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GRATUITÉ et RÉVOLUTION ARABLE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-09-2012 23:46

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Vide, Volonté, Yokaï

 
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GRATUITÉ et RÉVOLUTION ARABLE

La Gratuité c’est mettre le gâteau sur la cerise.
Ou mettre les épinards dans le beurre.
 
 
 
Le plus grand criminel, le plus grand prédateur de la planète Terre est l’humain. Il se permet de détruire les microbes, et ce qu’il appelle « mauvaises herbes », et ses frères et sœurs. Il est vraiment complètement fou. Il ne jure que par «  l’utilité », la quantité ou le rendement. En plus il se prend pour un Dieu en voulant (volant : robant) toujours plus.
 
 
 
PREMIÈRE ARME.
La Vraie Arme de destruction massive des Couilles en Or et de tous les Goldman Sachs de la planète : LA GRATUITÉ.
Absolument tout devrait être gratuit pendant une année. Cela permettrait de retrouver le sens de l’Humain, de se réconcilier avec la Nature dont on s’était coupé, et surtout de retrouver la compassion ou vraie humanité et l’empathie afin de sortir de l’égoïsme institué par le libéralisme des bourgeois après la révolution de 1789. Cela permettrait de mettre en prison la VALEUR pendant une année. Valeur inventée par les humains. Valeur qui n’est qu’illusion, et opinion.
Pour commencer la gratuité, c’est très simple : rendre le moindre service que l’on peut sans rien en attendre en retour. C’est ça la gratuité : on n’achète surtout pas un service du genre : « Si je te fais ceci combien tu me donnes ». Il n’y a pas plus simple que la gratuité : ELLE EST NATURELLE ET ÉTERNELLE.
Il faut sortir du MERCI qui signifie : être à la merci de quelque chose ou de quelqu’un.
MERCI : du latin merces : prix, salaire, récompense, médaille ; du latin tardif : faveur, grâce, pitié : être à la merci de Dieu (soumission). De merci découle MERCANTIL, MARCHAND et MARCHANDISE. Un des grands symboles du MERCI sont les jeux olympiques modernes. Un autre grand symbole du MERCI sont les universités et « grandes écoles » avec leurs diplômes et médailles.
Dans Merci il y a le rapport de maître à esclaves (le seigneur et ses sujets). D’un autre côté du symbole MERCI il y a MERCIABLE : qui a de la pitié, de la compassion, qui est miséricordieux. Par contre MERDAILLE (de MERDE) est une injure, bien-sûr ayant rapport avec l’Or métal. Et encore d’un autre côté la MERE est la nourrice, et aussi le droit qu’on payait autrefois pour le bornage des terres.
Dans le domaine du seigneur et de ses sujets nous avons le mot SÉGRÉGATION, qui bien-sûr date de la Renaissance et de sa période des criminels Conquistadors. SEGRAIER (Segrayer, Gryuer qui donnera gruger) : officier forestier, et SEGRAIERIE : droit qui est dû au Segraier. La SÉGRÉGATION (Segregated) est donc comme un droit : on achète, on sélectionne une partie de la masse ou du troupeau. De nos jours si sensibles depuis la seconde guerre mondiale, on emploi le terme APARTHEID (mot afrikaans de 1954), on parle aussi de DISCRIMINATION. SÉGRER : séparer. Tout cela fait la partie du thème MERCI : Me-Ceci ou Cela, ou séparation sujet-objet renforcée. Thème du MERCI dont fait la partie le « Bonjour comment ça va ? » où plus personne n’attend de réponse tant c’est devenu un automatisme de « civilisation » moderne sans aucune valeur.

Dans le thème de MERCI se trouve le mot ROBE.
ROBE : Une Rose sans déploiement universel (S) mais rendue prégnante (B) : une « chose ». (Yves Monin, Langue des Oiseaux). Ainsi au lieux d’employer le mot VOLER qui se confond avec voleur et l’oiseau qui vole, il est mieux d’employer le mot DÉROBER, soir DÉPOUILLER ; d’E-rober, mouvement de la « robe » (rauba : butin) depuis la manifestation terrestre - déplacement d’objet (Yves Monin). Un ROBEUR est un voleur ; un ROBOOUR (Robour) est un voleur, un pillard, un larron ; et ROBIN des bois en était un ; ROBIN désigne aussi un masque, et le voleur avance masqué ou dans le noir pour échapper aux « forces de l’ordre » ou plutôt du désordre. ROBEMENT est un larcin et ROBER c’est chaparder. Ne pas confondre avec ROBES, habits que rois et reines donnaient aux personnes les plus distinguées (comme des médailles). Là encore nous sommes toujours dans le thème de MERCI.

Pour remercier, il suffit de le faire par TÉLÉPATHIE mais sans le mental : ne pas penser aux lettres M.E.R.C.I. quelque soit sa langue maternel.


DEUXIÈME ARME
.

La révolution Arable (à ne pas confondre avec les minis révolutions arabes et érables). Il faut sortir de l’enfer des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture pour retourner à la voie de l’Horticulture (comprenant fruits et légumes uniquement, plus de céréales-poisons : blé, riz, maïs).
- La voie de l’Agriculture est une extermination massive d’espèces, et une culture de surpopulation. Au Néolithique l’être humain se livre à la culture (dans tous les sens du terme) et à l’élevage (aussi dans tous les sens du terme). Les conséquences en seront la sédentarisation (on commence à construire des villes), l’apport des sucres lents par les céréales, celui de la viande grasse par le bétail, puis le sel de conservation et de consommation, enfin la constitution de réserves alimentaires, de troupeaux de bêtes domestiques, et la convoitise et les violences que ces richesse font naître et attisent. C’est une prédation mondiale sur laquelle est bâtit toute notre civilisation. La voie de l’Agriculture causera la mort de la planète Terre sur on n’inverse pas la tendance. Ce qui ne veut pas dire de retourner vivre dans des cavernes et s’éclairer avec des lampes à graisse animale. C’est la logique du Paléolithique qui est à retrouver avec l’enrichissement de nos jours.
La voie de l’Agriculture est la base de la Saint Croissance y compris de la population humaine : blé, riz, maïs ont fait enfler la population : 7 milliards à ce jour. Et pour cette voie de l’Agriculture voie de PRODUCTION, il faut de l’ÉNERGIE ; eau, énergie du thermodynamique pour labourer, énergie chimique pour fertiliser rapidement, armes destructrices contre les insectes, énergie destructrices à cause du transport de ces céréales.

Pour moi l’instigateur de la future révolution Arable est Mircea Eliade, qui le premier dénonça la tragédie du choix de la voie de l’Agriculture par les successeurs des chasseurs-cueilleurs : « La sacralité est triplement perdue par l’AGRICULTURE et l’Agriculture perdue par l’industrie et les techniques, et en plus par le labeur désacralisé (devenu esclavage).

Voir aussi la page : Hu-mains - SURVIVRE et sa série de pages.

Pour sortir de 10.000 ans de civilisation de l’Agriculture il faut se contenter de :
viandes, poissons, fruits de mer, noix, fruits, fruits à coques, baies, légumes.
Interdiction de :
produits laitiers (ou un minimum comme le lait de Brebis), céréales, légumineuses (haricots, fèves, pois, soja, trèfle, donc toutes les plantes à gousse), sucres raffinés, sel, huiles végétales riches en graisses polyinsaturées (graisses chauffées).

Donc il nous faut des viandes sans graisses, des plantes à fibres.

Chez les humains du Paléolithique il n’existe pas de cancers, ni de tuberculose, ni d’affections de carence nutritionnelle, mais souvent de l’arthrose. Les humains de ce temps devaient mourir de maladies infectieuses. La vie se terminait autour de 30-40 ans, mais il exista quelques « vieillards ». Le chasseur-cueilleur si on le dit prédateur, il ne l’est que naturellement : il ne pose même pas de piège pour attraper du gibier. Il chasse à la sagaie. Le mammouth a sans doute été peu chassé. Le poisson est chassé au harpon à la fin du Paléolithique. le plus consommé était le saumon, la truite, un peu les brochets, et rarement la blanchaille, donc avant tout des poissons gras et fermes (des poissons de rivières, les poissons e mer et coquillages n’ayant pas laissés de traces, avant le Mésolithique). Quant à l’anthropophagie, elle semble n’avoir été pratiqué que dans une demie-douzaine de sites. Elle apparait au Néolithique en Charente et en Provence, peut-être pour des raisons rituelles.

Les baies fournissent quelques grammes de sucres rapides, le miel existait probablement au Paléolithique. Mais les glucides provenaient surtout des fruits du Chêne et du Châtaignier (pays tempérés).

Pour le sel, on ne devrait pas dépasser la consommation de un gramme par jour.

Beaucoup de gisements sont installés près d’un point d’eau. En second vient le feu, qui concerne surtout la cuisson des aliments : « faire la cuisine ». Mais la loi de transformation digne de l’Alchimie est constante chez les chasseurs-cueilleurs : selon les saisons, les périodes plus ou moins froides, la latitude, l’altitude, la proximité de la mer, suivant la migration de animaux (Rennes, Saumon). Les semi-nomades ont un camp d’hiver sur les hauteurs et un camp d’été le long des rivières que traversent les Rennes et que remontent les Saumons. Comme l’approvisionnement n’est pas constants, il faut faire des réserves : viande séchée, graisse et baies, ou en creusant dans le sol gelé en permanence dans les pays du Nord. Peut-être aussi les chasseurs-cueilleurs parquèrent-ils des animaux blessés. Mais élevage et culture sont inconnus au Paléolithique ; c’est pourquoi à la fin de cette période ils auraient pu choisir la voie de l’Horticulture.

10.000 ans de drame de la voie de l’Agriculture c’est mince comme un cheveu dans le cheminement de l’humain sur cette planète. Durant 99,5% de notre trajectoire humaine, nous avons été des chasseurs-cueilleurs nourris de viandes sans graisse et de plantes à fibres durement acquises (d’où la réelle possibilité de se diriger vers l’Horticulture).

JARDIN.
[GART] GARDEN - [OR] – [ORT] – [HORT] - ORTIES - JARDIN, VERGER : Cloture (le clos, le vignoble).
Le CARRÉ ou l’équilibre par ses 4 côtés, et c’est aussi le Jardin/Terre.
Lieu en partie clos où l’on apprivoise les plantes. On ne pénètre dans un Jrdin que par une porte étroite.
Lieu de sérénité et de recherche.
Sorte de petit PARADIS :
Le Jardin intérieur a besoin d’Eau Le point d’Origine
Le Jardin Russe avec une allée de sable
Le Jardin de Curé avec son potager
Le Jardin du Moyen Âge : potager, fruité, simples, fleurs
Le Jardin Ouvrier : potager et passe temps
Le Jardin du Cheminot : avec ses roses, ou ses tomates
etc.

Tout concours à ce que l’on apprivoise les plantes dans un jardin, même en friche, surtout en friche. Ainsi nous pouvons avoir, un potager, un verger, un coin pour les simples ou plantes médicinales, un coin pour les arts avec les fleurs et les minéraux de toutes sortes, et l’inévitable miroir : le bassin ; et même un vignoble. Seul, le Jardin peut apporter la vraie culture de phénomènes vitaux et intérieurs. Alors, pourquoi ce choix diabolique de l’Agriculture ? Surtout que le Jardin désigne assez souvent pour l’être humain la partie sexuelle du corps féminin !

Pourtant, dans le Cantique des Cantiques, Troisième poème 4, 12-16 ; et 5, 1 :
Elle est un Jardin bien clos,
ma sœur, ô fiancée,
un Jardin bien clos ;
une source scellée.
Tes jets font un verger de grenadiers,
avec les fruits les plus exquis :
le nard et le safran,
le roseau odorant et le cinnamome,
avec tous les arbres à encens ;
la myrrhe et l’aloès,
avec les plus fins arômes.
Source des Jardins,
puits d’eaux vives,
ruissellement du Liban !
Lève-toi aquilon,
accours, autan !
Soufflez sur mon Jardin,
qu’il distille ses aromates !
Que mon bien-aimé entre dans son Jardin,
et qu’il en goûte les fruits délicieux !
J’entre dans mon Jardin,
ma sœur, ô fiancée,
je récolte ma myrrhe et mon baume,
je mange mon miel et mon rayon,
je bois mon vin et mon lait.
Mangez, amis, buvez,
enivrez-vous, mes bien-aimés !


(Référence partielle à : La Nutrition Préhistorique, de Gilles Delluc, Brigitte Delluc, Martine Roques).
 
 

Dernière mise à jour : 12-09-2012 00:14

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