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Démocratie Inquisition actuelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 29-09-2012 00:34

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Démocratie Inquisition actuelle
et debunking ou septicisme
 
 
L’école obligatoire actuelle informe et met en garde contre les pédophiles, mais se garde bien de le faire contre les séducteurs de l’esprit : éducation nationale, universités, médias, culture, parents, religions, langue, etc.
 
Comme dans le système bancaire où il faut CROIRE, apporter CRÉDIT ou avoir CONFIANCE envers le Marchand de Confiance ou banquier, la démocratie ne peut fonctionner qu’en la croyance en la démocratie, donc de façon idiote par la croyance en un mot conventionnel dont le sens est perdu depuis longtemps. Cette démocratie actuelle en fonctionnant permet le fonctionnement et le camouflage d’un pouvoir évidemment non démocratique : oligarchique, soit des groupes auto-référentiels, privés, riches, incontrôlables par le peuple.
 
 
Le dogme général regroupé sous le terme « démocratie » est un moyen de make believe, un moyen illusoire de faire croire aux gens que le pouvoir est légitime, que cette légitimation dérive des gens qui ont votés, et qui par conséquence doivent obéir et accepter les décisions et lois étant donné que ce sont eux qui sont à l’origine du gouvernement et de ses actions, puisque ce sont eux qui ont élu leurs « représentants » pour qu’ils les éclairs. C’est donc un moyen de produire du consensus, ou tout au moins de la servilité, du servage comme au Moyen-Âge vis-à-vis du seigneur et de nos jours du gouvernement qui prend effectivement les décisions.
L’Inquisition ou toutes les figures de pouvoir agissent, toujours, pour le BIEN, ou la SÉCURITÉ de ceux qui sont soumis à leur pouvoir et légitimation, selon le modèle PARENTS/ENFANTS, ou SERVITEUR ET MAÎTRE. C’est ce qui leur confèrent autorité et légitimation.

Dans l’Inquisition, que copia notamment les défenseurs du dogme communiste en URSS, il s’agissait de défendre ce dogme, grâce à une position intellectuelle ou opinion, qui pour l’accusation, est censée être implicitement acceptés par tout le monde, comme en démocratie et en république où règne « la liberté » et la « raison » et sa doctrine dominante la laïcité (marxisme déguisé) qui impose à l’ensemble comme le système communiste. C’est donc une dictature avec son code laïque NON ÉCRIT d’une subtilité alambiquée façon franc-maçonnique qu’il faut décoder et maîtriser. Ces codes sont censés être acceptés par tous, comme un centre dont on ne doit pas s’écarter (voir les problèmes que subissent l’Islam dans le monde occidental), sous peine de raisonnement faux : la fameuse « raison » du siècle des lumières et des philosophistes de la Grèce antique jusqu’à Voltaire. Ainsi si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux.
Alors tout accusé qui se reconnaît (de gré ou inconsciemment ou par manipulation) lié à la foi d’une religion, d’un dogme, et c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti politique, surtout chez les marxistes, est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, puisqu’il est en pleine possession de sa « raison » conforme à celle du siècle des lumières, sauf évidemment en cas de « dérangement mental ».

Alors il est normal que le tribunal lui demande : « Savez-vous pourquoi vous êtes là ? ».
S’il le sait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, juste une peine minime, il se condamne lui-même par autocritique. S’il ne le sait pas il est envoyé en « rééducation » dans un asile psychiatrique.
Autrefois l’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques, ou que le camp de Guantanamo.

Ces gardiens du dogme républicain et de la laïcité ou dogme communiste (gardiens cachés dans des sociétés secrètes ou non) possèdent une géométrie ou un réseau de neurones identique à la configuration mentale de l’Inquisition.


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Un ou deux mots sur le DEBUNKING et la « Théorie du complot ».

Le tueur du Père Noël.

Le debunker ou septique professionnel est en général expert en propagande et en marketing, contrairement aux non initiés, il est donc censé être au courant de sa chose visée et de beaucoup d’autres, des nombreux points faibles et des nombreuses faussetés tendancielles du mental humain. Il utilise consciemment ses connaissances pour « redresser la situation ».
La manipulation mental, dont le debunking, est une forme, et la publicité commerciale une autre, intervient sur les non initiés et le fait au niveau inconscient, pour produire des comportements désiré, d’adhésion à des valeurs et des « vérités officielles » comme celle du 911, etc. Untel ne sait pas pourquoi il achète un produit inutile ou d’un certain design plutôt qu’un autre. Ou pourquoi il vote pour un candidat plutôt que pour un autre. Mais le septique ou debunking, ou spin doctor (conseillé en communication) lui sait. C’est lui le maître de la cause qui produira l’effet. Ces gens là peuvent se révéler diaboliques.

Le debunker est l’outil de gestion de l’opinion publique et des comportements de masse dans une société « démocratique » hyper industrialisée où tout sonne faux.
Le premier debunker est la Télévision, et l’Internet n’est pas en reste, il faut se blinder. C’est le règne de l’individualisme (libéralisme oblige) du chacun pour soi dernier son écran plat d’ordi ou de télé. INFORMATION veut dire sans forme ou même soupe pour la masse, car peu de responsables d’informations osent publier des infos concernant des sujets délicats ou tabous encore sous le joug de l’Inquisition et provenant de sources non officielles.
Nous en sommes encore conditionnés au : « Nos jeunes qui combattent là-bas en Libye pour notre sécurité et nos valeurs républicaines ».

Les instruments du debunker sont la rhétorique chère aux ergoteurs philosophistes Anciens Grecs, avec la sophistique, la propagande ou « réclame ». Des sophistes comme Gorgias et Protogoras étaient très bien payés pour leurs rhétoriques. Les Institutiones Oratoriae de Quintilien sont un classique de technique dialectique et persuasive. Le pire, c’était un manuel scolaire dans la Rome antique et le Moyen-Age ! Un philosophiste comme Schopenhaeur dans « L’art de toujours avoir raison » décrit les techniques de controverse.
Tant que l’instruction est resté le privilège des classes dominantes : Église autrefois, et franc-maçonnerie aujourd’hui, le produit de leur culotte a été entraîné à convaincre leurs auditeurs de la justesse d’une thèse, puis d’une anti-thèse, donc aussi bien à conditionner les autres qu’à résister eux-mêmes. L’école devenue obligatoire (et républicaine), ces techniques ne sont plus enseignées sauf dans des établissements privés non gratuits.

Le debunker sait que tout le monde a des émotions dans sa cervelle, et que quelques-uns « pensent », et que beaucoup sont endormis, et que rares sont ceux qui discernent leurs moments de « réflexion rationnelle » de leurs moments de vagabondage d’esprit, leur processus associatifs (idéation) de leurs états émotionnels.
Donc le debunker attaque la contre-information, ou théorie du complot, à l’aide de messages simples, directs au niveau émotionnel, avec des points d’ancrage dans l’inconscient, plutôt qu’à l’aide de la logique et des démonstrations.
Des éléments, des passages de logique et de technicité sont insérés pour évoquer une sensation de « rationalité scientifique » du message lui-même (comme dans la vidéo de la RDJ), pour donner une impression, une patine de sérieux, d’autorité et d’objectivité : « Je détiens la Vérité », ou « Le dentifrice le plus recommandé par les dentistes », le prestige de l’uniforme ayant encore frappé.
Les messages du debunker visent le plus souvent à discréditer la source et l’auteur de la contre-information (ou le complotisme) sur le plan moral : « ce sont des charlatans », des « paranoïaques », grâce à des insinuations idéologiques ou des associations « dévastatrices » avec les terroristes, les national-socialistes, les fascistes ou les communistes. Il suffit de penser au debunking du révisionnisme ou du négationnisme, un véritable exercice de style. Un autre gros exercice de style concerne les OVNIs.

Dans le cas du 911, les habitants du monde se sentent dans la majorité des loosers trompés, désinformés, manipulés, exploités, mais ils n’ont pas ou si peux les instruments et éléments pour comprendre l’arnaque et comment cela s’est produit, ni comment aboutir à quelque chose de concret. Ils se sentent irrités et surtout frustrés, et donc avides de révélations et d’émotions, et surtout avides d’une revanche sur les winners.
Alors offrons leur une belle théorie du complot, plus ou moins démontrée, plus ou moins vraie, plus ou moins magique ou ésotérique. Et nous avons de grandes chances de toucher tel ou tel sous-groupe social.
Ce mécanisme peut aussi être appliqué par le debunker contre n’importe quelle contre-information, il s’agira de la démystifier. Le debunker est un tueur de PÈRE NOËL.

Le debunker est chargé de détruire le fait que les gens croient encore que les décisions des gouvernements et des grandes entreprises ne sont dictées que pour des motifs économiques. Donc le debunker doit faire en sorte que les gens ne pensent pas aux actes politiques, législatifs ou institutionnels, et si possible industriels.

Le debunker va avec le bouc émissaire ou la victime expiatoire, présentement c’est Bachar el-Assad. On le donne en pâture à l’opinion publique à travers les médias, et étranger à l’identité nationale et patriotique, et on l’accuse d’être un tyran.
Le debunker pourra faire ressentir la contre-information comme inutilement complexe, comme par exemple avec le 911, en la jugeant extravagante, aride, délirante, du type délire de la persécution (paranoïa) comme l’exemple de la vidéo le montre, et il peut en rajouter comme avec les mots : charlatan, infâme, traître, antisocial, contagieux, stupide, jusqu’aux mots dans la sphère politique de l’Allemagne des années 1930-1945.
On fournit à la population une version qui, au lieu de susciter ces conflits, va s’allier avec toutes les convictions, les valeurs consolidées et tendancielles CONFORT, ou SÉCURITÉ : « je suspens mon jugement », ou « Je sais que je ne sais pas », ou « je manque d’infos ». L’homme non initié aura des doutes ; l’intellectuel, lui sait. Mais l’esprit publique veut des preuves, il refuse le relatif. Mais plus les sujets à discuter sont énormes et sources d’émotions, plus l’esprit publique préfère et exige une information bidon et se sent attiré par les meneurs qui offriront des certitudes énoncées dans un langage catégorique avec de fortes connotations morales, genre : « Plus jamais ça ! », ou « Et si c’était votre gosse ! » (affaire Roman Polanski ressortant bizarrement à la rentrée 2009 jouxtée avec des attaques contre Frédéric Mitterrand). D’autre part, il est connu qu’à la tête des foules un âne suffit !

Démystifier le démystificateur, lui arracher son masque est toujours possible.
Il existe un débunking négatif extrême, consistant à dire en tant qu’opinion publique que tout est pourri en France et ailleurs, que les gens sont tous des menteurs, des voleurs, des crétins, et qu’il ne sera jamais possible de connaître la vérité (sur le 911 par exemple) ; et que dans un tel contexte, la seule chose rationnelle et moralement justifiable, c’est de se démerder, de se moquer de tout (caricatures d’une religion, destruction du sacré), de berner les autres et la société à chaque fois que c’est possible de le faire. Ainsi on ne se mêle pas de politique, parce que quel que soit le gouvernement, rien ne change, ou plutôt on fonce droit dans le mur, et on devient aquaboniste (à quoi bon obsessionnel), ou on reste couché.
 
 

Dernière mise à jour : 29-09-2012 00:56

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