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Catastrophe Renaissance et Humanisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-10-2012 03:07

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Catastrophe de la Renaissance et
de l’Humanisme
 
 
 
Une page de plus où il est question de cette époque catastrophique.
C’est l’époque où s’installe la religion de l’homme : l’humanisme, avec entre autres la Réforme et les protestants. Il y a coupure de la Nature, l’être humain commence a pondre des technologies. En  se coupant de la Nature l’être humain s’éjecte en quelque sorte de l’Univers et croit pouvoir l’examiner et tout savoir.
 
 
 
Les humanistes, les socialistes ou communistes ou républicains, c’est kif-kif, ont TOUT FAUX et fabriquent ce FAUX.
Car tout être humain, quel qu’il soit, ne peut donner à son semblable que ce qu’il est lui-même. C’est pourquoi Ramana Maharshi demande à chacun de ses questionneurs : QUI LE DIT OU LE DEMANDE ? Donc : « Connais-toi toi même... et tu connaîtra l’Univers ».
Ainsi tout être humain doit « faire société » avec lui-même, au plus intime de son être et dans l’absolu réaliser le SOi ou Instant, AVANT de se lancer à faire société avec les autres. Et c’est la première chose que devrait réaliser toute personne honnête et sincère qui désir servir son prochain en se lançant en politique. Nous voyons que de nos jours il n’existe AUCUN personnage politique. Tous les professionnels politique actuel ne sont que des escrocs et des voleurs, des égoïstes.
 


Un des symboles de l’humanisme est Érasme de Rotterdam. Érasme qui aurait dit : « J’ai couvé une colombe, et il en est sorti un serpent ».

De cette Renaissance et son humanisme découle le matérialisme avec notamment le béhaviorisme, où l’âme est devenue le dernier souci de la cette civilisation occidentale de l’après Renaissance et après 1789.
La source du béhaviorisme ne peut de trouver qu’au 19è siècle, siècle des banquiers et de la civilisation s’industrialisant. Dans une publication de 1863 Ivan Mikhaïlovitch Setchenov : Les réflexes cérébraux, il proposait de prendre comme base des recherches psychologiques l’étude des réflexes et des réactions présentés par les animaux. Ensuite viendra le fondateur du béhaviorisme : John Broadus Watson. Dans la division coupure d’avec la nature, la technologie devenait la « science » et le psychologique devenait une science. Tout cela ne reposant bien-sûr que sur de l’opinion, mesurée ou non avec des machines sur des humains ou des animaux. Conforme à l’humanisme de la Renaissance, il fallait tout mesurer, et tout ce qui n’était pas enregistrable n’était pas « scientifique », ou, égalité maçonnique socialisante oblige, reproduisible par tous. Nous entrions dans la civilisation communiste, celle de la QUANTITÉ, du GÉNÉRAL transformée en Universel avec sa Bible des Droits de l’Homme franc-maçonnique. L’être humain devenait un « avoir » au lieu d’être « Je suis un homme », à défaut de ne pouvoir encore dire « Je suis CE JE SUIS ». Pour le moment l’être humain n’est qu’une marchandise. Nous entrions dans l’ère des graphiques, statistiques et autres camemberts à pourcentage. Et grâce à Blaise Pascal nous entrions dans l’ère du binaire de la future informatique (celle de nos jours). L’être humain commença sérieusement à devenir un ROBOT, un « système neuro-terminal ». Place à la « raison » sous le crâne des perruques poudrées et de leur siècle.

Bien-sûr le freudisme entre en piste à la même période : fin du 19è siècle où régnait alors une géométrie neurologique scientiste façon thermodynamite. Darwin et compagnie avec Freud nous donnerons une « instinctologie » mondiale. Freud comme tout ses confrères travaillant pour Hollywood ne remua que ce qui est en-dessous de la ceinture : la libido ou le libidineux. (Libido, terme créé par Freud en allemand, du latin libido : désir, pulsions instinctives comme boire, manger, le sexe, donc le béhaviorisme). Freud nomma sa propriété intellectuelle : « Psychanalyse ». Freud chercha toute se vie à faire entrer des faits dans son opinion (dogme) !!! C’était comme le lit de Procuste : le pervers intégral ou la réduction de l’âme à l’équerre et au compas : attacher sur un grand lit les petits et les étirer jusqu’à ce qu’ils atteignent la dimension du lit ; ou attacher les grands sur un petit lit et couper tout ce qui dépasse. C’est typiquement le symbole du tyran totalitaire façon communiste où l’opinion d’un seul se prenant pour Dieu tyrannise le peuple.
Freud et ce genre de tyrans sont dans le thème du DORG (Demain On Rase Gratis ou la même soupe pour tous ou mondialisme, soit faire avaler la doctrine du démiurge. Démiurge qui seul à le droit de dire ‘Je’.


Démocratie ou make believe.

Je vois ce qu’on appelle la « démocratie » comme cette phrase attribuée à Shakespeare dans la première partie du Roi Henri IV : « Make blind itself with foolish tenderness » (Se rend aveugle lui-même, avec une folle tendresse). L’individualisme rentre la-dedans !

Cela fait aussi partie de l’amour, donc d’un attachement telle une RELIGION, comme l’est la laïcité franc-maçonnique, mais TOTALEMENT SOURNOISE, car censée être acceptée par tous, comme le consensus que l’on demande au peuple lors des élections.
Dans l’actuelle démocratie, c’est une véritable religion car toutes ses actions, bonnes ou plutôt mauvaises et tyranniques, apportent comme une sorte de grâce transformant tous crimes en acte de libération et de paix ! Les gardiens actuels de ce dogme de la démocratie sont les BHL et tous les atlantistes ou vassaux de l’empire USionistan, qui lui seul, avec l’aide des francs-maçons, est le chef et le gardien suprême de ce dogme.
Comment vouloir blasphémer contre ce dogme sans se faire traité de révisionniste, d’anti sémite, de nazis, « d’ennemis de la liberté », ou « d’ennemi du peuple » comme disaient les soviétiques.
Comment voulez-vous protester contre cette religion démocratique si merveilleuse ? Impossible, la loi est la même pour tous, c’est l’égalité franc-maçonnique. Toute contestations sera inutile dans une civilisation réduite au compas et à l’équerre ou même soupe pour tous.
La technologie et la technocratie sont maintenant à l’œuvre, on le voit surtout avec la machine Europe qui vient de recevoir le prix de la guerre du dynamiteur terroriste Nobel.
Toute contestation devient impossible dans cette sainte démocratie, car enfin, qui pourrait s’opposer à la paix ? Tout dissident sera envoyé dans les camps de la FEMA. Surtout avec la venue prochaine du Nouveau Messie Sauveur du monde. Qui pourra s’opposer au Sauveur du monde ?

Ici en Occident, l’opinion publique est hypnotisée et manipulée par cette religion devenue mondiale avec son infaillibilité démocratique. Celui qui ose blasphémer contre le dogme se fera traité de dictateur soutenant les dictateurs massacreurs de leur peuple. Ainsi il ne viendrait l’idée à personne, acceptant, défendant le dogme, de soutenir une dictature supposée. Ce qui rejoint parfaitement cet extrait que je remets ici tel un refrain car il colle tellement bien à notre « démocratie » et à son dogme :

Dans l’Inquisition, que copia notamment les défenseurs du dogme communiste en URSS, il s’agissait de défendre ce dogme, grâce à une position intellectuelle ou opinion, qui pour l’accusation, est censée être implicitement acceptés par tout le monde, comme en démocratie et en république où règne « la liberté » et la « raison » et sa doctrine dominante la laïcité (marxisme déguisé) qui impose à l’ensemble comme le système communiste. C’est donc une dictature avec son code laïque NON ÉCRIT d’une subtilité alambiquée façon franc-maçonnique qu’il faut décoder et maîtriser. Ces codes sont censés être acceptés par tous, comme un centre dont on ne doit pas s’écarter (voir les problèmes que subissent l’Islam dans le monde occidental), sous peine de raisonnement faux : la fameuse « raison » du siècle des lumières et des philosophistes de la Grèce antique jusqu’à Voltaire. Ainsi si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux.
Alors tout accusé qui se reconnaît (de gré ou inconsciemment ou par manipulation) lié à la foi d’une religion, d’un dogme, et c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti politique, surtout chez les marxistes, est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, puisqu’il est en pleine possession de sa « raison » conforme à celle du siècle des lumières, sauf évidemment en cas de « dérangement mental ».

Alors il est normal que le tribunal lui demande : « Savez-vous pourquoi vous êtes là ? ».
S’il le sait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, juste une peine minime, il se condamne lui-même par autocritique. S’il ne le sait pas il est envoyé en « rééducation » dans un asile psychiatrique.
Autrefois l’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques, ou que le camp de Guantanamo.
Ces gardiens du dogme républicain et de la laïcité ou dogme communiste (gardiens cachés dans des sociétés secrètes ou non) possèdent une géométrie ou un réseau de neurones identique à la configuration mentale de l’Inquisition. Et les chefs inquisiteurs ne peuvent pas renoncer à leur aveuglement sans perdre leur foi dans le système, et sans perdre en même temps tous les bienfaits personnels qu’ils peuvent tirer de leur pouvoir au sein de la hiérarchie de défense du dogme. Il ne faut pas compter sur ces défenseurs du dogme atlantiste et démocratique pour défendre le peuple !

Les Occidentaux depuis 1789 ont eut le temps de se faire laver le cerveau et avoir une géométrie de neurones propre à ce système démocratique et libéralisme. De nos jours libéralisme = privilège, donc prison ! Celui qui est libre de privilège est le seul libéré de toutes lois et du système de carotte et bâton ou cause et effet : je te donnes une chose et tu m’en rend une autre en échange (troc ou maintenant monnaie fictive).

Comme tout est lié, j’en reviens à Sigmund Freud qui fit tant de dégâts. Je me demande même s’il n’était pas en cheville avec des francs-maçons, car il adopte l’opinion de C.W. Leadbeater sur la morale, à savoir qu’il faut l’enseigner occultement ou en plein jour ; Freud et Leadbeater dans la foulée de Darwin considérant l’être humain comme un vulgaire animal dépourvue de morale : une homme avec son animalité et un sens moral étranger à la « Nature » humaine puisque qu’on s’en est coupé à l’époque de la Renaissance. Mais les Freud et Leadbeater & Co ne peuvent nier son existence chez l’humain, où ils le rencontrent à tout moment ; ils le considèrent comme un sens « artificiel », acquis par « introjection ». Freud & Co refusent de reconnaître l’immanence du sens moral chez l’être humain à cause de leur conception animaliste de la nature humaine.
Dans ce système de l'orgueil qui veut qu'une race supérieure ou des initiés francs-maçons ou autres fassent des leçons de morale aux profanes, le franc-maçon Jules Ferry s'y intégre parfaitement : « Il y a pour les races supérieures un droit parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ». (Jules Ferry, Discours au Parlement, juillet 1885).

Si aucune moralité n’existait dans l’être humain et s’il fallait l’acquérir comme un diplôme dans les écoles franc-maçonniques, alors ce qu’explique Ramana Maharshi tout au long de ses entretiens serait du n’importe quoi ou de l’inutile !!
Ainsi :
« La vraie morale, la seule authentique, est cet ensemble de connaissances et d’actions qui, d’une part, permet à l’homme de prendre conscience des exigences de l’essence de sa nature, et, d’autre part, lui commande de vivre dans son existence suivant ces exigences. Quant à ces exigences, elles consistent, pour tout homme, à respecter dans les réalisations de sa vie l’ordre hiérarchique de la structure de ladite essence, quelle que soit son individuation.
L’ordre hiérarchique de l’essence est un ordre qui a été donné à l’homme, un ordre que l’homme ne s’est pas donné lui-même. Aussi, doit-il être respecté, sous peine de déchéance. Tout écart ne peut que conduire à la perte de la dignité humaine. C’est cet ordre même qui murmure dans les bruissements mystérieux du sens moral, bruissements qui deviennent inquiétants toutes les fois que la hiérarchie de l’essence subit des entorses dans l’existence. Ce sont eux qui invitent l’homme à faire un retour sur lui-même pour prendre conscience de sa propre loi [Je suis CE JE SUIS]. Le sens moral pousse ainsi l’homme à ajouter à la connaissance du monde extérieur, dont il est si fier, une connaissance du monde intérieur, du monde de son propre être.
Mais dès que par une prise de conscience l’on devient capable de saisir le sens des actes que l’on pose, on en devient responsable ». (Docteur Psychiatre A. Stocker, dans son livre : Folie et Santé du Monde).

Ce n’est pas l’erreur (et la maladie est une ‘erreur’) qui fera comprendre la vérité (et la santé est ‘vérité’), mais la vérité l’erreur. La guérison d’un mal consiste donc dans le retour du désordre à l’ordre. (Docteur A. Stocker).
 
 

Dernière mise à jour : 18-10-2012 03:45

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