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Commandements de Moïse = OPINIONS Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 19-04-2013 16:58

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Commandements de Moïse = OPINIONS
Lourianisme = OPINIONS
Système yahviste de la rédemption ou de l’apocalypse
 
 
 
En attente de la femme de manège, pardon de ménage, ou dépanneur ou rédempteur. Ainsi l’entreprise de nettoyage ‘Israël’ aura accompli son contrat : « traversé la vallée des larmes et rassemblé sur son chemin au sein des nations les roses des âmes saintes qui étaient dispersées parmi les épines [le mal] ». (Cité par Gershom Scholem dans : Sabbataï Tsevi - Le messie mystique). Le contrat remplit par Israël sera signé par le dépanneur en chef (messie).
 
 
 
Définition du MONDIALISME :
C’est l’éducation des humains par l’uniformisation des choses qu’on donne à digérer et à vivre sur le plan du sensible ou du mental (la raison), donc uniquement sur le corps. Soit la même soupe pour tout le monde.  « C’est pas d’la soupe c’est du rata. C’est pas d’la merde mais ça viendra »... dit une chanson populaire. Et la merde vient vite. Même soupe ou « idées reçues » ça fait vomir. Les idées préconçues aussi.

Maintenant la fameuse MORALE des chantres des Yavistes et des francs-maçons et de leurs droits de l’homme :
« séparation progressive du bien et du mal », selon les travailleurs du chapeau de la Torah, EST UNE OPINION, DONC UNE ŒUVRE DU MENTAL PASSANT PAR LA TORAH. L’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne, si l’on regarde seulement avec son corps.

Chez la presque la totalité des Catholiques héritiers des Yahvistes, et donc héritiers des commandements de Moïse ou droits de l’homme primordial, il est naturel de confondre la Foi avec un code moral s’exprimant en termes de permis et de défendu : les fameux bien et mal, pur et impur du binaire, du zéro et du un, du juste et de l’injuste ; et rien entre les deux ! Absence du TROISIÈME ŒIL.
« Comment en serait-il autrement quand toute activité concrète dans le temps et l’histoire se vit comme autonome par rapport au divin, ne conservant avec lui qu’une orthodoxie morale à respecter, ou plutôt des orthodoxies morales aussi diverses que les fonctions et les angles de vue », écrit cette Vérité Jean Coulonval dans Synthèse te Temps Nouveaux.
En effet il y a autant d’opinions qu’il y a d’être humains sur cette planète. Aussi il n’y a que des morales subjectives, au pifomètre, parce que coupées des références à l’ordre naturel, c’est-à-dire métaphysique. Et Moïse n’y échappe pas quand on peut entendre après lui des phrases du genre : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait... ». On confond alors la satisfaction morale du corps ou de l’ego ou du soi : le ‘je’, d’avec l’état de l’ÊTRE : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père ».
La satisfaction morale de soi-même, et donc de l’ego ou corps, est comme le rituel : ne prend pas, ne goûte pas, ne touche pas aux idoles, etc., qui, si elles ont quelque apparence de sagesse avec leur culte volontaire, leur humilité et leur mépris pour le corps, sont sans valeur réelle et ne servent qu’à la satisfaction matérialiste de la chair.

Des considération seulement morales sont matérialistes et inefficaces car les « intérêts moraux » ne sont qu’opinions et donc sont diversifiés à l’infini selon les situations sociales des groupes et des individus, aussi divers que les égos inconscients, que les morales de situation (cas de Moïse, de Noé, etc.) et ne feraient que plonger, par exemple l’Église catholique, dans un océan inépuisable de masturbation morale. Par conséquence les commandements de Moïse et ce qui en découlent : les lois noachides ou première mouture des droits de l’homme de 1789, ne sont que des OPINIONS selon la mode du moment, et donc n’ont absolument rien « d’universel » ou de mondial.
 
 
J’en viens au principe du lourianisme qui donnera naissance au mouvement sabbataïste : le lourianisme transforma la notion historique de l’exil imposé par l’Espagne de 1492 en un symbole cosmique ; il y a comme une inversion diabolique de faire du temporel du spirituel qui va ensuite irradier faussement comme de l’invisible donnant naissance à du visible. Purifier par le feu en donnant forme au feu. Toutes les cogitations des Lourianistes à partir de l’universel Arbre de Vie aboutirent à la nécessité implicite d’éliminer la qelipa (la coquille ou le contenant nommé « MAL » ou Poison, le côté gauche) du contenant ou vase du divin en amenant les germes latents du mal à une existence réelle et une forme et identité distincte. C’était donc comme semer des graines du Diable, lui donner corps. Les lourianistes lui donnèrent corps.
Il est certain que le mal existe, partout, il s’attaque aussi bien aux innocents qu’aux plus grands criminels, sans distinction de « moral ». Le mal est INTÉRESSÉ (intérêt, dividende, avantage, bienveillance, utilité, hobby, etc.). Mais comme l’explique Ramana Maharshi dans ses entretiens, le bien comme le mal sont des PRODUCTIONS DU MENTAL, de l’EGO. Or les lourianistes en ont fait une ENTITÉ, une sorte d’égrégore maintenant lâchée dans la nature, et nous en vivons de nos jours les conséquences.

Les cabalistes du lourianisme cherchèrent l’origine du drame caché de l’exil, dans le divin qu’ils transformèrent en mal. Selon eux, le mal résulterait du sens profond de la Divinité. Bref, pour ces cabalistes Dieu a merdé dans sa création et ses « morales » lorsqu’elles « atterrirent » dans le spatio-temporel ! C’est comme si vous receviez un colis éventré avec une pièce cassée à l’intérieure à cause de la négligence du transporteur.
Pour les lourianistes, leurs cogitations donnaient aux autres Yahvistes une réponse immédiate au drame de leur exil d’Espagne. Ces opinions donnaient aux Yahvistes l’assurance qu’ils n’étaient pas les seuls concernés par leurs souffrances mais que celles-ci contenaient un profond mystère puisque les cabalistes en firent une symbolique universelle qui appelle un dépanneur ou sauveur : « le cosmos devant se purger du mal (la qelipa, le côté gauche). Aussi Israël n’était qu’un conflit au cœur de la création ». « L’existence même des Juifs était vue comme profondément symbolique, tant dans leur souffrance présente que dans leur rédemption future. Par leurs œuvres, les Juifs guérissaient les maux du monde et réunifiaient les fragments dispersés », écrit Gershom Scholem dans : Sabbataï Tsevi - Le messie mystique.
Un grand cabaliste exprime d’ailleurs la même chose que Ramana Maharshi : réaliser le Soi ou Instant, ainsi la Vraie Paix s’installera sur Terre.
Évidemment que l’exil et la tyrannie de l’oppression, comme les guerres, comme toutes choses, s’inscrivent dans la création et ont leur « raison d’être ». Mais c’est impénétrable comme l’explique Ramana Maharshi. Sinon, on fait comme les lourianistes et « on prête des opinions à Dieu », on fait du sophisme.

« La bonté n’est qu’une conception relative. Le bien implique toujours le mal. Ils coexistent toujours. Ils sont comme la face et le revers d’une médaille » (Ramana Maharshi, entretien 326)
« Qu’est-ce qui est bien et qu’est-ce qui est mal ? Il n’y a pas de critère qui permette de juger si une chose est bonne et une autre mauvaise. Les opinions différent selon la nature de l’individu et selon son environnement. Ce sont encore des idées et rien de plus... » (Entretien 453).
Voici un exemple du mal donné par Jean Coulonval :
« J’essayais de couler dans les mots le « sens » qui était dans la vision [de Coulonval]. J’écrivais, debout, sur une commode (je n’avais ni table, ni chaise). J’entendis à vingt centimètres de mon oreille gauche une voix criarde, affreuse, qui chantait des sourates (c’était dans une mansarde d’un petit hôtel de Constantine). Alors, moi qui m’étais jamais posé la question de l’existence ou de la non-existence de Satan, j’eus une réaction immédiate. Je dis : « Fous le camp ! ». Et la voix se tut. Je sortis dans les couloirs. Dans une chambre, au fond, une voix psalmodiait  des prières en arabe. La voix était douce et belle. Pourtant, elle s’était comme déplacée tout près de mon oreille gauche avec une tonalité tout à fait différente. Mystères des interférences entre le visible, le sensible physique et l’invisible ! Celui qui n’en a jamais eu l’expérience vécue ne peut y croire. Et pourtant, celui à qui il a été donné de les vivre sait d’expérience que les choses de l’invisible sont tout aussi concrètes que celles du visible, bien que d’un ordre différent ». Jean Coulonval exprime totalement ce que peut être le mal, et les lourianistes l’ont « montés en sauce » dans leur ordre pour en faire un puissant égrégore qui rayonne toujours aujourd’hui.

La gratuité se trouve du côté de l’Esprit.
L’intéressement se trouve du côté du Diable.
Et l’intéressement, la volonté des lourianistes se trouvait du côté de l’exil ! Ils en firent un Oscar (Academy Awards) Yahvistes mondial (voir la photo en haut de page). Exalter la souffrance comme faire de leur holocauste modèle seconde guerre mondiale un business, est typique du système lourianique d’un mal pour un bien, soit tomber dans le SENTIMENTALISME. Une exaltation, construire le temple de la pleurniche, en vue d’obtenir une pochette surprise (la rédemption). On est pas banquier pour rien de générations en générations !!! On se console comme on peut.


L’analogie est toujours casse-gueule, alors si en plus l’opinion des lourianistes en font un événement cosmique se voulant universel : bonjour les dégâts !!! Ainsi ils firent de l’analogie avec des rois se transformant en minéral, et ils étaient sept comme les « sept métaux ». Les minéraux évoluent comme les humains, mais les minéraux chutent et « tombent » dans le règne végétal, etc. On est dans la transmigration des âmes et on retrouve toujours le chiffre 7 ; ainsi ils font 70 nations ; l’Égypte renferme le mal selon eux et les Yahvistes y furent soi-disant esclaves, l’Égypte est donc le prototype de leur exil ou déportation (qui se reproduira en cycles, notamment dans l’Allemagne des années de l’hitlérisme) ; tout cela en forme d’exaltation du mal pour le bien (un mal pour un bien comme dit un proverbe). Alors dans cette logique quand les Yahvistes (ou Israël) sorti d’Égypte elle en fut comme « purifiée ». Dans cette logique ça nous donne les Yahvistes ou Israël devant être condamné à la servitude dans les 70 nations de façon à extraire le mal du bien. « Nos sages ont enseigné que si un seul Juif est fait prisonnier au sein d’une nation, cela suffit et est compté comme si tout Israël y avait été en servitude... dans le but d’élever toutes les étincelles [parcelles de « bien »] qui étaient tombés au sein de cette nation là. C’est pourquoi il était nécessaire qu’Israël [ou les Yahvistes] fut dispersé aux quatre coins du globe afin d’élever toutes choses » (cité par Gershom Scholem dans le livre en référence). Scholem ajoute que cette conception de la rédemption est différente de celle du judaïsme « réformé » du 19è siècle. Pour les cabalistes il ne s’agit pas qu’Israël ou les Yahvistes soient une lumière pour les nations, mais au contraire qu’Israël en extrait les diverses étincelles de sainteté et de vie. Pour ces Yahvistes les nations ce sont le mal, alors pour obtenir la rédemption il faut les « laver » en en extrayant les « pépites d’or » ou pépites de sainteté.

Les lourianistes entendent par « étincelles » des parcelles de bien dans une soupe de mal. Comme les francs-maçons ils sont obsédés par le binaire de la séparation du bien et du mal, du pur et de l’impur suite aux dégâts du « jeune Adam ». Alors ils attendent depuis un moment le dépanneur ou le sauveur (le messie juif). Nous sommes toujours dans l’évolutionnisme et il y a tout de même une forte inspiration alchimique de Solve et Coagule (humidifier pour purifier et fixer pour stabiliser). Comme tout le monde on recherche l’ORIGINE ou état initial, mais l’Alchimie est un travail intime et ne fait pas école, c’est pourquoi l’Alchimie est si cachée.

Pour la cabale lourianique, ce n’est qu’après toutes les purifications et le « retour de toutes les lumières à leur état initial que le messie peut venir » (donc surement pas en 2013 ou 2014 comme écrit sur une autre page, mais en attendant il devrait y avoir un ‘grand nettoyage’ pour permettre l’arrivée du dépanneur ou rédempteur).
Comme écrit en tête d’article, le système lourianique fonctionnait sur le postulat que la rédemption (tiqoun) étai parvenu aux phases finales et que le salut était tout proche. Aujourd’hui nous avons vécu la même chose avec en septembre 2012 une prière mondiale des Yahvistes pour la venue de leur dépanneur ou Adam avant ses conneries. Le messie des Yahvistes doit être une réincarnation d’Adam et du roi David.
Dans le système lourianique il n’y a pas égalité, car la rédemption ne dépend que « des hommes pieux », donc d’une classe en une sorte de prêtres, une division de gens ayant choisi la voie mystique et qui seraient les seuls à connaître la « vérité » et ainsi pouvoir « libérer du mal les bonnes âmes », ce qui permettra la venue du messie (des Yahvistes), le fils de David.
ADAM : Adam, DAvid, Messie.
Selon le Talmud de Babylone (Traité Sanhédrin 98a) le fils de David n’apparaîtra que dans une génération « soit totalement coupable, soit totalement innocent ». On retrouve encore le binaire du zéro ou du un, mais rien entre les deux !!! Vous imaginez, si le dépanneur, pardon, le messie se pointe dans un monde où sévit encore l’usure !!! C’est la fin des banquiers juifs et de leur Yahvé Goldman Sachs !

Les Yahvistes sont non seulement obsédés par le binaire, mais aussi par l’exil : quand leur temple brûle, leur Torah détruite « est en exil » (on retrouve encore l’analogie et l'ATTENTE, l'UTOPIE). La cabale lourianique est axée rédemption, non seulement cosmique, mais  ensuite après purification : terrestre ! Étrange, car là nous ne sommes curieusement plus dans le binaire du bon et du mauvais : il y a FIXATION, ou FIN : « Circulez ya plus rien à voir ! ».
Le courant Apocalypse et le courant Rédemption se transmettront dans le sabbataïsme en touchant chacun un milieu social différent. L’élite spirituelle s’attachant plus à la rédemption.

Description du messie yahviste :
« Le messie sera assurément un homme juste, né d’un homme et d’une femme [mais alors pourquoi le « mariage gay » ?], et il grandira en droiture jusqu’à la fin des temps [sic], atteignant par ses œuvres le niveau de sainteté... » (cité par G. Scholem). Messie qui sera une sorte de mouture de Moïse, alors qu’il y a aussi un messie découlant de Joseph (Louria sera fait par ses disciples après sa mort messie de la Maison de Joseph. Cependant le Talmud babylonien ne mentionne aucun messie de la Maison de Joseph). Évidemment à la différence du christianisme le judaïsme ne peut pas esquisser une forme messianique concrète. Cela pourra permettre l’aventure Sabbataï Tsevi.

Ne jamais oublier : CABALISTE = POUVOIR (pour voir) donc supériorité


Les cogitations et pirouettes du mental des cabalistes de tous bords qui se veulent « objectivité intellectuelle » sont du FAUX, car toujours à la source d’une position sentimentale subjective et souvent inconsciente. Le système exil des Yahvistes EST SENTIMENTAL, et ne jamais oublier que la PSYCHANALYSE du Yahviste Sigmund Freud est piégé de cette façon. Notamment on paye fort cher son analyste ! Le psychanalyste en prétendant ne pas tenir compte de ce qui est de l’Esprit (qui n’est pas sentiment), il se trouve coincé avec obligation de conférer au sensible le mode d’action propre à l’Esprit d’en haut, pour la simple raison qu’il ne peut supprimer l’Essence. Il ne peut que travestir le spatio-temporel.
Le psychanalyste doit lui-même être psychanalysé : cela veut dire qu’il a tué en lui toute aptitude à la réception de l’Esprit d’en haut, en ayant reporté tous les symptômes sur le corps ou mental. Il est convaincu par un acte de foi, une croyance, qu’il n’y a de réalité que dans le monde du sensible, là où on peut tout mesurer.
Les motivations sentimentales, les cabalistes, les philosophes professionnels les dissimulent sous leurs techniques du discours logique et de l’analyse plus ou moins bien construite, mais qui fait toujours son effet convaincant de « science objective » et impartiale sur ceux qui vivent des sentiments plus ou moins identiques à ceux de l’auteur (analogie).
Ce sont des dispositions sentimentales qui sont à l’origine et commandent, mais les adeptes et psychanalysés ne s’en rendent pas compte, ils sont rassurés, position de confort, et affermis dans leurs positions par l’ILLUSION scientifique du discours logique en binaire de bien et de mal, d’Enfer ou de Paradis.


Freud citait une phrase de l’Énéide de Virgile : « Flecte si ne queo Superos, Acheronta movebo », ou « Heaven I cannot bend, then Helle I will arouse ». Soit : Si je ne peux fléchir le Ciel, j’en appellerai à l’Enfer. Soit la porte ouverte au matérialisme et à la même soupe pour tous.
Ce qui correspond à la citation en forme binaire du Talmud (Traité Sanhédrin 98a) mentionnée plus haut !
Et Freud fait appel à l’Enfer si l’Enfer ce sont les forces telluriques, seul monde des perceptions sensibles du spatio-temporel. Freud annonce la couleur, ou plutôt la douleur. Ses observations clinique de la « maladie mentale » peuvent s’approcher d’une exactitude, mais les conclusions qu’il en tire, ses diagnostics, toute sa sauce des complexes genre Œdipe et autres, sont FAUX puisqu’il raisonne, il utilise son mental comme s’il utilisait seulement un seul pôle du courant électrique, et ça ne peut pas fonctionner !

La véritable source ne peut transmettre que lorsque le mental est dompté, c’est-à-dire sans passer par l’idéation et donc par le spatio-temporel. C’est bien la perception sentimentale (la passion par exemple) qui commande le discours logique du philosophiste ou de l’intellectuel « qui passe à la télé ». Les cabalistes et autres philosophistes qui sont atteints du cancer du pouvoir et croient être détenteur de la Vérité parce que mystiques ou philosophes professionnels, parce que diplômés de l’université de ceci ou de cela, croient avoir le monopole du droit de penser, parce que « spécialistes ». Et grâce aux francs-maçons qui croient eux aussi détenir la Vérité, ou un petit bout de vérité, leur république prétend imposer à tous, sauf aux fous internés par décision judiciaire, le devoir de voter, c’est-à-dire d’accomplir un acte en vertu d’une position philosophique ! Le domaine de la politique est lié intimement à l'être humain, il est connaissance de ce qu’est l’être humain, il est d’ordre QUALITATIF.
Ainsi des Yahvistes et francs-maçons ont intérêt à entretenir ces conneries d’élections au suffrage dit universel... Toujours dans l’optique du CONFORT ou endormissement.
 
 

Dernière mise à jour : 19-04-2013 18:01

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