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L’école républicaine de la violence Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-09-2012 21:40

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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L’école républicaine de la violence
C’est l’école obligatoire du franc-maçon Jules Ferry
et de la pensée unique selon la mode du moment
 
 
 
L’école des villes et par conséquence des bourgeois est l’antichambre de la trinité : sabre, goupillon, et usines des Couilles en Or.
 
Lutte entre le rat des villes et le rat des champs ou
LOI DU PLUS FORT
 
 
L’éducation nationale républicaine c’est et sait fabriquer des IDIOTS, la forme la plus cruelle de l’Inquisition. Tout bénéfice pour les Couilles en Or.
 
 
« Il y a deux races distinctes : celles au regard franc, aux muscles forts, à la démarche assurée et celle des maladifs, à la mine résignée et humble, à l'air vaincu. Hé bien ! C'est dans les collèges comme dans le monde : les faibles sont écartés, le bénéfice de cette éducation n'est appréciable qu'aux forts ».
P. de Coubertin - L'éducation anglaise, cité par sott.net.
Pierre de Coubertin réinventait la guerre entre les winners et les loosers et le culte des « Grandes écoles » avec son copain le maçon Jules Ferry. Curieux esprit de fraternité !!! Ou fraternité à l’envers... comme ce que font les communistes : une religion à l’envers. Tout est devenu FAUX.

 

Ainsi depuis le 19è siècle où naîtra la société industrielle se développera sous l’impulsion du monde du fric, le courant sportif et compétitif des winners du grand bourgeois Pierre de Coubertin, avec son dogme de l’individualisme et de l’ego ; et avec le maçon Jules Ferry la « république universelle » franc-maçonnique détruisant les cultures locales : une langue unique : le français. Nous avions l’heure unique grâce à Charles 5 qui en 1370 imposa l’heure unique : il ordonna que toutes les cloches de France se règlent sur l’horloge du Palais Royal, qui sonne les heures et les quarts d’heures, ce qui était plus pratique pour favoriser le business. Jules Ferry fera de même : une unification, une norme un formatage « compas et équerre ». Voilà le résultat du libéralisme façon bourgeois ou habitants des cités : les citoyens.

RAPPEL : survole très rapide : la révolution de 1789 fut celle des banques et des bourgeois (habitants des cités), avec bientôt un Napoléon Bonaparte et la création de la banque privée : la Banque de France, puis plus tard la FED ou « réserve » américaine, pour aboutir au dogme des banquiers : la dette inextinguible. L’éducation obligatoire en fait obligatoirement la partie : formater les futurs esclaves des banquiers, surtout les Rothschild et Rockefeller au 19è siècle, et encore de nos jours. C’est simple.

VILLES = BOURGEOIS.

Au début du Moyen-Âge, vers l’an 700 et avant l’an 900, les villes ne sont que des refuges administratif aux fonctions militaires, religieuses et économiques. Mais à partir du 11è siècle arrive un renouveau du commerce et renforce la fonction commerciale d’une ville. Ainsi s’installe un nouveau quartier : le BOURG, qui évidemment donnera les bourgeois ou habitants de ce Bourg. À côté du Bourg se trouve le quartier seigneurial : le CASTRUM.
Bientôt les nouveaux habitants secouent la tutelle de l’ancien seigneur, et obtiennent des franchises ou une charte (Huy, 1066) qui accorde aux habitants la liberté et le droit de gouverner eux-mêmes, moyennant une indemnité au seigneur. L’essor des villes favorise l’État ou pouvoir royal et l’affranchissement des paysans attirés par le travail en ville. C’est surtout ce qui se passera à grande échelle au 19è siècle s’industrialisant, d’où la logique de l’appellation « citoyen » les habitants de France. Évidemment au Moyen-Âge l’arrivé massif de paysans en ville fut la cause de drames, genre : épidémies, promiscuité et entassement dans les maisons, le manque d’eau potable qui entraînera de nombreuses épidémies (peste noire de 1348). Les constructions en bois multiplie les incendies : Rouen brûle six fois entre 1200 et 1225 ! Puis les inégalités sociales entraînent de graves troubles dès la seconde moitié du 13è siècle). « Les villes ont aidé à libérer les paysans des environs des servitudes seigneuriales, mais elles ont exploité autant qu’aidé les campagnes entraînées par leur attraction. Elles ont souvent réussi à devenir le centre d’une région économique et politique; mais les États urbains médiévaux ne représentaient pas la formule d’avenir. Un esprit urbain s’est tôt formé, imbu de supériorité et d’hostilité à l’égard de la campagne, tandis que les milieux traditionnels (ex. du bénédiction Rupert de Deutz et du cistercien Saint Bernard au 12è siècle) voyait dans la ville un foyer de vice, d’innovations dangereuses et de perdition (Babylone) », écrit Jacques Le Goff dans : La civilisation de l’Occident médiéval.
Bien-sûr les universités ne poussent pas dans les campagnes, mais cela dépend de ce que l’on entend par « université » ; alors, oui, les vrais universités se situent, surtout, loin des villes ! C’est le sens qu’explique par exemple Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

Saint Bernard voyait avec raison les villes comme choses viles : Vile (1080) : agglomération formée autour d’une ancienne cité, sur le terrain d’anciens domaines ruraux (villæ) ; lat. villa « ferme, maison de campagne » (Dict. Le Robert).
VIL : de bas prix, sans valeur, méprisable, misérable, ignoble...


Voyons ce que nous dit Jacques Le Goff des ÉCOLES au Moyen-Âge.


D’abord quelques définitions d’après le français du Moyen-Âge :
ÉCOLE - ESCOLE : façon, manière, état, conseil, cabaret, ingénieux. Sens moderne : établissement dans lequel est donné un enseignement collectif (général ou spécialisé). Institution, académie, conservatoire, chapelle.
ESCOLER : enseigner, rendre savant, endoctrinement, séduire.
Si ESCOLER c’est endoctriner, ESCOLETER c’est décapiter, décolleter ! Donc un sens de lavage de cerveau.
ESCOLÉ : rendre habile, écolier, étudiant.
ESCOLASTRE : celui qui appartient à l’école, chanoine chargé de l’enseignement gratuit
ESCOLASTREE : charge d’écolâtre.
Autres sens :
ESCOLER : de coler, glisser, serrer dans ses bras (Il trait vers lui l’anfen, san prant a escoler, [Bible]).
ESCOLPER : accuser, épuiser, tourmenter, battre et frapper de verges, abuser d’une femme, rendre cocu, poltron, lâche, insolent, etc.
ESCOLTER : écouter, être attentif à , prendre part à, épier, attendre.

UNIVERSITÉ : de communauté, de totalité (sens du 13è siècle). Chacune des institutions ecclésiastiques d’enseignement secondaire et supérieur, nées de la fusion des écoles cathédrales. (Dict. Le Robert).
UNIVERSITAS = CORPORATION des maîtres et des étudiants : universitates magistrorum et scolarium. À Paris dominent les maîtres alors qu’à Bologne dominent les étudiants. Le livre devient instrument et commerce.
UNIVERSITÉS ou GRANDES ÉCOLES de winners ou maîtres à esclaves.

COLLÈGE : de collegium, groupement, confrérie. Groupement de personnes portant la même fonction : on parle de collègue. En 1549 ça devient le sens d’établissement d’enseignement. En 1848 : établissement du premier cycle du second degré : lycée et collège, collège des jésuites, etc.
COLLÈGE est proche de LÉGIONS (romaines et grand nombre, quantité, multitude). Collège va avec LOGE, GUILDE, CORPORATION, LOBBY, etc.

ÉCOLE (sens du Moyen-Age) : centre de vie intellectuelle et de promotion sociale. Longtemps réservée aux clercs (écoles monastiques, épiscopales), monopole de l’Église contesté par les villes (écoles communales pour les bourgeois). L’université s’installera à Paris au cours du 12è siècle.


Les villes vils : nœuds d’échanges commerciaux autant q’une littérature traditionnelle. On y trouve les produits de luxe : étoffes, pastel épices, et de première nécessité : sel. Les marchandises comme les grains, le bois, n’entrent que lentement dans ce grand commerce des bourgs ou des bourgeois. Les échanges de monnaie vont bon train, alors il faudra des banques... D’autant que les foires s’installent, en Champagne au 12 et 13è siècle qui seront des foyers principaux. En plus les ports prennent de l’ampleur, surtout Italiens : Vénitiens, Génois, Pisans, Amalfitains, Astesans, Milanais, Siennois, et bientôt Florentins.
Avec ça se développe l’expansion de la Chrétienté médiévale. Les Vénitiens qui avaient obtenu une série de privilèges exorbitants des empereurs de Constantinople (en 992 et 1082) fondent un véritable empire colonial sur les rives de l’adriatique, en Crète, dans les iles ionniennes et égéennes.


VILLES = EXPANSION DE L’ÉCONOMIE MONÉTAIRE, CENTRE DE CONSOMMATION ET D’ÉCHANGES.
Ainsi Villes = Monnaies

Il s’installe un déséquilibre constant entre l’économie monétaire des villes et l’économie naturelle des campagnes, amenant une transformation décisif de l’Occident médiéval. Pourtant la masse paysanne manipule aussi des pièces d’or et participe, de loin, au capitalisme médiéval des Occidentaux.

Évidemment dans les villes on enseigne l’ARCHITECTURE, et qui dit architecture dit équerres et compas franc-maçonniques et technologies. « Au cours du 12è siècle les écoles urbaines prennent de façon décisive le pas sur les écoles monastiques », écrit Jacques Le Goff. La scolastique (université) est fille des villes écrit-il. Ainsi naît la corporation des intellectuels : enseigner devient un métier à temps plein dans le chantier urbain.
L’art Roman était plutôt des campagnes, l’art Gothique le sera des villes : art de cathédrales jaillies du corps urbain, elles le subliment et le dominent.

Pour en revenir au plus récent : l’après 1789, il est certain que Pierre de Coubertin et son compère le maçon Jules Ferry formèrent le bon accord pour détruire le peuple et la cohésion sociale, avec le dogme du winner sur le looser et la soumission à la dictature de l’État républicain.

RAPPEL :
les jeux grecs antiques n’était qu’un rituel d’opinions créé par les élites du moment (à Olympie), afin de formater le peuple à une vision de malade : racisme, misogynie, ségrégation domination culte de la compétition et de la rentabilité, égoïsme et individualisme, faux élitisme basé sur la sueur et les muscles. Mais surtout compétition et loi du plus fort entre NATIONS. Nous le vivons de nos jours avec les fameuses MÉDAILLES... Le culte du Winner actuel est surtout anglo-saxon, voir l’impérialisme américain: « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous », ce qui correspond au colonialisme de l’American way of life. Au nom de ce principe et de ‘mon Dieu est plus fort que le tient’ s’ensuit des guerres perpétuelles.

Le maçon Jules Ferry et le grand bourgeois Pierre de Coubertin sont les esclavagistes modernes à la solde des Couilles en Or, les Rothschild et Rockefeller et autres Goldman Sachs. Ne pas oublier que le colonialisme, tout comme les guerres, ça rapporte. Les Coubertin et les Ferry sont les agents du Nouvel Ordre Mondial : éliminer les nations pour en former une grosse et unique. Partant de là il est naturel que le pouvoir total soit le cancer le plus important et le plus grave au monde.
Comme déjà écrit, nous sommes dans la véritable nouvelle religion mondiale infernale : CROIRE, CRÉDIT et CREDO : celui des « marchands de confiance » comme on appelait autrefois les banquiers. Ce sont eux les véritables faux monnayeurs, créer de l’argent à partir de rien ! Et habilités à conserver la « valeur » de cette fausse monnaie à un niveau acceptable pour tous, comme une religion.
Ce sont l’opinion de quelques uns qui depuis 5000 ans au moins déterminent la valeur ou ce que la monnaie vaut, les gouvernements sont alors obligés de suivre ou n’existent plus. Et comme déjà expliqué, la voie de l’Agriculture est un très grand responsable du désastre actuel.

RAPPEL : Les jeux olympiques modernes si médiatisés sont une soupape de sécurité pour endormir le peuple et lui éviter d’exploser. Il en était de même sous l’empire romain avec les jeux du cirques et chez les Grecs anciens où l’on pouvait suivre des jeux à longueur de journée. Romains comme Grecs cultivaient déjà le dogme du winner, selon le dogme de Mithra : une religion essentiellement militaire, une fraternité de « frères d’armes » où évidemment les femmes sont exclues. C’est la religion des winners, sorte de « jeux olympiques » pour l’apprentissage du courage, de l’intégrité, du sentiment de fraternité, évidemment un dogme engagé pour combattre, tel Superman, pour le « bien ». Mithra est bien une religion de winners, et le christianisme est une variation du thème Mithriaque : une démocratie de gens humbles de toutes origines, l’usage similaire de la cloche, de la bougie, de l’eau sainte et de la communion, la sanctification commune le 25 décembre, insistance sur la conduite morale doctrine de l’enfer et du paradis, doctrine du Logos ou Verbum, doctrine du sacrifice et de l’expiation, de la guerre permanente entre le bien et le mal et du triomphe « ultime » du bien, immortalité de l’âme, jugement dernier, résurrection de la chair et apocalypse.
Pour C.W. Leadbeater, le culte à mystères de Mithra non seulement fait partie du grenier franc-maçonnique, mais est en cheville avec la tradition atlantéenne par transmission chaldéenne (voir les rites de Memphis Misraïm). Bien-sûr le culte de Mithra est collé à l’empire romain et à ses colonies : LES COLLÈGES.

« Pour ce qui est des dogmes des religions positives [solaires, soufre], tout le monde les connaît ; ils se résument dans le décalogue emprunté au rituel funéraire égyptien, qui le tenait probablement d’une civilisation plus ancienne. Ces religions n’ont pas de doctrines secrètes et sacrifient la logique métaphysique au côté moral et politique. Ce sont les seules qui établissent sur des bases solides la discipline sociale, en promettant aux déshérités de ce monde une compensation certaine dans une autre vie ; et toutes aboutissent à l’égalité devant la loi humaine comme devant la loi divine. Ce sont donc des religions essentiellement politiques et militaires, et l’Europe leur doit uniquement l’empire du monde », écrit Grasset d’Orcet dans : Œuvres décryptées, vol.1.

Leadbeater précise : « L’introduction du modèle formel judaïque pour les cérémonies maçonniques fut intentionnellement organisée par les Puissances [sic] se tenant au-delà de la franc-maçonnerie, à l’époque où le christianisme gagnait en puissance dans l’empire romain. Il eût été quasiment impossible de poursuivre les enseignements des Mystères de Bacchus ou de ceux de Mithra sous leurs formes originelles, tant que l’opposition entre la foi chrétienne et l’ancienne religion païenne restait si marquée. Mais à l’époque de l’empire romain, aucune opposition de ce type n’existait à l’encontre des Juifs, au milieu desquels apparut la religion chrétienne et dont elle se nourrit en premier lieu. Par conséquence, le modèle formel judaïque des Mystères fut adopté par la Loge Blanche comme étant le meilleur moyen capable de transmettre les rites antiques à travers les âges des ténèbres - l’Église persécutant sévèrement tous ceux qui n’adhéraient pas à ses doctrines », toujours ce langage pompier grandiloquent et remplit d’orgueil typiquement franc-maçonnique. Leadbeater ajoute : « Le principal missionné pour accomplir cette transition fut celui que l’on appelait alors Saint Alban [le Comte de Saint-Germain], chef de tous les vrais francs-maçons à travers le monde... » Saint-Germain fait partie du thème de l’immortalité, donc du transhumanisme, puisque selon Leadbeater on le retrouve sous les Romains comme sortant d’une pochette surprise ! Et il est bien dans la théorie de l’évolution ou des religions du Salut, des religions DE LA CROISSANCE et du culte du POUVOIR : Pour Voir, ou religion du voyeur.
 
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 05-09-2012 22:37

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