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Soi-Instant ou I Point Focal Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 24-02-2013 00:09

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Soi-Instant ou I Point Focal
Le Point Focal du : « Mettre les Points sur les I », Vérité essentielle pour le Grand Œuvre dans le monde spatio-temporel.
 
 
 
En effet, le langage populaire par ses locutions, ses proverbes, ses chansons folkloriques et ses contes, a toujours servi à véhiculer de façon permanente, ce qui sort de l’Instant : des vérités de base ou essences assurant l’harmonie, l’accord, d’une civilisation, grâce à la loi de mimétisme : sensibilité permanente en tous les êtres humains, parce que ne dépendant pas du mental puisque dans l’Instant. Aussi le Folklore est-il fondamental et l’enseignement primordial, la vraie Science du peuple : la tradition.
 
Ainsi toute vérité ne peut s’incarner directement, sous peine d’être dévaluée, raillée, passant pour moralisante, critiquée et finalement détruite. Autrefois la classe sacerdotale dans son époque la plus haute et la plus pure véhiculait le mythe, et rencontrait un écho dans l’âme des individus. Avec la Chute d’Adam et l’apparition du mental effectif, la progression et le développement du mental à la Renaissance et au siècle des lumières, avec sa « raison », la suggestion Source des Essences est passée de la magie, au mythe, puis aux conventions et aux concepts. C’est ce qu’il se passa avec les Commandements ou Lois de Moïse. Tout l’Ancien Testament et le judaïsme reflète le matérialisme. Il faut attendre le Nouveau Testament pour l’arrivée de l’Instant ou Soi dans le spatio-temporel. Ainsi, la vérité, tant qu’elle n’est pas incarnée, tant qu’elle n’est pas reçu dans le soi de l’individu, risque toujours d’être dégradé, au pire en OPINION ou en MORALE COMBATTANT L’AMORALISME EN ÉVOLUTIONNISME.
Moïse donna ses Lois matérialistes, la vérité et la grâce sont venu par le Soi Instant ou Christ. Il y eut donc deux ALLIANCES, dont la dernière est la Nouvelle Alliance (Nouveau Testament), nettement plus universelle que la première.

L’humain sanctifié n’obéit pas à la loi humaine ou opinion, il obéit à la Réalisation du Soi ; il est lui-même sa propre Loi :
La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être humain ou Soi ou Instant. Ainsi est le sens de la devise supposée des Alains et des Burgondes et des Suèves : « Mes droits sont à mon libre arbitre ». Telle est la Loi véritable. Elle rayonne d’elle-même et est éternelle. Aussi, ne jugeons pas les autres avec nos opinions ; la justice humaine n’a aucun droit de justice sur ses semblables. La « justice » actuelle n’est qu’une grossière caricature infiltrée par les réseaux francs-maçonniques spéculatifs.

« Mettre les points sur les I » c’est bien réaliser naïvement l’Instant ou Soi, car il faut ensuite soi-même savoir « faire le point » (focal) : « UN POINT C’EST TOUT », donc la Réalisation du Grand Œuvre (Un est le Tout ou Tout est dans Tout).
Dante Alighieri nous confie que le premier nom du Divin fut I (comme le chiffre 1) avant d’être EL (de Al, El Alchimie), et les langues hébraïque, arabe, tzigane, maintiennent également cette assertion. Proche du I sonne IL (Isle, île ou microcosme autre genre de Point Focal, que l’on retrouve dans la valeur numérique, l’hébreu donne le nombre 10 : le Tout manifesté, et en français le I occupe la neuvième place, chiffre du Ciel en Chine et chiffre de tous les possibles ; la preuve par neuf !)

Le I Axe du monde transmet le sens de PRINCIPE (Prince ou Roi représentant de Dieu, Essence, Unité) sorti de l’éternité. D’où la LOI (serment, juste, accord) et son re-présentant le Roi. Ainsi nous aurons le LOISIR : être permis par la Loi du Sire.

« Dieu est une personne que personne n’a pu voir, a part à l’époque du Christ ». (Un candidat au Bac en épreuve de Philosophie dans une école du franc-maçon Jules Ferry). À première vu cet élève, garçon ou fille, est un cancre, mais à seconde vu sa constatation est étonnamment juste ! En effet, le Christ ou Instant Soi est le « Fils unique » du Père, sens symbolique ; donc « Dieu, personne ne l’a jamais vu, le Fils unique qui est dans le sein du Père, celui-là l’a fait connaître ». Fils unique ou HUMAIN  tournée vers l’inconnaissable à jamais.
Le Christ, le Fils unique n’a pas fait connaître Dieu, car rien ne peut le faire connaître : on ne peut pas sortir de l’Univers pour « l’examiner ». Pourtant l’Église de Rome prétend que Jésus, homme-dieu, partie intégrante de la divinité, révèle la nature divine à ceux qui sont incorporés dans l’Église de Rome par la magie des rituels ! C’est aller à l’extérieur, s’éloigner de l’Instant Soi.
Le Christ donne à l’humanité la possibilité de contrôler le drame du mental, et donc la souffrance due à la Chute d’Adam ou commencement du mental, et de retrouver le Soi originel.

Jésus et Christ : qui est comme le « Fils » une image symbolique. Le « Christ » est le Messie ou l’Oint (le frotté d’huile comme l’étaient les Initiés). Christ signifie la Voie (Le Tao en Chine), le Sentier (autre forme du Soi transformant l’ego en une immortalité : l’homme-douleur devenait Christos lui-même : « Mes petits enfants, vous que j’enfante à nouveau dans la douleur jusqu’à ce que le Christ soit formé en vous ». Galates 4, 19). Avec le sens de : « jusqu’à ce que vous formiez le Christos en vous ». Christ est le Soi, « l’homme intérieur », le SOTER : nom donné aux héros, aux sauveurs, qui se sauvent eux-mêmes. SOTER : du grec sôterion : salut ; de sôter : sauveur ; on parle de sotériologie depuis 1871. Le nom du Sauveur du christianisme est Emmanuel ; le nom « Jésus » est plutôt un titre honorifique (Glossaire théosophique, de H.P. Blavatsky).

Le Christ est donc le Soi, le moteur qui seul permet la véritable justice sur Terre... et ailleurs. Le Christ du Nouveau Testament est la réalisation de l’espoir ancestral de voir s’actualiser, s’instanter, la Vérité ou Soi toujours et éternellement présent. « Jésus est symboliquement le Christ parce qu’il a accompli l’idéal dont la réalisation relative incombe à chaque homme », écrit Paul Diel dans : Le symbolisme dans la Bible.

Jésus ne réalise pas l’espoir de l’humanité, comme nous pouvons nous en rendre compte de nos tristes jours ! Son accomplissement symbolique nommé Christ (Instant ou Soi) indique la possibilité de combattre l’ignorance et l’avidité des désirs du mental afin de retrouver le Soi toujours intact et à jamais présent. Jésus est le Christ, le porteur de l’espoir. « Le ‘Christ’ est l’accomplissement éthique, le Fils est l’espoir évolutif », écrit Paul Diel.

DON - GRÂCE - VIE sont synonymes, ils sont la GRATUITÉ et donc le MYSTÈRE, la vie accordée aux humains, qui ne le méritent aucunement vu les dégâts occasionnés ! Celui ou celle qui réalise le Soi ou Instant RAYONNE, ALLUME la vérité préconsciente et illumine la vie consciente, celui-là est plein de GRÂCE et devient pour les autres un exemple, une Source comme l’est Ramana Maharshi, Jean Coulonval, Gustave Thibon, etc.
Dieu, le Tao, est l’inconnaissable à jamais, il faut un catalyseur, le Christ, le Verbe pour la manifestation de la Vérité, donc de l’être humain.
 

La décadence s’installe avec l’oubli de la SIMPLICITÉ. La décadence s’installe dans la mystification matérialiste.

Le marxisme qui se voudrait positif lance son opinion en forme de dénonciation des valeurs spirituelles : pour lui ça n’existe pas. Pour lui le seul mobile authentique sont des actes humains et leurs besoins du ventre (l’économie). Cette opinion marxiste est d’une grossièreté et incroyablement cousue de fil blanc ; une opinion totalement matérialiste et mécaniste transformant les humains en robots, donc à des non-êtres. Mais pourtant nous vivons à fond dans le marxisme où tout est inversé et devenu faux : l’être humain en réduit à sa plus simple expression : un ventre et un sexe : manger de la bouffe industrielle, dormir, avoir un femme et un bagnole, une maison, etc. Qu’est-ce qui confère une valeur à ces objets aussi ordinaire et terre-à-terre que la possession d’une télévision, d’un bijou, d’un diplôme ou de la « Légion d’Honneur », si ce n’est l’opinion que nous nous faisons de ces objets par rapport à nous et aux autres (instinct grégaire et mimétisme) ? Pourquoi ce besoin d’imitation (rentabilité), ou de rivalité (compétition) qui n’ont rien à voir avec le vrai confort ou besoin matériel proprement dit ? Et qui varie à l’infini suivant l’état d’âme de l’individu ? Pourquoi les honneurs, la dignité, l’émulation jusqu’à la vanité, cette soif de dominer, de pouvoir et de paraître (société de l’image et du technique) ? Quel CONFORT par rapport aux véritables nécessités matérielles !!!
Les humains sont obsédés par l’évolutionnisme comparable à l’APPÉTIT, on dit d’ailleurs que « l’appétit vient en mangeant », toujours ce mimétisme, cet instinct grégaire qui facilitera tant les révolutions, surtout grâce à quelques meneurs. Ainsi on se retrouve toujours et encore dans L’ILLUSION.

L’amour-propre (comme s’il y avait un amour-sale) est tout de même différent des simples besoins biologiques. Quel est le héros qui préfère par « amour-propre » ou préfère la mort à la honte, qui par entêtement ou par honneur, n’a jamais sacrifié plus ou moins son égoïsme ou ses intérêts économiques à son soi ou ego (son mental encombré de tant de bricoles) ? Alors tous les humains, même les matérialistes, sont victime de l’opinion ou faux idéal. Alors idéal pour idéal, que l’on cesse de se moquer de l’idéal religieux, « qui même si l’on y croit pas [surtout depuis Vatican 2 et avec l'Église de Rome], présente au moins l’avantage d’unir ce que l’idéalisme de l’orgueil et de l’envie ne peut que séparer », écrit Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.
« Ceux qui ne s’unissent que par intérêt se repoussent quand la malchance les frappe, alors que ceux qui s’apparentent par la Nature se resserrent plus étroitement ».
Tchouang-tseu .

« L’amour-propre » est un masque du Soi et un renforcement de l’ego.

1789 donna naissance au communisme soviétique voulu par les Juifs en passant par l’empereur Napoléon 1er. « Jamais le contraste et la solidarité entre l’adoration et le mépris de l’humanité, la splendeur et la bassesse des moyens n’avaient été poussés aussi loin. Idéaliste dans leurs principes et matérialistes dans leur tactique, les grands manieurs de peuples doivent précisément leur succès à cet alliage invraisemblable, car l’idéaliste pur échoue dans l’action et le matérialiste intégral n’a jamais assez de souffle pour concevoir et réaliser de grands desseins », écrit si justement Gustave Thibon.
Dans cette civilisation du CONFORT, rien n’est plus facile à manier que le mental sous la forme d’idées pures, et le vol de l’opinion livré à lui-même ne rencontre jamais de résistance. L’idéalisme va bien avec la folie technologie, le tout réduit au QUANTITATIF. Il est alors normal que l’idéaliste et le technicien, celui qui n’agit pas et celui dont l’action réussit trop bien (folie technologie oblige) s’attaquent aux problèmes politiques et donc humains, avec un optimisme né de l’humanisme de l’époque de la Renaissance. Ces gens là oublient que l’être humain est le Tout, donc le mystère en lui-même, trop matériel pour suivre l’esprit dans son souffle, trop spirituel pour épouser la servilité de la consommation.


Mondialisme ou socialiste ou communisme


Bref, L’UNION ou mondialisme (Nouvel Ordre Mondial) voudrait singer la véritable union donné par la spiritualité, par l’Unité. L’union en la trinité franc-maçonnique spéculative « Liberté-Égalité-Fraternité » est matérialiste, elle est EXTÉRIEURE ; elle n’abolit pas la séparation entre les êtres, mais les attache par des LIENS qui peuvent toujours soit se rompre, sot se transformer en chaînes ; elle est imparfaite et partielle, elle porte sur des opinions, donc des intérêts des goûts et des modes soumis au changement. Il n’y a pas pire union que la complicité d'opinion.
L’Unité est tout autre, elle atteint le fond éternel des êtres puisqu’elle est le Soi. Le Christ dans la prière sacerdotale, ne dit pas : « Qu’ils soient unis », mais : « Qu’ils soient uns », qu’ils soient le Soi Instant. Les unions humaines se rapprochent ou s’éloignent de l’Unité suivant qu’elles participent plus ou moins de l’amour divin. Il n’y a pas d’union entre l’humain et Dieu, parce c’est le considérer comme à l’extérieur de l’humain ; la formule de l’union c’est : « être avec », celle de l’Unité c’est : « être dans » ; un parti politique c'est 'être avec'. Donc « Demeurez en moi et moi en vous ». Il ne s’agit plus d’alliance mais du retour au Soi, à l’origine : « Je suis le cep et vous êtes les sarments ». Aujourd’hui il ne s’agit plus d’être un croyant, mais d’être UN SACHANT : Je suis CE JE SUIS.
L’union entre les créatures humaines entrave toujours plus ou moins notre liberté (tout lien a pour revers une chaîne...), l’union ou réalisation du Soi Instant fait renaître l’immortalité présente en permanence.

La vraie vie est SILENCE : toute parole introduit dans sa pureté un alliage de mort (voir à ce propos la vidéo ci-dessous).

« Il n’est plus permis de repousser le fumier quand on veut la fleur, ni la pluie quand on veut le Soleil, ni l’humanité quand on veut un seul individu, car toutes ces choses s’appellent les unes les autres [Mouvement], dans une circulation et un échange éternels. On n’a pas le droit de dire non à quoi que ce soit quand on a dit oui à une seule réalité ».

L’unité n’est pas confusion ; la rupture des limites n’entraîne pas l’abolition des différences. Tout sera distinct dans l’éternité, mais rien ne sera séparé. Chacun sera lui-même et tous ne seront qu’un. Car l’Un n’abolit pas l’unique : il en fixe à jamais les traits irréductibles et le retour à l’unité sera l’affirmation de la différence.
Plus la différence s’affirme et plus la communion s’élargit.
Ainsi on retrouve le Soi chez Jacob Boehme :
« Ne rien mélanger, rechercher sa qualité propre pour en nourrir sa flamme ». Ou encore : « Toute chose qui persévère dans sa qualité propre (sa voie) est incorruptible, car le mystère dont elle procède est éternel. En naissant à elle-même, elle manifeste ce mystère dans lequel elle est enracinée », Jacob Boehme décrit ainsi la véritable Loi comme décrite plus haut avec la devise des Alains.

Exemple : deux personnes qui s’aiment sont irréductibles l’une à l’autre, et en même temps, elles ne font qu’un dans leur amour (fusion), tandis que deux machines de série sont parfaitement semblables et parfaitement séparées : leur différence est purement spatiale et numérique. Ainsi, rien de ce qui est complémentaire (fait pour l’Unité) n’est interchangeable, et tout ce qui est interchangeable est nécessairement séparé. Et notre civilisation, son pouvoir, fabrique à la chaîne de l’individu séparé et interchangeable : je suis le numéro 1 avec matricule de sécurité sociale X, poste à l’usine numéro Y ; et mon voisin est le numéro 2, etc. C’est du nivellement modèle socialisme ou communisme tuant les différences entre les hommes, tuant la vraie unité sociale étant donné que la mort est infiniment plus confortable, et sécuritaire, et rapide et transformable à loisir : celle qu’impose le principe de la démocratie : la manipulation des âmes afin d’obtenir du consentement, afin d’imposer le joug brutal ou l’influence à peine plus subtile de la propagande (genre de la publicité « United colors of Benitton »).
(En référence à Gustave Thibon : Notre regard qui manque à la lumière, chapitre L’union et l’unité).

Gagner sa vie c’est perdre La Vie
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Vidéo sur le conventionnel des mots/maux, leur mode, et leur facilité de manipulation du peuple : on est de nouveau dans le Plan de Weishaupt de destruction de la Nature.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 24-02-2013 01:05

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