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Diplôme de messianisme à Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 30-04-2013 02:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Diplôme de messianisme à
Diplôme de républicanisme délivré par la franc-maçonnerie spéculative à : François de la Hollande
Mais Diplôme de messianisme délivré par Nathan de Gaza à Sabbataï Tsevi
 
 
Sabbataï Tsevi, « L’oint du Dieu de Jacob »
ou les ARMES et la DETTE des banques juives de l’après 1789
ou
La kabbale de psychopathes est en route :
par cultes à mystères et réseaux secrets en infiltrations, par intimidation et fabrique de peur plutôt que par discussion et libre arbitre.
Cette même kabbale qui fabriquera plus tard le drame du 11 septembre 2001.
C’est le fric et les armes des militaires qui gouvernent le monde. Ainsi nous sommes parfaitement à l’Âge du FER & FAIRE (tout désir est illusion).
Il n’y a jamais eu de démocratie sur cette planète, sauf dans de petites cités chez les Anciens Grecs, et encore, leurs esclaves ne participaient pas.

SATYAN NASTI PARO DHARMA
Il n’y a pas de RELIGION
supérieure à la VÉRITÉ
 
 
 
De nos jours et depuis environ 4000 ans on peut observer combien est pervertie la compréhension de CHANGEMENT, ainsi que l’idée du PROGRÈS qui perd son sens en devenant l’ÉVOLUTIONNISME. « Ce qui blesse l’essence humaine ne peut pas servir le progrès humain » écrit justement Gustave Thibon, dans : Diagnostics.


Les Yahvistes sont des mentalistes, des travailleurs du chapeau, qu’ils portent d’ailleurs très bien avec leur barbe. Depuis Isaac Louria et jusqu’au « messie » Sabbataï Tsevi, ces gens et leurs suiveurs adoptent le principe d’éliminer ce qu’ils appellent « le mal ». Le Talmud de Babylone, Traité Sanhédrin, 98a, écrit : Le fils de David ne viendra que dans une génération ou entièrement juste ou entièrement fautive ». S’il vient prochainement, ce sera dans une génération « totalement coupable » !!! Talmud ou judaïsme rabbinique issu du judaïsme pharisien. Ces Pharisiens qui se basent sur l’opinion pour construire leurs « lois », lesquelles se veulent « morales » en se basant sur une esthétique du sentiment variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des accidents dans le spatio-temporel ! Ces Pharisiens talmudistes et leur compas-équerres qui tombent dans le binaire des winners et des losers en s’identifiant à un « peuple élu », et sont donc les winners ; mais ATTENTION, dès que les Pharisiens ne pourront plus faire illusions, ce seront eux les losers !!!

Aussi selon eux il faut mettre au jour le mal, le matérialiser « réellement » pour l’identifier et l’éliminer. C’est un principe matérialiste inverse du bouddhisme.
Le bouddhisme dit :
Éviter de faire le mal.
Faire le bien.
Purifier le cœur.
Le bouddhisme oscille entre religion et manière de vivre, il est plus une philosophie, alors que les Commandements de Moïse oscillent entre le spirituel et le temporel, sauf quand il y a mention du Yahvé. On passe du matriarcat au culte du patriarcat et de la hiérarchie et de la violence.
Chez les bouddhistes pour éviter le faire le mal c’est très simple :
- Ne pas tuer.
- Ne pas voler.
- Ne pas avoir des relations sexuelles irrégulières.
- Ne pas mentir.
- Ne pas prendre de drogues.

Ces préceptes d’abstinence concerne bien-sûr l’ego, le ‘je’, ce sont des impulsions fréquentes, donc en principe relativement faciles à observer, à réfréner (sauf de nos jours !).

En ce qui concerne les religions, et surtout le yahvisme qui se prétend la « première religion » de la Terre, tout cela ne concerne que l’OPINION en forme de systèmes confortables basés sur des conventions basées sur de l’illusion.
Conseils d’un Bouddha :
Ne croyez rien simplement parce que vous l’entendez répéter [surtout avec la manipulation médiatique actuelle]. Ne croyez rien parce que c’est une tradition ancienne et passée de générations en générations [valable surtout pour les Yahvistes]. Ne croyez rien par les « on dit » ou tout autre chose parce que les gens en parlent beaucoup [effet de mode]. Ne croyez rien seulement parce que le témoignage écrit d’un ancien sage est montré à ce sujet. Ne croyez rien parce qu’il y a quelque présomption en faveur de cet argument ou parce qu’une coutume établie depuis de longues années vous incline à à la tenir pour vraie [valable surtout pour les Yahvistes]. Ne croyez rien sur la simple autorité de votre maître ou des prêtres [ou des rabbins ou des imams].

Voilà qui est vraiment universel et se retrouve dans la Taoïcité :
Sous le ciel, vrai et faux
Ne sont jamais déterminés une fois pour toutes.
De par le monde, chacun décrète vrai ce qu’il tient pour vrai
Et faux ce qu’il tient pour faux.
Ce qui est appelé vrai et faux est différent pour chacun ;
Et tous, sûrs d’être dans le vrai, de réfuter les autres.
On peut donc en inférer que
Ce que j’agrée en mon fort intérieur
L’est avant même d’avoir été trouvé vrai
Et que ce qui rebute mon cœur
Le fait avant même d’avoir été trouvé faux.
...
Nous avons tendance à choisir ce que nous jugeons vrai
Pour nous y tenir,
Ou bien à prendre ce que nous jugeons faux
Pour le rejeter.
Mais nous ignorons ce que notre siècle appelle vrai et faux
Comment savoir qui est dans le vrai, qui est dans le faux.
(Les grands traités du Huainan zi, époque des Han, 206 av. J.C. - 220 ap. J.C.)


PRINCIPE FONDAMENTAL en Refrain :

Chacun pense d’abord à sa propre libération et à son propre bonheur. C’est là où il faut être seulement réaliste : pensez à une soudaine catastrophe où l’instinct prend le dessus et ça devient « chacun pour soi » et que « je t’écrase les autres en les piétinant ». C’est ainsi qu’en cas de crise les magasins de bouffe sont dévalisés en une journée, l’appel du bas-ventre étant le plus fort. L’altruisme est par principe un LEURRE.
Ainsi, et surtout en politique, et donc dans l’actuelle franc-maçonnerie spéculative : Ceux qui travaillent à « l’amélioration de la condition humaine », genre messie, ont généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! Aussi faut-il fuir ceux qui veulent nous imposer en Occident leur noachisme et ses lois morales selon leur symbolisme judéo-maçonnique. « Qui agit bien sans penser au bien sera aimé de tous », écrit Lie Tseu dans son Traité du Vide parfait.

Il n’existe qu’une seule égalité dans ce monde : Un être humain qui réalise le Soi ou Instant, un autre être humain peut aussi le faire ; nous sommes tous un Jnani (Sage ou celui qui a réalisé le Soi).

Maintenant, l’opinion de Sabbataï Tsevi qui se transforme en « messie » par la grâce d’un « prophète » nommé Nathan de Gaza. Donc quelqu'un d’autre reconnaît Sabbataï comme messie. Nathan de Gaza et Sabbataï se complétaient merveilleusement écrit Gershom Scholem dans son Grand Œuvre sur Sabbataï Tsevi. Et sans cette union le mouvement sabbataïste n’aurait jamais pris son essor. Sabbataï n’avait pas l’envergure d’un meneur. Dénué de volonté et sans programme d’action, il était en plus victime de sa maladie maniaco-dépressive et de ses illusions (nommée aujourd’hui ‘trouble bipolaire’). Sa personnalité paradoxale inspira Nathan et motiva son action. Le courant révolutionnaire était propice pour se catalyser dans Nathan de Gaza. Il se fit le porte-étendard du messie. Nathan donna l’impulsion décisive pour la formation du mouvement sabbataïste.

Nathan était une sorte de guru : « homme de Dieu », doué d’un charisme indéniable et capable de lire au plus profond de cœur de chacun. « L’esprit de Dieu » l’inspirait et lui révélait les péchés de certaines personnes, si bien qu’il leur prescrivait la « rédemption » adaptée. Ainsi Sabbataï Tsevi arrivait chez le médecin ou guru Nathan, non comme un messie, mais comme un homme malade chez un médecin ou chaman qui connaissait les racines cachées des névroses et distribuait le remède (rédemption) adapté à chacun.
Sabbataï était un homme ébranlé par ses oscillations et ses actes inexplicables ; il craignait de nouvelles vagues de dépression et d’illumination euphorique. Mais une surprise l’attend, Nathan lui annonce qu’il possède une âme de très haut niveau pour laquelle aucune ‘rédemption’ ou remède n’est nécessaire, et qu’il est en fait le messie.

« L’oint du Dieu de Jacob » reçut « son diplôme » de messianité entre le 28 et le 31 mai 1665. Ainsi le mouvement sabbataïste démarre le 31 mai 1665, jour où pour la première fois, Sabbataï se proclame lui-même le messie. Date commémorée dans le rituel sabbataïste.
Puisque tout n’est qu’OPINION, pour compliquer les choses, Nathan de Gaza passe aux yeux de certains pour un faux prophète, dont les agissements risquaient de mettre en danger la communauté yahviste, mais pas les transgressions de la Loi.
Sabbataï Tsevi n’utilisa jamais la symbolique de l’Ouroboros, le serpent qui se mange la queue et illustre ainsi l’Unité et son éternelle régénération vitale : « Ma fin est dans mon commencement et mon commencement est dans ma fin » dit aussi le Grand Œuvre alchimique. Ça c’est pour le côté positif, pour le négatif l’Ouroboros c’est la PRISON DES CYCLES se recommençant sans arrêt comme les guerres et les assassinats politiques... Sabbataï aurait fabriqué un serpent d’argent qu’il fixa en haut d’une perche.
Au tout début du mouvement sabbataïste les adeptes se nommaient eux-mêmes les « croyants ». Les sources et documents originaux ne mentionnent jamais le mot « sabbataïste » qui est une appellation moderne. Les sabbataïstes ne se présentent jamais autrement que comme croyants.

La majorité des rabbins s’opposèrent à la « nouvelle foi » et refusèrent de reconnaître la messianité de Sabbataï, et le prophétisme de Nathan. Les rabbins connaissaient cette sainteté faite de paradoxes et s’affirmant par l’abolition des lois et l’abrogation des ordonnances bibliques et rabbiniques. Les rabbins ne pouvaient être que traditionalistes. De plus les rabbins avaient préalablement condamné Sabbataï à la flagellation pour « l’étrangeté » de sa conduite et ils n’avaient aucune raison de le penser maintenant différent.
Sabbataï demanda la permission de pouvoir monter à cheval dans les rues de la ville, alors que les usages de l’Islam interdisait aux Juifs de monter à cheval.
Au bout d’un temps le messie ne devient plus qu’une image, un mot d’ordre et non plus une personnalité vivante. Ainsi débarrassé de sa présence physique, le mouvement se développa rapidement en suivant les traces de la tradition apocalyptique populaire. Un climat sans précédent s’installa en Palestine. Nathan avait prophétisé qu’Israël devait croire au messie sans le secours de compas-équerres ou signes extraordinaires, et personnes n’éprouva dans les premières semaines le besoin d’être « témoin de miracles » attribués à  Sabbataï...

Compas-équerres synonymes de mesures à prendre, donc de TRAGÉDIE, qui nous donnera la Renaissance et la pensée rationaliste, puis ensuite l’usine à décervelage qu’est Hollywood : aux mimodrames des religions à mystères chères aux francs-maçons spéculatifs de 1717, tous les Grecs, tout l’ancien Orient assistaient aux « projections ». La tragédie va devenir à la fin du 6è siècle de notre ère une obligation religieuse et civique. Tous ces mythes, épopées et histoires vont façonner la pensée rationnelle, la « raison », mère de toutes nos technologies actuelles et ruines de la planète Terre. Nous sommes bien dans une vraie tragédie ! Les Yahvistes et leur noachisme et leur dette ne feront qu’ajouter de l’huile sur le feu...

À suivre...



[Référence sur Sabbataï Tsevi chez Gershom Scholem : Sabbataï Tsevi - Le messie mystique]
 
 

Dernière mise à jour : 30-04-2013 03:11

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