Company’s plan Judeo-Masonic World
Plan de la Compagnie mondiale judéo-maçonnique :
Égalité maçonnique ou Totalitarisme
Royaume des Cieux sur terre

Évolutionnisme à la Darwin et à la Teilhard de Chardin : évolution à l’horizontale
Voir la vidéo en fin d’article ou c’est plutôt l’involution ou le crétinisme !
Voilà où nous conduit l’évolution du plan franc-maçonnique.
Ajoutez à cela qu’en cas de catastrophe en une journée
les supermarchés se videront !

CHACUN POUR SOI ou estomac et sexe sur deux jambes,
tel est the Company’s plan Judeo-Masonic World

La naissance de la personne (per-sonne) est la naissance de l’ego, du mental ou raison (rai : lumière, et son : verbe)

 

 

 

Ça a commencé dès l’époque de Louis 9 pour aboutir à son sommet à la révolution de 1789. Il s’agissait d’établir le DORG (Demain On Rase Gratis) ou même soupe pour tous, que d’autres, surtout les Juifs, nomment Jardin d’Eden (le bonheur, la paix). Il fallait retrouver « le Paradis perdu », l’Âge d’Or. D’ailleurs le même système évolutionnisme nous a donné le franckiste Sigmund Freud et ses suiveurs qui voient dans le mental et donc dans le cerveau le Tout de l’activité de l’âme, et parlent du subconscient tout en ignorant le supra-conscient ! Freud est typiquement dans la logique de Teilhard de Chardin.

 

En réalité, comme déjà écris sur le site, et comme l’explique en long et en large Ramana Maharshi dans ses entretiens, rien n’a été perdu, ainsi il n’y a aucun but à atteindre, pas d’évolutionisme. Donc pas de « libération » à obtenir.
Le DORG ou « lendemains qui chantent » correspond au but à atteindre, à l’évolutionnisme, où tout s’écoule dans la géométrie de la ligne droite euclidienne entre un passé indéfiniment reculé et un futur également indéfini. La plan de l’évolutionnisme conduit à la tyrannie du karma ou loi de Cause et Effet enchaînant dans des mailles de causes et effets dont les deux bouts de la chaîne ne se rejoindront jamais, c’est indéfinissable. C’est la même chose qui fait dire au mental de quelques grenouilles de bénitiers ou mauvais bons sens ou chronologie, que « pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu ». Ainsi, il n’y a pas de CIRCULUS où le Christ, l’Instant donne naissance au vrai Alpha et Oméga (celui du Christ). Circulus : « tout est Mouvement ».

Depuis 1789 nous sommes en dictature de Juifs talmudiques : l’ordre social ou les droits de l’homme s’emparant de l’individu naissant pour ne le lâcher qu’à sa mort ; donc soumettre le bétail, la masse et la remplir, engraisser son mental en premier par l’éducation gratuite et obligatoire ». Les droits de l’homme des Juifs talmudiques fournissent le lait et le soin qui donne naissance, protège de tout ce qui pourrait attenter à la santé de l’individu ou affaiblir son corps, le préserve de la fausse tendresse, et le conduit de sa mère à la maison de l’État, où il acquiert la vertu et la lumière républicaine franc-maçonnique nécessaire à un véritable citoyen. (En réf. à Buonarotti, cité par N. Webster dans : La Révolution Mondiale, complot contre la civilisation).

Le messie des Juifs et le Jardin d’Eden (Royaume des Cieux sur terre) sont les BUTS des partisans de la foi de Moïse. Rechercher la paix, la libération, soit le Centrum Centri. La victoire des Juifs est presque complète : religion de l’homme partout en Occident et contaminant un bout de l’Orient. L’âge d’Or soi-disant perdu, ou le « Paradis perdu » sont les phantasmes ou élucubrations du mental de Jean-Jacques Rousseau (le « bon » sauvage). Mythe enfantin n’ayant aucune valeur. Rousseau emprunte ses histoires à un malade : John Locke.
Les droits de l’homme talmudiques issus du noachisme rabbinique vont faire du communisme à la soviétique : lavage de cerveau de l’esprit de l’enfant afin de transformer la géométrie de son mental naturellement construit sur la famille, pour le transformer par la vertu civique, avec une éducation gratuite la plus primitive : lire, écrire, faire dix lignes de rédaction, apprendre les quatre opérations d’arithmétiques pour lui permettre de travailler dans un bureau du gouvernement si nécessaire. Cela c’était au début du système scolaire primaire du franc-maçon Jules Ferry. Par la suite cela s’étoffera un peu avec la géographie du style : combien y a-t-il d’acacias au Congo ? l’histoire de France et du monde formatée par l’État, etc., bourrage de crâne nommé « culture » seulement nécessaire pour donner au jeune garçon une idée de la sagesse des Lois talmudiques et autres droits de l’homme sous lesquels il a le privilège de vivre. Voilà le supplice des scolarisés obligatoires de la république maçonnique qui partent de la « lettre » pour invoquer le sens ou imaginer l’oiseau à la convenance du nid ! Alors que naturellement il fallait construire le nid à la convenance de l’oiseau. Depuis un moment tout est à l’envers.
Ensuite, les droits de l’homme talmudiques favorisent l’enseignement « supérieur » en forme de méritocratie : les plus en forts en gueule et en argent !
Le marxisme-capitalisme fabrique des ouvriers en forme de mécanique à rendement.

La nouvelle famille, c’est le mondialisme, c’est pourquoi il faut détruire la notion de famille, tel est un morceau du puzzle du Plan, notamment celui de Weishaupt et de ses illuminés. Le projet de « mariage pour tous » est dans la parfaite optique de Weishaupt de destruction de la famille : légalisation du divorce par la loi Naquet, loi Neuwirth en 1967 sur la contraception, loi Veil en 1975 sur l’avortement, loi Roudy en 1982 sur le remboursement de l’avortement à 80%, loi Nelertz en 1993 créant un délit d’entrave à l’IVG, Pacs en 1999, délit d’homophobie de 2004, jusqu’au projet de « mariage gay », lois sur la filiation (1896, 1972, 2001)

Ne pas oublier que le but de tout cela est le « Service aux autres » et « l’esprit de sacrifice » (comme l’écrit Leadbeater dans Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie), parfait eyes candy franc-maçonnique. Ce « Service aux autres » bien dans l’évolutionnisme, le but à atteindre qui donna la révolution de 1789 et le communisme de 1917 avec « le peuple souverain ». Tout cela implique LA VOLONTÉ, et donc le mental, et on sait où cela mène ! Notamment quand on peut lire ce qu’écrit Leadbeater à propos du BUT À ATTEINDRE : « Le grand plan que Dieu a conçu pour l’évolution de l’humanité, ce qui est parfaitement illustré dans la Franc-maçonnerie par la construction du temple saint ». C’est du sophisme pur, ou mieux de la franc-maçonnerie et religion de l’homme de prêter une intention à Dieu ! Leadbeater poursuit dans un registre malsain qui fait froid dans le dos, et toujours dans cet évolutionnisme : « La voie de l’occultisme se réalise à travers une série d’étapes progressives, un sentier constitué d’initiations conférant une succession d’expansions de conscience et de degrés de pouvoir sacramentiel [toujours ce but à atteindre] ; la voie du mystique est souvent d’un caractère plus individuel, un « vol de l’un vers l’unique »... Pour l’occultiste, la stricte observance des rites [confort et mental] est d’une grande importance, et par l’utilisation de magie cérémonielle [côté malsain et volonté et mental] il crée un véhicule par lequel la lumière divine pourra descendre et se répandre de tous côtés au secours du monde - invoquant les anges... En revanche la méthode du mystique procède par la prière et l’oraison [pas nécessaire] ; il ne se soucie pas des rites, et, bien que son union avec cela fasse de lui une voie de diffusion de la Vie divine, il me semble perdre l’immense avantage de l’effort collectif accompli par l’occultiste, soutenu par l’aide si considérable des Êtres supérieurs [sic] dont il invoque la présence. Ces deux chemins mènent vers Dieu ; certains d’entre nous seront irrésistiblement attirés par le premier, d’autres par le second : cela dépend principalement du Rayon auquel nous appartenons ». C'est son opinion !

Dans ces deux voies le vrai danger est le POUVOIR, donc la manipulation franc-maçonnique en souterrain grâce au confort du RÉSEAU si commode, voir le communisme ou totalitarisme où tout le monde est connecté grâce à la technologie de l’informatique : Big Brother à l’œuvre.

« Toute morale est à la science pure ce que le corollaire est au théorème. Telle est l’idée qu’a l’homme de lui-même, telle est sa morale. Il est donc parfaitement vain et utopique de construire une nouvelle morale qui serait capable de conjurer les maux que nous promet la science atomique avant d’avoir repensé ce qu’est l’homme. Nous vivons une époque de révolution mondiale qui pose comme problème primordial la mise à jour de la connaissance que l’homme a de lui-même. L’ennui, c’est que ce problème contient tous les autres, absolument tous.
Mais qui le résoudra ? Évidemment pas ceux à qui il ne se pose pas dans la plus profonde intimité de l’âme, c’est-à-dire les satisfaits, les repus, les gavés de bien-être matériel ou d’honneurs sociaux, ni même ceux qui croient trouver dans la religion un refuge où ils s’enferment en bouchant toutes les fenêtres qui leur permettraient de jeter un coup d’oeil lucide sur le drame de la planète Terre. L’homme heureux, ou qui croit l’être [Jardin d’Eden et Messie], ne se pose pas de questions, est incapable d’imaginer que d’autres puissent trouver invivables les conditions qui leur sont faites. Il est conservateur. Et l’homme de gauche, qui ne conçoit de dignité humaine que dans et à partir des valeurs économiques, qui croit que le bonheur et la joie ne se trouvent que dans des circonstances extérieures [Royaume de Dieu des Juifs sur terre], est tout à fait incapable de repenser le problème de l’homme dans ses vrais termes.

Seul peut reposer l’équation de l’homme celui qui a souffert dans les profondeurs les plus intimes de l’âme [douleur-couleurs absolues de l’irruption brusque de la Conscience], et qui a été conduit à être à lui-même le propre objet de sa connaissance.
Car l’homme n’est pas seulement un existant, il est aussi un être qui se regarde exister. L’homme n’est vraiment libre, ne prend vraiment conscience de sa liberté, de l’essence ontologique de sa liberté, que lorsque s’est réalisé en lui ce clivage entre l’être et l’ex-ister, lorsqu’il est devenu à lui-même son propre problème, lorsque son âme est devenue objet de connaissance pour l’Esprit, lorsque le ‘Je’ s’est soumis le Moi ; lorsque le ‘Je’, qui est divin, et le Moi [soi], qui est de la Terre, ont retrouvé la Paix sur ce plan médian qu’est le métaphysique. Le verbe s’est fait homme pour être médiateur entre le Ciel et la Terre, et c’est pourquoi la religion du Christ est théandrique (nature humaine divine). Hors de là, l’homme n’est pas libre, il subit passivement les déterminismes sociaux ; il devient jusque dans sa pensée le résultat du milieu ambiant parce que c’est son moi, ses sentiments et non le Verbe qui in-forme sa pensée : il n’a que des opinions, il n’est pas libre. Tant qu’un homme n’a pas été saisi jusqu’à l’angoisse par l’étonnement de se découvrir comme un homme parmi les hommes, malgré ce qu’il sent en lui d’irréductible à n’importe quel autre individu, il ne peut découvrir le vrai sens de la liberté qui est Esprit. « La vérité vous rendra libre.
La liberté est le dialogue entre un agissant qui est le ‘Je’ divin [le Soi] et un agi qui est le Moi humain [le soi], selon la Vérité du Verbe qui est médiane entre le Ciel et la Terre. Hors de là, parler de la responsabilité de la personne n’a aucun sens « Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font ».
(Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux).

Le Plan de la Compagnie mondiale judéo-maçonnique est donc LE BUT À ATTEINDRE : conception linéaire du temps, ou géométrie de la ligne droite euclidienne. Une dialectique linéaire horizontale et chronologique des événements qui existe dans le mental, mais qui ne contient pas en elle-même son sens puisque coupé de l’Instant ou Soi. L’Alpha et Oméga de Teilhard de Chardin est DANS l’Instant.

Le drame de l’évolutionnisme ou messianisme, ou but à atteindre peut provenir de deux TERMES.
- Premier Terme : le pain est en soi du pain, les Anges sont en eux-mêmes des esprits.
- Deuxième Terme : démarre avec l’invention de l’imprimerie et les philosophistes Kant, Hegel, et la pensée qui se dit « moderne » : ce sont les choses qui inscrivent la forme de leur être. Les choses, le monde est dans notre mental et notre connaissance structure et reconnait ces choses, elles ne sont pas EN ELLES-MÊMES ce qu’elle sont. Par exemple le temps n’existe pas si personne ne l’observe, ou en prend conscience.
Entre ces deux Termes il y a toujours la dualité SUJET-OBJET.
Dans le premier Terme la connaissance est comme extérieur : l’appareil photo ne fait qu’enregistrer l’image sans que sa nature, son en-soi d’appareil photo soit responsable de l’en-soi de l’image enregistrée.
SI la connaissance était quelque chose d’aussi simple, si sujet et objet étaient deux entités indifférentes l’une à l’autre, alors comment le Christ a pu transformer en autre chose l’en-soi des formes pain et vin qu’il avait devant lui ?
Les existentialistes à la Jean-Paul Sartres croient utiliser la logique en déclarant que c’est notre connaissance qui structure les choses, se faisant ainsi les prêtres de la religion de l’homme. Ainsi les choses n’auraient pas d’en-soi, si ce n’est celui que leur confère l’acte de les connaître. Ce serait le mental qui confère une réalité aux choses que nous percevons.

Le problème est que quand je mange du pain et que je bois du vin, je me doute bien que ce n’est pas mon mental qui les a fabriqué, y compris le verre de la bouteille de vin. Mais si je RÉALISE L’INSTANT : « Je suis CE JE SUIS », absolument tout me constitue : Nous sommes de la même composition que la moindre Étoile ; nous sommes des poussières d’Étoiles. Nous sommes la Création. Évidemment il n’y a en moi rien de ce qui fait que le Silex est le Silex, et non du Schiste ou du Calcaire ; rien non plus des caractères accidentels qui font qu’une carotte est une carotte, ou un chien un chien. Mais dans mon Corps, mon Vaisseau et ses composants comme les os, le sang, les muscles, le cerveau, se trouvent des éléments qui vivent selon les lois du minéral, du végétal, de l’animal, et d’autres enfin qui réagissent selon la signature de l’humain. Pour le mystique à tout cela peut s’ajouter des lois de vie en Dieu.
L’être humain est un résumé de la Création, en ses essences. Si je crois que le Christ, ou son principe qui est la Réalisation du Soi, en union trinitaire (Trois couleurs donnant les sept couleurs de l’Arc-en-Ciel), il y a un « phénomène » disposant non seulement des accidents (monde spatio-temporel), mais aussi des substances. Ainsi rien ne s’oppose à ce que le « phénomène » (en fait la Pierre Philosophale) puisse transformer, TRANSMUER la substance sous des accidents qui restent identiques, soit quasiment une JONGLERIE D’ATOMES comme purent le pratiquer quelques rares Alchimistes authentiques (moins de cinq depuis 10.000 ans).
Si on considère que la connaissance est l’enregistrement, la POSSESSION par le mental de la chose connue, il y aura grave problème ! Mais si l’on considère le sens du mot CO-NAISSANCE par CO-NATURALITÉ, je perçois mentalement que je connais les minéraux par leurs accidents (ils se trouvent dans le monde spatio-temporel), mais que je les aime parce qu’il y a en moi du minéral ; de même des plantes car il y a du végétal en moi ; des animaux par ce qu’il y a en moi d’animal ; et des humains parce qu’il y a en moi de l’humain.
La connaissance serait donc le rapport en trois Termes :
HUMAIN - ESSENCE COMMUNE - CHOSE CONNUE.
Alors la Connaissance n’est pas un enregistrement comme sur une caméra vidéo, donc une possession, ELLE EST AMOUR, ou HAINE lorsque le péché a établi une distorsion entre l’essence et les accidents. L’essence étant le côté éternelle et inviolable. Le mal n’a prise que sur les accidents ou monde spatio-temporel.
(En référence à Jean Coulonval).
Bien-sûr dans les trois Termes se trouve le SOI. Amour signifie : privé de mort (du A privatif et mort), donc réalisation de l’Instant ou Soi. Dans le sens des accidents ou monde spatio-temporel, Amour signifie procréer et assurer ainsi naturellement la survie de l’espèce.

 

 

Exemple d’évolution talmudo messianique et franc-maçonnique.