Tribu vient de Table : é-Tablissement ; Terre : toucher la Terre ou arriver à bon port, sur le TAS.
Tribu résume donc : ARRIVER À. Arriver à bon port après un long voyage.
De là découle TABLET : reliquaire, à cause des images qui y sont gravées. La tablette est là où l’on écrit, donc de même signification qu’arriver à bon port.
De là découle TRIBUT : être tributaire ou attaché au port : le port d’attache. TRIBUT : du latin
tributum : impôt, contribution, de
tribuere : répartir (l’impôt) entre les tribus, donc un sens du communautaire, du social. Être tributaire du compas et de l’équerre.
De nos jours de ruine, le mot Tribu est surtout synonyme des douze tribus d’Israël et surtout de celle de Juda : judeu, juieu, (féminin : jueie, juive, d’où le masculin : juif), du latin
judæum, du grec
ioudaios (de
Juda le Patriarche), de l’hébreu : Yehudi, de Yehuda (Juda). Avec cette tribu viendra la théorie raciste du « peuple élu », nommé ainsi par un Dieu raciste lui-même (Jéhovah ou Yahvé) qui promettra la pochette surprise : «
la Terre promise » ; de là suivront le mythe de l’exode et le Temple de Jérusalem et ce qui est carré (matérialisme).
Jérusalem, Église pour toutes les tribus d’Israël :
Psaume 122 :
Salut à Jérusalem, où il est mentionné que c’est la maison de « notre » Dieu Yavhé ! De la viendra le messianisme et le « Royaume de Dieu sur Terre », que je traduis en
DORG : Demain On Rase Gratis, ou même soupe pour tous ou prochain mondialisme matérialiste.
Autant les Chinois établissent leur Réalisation dans les Nuages, autant les Juifs ou ceux de Juda et du judaïsme établissent leur Réalisation en DUR SUR TERRE (même s’ils prétendent que c’est symbolique). Alors on peut comprendre la source du compas et de l’équerre et de la géométrie !
Communauté - Communiste : bâtisseur ou pierre, qui grâce au franc-maçon, sera taillée (comme si on lui insufflait la morale), et viendra s’insérer dans le « grand édifice humain et cosmique qu’il s’agit de construire ici-bas ». My God, on y sent déjà la
voie de l’Agriculture hélas choisie par les
Chasseurs-Cueilleurs.
AGRICULTURE - AGRIPPER : prendre avec force, avec griffes, donc VIOLER.
La Sainte Croissance actuelle VIOLE la Nature.
Franc-maçonnerie, comme le mot maçon l’indique consiste comme les Castors à bâtir, édifier, élever ; ainsi on sent bien poindre la « Sainte Croissance » qui modèle nos jours présents, et qui détruit tout sur son passage ! « Sainte Croissance » dans le dogme de la rédemption ou du Salut et du prochain messie. La Croix ne signifia pas le « sacrifice » ou les deux bras tendus comme le conçoivent les Chrétiens et le messianisme, mais l’Instant, le Point Focal, le Soi...
MAÇON vient de make :
to make, fabriquer, donc le travail des mains, facilité car l’être hu-main se tient debout sur ces deux jambes ce qui lui permet d’utiliser ses mains.
Hu-Main : Main, Mettre, Maître nous donne POUVOIR. L’humain sait utiliser ses mains alors que les animaux ne savent pas (le singe se sert un peu de ses mains).
La franc-maçonnerie spéculative composé au trois quart de rites et symboles judaïques ne pouvait jurer que par la construction du temple de Jérusalem, du temple du roi Salomon (Soleil-Monte ou monte au Soleil) avec son principal symbole : les deux colonnes : Jakin (ou Jachin, Yakin) à droite, et Boaz (ou Bohaz) ) à gauche, illustrant bien le clivage politique actuel en France maçonnique républicaine, sans oublier Hiram Abiff, que la franc-maçonnerie reconnait comme son Maître fondateur. Hiram est comparable à un Forgeron, donc à un Alchimiste ne travaillant que sur les métaux. Hiram qui selon la légende mourut assassiné par trois entités sous forme de « l’ignorance », le « fanatisme » ou hypocrisie, « l’ambition » ou l’envie, évidemment pour lui soutirer ses secrets de transmutation, ou plutôt de transformation, alors qu’Hiram ne pouvait être que le Savoir, la Tolérance, le Détachement ou Générosité, qualités trinitaires élémentaires.
Les deux colonnes
Jakin et Boaz sont en fait universelles, elles sont les deux côtés, les deux AXES de
l’Arbre de Vie présent dans toutes les civilisations. En haut de page, aquarelle de M. Roudakoff illustrant les deux colonnes du Temple ou de l’Arbre de Vie.
Hiram, meurt et renait, il est une copie du mythe d’Osiris, du Christ, en une variation de mort trinitaire : physique (coup à la gorge), sentimentale (coup au sein gauche), mental (coup au front) ; ainsi Hiram renaît de ses « cendres » tel l’oiseau Phénix (
Benou) symbole du Soufre incombustible alchimique ; sauf que l’oiseau Phénix lorsqu’il sent sa fin approcher se construit un bûcher et se brûle en offrande ; alors apparaît un vers dans les cendres qui se développera en un nouveau Benou (Phénix) ressuscité des cendres de son prédécesseur.
On a là à faire au Point Focal, au V de la Focal.
Le problème avec Hiram est celui de l’initié à Maître, et le mot Maître (et l'initié) sonne toujours comme POUVOIR ! Pour moi aucun Hiram n’est vraiment un Alchimiste authentique. Mais il y a pire dans la franc-maçonnerie :
POUVOIR = PERFECTION
La franc-maçonnerie se vente de la Perfection, donc
la FINITION, la MORT.
PERFECTION = MORT, achèvement, finition. Dans Perfection il y a Père.
Mais dans PARFAIT il y a fait par... donc PROCHE de l’Instant, du Soi : « Je suis ce JE SUIS », « Je suis au service de JE SUIS ». Les
Albigeois se nommaient « Parfait ».
Un autre problème avec Hiram est celui de son « double » : Hiram de Tyr (roi de Tyr et allié du roi Salomon), qui selon
Leadbeater (livre :
Rites Mystiques Antiques - Une brève histoire de la franc-Maçonnerie) serait le Hiram assassiné et le coordinateur de la construction du Temple du roi Salomon. L’autre Hiram : Hiram Abiff, serait selon Leadbeater, plus décorateur du Temple qu’architecte et ne serait pas mort assassiné. C’est Abiff qui maitrise les métaux, selon la tradition biblique ; il serait aussi un proche confident du roi Salomon.
Selon mon expérience de clairvoyance involontaire, la
ville de Tyr était dans le passé la maîtresse de l’Architecture.
Le Temple de Jérusalem se veut parfait... sur Terre, car même s’il se symbolise en « Jérusalem du Ciel », sa forme est carrée, donc matériel ! Même s’il se prétend « Terre dans le Ciel ». On a bien à faire au DORG.
Résumé : Salomon = lignée d’Égypte et de Moïse ; Roi Hiram de Tyr = lignée chaldéenne ; Hiram Abiff = aucune lignée sinon celle de la tradition de la «
Résurrection de Tammuz » (encore une forme d’Osiris, mais ici un Dieu Pasteur, et toujours dans le thème du Dieu assassiné et qui renaît comme le Bénou).
Salomon et ses Hiram n’ont rien inventés, les Taoïstes et les Chinois l’avaient fait bien avant : le
Feng shui, ou Art d’accorder tous ce qui est en bas avec tous ce qui est en haut (Microcosme et Macrocosme) ; bref, respecter le Cosmos dans toutes entreprises humaines.
Le problème du Temple de Jérusalem est que selon les Judaïsants, celui-ci sera reconstruit prochainement, ce qui augure très bien du projet mondialiste et d’une religion unique, si les Tibétains laissent faire, mais c’est une autre histoire.
Inutile de dire que TEMPLE DE SALOMON = TRAVAIL DU CHAPEAU, donc du mental ; surtout sortit du contexte, car ce projet s’appuie évidemment sur les constructions des grandes pyramides antiques.
La deuxième grande tradition hébraïque du Kabbalisme (encore un isme), est la «
perte du Nom divin », ou méthode correcte pour prononcer ce Nom. Par exemple dans la Taoïcité le mot Tao est imprononçable puisqu’il est l’Instant, si on le prononce il n’est plus dans l’Instant !!! Alors les juifs ne savent pas comment prononcer la mot Jéhovah (JHVH) ;
ils ne savent pas comment le MATÉRIALISER. Selon beaucoup de peuples Anciens, nommer c’est créer. Écrire le nom d’une personne ou d’une chose, c’était susciter cette personne ou cette chose, et à l’inverse, détruire le nom abhorré ou sa représentation équivalait à détruire l’être ou la chose elle-même.
Pour un franc-maçon du 33è degré comme Leadbeater, quand les humains sauront le « mot de Dieu », ils rejoindront le Dieu dont il sont issu, et « pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander aux forces latentes dans sa propre divinité », écrit Leadbeater dans un monument d’orgueil et de puissance du POUVOIR, en forme de Maître de la Nature. Leadbeater a exactement la même mentalité que le maçon
Armand Bédarride jurant aussi sur la perte de la « Parole perdue ». (Voir la page
Le DORG ou les Égrégores, partie Armand Bédarride).