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Morale judéo franc-maçonnique mondialiste Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 19-03-2013 21:06

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Morale judéo franc-maçonnique mondialiste

Humanisme ou religion de l’Homme :
« On m’a dit que j’étais fils de l’homme et de la femme ; cela m’étonne : je croyais être d’avantage » pourrais dire un transhumaniste, un franc-maçon, un existentialiste ; mais c’est une citation de Lautréamont cité par Gustave Thibon. En d’autres termes : l’humain veut péter plus haut que son cul (voir Icare).
 
 
 
L’innocence devant le mal :
Une plaie toujours ouverte et qui ne s’infecte jamais, une espèce de blessure invulnérable.
(Parfaite définition de Gustave Thibon)
La blessure invulnérable (qui rend invulnérable) est décrite dans le conte Les habits neufs de l’empereur, d’Andersen. Seul un petit garçon remarque avec innocence et spontanéité de l’Instant, que le Roi ne porte pas d’habits ; la foule le remarque aussi, mais étant adulte et éloignée de l’Instant elle se tait, car elle PORTE LE MASQUE DU SOCIAL.
O : eau sans forme RIGINE/PRINCE/PRINCIPE (tirer de soi-même un principe estimé certain “ le PREMIER ”, la partie contient l’ensemble, ainsi on peut le cultiver) /PREMIER/RACINE/DÉPART/ÎLE/Le BLANC (comme la racine).
 
 
Le mondialisme depuis Freud, le marxisme et le darwinisme mélange psychanalyse et PSYCHOLOGIE, il y a des revues de vulgarisation pour la psychologie mais pas pour la psychanalyse ! C’est réservé à une élite. Depuis la Renaissance et son humanisme l’humain explore l’humain en une sorte d’autophagie mentale consistant à chercher dans la seule connaissance de l’humain la solution à tous ses problèmes existentiels ; cela nous donnera d’ailleurs l’existentialisme.

De nos jours et selon la sainte « raison » du siècle des lumières, toutes les intimités, même les plus cachées dans le cerveau, normales ou anormales, sont dévoilées, divulguées, mesurées, mises en équations et en diagrammes, et la maladie et le vice lui-même devient une « science » : « Il a été démontré que.... » Le rêve se change en jardin public comme écrit Gustave Thibon, dans : Notre regard qui manque à la Lumière, dont je fais référence sur cet article.
 
J’ajoute que psychologie et psychanalyse comprise sont des PARASITES DE L’ÂME. Et ça va avec le social : contrôler son organisation. Mais avec le social, et par prolongement avec le « socialisme », nous restons dans LE SUPERFICIEL (suffit de voir le François de la Hollande et ses sbires, voir la vidéo en fin d'article). Tout ce qui se rapporte au social (honneur, privilèges, prestige, pouvoir, etc. est VANITÉ. Aussi, que cette république maçonnique ne viennent pas nous parler de « valeurs » ! L’idolâtrie du social prônée par Moïse et compagnie (les Pharaons et leurs Livres des Sagesses, puis Bible, etc.) sont un MAL, soit une nécessité partout où il n’y a pas un nombre important d’humains ayant réalisé le Soi ou Instant. Celui qui n’a pas réalisé le Soi a besoin de l’illusion des compas-équerres maçonniques et du sociale et du socialisme pour vivre et agir parmi les humains.
Vis-à-vis du monde de l’impur ou temporel : trois degrés :
1 - Considérer le relatif comme absolu (idolâtrie)
2 - Traiter le relatif comme du néant (sainteté imparfaite à base d’orgueil)
3 - Traiter le relatif comme tel (sainteté parfaite). Ce que font les très grand Saints jouant un rôle important dans le temporel.

Rien de plus superficiel que le social et son socialisme : on parle d’ailleurs de COUVERTURE SOCIALE, de « surface sociale ». « La profondeur n’est jamais sociale ; elle est humaine [humanisme] ou divine [pas depuis 1789]. Et le critère social (fortune, emploi, honneurs [et diplômes], brillant, flatteries, etc.) en fonction duquel nous jugeons le plus couramment les hommes est aussi celui qui nous renseigne le moins sur leur vraie valeur », écrit G. Thibon. Le social ne peut être que superficiel : on vit ensemble, mais on meurt seul.
De plus l’humain « arrivé » ou WINNER, et le LOSER sont aussi des LOSERS l’un que l’autre. Plus important est donné par Ramana Maharshi à l’entretien 495, qui parle d’ailleurs de l’Instant ou BLANC : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence », dit le Yoga-vâsishtha ; une grande règle sociale qui illustre aussi la superficialité de ce social reflétant son matérialisme.
En d’autres mots, ce précepte du Yoga-vâsishtha défini la sainteté ou réalisation du Soi : « imiter sur le plan de l’éternité tout ce que font les pécheurs sur le plan temporel » (réf. Thibon).

RÉVOLTE, RÉVOLUTION : insoumission, guerre, rébellion, etc. De PÉRIODE : tantôt en haut, tantôt en bas, soit de rivoltare : se retourner. Nous somme toujours dans « l’électricité ». On se révolte CONTRE, on se convertit À. Révolte = rupture (tabula rasa), alors que la conversion est ADHÉSION. La démocratie ne demande que des adhésion à sa cause. Or toute conversion s’accompagne d’une révolte : la révolte contre le néant de l’illusion.
Les péchés sont des révoltes contre la mesure (compas-équerre ou norme) ; le péché de l’esprit est la révolte contre l’infini (réf. Thibon).


La folie révolutionnaire consiste à exiger l’impossible, c’est-à-dire l’infini dans le fini, le bonheur dans les contradictions de la vie mortelle, l’esprit dans la matière et le divin dans l’humain [d’où la confusion actuelle entre général et universel, qualitatif et quantitatif]. Exactement ce même impossible que la grâce nous donne. Car « ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu »... (Gustave Thibon).

Les textes antiques appelés Les Sagesses (genres littéraires dans les civilisations de l’Orient ancien, y compris l’Ancien Testament) sont l’instrument de l’éducation à deux tranchants : elle rogne en même temps les griffes de la brute et les ailes de l’ange ou innocence. Tout ce que le monde (judéo-chrétien-musulman-maçonnique) appelle BIEN ou MAL, pur et impur, péché et vertu, « est une effroyable machine à broyer l’innocence », écrit G. Thibon. Bien et mal divisent et pourrissent par des masques, des travaux du chapeau pour choisir, du calcul, des demi-mesures, du confort de la prudence et des remords ; tous masques créés pour biaiser l’Instant ou Soi. Si l’humain ne peut respirer qu’à travers les masques, c’est qu’il est encore dans l’ignorance de l’éternité.


On a fait dire à Voltaire cette imbécilité modèle égalitaire franc-maçon : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire ». Cela n’a rien a voir avec la morale. La morale se trouve par exemple chez Jagadish Chandra Bose, qui écrivait à la fin de sa vie : « Aucune nounou n’aurait été plus douce que le chef de bande de hors-la-loi qui s’occupait de lui. Bien qu’il n’eût que railleries pour les contraintes judiciaires de la société, il respectait profondément la loi MORALE NATURELLE ». (Source sur Bose : La vie secrète des plantes, de P. Tompkins et C. Bird)
Et c’est là où c’est TOTALEMENT en contradiction avec les conceptions monstrueuses des judéo francs-maçons voulants soumettre l’univers à COUPS D’OPINIONS, DE LEURS OPINIONS.

Je considère FAUX ce qu’écrit Charles W. Leadbeater dans son livre : Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, pourtant un maçon initié au 32è degré. Il compare les mystères d’Égypte à une forme pyramidale, si décrié de nos jours à cause du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place progressivement (mondialisme, mot issu de 1949), et à l’édification du temple du roi Salomon, « les deux structures devant être représentatives des processus de construction à l’œuvre dans la nature (sic) »... Sa conception du mot ‘moral’ me paraît fausse : « Les cérémonies des mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieure (sic) - laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés. Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales sans qu’elle aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elle nous sembles à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaire aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles... ». Nous sommes en plein dans l'évolutionnisme ! Leadbeater divise science et matérialisme, et est en train d’exprimer son opinion sur la morale des francs-maçons, tout simplement ! Mais ce n’est QUE la morale des francs-maçons. Leadbeater accentue d’ailleurs son opinion quand il écrit : « Le plan d’ensemble de l’initiation offrait une carte complète de l’évolution spirituelle de l’homme, et pour le candidat (sic) individuel, il s’agissait de s’efforcer à mettre les enseignements en pratique et de rendre vrai dans sa propre conscience ce qui était symbolique dans le rituel ». Il s’agit simplement d’analogie, et le mot ‘candidat’ fait vraiment trop référence à l’école du franc-maçon Jules Ferry ! Comme si on pouvait être ‘candidat’ à la Connaissance...

La morale franc-maçonnique dont parle Leadbeater n’est qu’une opinion, donc une « esthétique » du sentiment, nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents dans l’espace-temps.
« La conscience sacrée [la vraie] EST [comme le Soi] quand les essences jugent des accidents. Inversement, la conscience profane [le soi, l’ego] EST quand on prétend déduire des accidents la nature des essences, et ce mode de conscience peut conduire, soit à l’agnosticisme [le non croyant], soit à des attitudes religieuses appuyées sur les seules perceptions et appétits sentimentaux et sociaux, donc tributaires de la Terre et de formes d’éducation pour ce qui en décide dans les processus mentaux et psychiques », écrit si lucidement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.

MORAL et MORALE : 1270, du latin moralis, de mores « mœurs ». Qui concerne les mœurs, les habitudes et surtout les règles de conduite admises et pratiquées dans une société, explique le dictionnaire Le Robert.
Moral va avec le mot ‘civilisé’. Civiliser veut dire couper de quelque chose : rendre sociable, poli, etc. c’est-à-dire des choses communes, comme une pensée unique. Aussi la ou le dévergondé, ou privé de ses gonds, sort-il de la société et de sa morale et de ses lois humaines à caractère matérialiste, fussent-elles pondues par la dite morale, la dite religion ou même le dit bon-sens relatif aux réalités apparentes, donc seulement dans le monde des accidents ou du spatio-temporel. Donc le franc-maçon, ni Moïse, ne peuvent pas détenir la « véritable morale », tout comme la « vérité vraie », malgré toutes initiations et toutes les origines dans lesquelles il pourra se vautrer. Cette franc-maçonnerie qui prétend aussi se vautrer dans la laïcité et la liberté mais ne patauge que dans la boue.
Cette morale superficielle « courante » ne tenant aucun compte des mobiles intimes de nos actes et qui ne s’intéresse qu’aux apparences du clinquant juif. La vraie morale ressemble à cette Loi attribuée aux Alains, Burgondes et Suèves : « Mes droits sont à mon libre arbitre », et illustrée par cette phrase attribuée à Jeanne d’Arc : « Filer et coudre, toutes les femmes peuvent le faire, mais ce que j’ai fait, moi seule pouvait le faire ». Jeanne en un sens a réalisée le Soi.

Cette morale où les vertus sont taillées dans la même étoffe que les vices : l’étoffe humaine. Si cette étoffe est de mauvaise qualité, le meilleur tailler du monde n’en tirera rien de bon. La morale sociale se fout si l’Eau est pure ou impure, elle vérifie seulement que l’Eau emprunte le canal qu’elle a tracé. Par contre la morale religieuse repose sur la vie intérieur, le Soi (le royaume des Cieux est en nous).

Avec les franc-maçons et leur morale : qu’on se souvienne de l’affaire du scandale de la « loge maçonnique » P2 (Propaganda Due) : lien avec la maffia et la politique italienne et la dictature argentine. Bref, un épouvantable merdier !
MORALITÉ : espèce de farce ou d’action théâtrale, dit le Glossaire de Du Cange, appuyant ainsi la superficialité de la morale terrestre judéo-maçonnique, donc uniquement de l’opinion sociale.



La morale du « peuple élu » :
« Si je me défie de la morale, ce n’est pas parce que les hommes la pratiquent (elle est nécessaire à son niveau) ; c’est parce qu’ils s’en contentent : parce qu’ils s’en servent comme d’une paravent [CONFORT] derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux - leur misérable satisfaction d’eux-mêmes [humanisme] et leur rage de juger les autres [OPINION] », écrit si justement Gustave Thibon, et qui illustre bien l’orgueil de ce « peuple élu » par son Yahvé et ensuite par sa franc-maçonnerie spéculative.

LE CONFORT DES JUIFS : LE MESSIANISME : attendre en s’éloignant de l’Instant, avec cette finalité essentielle qui consiste à tout attendre du messie, de Celui qui est tout (le Dieu monothéiste apportant le confort).
Le messianisme est dans la ligne droite de l’évolutionnisme des Freud-Marx-Darwin : FIXER en NORMES, alors que l’être humain EST INFINI, il n’a pas de limites, « il peut, suivant qu’il ouvre ou qu’il ferme la porte à Dieu, se dilater jusqu’à l’infini ou se rétrécir jusqu’au néant », écrit Thibon.
Juifs et franc-maçons sont des FIXISTES, alors que le Soi ou Instant est là de toute éternité. « Celui qui le cherche [l'Instant] à travers ses plus terrestres désirs et sa plus lourde misère le trahit moins que celui qui croit le trouver dans sa plus haute pensée et sa suprême vertu [voir Icare] », écrit Thibon.

Aujourd’hui que tout est inversé et faussé dans le Nouvel Ordre Mondial en marche : « Le désordre et la folie étant installés au pouvoir et dans les mœurs et devenus l’objet d’un nouveau conformisme [confort] et conformisme de la révolution en politique avec sa religion républicaine, son péché en morale, son néant et son philosophisme absurde, les amants de l’ordre et de la raison se trouvent nécessairement rejetés dans le camp des révoltés [terroristes, délinquants]. Quel privilèges de pouvoir unir dans le même élan l’anticonformisme et le bon sens ! » (D’après G. Thibon)
.


Le mot « morale » est associé à ce que certains nomment « les gens de bien », ou « les honnêtes gens », le mot « bien » s’entendant non pas de la « morale », mais des possédants le Saint Fric : les biens. Voilà les gens des biens : les riches ou Couilles en Or et ceux de la voie de l'Agriculture. Le pauvre est condamné à être malhonnête...

D’ailleurs Pétrone déclarait déjà dans le Satyricon :
« Que peuvent les lois, où l’argent est seul maître, et où la pauvreté ne peut avoir raison ? Ceux qui vont chargés de la méchante besace, plus d’une fois, ils vendent la Vérité ».

Ce sont ces possédants qui à la révolution de 1789 mettent dehors et excluent du droit de vote les non possédants, les pauvres, les « gens de rien ». On a donc là l’illustration de la fable de La Fontaine : Le rat des villes et le rat des champs, d’où la prise du pouvoir en 1789 par le rat des villes : le CITOYEN (le bourgeois). Les Couilles en Or de l’époque ou rats des villes vont tout faire pour surveiller et contenir les rats des champs ou pauvres, ou « peuple français » : d’abord le 14 juillet 1790, puis par un usage des plus persuasif, le 17 juillet 1791.


[En haut de page : huile sur toile sur le thème « Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie! » Chants de Maldoror (Chant VI-§1) Isidore Ducasse (1846-1870). Auteur de la Toile et reproduction Photo, J-C G - 2006]
 
 
 
Exemple de manipulation démocratique modèle mondialiste de l’après 1945 : par la « morale » socialisante et le sentimentalisme inverse (tout est inversé). Ce François de la Hollande est une marionnette totalement manipulée. Désormais, les « adorateurs de Moïse » ne se cachent plus... et veulent censurer !!!
Ce n’est pas possible ! Je ne les croyait pas masochistes à ce point là ! Le business occidental et anglo-américain de la shoah ça fait déjà un moment que ça dure. Et personne ne parle de la shoah de la révolution russe de 1917 et des dizaines et des dizaines de millions de russes morts jusqu’à la disparition de l’URSS en 1991... Le culte de la shoah des adorateurs de Moïse ça suffit !!! Cela en devient à vomir de sentimentalisme et d'une morale les plus infâmes.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 19-03-2013 23:15

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