Cette civilisation ou cités de la BOMBANCE ou « Royaume de Dieu yahviste sur Terre »
avec son temple du roi Salomon, et son « cours d’instruction civique » qu’est l’Ancien Testament.


SORTIR DE LA PRISON DES YAHVISTES

BOMBANCE : bomber le torse dans son orgueil ou en une outre gonflée d’ego. On BOMBARDE aussi, on envoie des BOMBES, donc on BOMBISE. On joue avec ses petits compas et ses petites équerres : on BOMME (du verbe BOMMER : borner, poser des bornes) ; nous ne sommes pas loi, loin, de BON : qui est à côté du droit, donc de la CONVENTION ou OPINION. Ainsi nous avons BONAIGE : droit qu’on paye pour le bornage des terres (BONNE). Et aussi BONAVENTUROS : heureux. Et BONDE : borne, nombril. BONDIR : retentir et BONDISSEMENT : retentissement (feuilleton à « rebondissement ») ; de là viendra BOURDONNER, BONDONNER (être mis en bouche), et aussi BONER (tenant) ; BONERETÉ (bonté) ; BONÉURTÉ (bonheur).
BON-HOMME : expression regardée comme une injure (bon enfant, écrit le dict. Le Robert dans le sens positif).
(Réf. Glossaire de Du Cange)

 

Pour les Yahvistes leur Dieu est esprit et l’homme est chair (cher ou couteux, et chaire ou travail du chapeau), ce qui leur permet de faire du business avec n’importe quoi. Déjà sous Sabattaï Tsevi au 17è siècle en Europe, le commerce internationale était presque exclusivement entre les mains des Yahvistes qui monopolisaient également les transactions avec les négociants européens.
« Moins on est habile, plus on meurt avec simplicité ». (Georges Barbarin, Le Livre de la mort douce)


On a donc à faire à une politique et non à une religion ! Puisque il y a inversion : c’est la matière qui détermine l’essence : la « loi » (Torah) proclame avec ses compas-équerres la « volonté divine » (opinion) ou même soupe pour tous.
Comme le Yahvé des Juifs n’est que leur opinion, il est alors facile de faire bombance et de promettre « le royaume de Dieu yahviste sur Terre » et de pécher en abondance, puisque c’est bien connu : un « Dieu » est toujours « Miséricordieux ». C’est aussi ça le CONFORT : « Les Dieux étaient vénérés lorsqu’ils se montraient efficaces et méprisés lorsqu’ils ne l’étaient pas ». (Réf. Hermès l’Égyptien, Garth Fowden) C’est vraiment très pratique et confortable ! Même si pour les Yahvistes ils doivent vivre « dans la crainte de leur Dieu », ce qui ne les empêchent pas de se faire des fortunes depuis plus de 2000 ans ! Avec la « bénédiction divine » cela va sans dire...

Tous les Yahvistes sont irrémé-diablement (le Diable divise) éloignés de l’Instant, donc de Dieu, de la Conscience, du Centrum Centri ; ils n’ont que des rapports SUJET-OBJET : Dieu et Homme, ÇA NE DÉPASSA JAMAIS CE STADE ; l’unio mystica de l’âme avec son créateur, donc avec lui-même ou Soi Instant est impensable dans la théologie de l’Ancien Testament ! Car Dieu crée l’homme et l’homme créé Dieu ! Comme le dit Ramana Maharshi à l’entretien 264 : « Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». Et oui ! TOUT n’est qu’OPINION, c'est dans la tête. Surtout si quelqu’un nous sort : « Dieu est maître du monde parce que c’est lui qui la créé », genre le héros qui tue le méchant Dragon ou le méchant Chaos ! Alors que l’humain crée le Chaos. Un Dieu qui fait la pluie et le beau temps pour faire pousser les céréales de la voie de l’Agriculture ! Et pendant que l’on y est : la totale bien dans la dictature du monothéisme de l’opinion : Yahvé dispense le « bien » et le « mal », il fait vivre et fait mourir, il fait descendre au shéol et en remonter (Samuel I, 2, 6). Il pique des colères, ce qui est étrange pour un Dieu, ou plutôt un petit dieu.
Le temps n’existe pas, il n’existe que s’il y a quelqu’un pour s’en apercevoir ou le concevoir ; c’est pareil pour Dieu. De plus, CHACUN NE CROIT QUE CE QU’IL VEUT CROIRE, et en plus en fonction de son éveil personnel.

Il n’y a donc pas d’unio mystica de l’âme avec son créateur, à tel point que les Yahvistes sont obligé de se construire une « Arche d’Alliance » avec leur Dieu, donc ils se construisent une idole puisque David danse devant l’Arche, offre des « holocaustes en présence de Yahvé » et bénit le peuple bien-sûr au nom de Yahvé (Samuel II, 6, 16-18). Puis Salomon bénit l’assemblé pour la consécration du temple (Roi I, 8, 14)

Les Yahvistes à la fois sédentaires et diasporatisé (mésalliance et « Juif errant ») se retrouveront divisés en deux : Nord ou Israël, et royaume du Sud ou de Juda ; et leur Arche était resté à Jérusalem et ainsi les tribus du Nord n’avaient plus accès à leur idole commune. Jéroboam, premier roi d’Israël, établit deux idoles : à Béthel et à Dan, où le Yahvé était adoré sous la forme de deux veaux d’or (Roi I, 12, 28-29). Donc ces statues sont des idoles représentant le Dieu invisible, ce qui viole l’interdiction des images ou formes, et aggrava la mésentente entre les deux royaumes. La monarchie héréditaire davidique s’est maintenue dans le Sud, alors la royauté dans le Nord était charismatique.

Bien-sûr Yahvé est un « Dieu vivant ». Vous avez déjà vu un « Dieu mort » ? Là encore on nage dans l’opinion. Et avec l’actuelle religion de l’homme icelui cherche maintenant « l’immortalité » par la technologie bien matérialiste, ainsi il se fout totalement des morts et de l'Après Vie. Il n’est plus « fabriqué » à « l’image de Dieu » mais se prend pour Dieu et salope toute sa planète et se coupe de la Nature, de SA Nature ou Soi, il se coupe du COSMOS.
Les yahvistes font BOMBANCE sur Terre avec leur royaume, puisqu’ils méprisent l’Après vie et les morts. Pour eux les morts sont des larves dans le sheol, région toute noire et évidemment effrayante dans les profondeurs de la Terre, car pour les Yahvistes la mort est la négation de l’œuvre de leur Yahvé. Ainsi Yahvé ne règne pas sur le sheol ; donc il y a DIVISION, les pauvres morts sont privés des rapports avec leur Dieu, ce qui constitue pour ces fidèles une terrible épreuve, alors il n’est pas étonnant qu’ils préfèrent faire bombance sur Terre dans « leur Royaume » (ils sont le ‘peuple élu’ et possèdent leurs deux Arche, celle de l’Alliance et celle de Noé).
Ils font tellement bombance que sous le faux messie et malade mental Sabbataï Tsevi en Europe, l’hypnose collective prend la forme de la mode de faire pénitence : « Durant la nuit les hommes s’allongeaient dans la neige et s’y roulaient pour une demi-heure ou au moins un quart d’heure. Puis ils prenaient de branches épineuses et des orties et se flagellaient jusqu’à ce que leur corps soient couverts de cloques ; et chaque jour, ils enduraient une flagellation au moyen d’un gros fouet... Certains faisaient couler de la cire bouillante sur leur corps dénudé pendant une heure ou plus, d’autres encore s’entouraient le corps d’orties et mettaient de lourds vêtements afin d’accroitre cette mortification de la chair » (description hollywoodienne donné par Gershom Scholem dans : Sabbataï Tsevi, le messie mystique). Évidemment au bout d’un temps il n’y avait plus d’orties dans la région et il fallait en faire venir de loin à grand prix ! Donc c’était loin d’être « écologique » !

Yahvé comme Superman peut arracher les vivants, pardon, les morts de la tombe : Tu as tiré mon âme du sheol, me ranimant d’entre ceux qui descendent à la fosse » (Psaumes 30, 4) ; « Non, je ne mourrai pas, je vivrai... Il m’a châtié et châtié, Yahvé, à la mort il ne m’a pas livré (Psaumes 118, 17-18).
Le « peuple élu » doit vivre dans la crainte de son Dieu et de son opinion, pardon, de ses Commandements.

Les Yahvistes et francs-maçons cherchent à contrôler l’activité des peuples du monde, de telle sorte que le cours futur des événements ou de leur « fin des temps » dépendent de notre actuelle activité spirituelle, qui est en ce moment réduite à rien, sauf peut-être pour quelques loges maçonniques sincères et non rongées pas le pouvoir.
Comme le temps n’existe que si on le regarde, idem pour Dieu, si on observe le monde du point de vue matérialiste ce sera l’enfer comme le devient notre civilisation actuelle ; et si on l’observe avec un éveil et réalisation du Soi Instant, notre monde ne sera probablement ni mental, ni matériel, mais entièrement transcendant.

Ne jamais oublier la lutte du « rat des villes contre le rat des champs », soit CAÏEN ET ABEL. Soit Voie de l’Agriculture contre Voie de l’Horticulture, ou Céréaliculture contre Végéculture. Abel c’est la Végéculture ou le Pâtre ; Caïen c’est le forgeron, donc la parfaite ambivalence que renvoie ce métier comme peut le faire le sacré et l’Alchimie.
Abel c’est la simplicité des campagnes, Abel c’est les villes et les technologies ; Caïen devient un constructeur de villes, il est un artiste des compas-équerres. Le premier meurtre de l’histoire yahviste est accompli par celui qui incarne et symbolise la technologie et la civilisation urbaine, et aussi la magie : toute technologie peut passer pour magique, en tous cas pour eyes candy hollywoodienne.
On a un bel exemple de la possibilité qui était offerte au temps du Paléolithique entre la Voie de l’Agriculture et celle de l’Horticulture, soit le problème du choix quand les deux contraires n’arrivent pas à s’équilibrer et où le « bien » veut toujours triompher en devenant le mal et en s’y fixant.
Si Caïen signifie forgeron en hébreu, il sonne aussi comme carne (chair, carné). Caïen est un Alchimiste qui a mal tourné !

En tous cas, Caïen et Abel ne sont pas du mariage sodomite, car ils sont tous les deux des contraires, et même plus : des OPPOSANTS, et pour les Yahvistes l’un d’eux doit disparaître, il ne reste que le MÂLE, et le Dieu yahviste et des Chrétiens est plutôt un mâle ! Avec le meurtre d’Abel on enterra un peu plus les Païens et leur Déesse-Mère plus ou moins hermaphrodite, et nous entrions dans une ère nouvelle, celle des mâles et de leur agriculture céréalière.
Maintenant, comme tout symbole est double, on peut faire d’Abel le méchant, celui qui mène son troupeau d’humains au pâturage, et Caïen le bon laboureur (comme l’Alchimiste) qui creuse ses sillons pour trouver sa vérité. Actuellement ce que le pouvoir appelle « bien » est la soumission à ce pouvoir ! Les autres ce sont les terroristes.
En résumé : Caïen et Abel sont un problème de grosse université d’électricité !!! et tout du moins un piège tendu par les Yahvistes moralisateurs qui ne jurent que par le « bien » : peuple élu contre Goys.