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Commandements, Morale = OPINION Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 23-04-2013 01:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Commandements, Morale = OPINION

Remarques sur la MORALE
 
 
LA MORALE et LA RÉPUBLIQUE
« Il faut soumettre l’enfant, s’il continue à fauter, c’est que la discipline n’est pas suffisante, on renforcera le dressage en intensité et en durée ». Recommandation d’un directeur de l’administration pénitentiaire de la fin du 19è siècle, c’était hier (cité par René Santoni dans son livre : Le Colonie Horticole de St. Antoine - Le bagne pour enfants d’Ajaccio sous le second Empire).
Ces « petits sauvages » qui faisaient peur aux bourgeois de cet après 1789 avec la montée en puissance des banques et du Saint Fric ; le pire crime au 19è siècle étant le vol des bourgeois ou des banquiers (il suffit de lire l’avertissement pour les « faux-monnayeurs » inscrit sur les anciens billets en franc, réminiscence du 19è siècle). Alors que dire aujourd’hui des Goldman Sachs & Co.

La civilisation de l’American way of life voulant s’exporter partout dans le monde au nom de la « démocratie » et du « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous » est une dictature. Dictature qu’imposèrent naguère les Conquistadors espagnols et portugais en allant massacrer et piller les Peuples du Soleil. On entre alors dans la manipulation de celui veut que ça colle à SA réalité (son opinion).
 
 
La MORALE des chantres des Yavistes et des francs-maçons et de leurs droits de l’homme :
« séparation progressive du bien et du mal », selon les travailleurs du chapeau de la Torah exposant leur OPINION. La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être humain réalisé : « Je suis ce JE SUIS », ou « Mes droits sont à mon libre arbitre » (devise supposée des Alains). L’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne, si l’on regarde seulement avec son corps.
 
RAPPEL : le Décalogue et sa suite et ses lois morales sont dans la tradition littéraire moyen-orientale de ce qu’on nommait « Les Sagesses », et qui étaient des préceptes donnés par une personne très instruite à une jeune homme pour lui apprendre à se bien conduire en société. Les Dix Commandements et leurs suite, y compris l'Ancien Testament, sont des codes de conduites découlant de l’ancien Égypte qui atterrissent chez nous en France en 1789 sous le titre « Droits de l’Homme », pourtant à cette époque l’ancienne Égypte était presque totalement enfouie sous le sable avec ses Hiéroglyphes incompréhensibles.
Les religions monothéistes n’ont pas de doctrine secrète et sacrifient l’aspect métaphysique au côté morale et politique, donc matérialiste et de discipline sociale, en promettant aux déshérités une compensation au Paradis ; et toutes aboutissent à la dictature de l’égalité devant la loi humaine et devant la loi divine transformée en OPINION, car qui fait la « loi divine » sinon les humains ? qui mélangent le temporel et le spirituel à défaut de savoir maîtriser les deux ! Ces religions révélées et du Livre sont essentiellement politique et militaire, et l’Europe leur doit uniquement l’empire du monde. Le centre et la naissance en étant Babylone. Le communisme ou règle de communauté en forme de religion à l’envers, n’a pas à être véridique ou « universelle » ou de défendre une morale quelconque, cette règle n’a d’autre but que de fabriquer une cohésion du groupe de ses membres.

Chez la presque la totalité des Catholiques héritiers des Yahvistes, et donc héritiers des commandements de Moïse ou droits de l’homme primordials, il est naturel de confondre la Foi avec un code moral s’exprimant en termes de permis et de défendu : les fameux bien et mal, pur et impur du binaire, du zéro et du un, du juste et de l’injuste ; et rien entre les deux !
« Comment en serait-il autrement quand toute activité concrète dans le temps et l’histoire se vit comme autonome par rapport au divin, ne conservant avec lui q’une orthodoxie morale à respecter, ou plutôt des orthodoxies morales aussi diverses que les fonctions et les angles de vue », écrit cette Vérité Jean Coulonval dans Synthèse te Temps Nouveaux.
En effet il y a autant d’opinions qu’il y a d’êtres humains sur cette planète. Aussi il n’y a que des morales subjectives, au pifomètre, parce que coupées des références à l’ordre naturel, c’est-à-dire métaphysique. Et Moïse n’y échappe quand on peut entendre des phrases du genre : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait... ». On confond alors la satisfaction morale du corps ou de l’ego ou du soi : le ‘je’, d’avec l’état de l’ÊTRE : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père ».
La satisfaction morale de soi-même, et donc de l’ego ou corps, est comme le rituel : ne prend pas, ne goûte pas, ne touche pas aux idoles, etc., qui, si elles ont quelque apparence de sagesse avec leur culte volontaire, leur humilité et leur mépris pour le corps, sont sans valeur réelle et ne servent qu’à la satisfaction matérialiste de la chair.

Des considération seulement morales sont matérialistes et inefficaces car les « intérêts moraux » ne sont qu’opinions et donc sont diversifiés à l’infini selon les situations sociales des groupes et des individus, aussi divers que les égos inconscients, que les morales de situation (cas de Moïse, de Noé, etc.) et ne feraient que plonger, par exemple l’Église catholique, dans un océan inépuisable de masturbation morale. Par conséquence les commandements de Moïse et ce qui en découlent : les lois noachides ou première mouture des droits de l’homme de 1789, ne sont que des OPINIONS selon la mode du moment, et donc n’ont absolument rien « d’universel » ou de mondial.

Le péché du monde LA CHUTE, c’est ce mythe, cette OPINION DE PEUPLE ÉLU et de TERRE PROMISE : étant donné qu’on est un « élu », pas la peine de se casser le fion puisqu’on est censé être supérieur par la grâce de Dieu (celui des Juifs), et que le monde vous est promis sans là encore se casser le fion, donc par le confort, en se foutant de la morale, on obtient le MONDE JUIF totalement opposé au monde grec où par exemple Ulysse (Odyssée) obtient pas sa seule compétence et énergie, et souffrance, une délivrance ; alors que le Juif ne se casse pas le fion puisque dès sa naissance il est prédestiné pour régner sur les Goys. La Terre est alors la « banlieue » des Juifs, et ils peuvent conquérir la Palestine et autres pour apporter leur opinion ou totalitarisme du Diable (genre « morale » du Grand Orient de France avec diplôme de républicanisme, dont une palanquée de membres est au gouvernement de la France de 2013).
La dualité c’est la guerre permanente : les winner et les losers, la droite et la gauche, les bons et les méchants, les élus et les non-élus, etc. Seule la TRINITÉ, le TROIS apporte la Synthèse, la vraie Paix, en chaque individu, entre individus et entre nations. Le deux c’est la guerre, la mort comme le binaire de l’informatique, totale prison.

« L’époque où il était possible d’imposer à la communauté internationale le capitalisme sans cœur et les goûts d’un groupe particuliers, et d’imposer leur pouvoir au nom du mondialisme et de leur empire, est révolue. Le temps d’une morale et de critères à géométrie variable et du mépris des peuples est terminé. Il est illégal que les résultats voulus par certains gouvernements soient imposés et que leur seul critère d’existence, sous une apparence de recherche de justice au nom d’une liberté qui cache les pires menaces et les pires ruses, soit présenté comme démocratique, et que la dictature soit présenté comme démocratie ». (Discours du Président Ahmadinejad, lors de la soixante-quatrième réunion des Nations Unies, le 24 septembre 2009, cité dans le livre d’Alain Soral : Comprendre l’empire).
Tout est résumé, et ça rappel ce qu’écrivait Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

La devise des Alains ou Loi ou Morale naturelle cité plus haut se retrouve dans ce récit de Jagadish Chandra Bose, qui écrivait à la fin de sa vie : « Aucune nounou n’aurait été plus douce que le chef de bande de hors-la-loi qui s’occupait de lui. Bien qu’il n’eût que railleries pour les contraintes judiciaires de la société, il respectait profondément la loi MORALE NATURELLE ». (Source sur Bose : La vie secrète des plantes, de P. Tompkins et C. Bird)

Complément à propos de Bose : « Son père qui ne voulait pas que son fils fréquente une école anglaise où on lui aurait inculqué les traditions occidentales l’envoya simplement à l’école du village, ou pahtasala. A l’âge de quatre ans, il s’y rendait juché sur les épaules d’un brigand repenti, un « dacoït », qui après un long séjour en prison n’avait trouvé de travail qu’auprès du père de l’enfant. C’est ainsi que l’écolier fut nourri de récits de batailles et d’aventures sauvages et périlleuses, mais la bonté naturelle de cet homme qui avait trouvé l’amitié après avoir été rejeté comme criminel par la société ne manqua pas aussi de le marquer ».
Voir aussi Jean Valjean qui est dans la même famille.

Refrain : Ceux qui travaillent à « l’amélioration de la condition humaine », ont généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! Aussi faut-il fuir ceux qui veulent nous imposer en Occident leur noachisme et ses lois morales selon leur symbolisme judéo-maçonnique. « Qui agit bien sans penser au bien sera aimé de tous », écrit Lie Tseu dans son Traité du Vide parfait.

Weishaupt avec ses « Illuminés » avait but caché : il pensait avant tout à lui en entrainant les autres dans sa « vertu » ! L’Ordre des Illuminés devait devenir une « religion », une de plus ; et on peu observer ce qu’il se passe de nos jours avec le soap opera UMPS, autre forme de religion divisante au lieu de réunir ! Un autre qui tenta d’imposer ses délires maniaco-dépressiffs fut Sabbataï Tsevi.

Si je me défie de la morale, ce n’est pas parce que les hommes qui la pratiquent (elle est nécessaire à son niveau) ; c’est parce qu’ils s’en contentent : parce qu’ils s’en servent comme d’un paravent [confort] derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux - leur misérable satisfaction d’eux-mêmes et leur rage de juger les autres.
(Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière)

Je considère FAUX ce qu’écrit Charles W. Leadbeater dans son livre : Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, pourtant un maçon initié au 33è degré. Il compare les mystères d’Égypte à une forme pyramidale, si décrié de nos jours à cause du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place progressivement (mondialisme, mot issu de 1949), et à l’édification du temple du roi Salomon, « les deux structures devant être représentatives des processus de construction à l’œuvre dans la nature (sic) »... Sa conception du mot ‘moral’ me paraît fausse : « Les cérémonies des mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieure (sic) - laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés. Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales sans qu’elle aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elle nous sembles à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaire aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles... » Leadbeater divise science et matérialisme, et est en train d’exprimer son opinion sur la morale de ses frères francs-maçons, tout simplement ! Mais ce n’est QUE la morale des francs-maçons. Leadbeater accentue d’ailleurs son opinion quand il écrit : « Le plan d’ensemble de l’initiation offrait une carte complète de l’évolution spirituelle de l’homme, et pour le candidat (sic) individuel, il s’agissait de s’efforcer à mettre les enseignements en pratique et de rendre vrai dans sa propre conscience ce qui était symbolique dans le rituel ». Il s’agit simplement d’analogie, et le mot ‘candidat’ fait vraiment trop référence à l’école du franc-maçon Jules Ferry ! Comme si on pouvait être ‘candidat’ à la connaissance...

MORAL et MORALE : 1270, du latin moralis, de mores « mœurs ». Qui concerne les mœurs, les habitudes et surtout les règles de conduite admises et pratiquées dans une société, explique le dictionnaire Le Robert.
Moral va avec le mot ‘civilisé’. Civiliser veut dire couper de quelque chose : rendre sociable, poli, etc. c’est-à-dire des choses communes, comme une pensée unique. Aussi la ou le dévergondé, ou privé de ses gonds, sort-il de la société et de sa morale et de ses lois humaines à caractère matérialiste, fussent-elles pondues par la dite morale, la dite religion ou même le dit bon-sens relatif aux réalités apparentes, donc seulement dans le monde des accidents ou du spatio-temporel. Donc le franc-maçon ne peut pas détenir la « véritable morale », tout comme la « vérité vraie », malgré toutes initiations et toutes les origines dans lesquelles il pourra se vautrer. Cette franc-maçonnerie qui prétend aussi se vautrer dans la laïcité et la liberté mais ne patauge que dans la boue. Il y a là un drame avec la laïcité.
Qu’on se souvienne de l’affaire du scandale de la « loge maçonnique » P2 (Propaganda Due) : lien avec la maffia et la politique italienne et la dictature argentine. Bref, un épouvantable merdier !
MORALITÉ : espèce de farce ou d’action théâtrale, dit le Glossaire de Du Cange.

Le mot « morale » est associé à ce que certains nomment « les gens de bien », ou « les honnêtes gens », le mot « bien » s’entendant non pas de la « morale », mais des possédants le Saint Fric : les biens. Voilà les gens des biens : les riches ou Couilles en Or. Le pauvre est condamné à être malhonnête...

D’ailleurs Pétrone déclarait déjà dans le Satyricon :
« Que peuvent les lois, où l’argent est seul maître, et où la pauvreté ne peut avoir raison ? Ceux qui vont chargés de la méchante besace, plus d’une fois, ils vendent la Vérité ».
 
 

Dernière mise à jour : 23-04-2013 01:59

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