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Mondialisme ou capitalo-socialisme Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 23-05-2013 23:49

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Mondialisme ou capitalo-socialisme
Le rouge-sang du drapeau, le rouge-sang de l’Adam ou Passé
identique, presque, au vert de la Chlorophylle des plantes (1)
C’est bien triste de ne pouvoir unir les deux !


Ces Yahvistes et bâtisseurs du socialisme et autres Goulag et camps.
 
 
Vos biens seront confisqués et vous deviendrez la propriété du kolkhoze (comparable au système patriarcal des Incas avec aucune machinerie monétaire puisque tout appartenait à l’État, où tout était réglé par la Loi : l’homme était fait pour le gouvernement, comme en URSS où l’homme était fait pour le socialisme, et comme demain l’homme sera fait pour la même chose : le mondialisme et son élite bancaire)

« Le réalisme socialiste, c’est l’affirmation de la supériorité de l’État. Le mouvement décadent, c’est l’affirmation de la supériorité de l’individu. Les méthodes sont différentes, mais le fond reste le même : l’extase devant sa propre supériorité. L’État génial et sans défauts n’a que faire de ceux qui ne lui ressemble pas [comme l'est la république universelle franc-maçonnique] ». (Vassili Grossman : Vie et Destin)
C’est pourquoi il est plus que temps que CHACUN DEVIENNE SON PROPRE ÉTAT (le Soi Instant).
 
 
New York Times, 13 décembre 1938, par Lev Davidovitch Bronstein dit Léon Trotsky :
Vous allez subir une révolution, une effroyable révolution. La direction que celle-ci va suivre dépendra en très grande partie de ce que M. Rockefeller dira à M. Hague de faire. M. Rockefeller est un symbole de la classe dirigeante des États-Unis et M. Hague un symbole de son instrument politique.

Trotsky était un agitateur, une « terroriste » comme on dirait aujourd’hui, qui fut expulsé de France en septembre 1916 pour atterrir en Espagne où il fut emprisonné dans une « cellule de première classe » au coût de une peseta et demie par jour. Finalement il fut éjecté comme un produit radio-actif dans un paquebot de la compagnie transatlantique espagnole pour atterrir à New York le 13 janvier 1917.

Au 19è siècle la Russie est considéré comme très riche : nombreuses ressources naturelles, population plus nombreuse que celle des États-Unis et de l’Allemagne (plus de 120 millions d’habitants en 1897). On a trop souvent associé le mot Russe à : retard russe, désordre russe, fatalisme russe...
La Russie connaît un essor industriel spectaculaire qui voit arriver en masse vers les villes les paysans les plus pauvres. Cette mode de l’essor urbain et industriel propre à l’après 1789 s’est répandu dans toute l’Europe et jusqu’en Russie, avec évidemment le chambardement mental (et donc politique) que cela créé inévitablement. On parle de « prolétaire » : habitant des cités et de classe inférieure, exempt d’impôt et qui dans l’empire romain ne pouvait être utile à l’empire que parce qu’il pondait des gosses : chair à flèches, plus tard à canons, et à esclaves.

Il est certain que Wall Street, et donc la FED des banquiers yahvistes, participa activement au financement de la révolution bolchevik de 1917 :
Monsieur le Président.
Je pense que la méthode de gouvernement des Soviétiques est la plus appropriée pour le peuple russe... (Lettre adressée au Président Wilson par William Lawrence Saunders, président d’Ingersoll-Rand Corp., administrateur d’American International Corp., vice-président de la banque de Réserve Fédérale de New York). (La FED est une banque privée, ou un organisme contrôlé, et voulu, par plusieurs banques privées)

Le banquier yahviste Olof Aschberg se trouve au centre du financement des bolcheviks. On ne fait pas une révolution, ou une guerre, sans argent. Dès 1919 Wall Street est intéressé par le bolchevisme ou socialisme. Voici un extrait de lettre du vendredi 1er février 1919  où s’exprime un des rois du pétrole, le magnat E. L. Doheny, qui nomme aussi trois financiers bien en vue comme William Boyce Thompson, Thomas Lamont, Charles R. Crane :

« Si vous croyez à la démocratie, alors vous ne pouvez pas croire au socialisme. Le socialisme est le poison qui corrode la démocratie. La démocratie signifie opportunité pour tous [c’est exactement cela, ou le libéralisme financier]. Le socialisme dénie à quiconque l’espoir de pouvoir un jour arrêter de travailler et être riche. Le bolchevisme est le vrai fils du socialisme et, si vous voulez bien vous donner la peine de lire la déposition qui fut faite devant la Commission sénatoriale vers la mi-janvier et qui démasque tous ces pacifistes et militants pour la paix pour ce qu’ils sont : des sympathisants pro-Allemands, des socialistes et des bolcheviks, vous découvrirez  que la majorité des professeurs dans les universités américaines prêchent le socialisme et le bolchevisme [c’était à la mode] et que cinquante-deux professeurs d’université sont membres du soi-disant comités pour la paix. Les président Eliot, le président de Harvard lui-même prêche le bolchevisme. Les pires Bolcheviks aux États-Unis ne sont pas seulement les professeurs d’universités, et le Président Wilson en est un, mais les capitalistes et leurs épouses, et aucun d’entre eux ne semble savoir ce dont il parle. William Boyce Thomson prêche le bolchevisme et il se pourrait bien qu’il convertisse Lamont de chez J.P. Morgan & Co. Vanderlip est un bolchevik, pareil pour Charles R. Crane. De nombreuses femmes rejoignent le mouvement et, ni elles, ni leurs maris, ne savent de quoi il retourne, ni à quoi il mène. Henry Ford en est un autre, ainsi que la plupart de cette centaine d’historiens que Wilson a embauchés dans l’espoir imbécile que l’enseignement de l’histoire puisse inculquer aux jeunes les correctes délimitations géographiques des races, des peuples et des nations ».

Henry Ford lança en novembre 1915 une croisade pour la paix, et embarqué pour l’Europe une grand nombre de « pacifistes » américains, à bord d’un paquebot qu’il affréta spécialement pour l’occasion, dans le but de faire stopper la première guerre mondiale avant Noël 1915.

Comme déjà écrit de nombreuses fois, le socialisme ou communisme ne peut que s’appuyer sur le capitalisme (voir ce qu’il se passe en Chine communiste depuis Mao Zedong ! et même dès les années 1920 en URSS avec toute cette propagande publicitaire autour des usines et de l’industrie pour vendre son « Royaume de Dieu (des Yahvistes) sur Terre »).

Cette entente capitalisme et socialisme donnera le mondialisme se mettant en place actuellement. Il est sûr que le régime tsariste de tout ce 19è siècle a fait une politique plus ou moins désastreuse et corrompue, même chose pour le régime monarchiste après le fort pouvoir du roi Louis 14 ; tout cela pour être remplacé par une variante du thème de la corruption avec la même élite de malades et d’égoïstes. Les financiers de Wall Street ont ainsi atteints leurs objectifs égoïstes et ne pouvaient aucunement accepter une Russie qui commençait tout juste à se bien réorganiser, et pouvait devenir centralisée sous l’harmonie du Tsar, et qui était en train de devenir totalement émancipée. En un mot, la Russie devenait INDÉPENDANTE, et cela ne plaisait absolument pas au monde anglo-saxon, ce que mon père, qui était russe, m’avait dit lorsque j’étais adolescent. Le coffre-fort du monde se trouve à la City de Londres, Wall Street n’est que la succursale, le second temple.

Il existe une contre-révolution à celle de 1917, notamment deux courants : celui du mouvement Makhnoviste  qui combattit à la fois l’Armée Blanche et l’Armée Rouge pendant la guerre civile de 1918-1920 ; et le Mouvement Vert qui lui aussi combattit les Blancs et les Rouges. Cette « Armée Verte » était forte de 700.000 hommes. Voir aussi l’anarchiste Vsevolod Mikhaïlovitch Eichenbaum (Voline). Ce Voline qui fut un temps caissier au Théâtre du Gymnase à Marseille, théâtre racheté en partie par un financier de Wall Street : Armand Hammer. TOUT EST LIÉ, le réseau a les bras longs et il n’y a pas de hasard !!!

Trotsky à New York. Trotsky et le Fric.

Des études ont été faites pour savoir qu’elles étaient les moyens d’existence de Trotsky à New York. La conclusion est qu’il ne pouvait que disposer de revenus occultes. D’où venait cet argent ? Un journaliste et diplomate dit que Trotsky était électricien aux studios de la Fox. D’autres auteurs ont cités d’autres activités professionnelles, mais aucune preuve n’existe pour affirmer que Trotsky ne gagnait sa vie qu’autrement que par des conférences et articles. Quand Trotsky partit de New York pour Petrograd afin d’organiser la révolution, il avait 10.000 dollars en poche.
Un certain Gregory Weinstein, révolutionnaire comme nombre de Yahvistes, émigré en 1912 aux USA, qui devint membre du parti socialiste américain en 1913, et qui fut en 1919 un des principaux membres de la mission soviétique à New York, collecta les fonds pour Trotsky. Ces fonds provenaient d’Allemagne. Le New York Times écrivait que Trotsky était un « révolutionnaire russe en exil ».
Louis C. Fraina qui fut aux côtés de Trotsky un des initiateurs de la révolution de 1917 écrira sur l’empire financier de Morgan, intitulé House of Morgan. Bref, la collusion entre capitalisme et socialisme n’est pas un effet d’imagination ou de « théorie du complot » ; on retrouve même le dirigeant et fondateur en 1901 du Parti Socialiste Américain : Morris Hillquit, qui a connu Marx et Engels, et qui fut un des administrateurs et avocats d’International Union Bank (tout est lié).

Quand Nicolas II fut destitué, Trotsky en bon yahviste sabbataïste prophétisa : « Le comité [Gouvernement Provisoire] qui a pris la place du Cabinet venant d’être renversé en Russie ne représente pas les intérêts des révolutionnaires. Il ne tiendra probablement pas très longtemps et cèdera la place à des hommes plus à même de propulser la marche en avant de la démocratisation de la Russie » (New York Time, 16 mars 1917). Donc les « propulseurs » furent les Mencheviks et les Bolcheviks.

Le Président Woodrow Wilson fut un catalyseur de la révolution de 1917 : il donne un passeport à Trotsky pour « booster » la révolution ; passeport accompagné d’un visa de transit en Angleterre et d’un permis pour entrer en Russie. Woodrow Wilson et par la même le gouvernement américain est donc responsable de la révolution de 1917 ! Ne jamais l’oublier. Wilson a déclenché 1917 au moment où les fonctionnaires du département d’État étaient inquiets de voir entrer la Russie trafiquer avec de tels terroristes, et tentaient de restreindre l’obtention de passeports. On câble pour annoncer la ballade de ces terroristes :
« Mission diplomatique a informé confidentiellement bureaux passeports russe, anglais et français à Tornio, frontière russe, très inquiet passage personnes suspects portant passeports américains ». « Frontière russe », entendre frontière russo-finlandaise, car la Finlande n’était pas alors indépendante.
Il y eut bien des remontrances aux USA, mais il était trop tard, le terroriste Trotsky s’était échappé, et en toute légalité, et allait tel un virus propager sa révolution en compagnie de la bande à Lénine. C’est à partir de cette époque que le sens du mot Anarchie fut dévalorisé, et amalgamé avec n’importe quelles révolutions (sauf française !) et associé aux bolcheviks. Or le mot Anarchie possède un sens nettement plus noble et s’approchant de la Vraie Liberté, ce qui ne fut bien-sûr pas le cas des 74 ans de socialisme en URSS (1917-1991).

Quand Trotsky se trouvait sur le paquebot S.S. Kristianiafjord le 26 mars 1917, il était évidemment accompagné d’autres terroristes, pardon, révolutionnaires et évidemment de financiers de Wall street flairant les bonnes affaires à venir, comme c’est toujours le cas de nos jours dans les guerres et apport de la « démocratie » aux sauvages...

« La liste des passagers était longue et mystérieuse. Trotsky se trouvait dans l’entrepont avec un groupe de révolutionnaires ; il y avait un révolutionnaire japonais dans ma cabine. Il y avait beaucoup de Néerlandais, les seules personnes innocentes à bord, qui avaient quitté Java en toute hâte pour rentrer chez eux. Toutes les autres étant des messagers de guerre, dont deux étaient en fait porteurs de messages en provenance de Wall Street pour l’Allemagne ». (Lettre du communiste américain Lincoln Steffens, autre preuve de la collusion capitalo-socialiste, Steffens servant d’intermédiaire entre Crane et Woodrow Wilson). Ce Charles R. Crane qui dirigea l’implantation de Westinghouse en Russie. George Westinghouse, ami de Nikola Tesla (TOUT EST LIÉ), bien dans la logique de l’industrialisation de la société et poussant à la folie technologique dans la trame de la thermodynamique diabolique et inefficace et destructrice.

Charles Crane ami et allié de Woodrow Wilson, financier et important homme politique joua un rôle important dans la révolution de 1917, avec l’aide du communiste Lincoln Steffens. Crane eut libre accès à des documents officiels concernant l’avancement ou plutôt la « consolidation » de la révolution.
Avec cette révolution s’établissant viendra le temps du Parti communiste où les sentiments, l’amitié, la solidarité disparaissent d’eux-mêmes quand ils entrent en contradiction avec le dogme du Parti.

LE DOGME et LA RELIGION COMMUNISTE : Staline le messie yahviste :

« On a l’impression que Staline à lui seul labourait, travaillait le métal, nourrissait les enfants des crèches à la petite cuillère, tirait à la mitrailleuse, tandis que les ouvriers, les soldats, les étudiants et les savants priaient pour lui. Sans Staline, semblait-il, notre grand peuple eût péri tout entier, tas de brutes impuissantes », écrit justement Vassili Grossman. Despotisme qui régnait aussi dans les usines de tonton Walter Elias Disney... (Encore la collusion capitalisme-socialisme). Disney aussi était un socialiste.

« Pour qu’existe le socialisme dans un seul pays il fallait priver les paysans du droit de semer et de vendre librement, et Staline n’hésita pas : il liquida des millions de paysans. Notre Hitler s’aperçut que des ennemis entravaient la marche de notre mouvement national et socialiste, et il décida de liquider [déporter] des millions de Juifs », écrit encore Grossman rapportant un récit.

« Cher papa.
Papa, je t’en prie, envoie une lettre disant que je ne suis pas ton fils. En vérité, mon petit papa, je t’aime toujours et tu seras toujours mon papa ; mais j’ai besoin de cette lettre pour pouvoir aller à l’école... » (Lettre « politique » manipulatrice typique de l’époque après révolutionnaire de la fin des années 1920 reçu par un docteur russe en des circonstances qui permirent d’échapper à la censure).

Ne pas non plus oublier l’absurdité socialiste de vouloir ériger le Royaume de Dieu (des Yahvistes) sur Terre (une vie de rêve selon eux) : inhumanité des conditions de vie et de travail (mortalité de 10% par année. Tout se fait à la main avec pour seuls outils, la pelle, le pic, la masse et la brouette), inutilité du produit livré (pour achever un canal dans le temps, l’administration le fait construire moins profond que prévu, si bien que les 240 kilomètres du canal sont inutilisables, sauf pour les bateaux à faible tirant d’eau). TOUFTA est le mot clé de l’institution du Goulag résumant le gâchis, la malversation, l’infâme marchandage, le mensonge, les faux bilans, etc. Le socialisme OU COMMUNISME c’est fonctionner au BLUFF où le peuple est transformé en « bois de chauffage » (bois blanc) ou prolétaires nommés « valeur économique » (pouvoir d’achat aujourd'hui). En URSS dans les années 1920 des entreprises privées achetaient des esclaves du Goulag renommés : « force de travail ». (En référence à : Aux origines du Goulag, par S. Malsagov et N. Kisselev-Gromov).
L’institution du Goulag durera dès le début de la révolution de 1917, jusqu’à la mort de Staline et largement au-delà ! La Russie a aussi un long passé des travaux forcés avec surtout Pierre le Grand et la construction de Saint Pétersbourg, là où éclate la révolution en 1917.

SOCIALISME = CORRUPTION GÉNÉRALISÉE

Si l’être humain veut échapper au totalitarisme ou mondialisme en forme de socialisme et de « Royaume de Dieu (des Yahvistes) sur Terre », il doit, enfin, SAVOIR SE GOUVERNER LUI-MÊME. Voilà le véritable sens du mot ANARCHIE. Et évidemment cela passe par la Réalisation du Soi ou Instant.

[Références à : Wall Street et la révolution bolchevique, par Antony C. Sutton. Aztèques et Incas, de William H. Prescott. Prescott sur le wiki anglais beaucoup plus complet. Vassili Grossman : Vie et Destin. Aux origines du Goulag, de Malsagov et Kisselev-Gromov]



Note.
1. La seule différence entre le sang humain et la Chlorophylle des plantes est que celle-ci contient du Magnésium à la place du Fer du sang des mammifères (mamie, mère et mamelle et Fer). L’être humain est un mammifère.
 
 

Dernière mise à jour : 24-05-2013 00:36

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