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Inverti et Invertion (inversion) Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-08-2012 21:36

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Abyme, Amour, Anarchie, Arbre, Argent, Banques, Chaos, Cinéma, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Égrégore, Esprit, Europe, Feu, Fontaine, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Occident, Opinion, Orient, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pomme, Portes, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Inverti et Invertion (inversion)

La division récente (1891) hétérosexuel et homosexuel
est le propre de l’Inquisition moderne.

Ne pas oublier que nous avons ici neuf trous, dix en comptant le nombril.
 
 
 
L’école informe et met en garde contre la pédophilie, mais pas contre les séducteurs de l’esprit ! (Neuro-Esclaves) Il est plus confortable de glisser dans un semi sommeil bercé de sérotonine et d’endorphine, ça forme une big capote.
 
 
 
Depuis 1789 et son Saint libéralisme accompagné de « Frère la Truelle et la Raison », en passant par des sectes genre anti bobonnes : « Ni putes ni soumises » (que d’imagination dans le choix du nom !), la femme prendra du galon, pardon, de la valeur, république oblige. La république la pousse à prendre son indépendance pour mieux être une bonne consommatrice, comme son mec. Ainsi on peut constater que les mariages d’antan ne sont plus ce qu’ils étaient, mais que le couple reste uni grâce à une série de facteurs objectifs externes et impersonnels, quantitativité démocratique oblige : absence d’options sociales, surtout pour la femme, en substitution du mariage ou de la vie religieuse ; l’indissolubilité juridique du mariage ; la coutume de faire plusieurs enfants ; la dépendance économique de la femme au mari ; les valeurs dominantes du sacrifice et de l’épargne.

De nos jours, ces facteurs sont inversés : le sacré et la religiosité a disparu, le plaisir ou entertainment devient la religion, le (pas de faute) femme est l’égale de l’homme, du moins dans son emploi du temps, et elle-il n’est pas dans l’obligation de se marier et ne sera pas traité(e) de « Vieille fille », elle-il peut avoir des relations amoureuses libres à tire-larigot, avorter, éviter les grossesses (civilisation du Confort) et être chef d’entreprise, ou de politique, et dominer des mâles. Et elle s’expose comme objet sexuel sur les médias, n’en déplaise aux putes non soumises.

La famille ancienne se basait sur la soumission de la femme à l’homme, ou l’inverse (dans le cas de la mégère), avec la soumission à des principes de mœurs et de religion.
Parallèlement, l’autorité, l’ascendant et le rôle éducatif des parents et de l’école se sont progressivement réduits, ainsi que les instruments éducatifs :
- Les enfants ne gobent que ce qui vient des médias et de leur micro-ordinateur, ils ne reçoivent presque plus rien de leur parents. Ces derniers n’ont plus qu’une incidence mineur sur la formation identitaire, culturel et l’enseignement de valeurs sociales.
- Les enfants ne gobent plus que le Faux : le virtuel, au détriment d’un débat critique entre personnes en chair et en os.
- Plus de punitions corporels, ça traumatise les chairs têtes blondes ou brunes.
- Parents et écoles sont largués face aux enfants, et sont de moins en moins capables de leur enseigner une autodiscipline. Parents largués eux-mêmes puisque n’ayant pas reçus cet enseignement.
- Le symbole du maître ou professeur possède moins de prestige et d’efficacité.
- Société de consommation oblige et futurs esclaves des entreprises des Couilles en Or, les enfants sont imbibés de eyes candy, ce qui les empêches de se confronter à la triste réalité (de ce monde) et à leurs propres limites.
- Les enfants sont consommateurs, parce qu’il est si facile de les manipuler à travers les multiples médias, et il est aussi facile de stimuler leurs désirs et les inciter à s’identifier par le port d’un uniforme : suivre la mode comme des moutons, ça gonfle le compte en banque des magasins de vêtements.
- Donc ne jamais emmener d’enfant avec soi dans un supermarché.
- Le mythe de l’enfant-roi tient toujours : les parents n’osent rien leur refuser de peur de les rendre psychiatrisables plus tard.

RAPPEL :
La propagande est la gestion de l’irrationnel et des miasmes du subconscient, de la désinformation et de l’erreur systématique des électeurs et des consommateurs sur la plupart des secteurs de la vie collective. Il s’agit de guider les moutons à l’intérieur de fausses représentations de la réalité qu’on peut totalement construire à l’aide des médias et grâce aux technologies, de manière à porter ces moutons où l’on veut.
MOUTONS = CONFORMITÉ, et c’est le propre des sociétés dites « démocratiques ». Une conformité bordée pour une action limitée, et basée sur une certaine détermination hiérarchisée des besoins, des « valeurs », des connaissances et des comportements. Et une société de personnes dirigées de l’extérieur est beaucoup plus gérable qu’une population de personnes qui se dirigent d’elle même, donc qui réalisent le Soi ou Instant. On comprendra que tous pouvoirs feront tout pour empêcher cette réalisation du Soi.
DÉMOCRATIE = MANIPULATION et POUVOIR DE L’ARGENT, et son INQUISITION sera : disgrâce publique (médiatique) et ruine économique, et plus sournois : cassage de gueule, voir assassinat déguisé.


Pour en revenir aux inversions genre « Ni putes ni soumises », ces dames sont là un peu grâce à leur mâle manipulateur en chef : Edward Bernays, qui prôna « la femme qui fume », mais fumer fut aussi une émancipation du mâle ; voir le cow-boy fumant sa clope dans les années 1960. Donc pour l’industrie du tabac, et par la même celle de Big Pharma : Fumer = émancipation. De nos jours on tente la manœuvre inverse : Fumer = mort. Mais ça ne marche pas ! Pourtant peu de putes, pardon, de dames féministes savent que le « droit » de fumer, jusque là réservé aux mâles, était le résultat d’une campagne de pub commandée à Bernays par l’American Tabacco Company. Pour ces gens là, fumer est le salut, plus que la religion de ce même Salut. On a donc un vaste choix de drogues en tous genres.

Il se passe la même inversion, c’est le cas de l’écrire, avec les invertis ou gays. Cette inversion des valeurs se traduit par une revendication de non persécutions des minorités, lesquelles ont existé de tous temps, c’est seulement aujourd’hui qu’on divise en cette minorité, qui autrefois était tantôt plus ou moins accepté, tantôt rejeté, mais on ne peut pas comparer avec notre logique actuelle ! Simplement parce que cette division en hétérosexuel et en homosexuel n’est que récente, et elle est elle-même hautement homophobe, hautement sexiste et ségrégationniste. Ainsi cette catégorisation en « homosexuel » ou « gay » devient une force ou farce agressive envers l’autre camp, et devient anti-famille pour mieux jouir et profiter de cette civilisation du confort et se réclamer libérale, surtout avec son fort pouvoir d’achat regroupé en lobby gay. Il est bien connu que le lobby sexuel, comme celui de la drogue, des armes, est puissant. Le cul et les armes c’est ce qui rapport le plus au monde.

Les « minorités » fabriqués de toutes pièces, deviennent maintenant des « minorités » agissantes, surtout avec la Bible des droits-de-l’hommistes, et nous en avons maintenant des brouettes : droits de ceci, droits des féministes ou pûtes non soumises, droits des invertis ou gays, droits des jeunes, des blacks, des vieux, des unijambistes, des joueurs des jeux des sept familles, etc. Autant de pièces du puzzle dans la civilisation mondialiste de la consommation : United Colors of Benediction, comme dirait une publicité.

Inventer des minorités c’est former des ghettos, des classes de gens. Rien de plus triste que des quartiers réservés aux gays, voir des villes comme San francisco aux USA où les gays français qui veulent se faire du fric peuvent aller se prostituer comme n’importe quel Américain montant son entreprise. Le dollar n’a pas d’odeur, le cul fait beaucoup de fric, voir par exemple les studios et entreprises US de production cinématographiques et de gadgets consacrées uniquement aux gays.

Alain Soral a parfaitement vu juste, dans Comprendre l’Empire, quand il écrit que la moderne sentence de « crime contre l’humanité », moderne, car existant depuis la seconde guerre mondiale, et jugement selon la mode du moment : Allemands et Japonais vers 1945, peuple palestinien de nos jours, et Iraniens demain, et militants du Front National français depuis des décennies. C’est à la tête du client, mais certainement pas universel puisque on tombe toujours dans la division des bons et des méchants !!! Les méchants ne bénéficiant pas de la sucette des droits-de-l’hommistes.
La mode du moment du crime des crimes étant la persécution des Juifs d’Europe par le régime politique allemand des années 1930-1945 ; persécution juive emballée dans un packaging plus vendeur, plus eyes candy, plus lessive sous le nom de « Shoah » depuis les années 1980 sous la direction du puissant lobby juif nord-américain.

Tout cela sonne Faux, archi faux et encore archi faux. On oublie les 60 millions de morts victimes des Juifs bolcheviks, alors que ce sont les juifs qui ont fomentés et voulus la destruction de la Russie ; mais les Russes de l’après URSS ne font pas tout le cirque des sionistes à propos de leur Shoah.

Après l’inversion du cul, l’inversion de la lumière : nous voici au siècle des perruques poudrées ou siècle des loupiotes où doit triompher le mental ou la raison. Ce qui triomphera ce n’est point la raison mais l’idiotie et le fric. De toute façon le mental est diabolique. Tout au plus sert-il a essayer de pratiquer les Travaux d’Hercule indispensables maintenant pour s’y retrouver dans cette civilisation actuelle du FAUX.
Effectivement comme l’écrit si bien Alain Soral, j’ajoute que le « Plus jamais ça » est la chose la plus puante que l’on puisse lire ou entendre, la chose inquisitoriale la plus dégueulasse, car c’est monter en sacré cette grossière opinion sentimentale, genre « république inviolable ». Tous ça est issue de la Bible ou Table, ou Commandements de la Loi des « Droits de l’Homme ».
C’est au nom de ce genre de pire Inquisition qui existe sous forme de « Plus jamais ça » qu’on fabrique à l’aise n’importe quelle dictature, n’importe quel totalitarisme ou isme tout court.

Les Inquisitions puantes genre « Plus jamais ça » ont effectivement pondues leur Bible des Droits de l’Homme et tous ses petits genre : ligue des droits de l’homme, Licra, Mrap, Crif, etc.

Pour en revenir à « l’homosexualité », ce n’est que depuis peu (1891), que l’on fait la classification hétéro et homo. Autrefois tous ces sexes formaient un ensemble, une intégration, du moins dans nombre de pays. C’est récemment que l’opinion, ou la technologie dite « scientifique » et le freudisme a inventé le problème : « Qui est homosexuel ? », et son corolaire comportemental : comment une personne se définit elle-même ?
De nos jours nombre de sociétés condamnent l’homosexualité, qui pourtant existe depuis que le monde existe. Et en occident les garçons féminins et les filles masculines sont stigmatisés et par les familles, par leurs amis, et parfois soumis à des traitements psychiatriques. Mais un homme à l’aspect féminin restera toujours un homme. Une femme même masculine restera toujours une femme.
L’invention du Coming out est encore une variante de l’Inquisition moderne : se sentir obligé de brailler à qui veut l’entendre que l’on est homo, comme si c’était honteux, anormale, par rapport à l’hétérosexualité. Alors on en arrive à des imbécilité de classification comme « l’orientation sexuelle » ou gender. Imaginez un Instant que les hétérosexuels se croient obligés de brailler leur sexualité, genre un homme criant « Moi j’aime les femmes ». Évidemment les hétérosexuels n’éprouvent pas le besoins de faire leur « coming out ». Vraiment une civilisation de merde.

Le drame de cette civilisation a fait que : ce n’ai pas la même chose si un homo se dit « pédé » que si un hétéro le traite de « pédé ». Ce sont encore les conséquences de cette civilisation. Et bêtement si on le traite de « pédé », l’homo se croit intelligent et protégé en ripostant : « Oui, et fière de l’être ».
Le coming out est de plus une nouvelle classification : celui qui sort de l’ombre se voir désormais collé l’étiquette de « pédé ». Par contre du point de vue psychologique, le fait de mettre des mots/maux sur des problèmes permet de mieux s’assumer.

C’est la « civilisation » moderne qui a tout détraqué et fait que les gens se voit obligés de se coller une étiquette de « genre ».

GENRE : sens du 12è siècle : sexe ; du latin genus, generis : origine, naissance. On parle aussi de race, d’espèce. Au 19è siècle ça devient l’idée générale d’un groupe d’êtres ou d’objets présentant des caractères communs (le socialisme et 1789 étaient passés par là). On dit aussi : il ou elle se donne un genre
 
Cette civilisation a fabriqué ces divisions, ainsi un jeune homme qui tombe amoureux d’une personne ayant le même sexe que lui, et qui en souffre pour la première fois, car sa situation sera des plus dramatiques, à cause de cette « civilisation » : aimer un hétérosexuel ! Il n’y a pas plus frustrant, plus humiliant que d’aimer et désirer quelqu’un qui n’a pas les mêmes sentiments, qui domine la relation, et qui peut la rompre n’importe quand. Cette situation est proprement tragique, toujours à cause des divisions de la civilisation dite moderne.
L’amitié aussi entre dans la tragédie, car elle peut devenir si ambiguë qu’elle peut se transformer en tragiques malentendus. Mais les homos font des distinctions très nettes entre famille, époux, amants, amis, et les sentiments qui vont avec. Là encore résultats de cette civilisation de merde.

D’autre part, encore une tare de notre civilisation, on croit que ce sont les adultes homosexuels qui cherchent à séduire les adolescents ; mais on oublie que c’est le contraire ! Ce sont souvent les jeunes qui cherchent désespérément à être initiés à l’homosexualité par des adultes, pour apprendre « comment ça se fait ». Voilà une mise au point importante. D’autres part, les jeux sexuels entre jeunes garçons : regarder, comparer, se toucher les organes génitaux ne sont pas des signes « d’homosexualité ». Ce sont au contraire des initiations à la masculinité. Ainsi il est permis dans certains pays de se masturber réciproquement, par contre, et c’est la l’idiotie humaine, il est « interdit » d’exprimer des sentiments, donc de tomber amoureux, etc. Toute marque d’amour sera alors considéré et étiqueté comme de l’homosexualité.
Voilà la civilisation moderne dégénérée. Mais vraiment dégénérée ! Seul le plaisir semble compter, pour l’amour on repassera...
D’autre part « les adolescents doivent comprendre que les désirs homosexuels sont normaux et même communs à leur âge, et que l’adolescence est faite justement pour explorer et développer leur sexualité », écrit Marina Castaneda : Comprendre l’Homosexualité, dont je fait grandement référence sur cette page.

Si bien que ça donnera les backrooms ou bordels déguisés, ou tolérés, pour homos, où évidemment là on ne cherche pas d’amour mais à satisfaire un besoin immédiat comme celui d’avoir envie de chier ou de pisser, ou de manger parce que l’estomac gargouille. Société de consommation oblige, et qui engendrera le lobby gay et les autres lobbys des minorités. Le sexe est devenu un produit de consommation comme une lessive ou une paire de chaussette. Les droits-de-l’hommistes étant passé par là.
Nous sommes dans une société de jeunisme où le corps est valorisé plus que jamais, ainsi chez les gays les hommes cessent d’être des objets érotiques après la cinquantaine. Même souvent après la trentaine.

Civilisation vraiment dégénérée, parce que encourager l’abrutissement télévisuel fabriqué intentionnellement, tolérer plus ou moins les drogues pour éviter une révolution, le pouvoir n’autorisera que le touche-pipi et la pénétration anale dans les lieux sordides tels les backrooms, les rues et autres bas-fonds et boîtes gays. Tous ces endroits étant dangereux, non seulement du point de vue hygiène, mais il y a grand risque d’agression à cause de la drogue entraînant la violence, et là-dedans les homos vivent dans la peur, la honte et le rejet parce que cette société de merde ne leur permet pas autre chose. Alors que des membres de ce même pouvoir ont des pratiques homosexuels mais ils ont du fric et c'est bien confortable. Civilisation vraiment de merde ! Cette civilisation refuse toujours les homosexuels, même Alain Soral a un discours homophobe. Ces backrooms, ces bars, ces saunas, ces Gay Pride, ne sont que des bordels ambulants tolérés par la société au pouvoir, où les gens sont concentrés en un endroit restreint et toléré, et qui n’ont absolument rien en commun, à part leur orientation sexuelle. Et évidemment ça donne le produit de consommation typique : jetable et éphémère, on tire son coup, par devant dans la bouche, ou par le derrière...

Comme écrit plus haut, cette civilisation dite « démocratique » et donc conformiste, ne pourra pas laisser de place à l’originalité, au non conformisme, voir à l’excentricité, que constitue les gays. Alors on les parque, on organise la « Fête des Fous » sous forme de Gay Pride, défouloir moderne pour éviter que ça pète, et pour montrer que le pouvoir leur jette des os à ronger, mais il veut tout de même les maintenir les distances. Gay Pride que encore plus hypocritement on a baptisée depuis peu en France : « Marche des fiertés », toujours pour enfoncer plus le clou, toujours pour contrer cette honte et ce rejet par la société moderne. Inquisition quand tu nous tiens ! Parce que normalement, la moindre Gay Pride n’a pas lieu d’être ! Pareil pour le « mariage gay », singerie du « mariage hétérosexuel », monde qui marche sur la tête.

Par contre contre vivre en couple quand on est homo n’est pas facile, il faut un « ciment » pour que ça dure un moment. Et surtout se mettre d’accord sur les mots/maux : relation, couple, amour, fidélité, monogamie, aventure. Si les règles du jeu ne sont pas les mêmes pour les deux personnes, ça va casser rapidement.
Pour les hétéros, les homos sont censés haïr les femmes ! Alors il faudrait expliquer pourquoi beaucoup de couturiers gays sont de grands créateurs de vêtements féminins ! Et ce sont ces gens qui manifestent envers les femmes une affection et une considération que l’on observe rarement chez les hétéros.

Civilisation de merde où seule compte le fric : le Saint Pouvoir d’Achat qui se trouve dans la gueule de tous les professionnels de la politique, c’est devenu l’unique but de ce monde diabolique : la Croissance à l’infini devenue diabolique, parce que le mot infini ne doit être réservé qu’à l’Instant ou Soi ou Dieu. Mais on a fait du mot infini une croissance infini, une course aux profits et aux richesses sans limites, une course totalement détachée des tous besoins pratiques réels, et même de tout objet réel, car le but de ce mondialisme est de plus en plus abstrait, sournois et caché comme la franc-maçonnerie, dématérialisé et virtuel, et financier (les maisons, les terrains, les troupeaux, les gens, ont fait place au binaire informatique et à ses numéros sur des comptes bancaires eux aussi virtuels).

Civilisation de merde !!! Qui débranchera tout ?
 
 

Dernière mise à jour : 30-08-2012 22:31

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