paradis.
FONTANE : source ; FONTENELLE-FONTANELLE : petite fontaine ; et espace membraneux compris entre les os du crâne des jeunes enfants, qui ne s’ossifie que progressivement au cours de la croissance (Dict. Le Robert et Glossaire de Du Cange).

Le nouveau-né est vierge, aussi la fontaine reflète la pureté. On fait ses ablutions en début, en origine de la journée.
Le culte des fontaines et typiquement celtique, et est toujours très vivace malgré les destructions et la tyrannie de la chrétienté à son égard. Les cultes des sources et fontaines existaient en Gaule. Les fontaines ont leur place chez Chrétien de Troyes dans les Chevaliers de la Table Ronde.


Pourquoi les humains sont divisés ?
Alors que Un est le Tout.


Il est vrai que l’on ne peut pas étudier les propriétés du Triangle en considérant tour à tour, donc isolément et dans la chronologie tueuse, chacun des trois côtés.

Toute la Matière est composée de 99,999% de VIDE, ce Vie, ce Vide c’est l’Instant (IN, EN), le Soi, le Centrum Centri ; ce que certains appellent maintenant « Conscience non locale ». Dieu est « non localisable » puisque « partout ». Aussi on ne peut pas sortir des absurdité genre « particule de Dieu » façon boson de monsieur Higgs ! C’est encore une invention ou opinion des créationnistes et de leur Big Bang. S’il y a un commencement, il y a naturellement une fin ! De plus, comme si Dieu allait se « montrer aux humains » ! Donc devenir matériel ! Donc devenir mortel !... Alors il n’est pas étonnant que Dieu ne s’immisce pas dans les affaires humaines.
Comme Un est le Tout, l’ordre social véritable ne peut être que le reflet du domaine de la Création.
Un est le Tout, mais « l’opinion publique » est le contraire de la Vérité car attaché à l’égo.

La division c’est ne tenir compte que du corps en oubliant le spirituel ou la partie éternelle. « Quand un homme a faim ou qu’il a des coliques, c’est sa part physique [son corps] qui soufre. Mais quand il souffre pour des questions familiales, qu’il n’encaisse pas son milieu social, qu’il est saisi par l’angoisse des grandes questions « Que suis-je ?, Qui suis-je ? La vie a-t-elle un sens ? » c’est sa part métaphysique qui souffre. Lui dire que c’est la volonté de Dieu et qu’il doit « l’accepter en chrétien », c’est de la foutaise : c’est le mal que les hommes se font entre eux.
La religion communiste en Russie s’est greffée sur une psychologie populaire in-formée historiquement par l’orthodoxie qui a refusé le « Filioque » [dogme de la Trinité], c’est-à-dire par une vision de Dieu qui ne boucle pas sur les trois parts trinitaires. La triangulation n’a pas hanté la psychologie dans le monde orthodoxe. Alors que l’Occident catholique a vécu une époque dominée par l’angoisse métaphysique, laquelle a éveillé le besoin de savoir ce qu’est le physique en soi ; qu’il a glissé, avec et après la Renaissance, vers une préoccupation de plus en plus dominante du physique, le monde Orthodoxe, figé dans la dualité du spirituel et du temporel, du religieux et du politique, n’a pas vécu cette évolution. La Russie, au contact de l’Occident, a pris le train en marche avec Pierre le Grand. Le refus du « Filioque » condamnait le monde Orthodoxe à choisir radicalement, ou Dieu ou la Matière. Avec le communisme, il a choisit la matière », écrit Jean Coulonval.
Jean Coulonval ajoute justement que le Communisme chinois n’est pas pareil que celui du Russe, car la Chine reste sur la base du Confucianisme qui n’a jamais vécu l’idée d’un Dieu indépendant de sa Création, et de ce fait ne pouvait pas être une copie conforme du Communisme russe.

Les Communistes disaient à leurs esclaves du Goulag que Dieu ça n’existait pas. Les Communistes se comportaient selon la mode du 19è siècle si matérialiste, où suite à la découverte de la « raison » par le siècle des perruques poudrées, les philosophistes prédisaient la mort de Dieu et en même temps celle de l’Alchimie ! Ce même siècle qui découvrait aussi les « sauvages » et instituait le colonialisme à la suite des Conquistadors espagnols et portugais.

RAISON : compte, livre des comptes, livre des raisons. Cela indique bien le mental calculateur, tout du moins de certaines catégories de personnes.
RAISONNER : comme une cloche, ou « Raisonner pantoufle, raisonner comme un cheval de carrosse, c’est-à-dire raisonner de travers » explique le Dictionnaire Comique de Philibert Joseph Le Roux (1750).              
RAISUN : discours, parole ; là encore c’est le mental.
RAITER : accuser, appeler en justice.

Je ne sais pas si le scolopendre que j’ai sur mon balcon croit en Dieu ! Pourtant il le devrait faisant partie du Tout, surtout qu’il est très agile. Certes, les philosophistes ergoteurs grecs devaient croire en Dieu/Zeus, sauf quelques uns comme Démocrite qui se moquait de ceux qui voyait des Dieux derrière chaque cailloux (des Élémentals ou Yokaï par exemple). Pourtant c’est Démocrite qui déclare : « Aucun serpent n’entrera dans un pigeonnier, si l’on inscrit aux quatre angles le nom d’Adam », donc Démocrite croyait aux Dieux ! Et je ne sais pas si les serpents, comme mon scolopendre, connaissaient Adam ! Il paraît que l’opinion de Démocrite influença Karl Marx !

Certainement que les philosophistes avec leur perruque poudrée sur la tête travaillèrent-ils à chercher la « raison de Dieu », le pourquoi Il fait ceci et cela ! C’était un moyen comme un autre de PASSER LE TEMPS, d’utiliser à fond les manettes le mental et la chronologie tueuse en forme de loi de cause et d’effet.
Pour les Occidentaux Dieu c’est à la fois Aristote, Platon et Socrate (voir le tableau de Luigi Mussini : le Triomphe de la Vérité)

Rappel : le monde d’Aristote n’est pas d’une Fixité cavalante, mais d’une fixité mortelle, en forme d’Alpha et Oméga. Point barre, circulez ya rien à voir ! S’étant tout de même rendus compte de cela, les Chrétiens on transformé la fixité mortelle en « éternité » ou tourner en rond, ce qui plus tard donnera la thermodynamique ! Les philosophistes aux perruques poudrées feront donc de Dieu un brave horloger compteur de temps... et de FRIC. De la viendra l’idée de début et de fin, donc du créationnisme et du Big Bang.


Un SYMBOLE est à la fois lui-même et autre chose.
L’adoration d’un objet cosmique ou tellurique pour lui-même ne se rencontre jamais dans l’histoire des religions. Un objet sacré, quelles qu’en soient la forme et la substance, est sacré parce qu’il révèle la ‘réalité’ ultime ou parce qu’il y participe [synchronisme avec l’Instant]. Tout objet religieux « incarne » toujours quelque chose : le sacré. Il incarne par sa faculté d’être - comme par exemple, le ciel, la terre, le soleil, la lune, etc. - ou bien parce sa forme (c’est-à-dire par symbole : par exemple la spirale-escargot), ou encore par une hiérophanie (un certain lieu, une certaine pierre [pour les enfants : un certain soldat de plomb ou un certain avion], et deviennent sacrés ; un certain objet est « sanctifié », « consacré » par un rituel, par le contact d’un autre objet ou d’une personne « sacrés », etc. »
(Mircea Eliade, Traité d’histoire des religions).



[En haut de page : le Christ et la Samaritaine, par Angelica Kauffmann]
 
 

Dernière mise à jour : 01-08-2012 23:49

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >