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Un petit bout d’Instant ou Soi Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-02-2013 23:37

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Un petit bout d’Instant ou Soi
 
 
 
Les Pommes d’Or du Jardin des Hespérides : celui qui en mange n’a plus faim, ni soif, ni douleurs, ni maladies ; et ces POMMES poussent tout le temps.
Quand la biche pourra brouter aux côtés du lion herbivore.
Quand le liseron ne bouffera plus le géranium.
Aimez-vous les uns les autres, oui, mais pas au point de se bouffer les uns les autres.
Quand la forêt ne connaîtra plus la hache de l’homme.
Quand on ne fera plus attention au temps et au profit matériel.
Quand l’Or ne servira plus de monnaie d’échange, et de spéculation.
 
 
 
 
« Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264).
Dieu, Verbe, Esprit, Christ, Chair, Commencement, ce sont des symboles, tout est symbole ! Tout est conventions seulement destiné à METTRE EN MOUVEMENT : ATTRACTION, AIMANT-AMOUR ou Privation de Mort (voir l’exemple de la vidéo ci-dessus avec le Phoque et l’humain)
 
A-Mour ou privation de mort représente l’inconnaissable à jamais du Mouvement Vie-Mort, ou dualité esprit-chair.
Le contraire de Amour est Pouvoir : Pour Voir (du latin providere) ; la Providence est d’acheter Dieu : la Divine Providence ou : secours, une « assurance chez Dieu », une « bonté providentielle » une protection si chère à notre époque de sécurité et de confort, le destin. La croyance en la Providence est la même que de croire gagner des millions à la Française des Jeux ! On aboutit à la prison du dogme, dont le danger est porté à l’attention du publique en ce qui concerne la facile addiction aux jeux ou impôts déguisés de l’institution Française des Jeux.
La Providence fait partie de la Superstition (le grigri ou amulette que l’on porte au cou). Tout ça est du matérialisme de bas étage. D'ailleurs PROVENDE indique : provisions de bouche, vivres.

Ici en Occident le mental, donc le matérialisme, s’est développé grâce à l’Ancien Testament et au mythe judaïque de la Chute d’Adam : l’Esprit n’est plus caché, instinctif ou naturel, il se détache en une opinion-vérité. De ce fait, l’appel de l’intérieur, l’appel de l’Esprit ne peut presque plus être entendu, il est presque totalement refoulé. Pourtant dans l’Ancien Testament l’Esprit est constamment rappelé au peuple (mondial) sous forme de manifestation de CULPABILITÉ, symbolisé par la colère de Yahvé.

Ici en Occident avec la révolution française de 1789 s’est développé l’individu ou individualisme, et son compagnon PERSONNALITÉ. Évidemment c’est encore dans le Plan de destruction de la Nature de Weishaupt, une anti-tradition où dans personnalité, « alité » ne signifie « dans son lit » (être alité) que par dérivation - comme aujourd’hui tout est inversé, le résultat est pris pour la cause comme par exemple on appel « science » ce qui n’est que technique. Alité, du A privatif et lit : pas dans son lit, ou « pas dans ses pompes ». Aussi il faut retrouver « chaussure à son pied », ou garder les pieds sur Terre. Tout cela ramène encore à l’adversaire, le courant, le flux que maints héros doivent maîtriser mais non tuer.
L’individu d’aujourd’hui a perdu son Axe, il est un désaxé. Pour lui ce n'est plus le pied !

Maintenant le mot PERSONNE : du latin persona (masque de théâtre). Et voilà le drame humain qui se pointe depuis au minimum la Renaissance et surtout depuis 1789 : le personnalisme ou individualisme mettant l’accent sur le masque au détriment de l’Esprit. Depuis 1789 le masque est devenu si épais, si plein, qu’il est sourd et n’entend plus parler de Dieu.
La personnalité, le masque est donc une ILLUSION et un INSTRUMENT (l’opinion) qui devrait couler et être direct entre la main de l’ouvrier. L’ouvrier est INSTRUMENT DE DIEU. Alors le vrai sens de personnalité, ou d’individu, le ‘je’ de l’ego, ne réside pas dans l’égoïsme et son libéralisme destructeur de la planète, il est VASE ou VAISSEAU accueillant, ou réalisant le Soi Instant. « Si, selon le mot du Christ à Sainte Catherine de Sienne, Dieu est « Celui qui est » [Je suis CE JE SUIS] et la créature « Celle qui n’est pas », le néant n’a pas autre chose à faire que de laisser l’Être agir en lui [Je suis CE JE SUIS], écrit Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière, formidable et implacable livre sur le SOI INSTANT.

Donc le vrai « personnalisme » c’est être le Vaisseau, le Vase (nous ne sommes que des visiteurs en promenade sur cette planète) sous l’impulsion du mystère de Dieu qui donne l’énergie du réel MOTEUR LIBERTÉ : on ne se coupe pas de la Nature, de Sa Nature. ÊTRE LE MASQUE DE DIEU, DU SOI INSTANT. Ainsi on échappe à la tyrannie de l’opinion de la manipulation de la laïcité républicaine franc-maçonnique : « Aucune autre force que Dieu n’ont le droit de me réduire en servitude ». 1789 tout comme la Renaissance ont fabriqué le ‘je’ égo ou religion de l’homme, ou mieux : idolâtrie de la personne humaine, alors que mon ‘je’ ou moi, découle du ‘Je’ absolu non duel, et fait que je dois être libéré de la tyrannie de l’opinion. « Je ne suis pas mon maître mais je ne suis qu’un maître [ou un voyageur su Terre].
Si je refuse ce maître, si j’essaye de m’affirmer en tant que masque [individu], je n’attendrai pas pour cela à l’indépendance, je ne serai que la proie et le porte-parole d’autres masques [OPINIONS] qui mentiront par ma bouche : mes instincts, mes passions et toutes les idoles auxquelles mes instincts et mes passions me lient », écrit Thibon.

Effectivement, si je m’abandonne au pouvoir : ambition, avarice et profit, est-ce moi qui ai créé ces appétits, ces attractions ? Ne suis-je pas plutôt le masque, donc la personnalité du désir matérialiste ou charnel, de cette soif de l’Or métallique et du pouvoir, proche du masque du Diable pour avoir refusé le masque de Dieu ?? L’opinion c’est des masques dans des masques à la façon des poupées matriochkas. Ainsi s’explique notre déception quand nous voulons sonder notre mental, et celui des autres, nous ne trouvons que des matriochkas !

La vie est un songe, comme écrit Calderon. Et comme l’explique Ramana Maharshi dans ces entretiens : QUI LE DIT ? Donc qui joue la comédie humaine à la Balzac ? De qui ou quoi sommes-nous les rêves dans un mental non maîtrisé ?
AGIR (en français du Moyen-Âge : OVRIER) :
On n’agit pas, on est agi (par Dieu). Mieux vaut être agi par Dieu que par l’opinion, ou par un patron, ou par la société, ou par son hérédité. La seule activité possible est alors dans ce que la Taoïcité appelle : LE NON AGIR (être DANS l’Instant).

« L’homme qui obéit à Dieu est un masque [ou Vaisseau] sur un vrai visage ; celui qui se livre aux idoles [ou opinions] n’est qu’un masque sur d’autres masques. D’où l’impression de néant, d’absurdité et de désespoir qui se dégage d’un monde vidé de Dieu : le rêve s’y change en cauchemar sans réveil et la comédie devient, suivant le mot de Shakespeare, « une histoire racontée par un idiot et qui ne signifie rien », écrit Gustave Thibon.

Toujours suivant le Plan lié directement à Weishaupt : détruire la Nature, la famille, etc., bref, se prendre pour Dieu, la « civilisation » en est arrivé au transhumanisme dont fait la partie la programmation mécaniste de l’individu : celui-ci étant devenu Dieu, il choisit son sexe, ça nous donne la théorie du genre ou Gender. (Voir le cas de cet enfant suédois). Voir aussi la page édifiante sur la diablesse Simone de Beauvoir et son « On ne naît pas femme on le devient », et surtout sur le premier cobaye transhumaniste victime de la théorie du genre grâce au Diable John Money (qui porte un nom n’ayant rien au fait du hasard !). Nous sommes à fond dans le matérialisme le plus dur ! Cette brave Simone de Beauvoir, ou plutôt Malvoir parce qu’elle devait ignorer la « côte d’Adam » formant la femme !

Des femmes attirées par des femmes, des hommes attirés par des hommes, ça existe depuis Adam et Eve ! Chez les Anciens Grecs c’était devenu une mode institutionnalisée dans quelques cités. Puis c’était considéré comme un divertissement comme un autre, enfin ce fut une tolérance, comme les maisons du même nom, toujours au nom de la fameuse sécurité publique (du pain, du vin, des jeux ou médias de nos jours).
Pourquoi apparait maintenant cette mode de théorie du genre ? Pourquoi cette mondialisation de l’homosexualité ? Parce ça s’inscrit dans le plan de Weishaupt de destruction de la Nature. D’ailleurs les Femen font parti du Plan. Vendre son cul sa bite ou son ventre est normal pour le Plan.

Ventre-Vendre : la seule différence vient de la permutation du t en d. Voilà où notre « civilisation » est rendue : à la mère-porteuse tiroir-caisse.

Depuis la Chute d’Adam et le judaïsme le mental triomphe.
- Question : Comment contrôler le mental ?
- Maharshi : Qu’appelez-vous « mental » ?
- Question : Quand je m’assieds pour penser à Dieu, mes pensées se portent sur d’autres objets. Je veux contrôler ces pensées.
- Maharshi : Dans la Bhagavad-gîta, il est dit que la nature du mental est précisément d’errer. Il faut donc rassembler ses pensées et les tourner vers Dieu. Avec une longue pratique, le mental est contrôlé et devient stable.
L’instabilité du mental est une faiblesse qui provient de la dissipation de son énergie sous la forme de pensées. Lorsque le mental est concentré sur une seule pensée, l’énergie est conservée et le mental se renforce.
- Question : Que signifie la force du mental ?
- Maharshi : C’est la faculté de se concentrer sur une seule pensée sans être distrait.
- Question : Comment y parvenir ?
- Maharshi : Par la pratique. Un bhakta (adorateur) se concentre sur Dieu ; un chercheur, adepte du jnâna-mârga [voie de la sagesse] cherche le Soi. La pratique est aussi difficile dans les deux cas.
- Question : Même si le mental est amené à la recherche du Soi, après une longue bataille il commence à s’en détourner, et l’homme ne prend conscience de cet égarement qu’au bout d’un certain temps.
- Maharshi : En effet, c’est ainsi. Au début, le mental ne revient vers la recherche qu’après de longs intervalles ; avec une pratique constante, il revient à des intervalles plus courts, jusqu’à ce que, finalement, il ne vagabonde plus du tout. C’est alors que se manifeste la shakti [énergie] dormante. Le mental devenu sattvique [pur] est libre de pensées, alors que le mental rajasique [activité] en est plein. Le mental sattvique se résorbe dans le Courant de la Vie [shakti manifestée].
- Question : Peut-on empêcher le mental d’entrer dans la phase de formation des pensées avant d’avoir fait l’expérience de ce courant ?
- Maharshi : Oui. Le courant est préexistant.
(Ramana Maharshi, entretien 91, du 6 novembre 1935).
 
 

Dernière mise à jour : 23-02-2013 00:11

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