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Emprise de la magie noire sur le monde Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 19-07-2013 01:46

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
Emprise de la magie noire sur le monde
Un monde bâtit sur l’ILLUSION et ses illusionnistes démocratiques

MAGIE, NOIRE OU BLANCHE = POUVOIR, DONC CANCER

Première magie moderne : LE CINÉMA ET HOLLYWOOD (1)

L’Alliance ou la signature du Pacte avec un Dieu de tribus.
 
 
Voir aussi la page : Yahvé Dieu terroriste
 
 
L’Occident en général et l’Europe en particulier étant de culture judéo-chrétienne, chaque Occidental, même s’il ne partage pas intégralement cette foi, porte malgré lui dans ses bagages culturels et psychologiques les marques de ce courant spirituel qui domine encore aujourd’hui l’Europe et qui a façonné sa « civilisation » en norme compas-équerres (2). Or la norme compas-équerres prend racine dans le mental, donc dans l’ego ou OPINION, puisqu’il y a autant d’opinions qu’il y a d’habitants sur cette planète. Quand des humains transforment leurs opinions en quelque chose « d’universel et immuable », et la font entrer dans le monde entier par la violence et la guerre comme leur tradition appelée aujourd’hui « démocratie » ou lois noachides, cela s’appelle une DICTATURE et n’a absolument rien avoir avec le Soi ou Instant ou Dieu.
Le sens de Dieu ou Soi ou Instant a été corrompu par le mental : d’abord un « Dieu fait homme » inventé par les Chrétiens, pour être bidouillé ensuite en « Sauveur unique » puisque fils unique de Dieu. C’est ENCORE UNE OPINION de l’ego et la directe fabrication du binaire WINNER-LOSER : « Mon Dieu est supérieur au tient car il est unique », c’est le « Vu à la Télé » ; soit le principe du SENTIMENT et de l’ÉMOTIONNEL, parfaits manipulateurs. Le binaire winner-loser : TUE-MOI OU JE TE TUE.
La haine, la destruction et le racisme vient des Yahvistes eux-mêmes (voir le Deutéronome).
 
« Le pâle rayon caressa la main inanimée, erra sur le bras, fit jeter un éclair aux yeux de la vipère d’or, la bague bleue brilla... » (Villiers de L’Isle-Adam, L’Ève future, vrai premier roman de science-fiction)

« La magie noire a été pratiquée en Inde depuis les temps les plus reculés, même contre les grands saints. Les tapasvî [ascètes] de la forêt de Dâruka l’exerçaient même contre Shiva » (Ramana Maharshi, entretien 517)

Magie = pouvoir, et donc éloignement de l’Instant : « La plupart des gens veulent savoir ce qu’est l’illusion, et ne cherchent pas QUI est dans l’illusion. C’est absurde. L’illusion est extérieure et inconnue, alors que le chercheur est à l’intérieur et connu. Recherchez plutôt ce qui est proche de vous, intime, au lieu de rechercher ce qui est lointain et inconnu » (Ramana Maharshi, entretien 17)

Magie = ego : « Car je me sens, aujourd’hui, la faculté d’émettre, à distance, une somme d’influx nerveux suffisante pour exercer une domination presque sans limites sur certaines natures, et ceci en fort peu, non de jours, mais d’heures » (Villiers de L’Isle-Adam, L’Ève future)

La magie n’est que du domaine du mental, elle n’est pas naturelle au Soi ou Instant, elle est volonté et pouvoir (on parle de « pouvoirs occultes »), SOIT UNE DOMINATION SUR L’IGNORANT. Or ce qui n’est pas naturel, mais possédé, acquis, ne peut pas être éternel ou permanent, et par conséquence ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir. Comme le dit R. Maharshi à l’entretien 20 : « Les pouvoirs occultes n’apporteront jamais de bonheur à qui que ce soit. Bien au contraire, ils le rendront d’autant plus malheureux ! »


La magie noire ou blanche chez les Yahvistes, spécialistes des sacs de Nœuds.

« Parmi toutes les marques des langues, l’écriture des Hébreux est la plus auguste, la plus sainte, la plus sacrée, consistant dans les figures de ses caractères, les points de ses voyelles, et les points de ses accents, comme étant leur matière, leur forme, et leur esprit, ayant été formées d’abord dans le siège de Dieu, qui est le ciel en y plaçant les astres, dont les lettres ont été formées pour marquer : leur figure, comme disent les Rabbins, et sont pleines des mystères célestes, tant par leur figure, leur forme et leurs significations que par les nombres qu’elles signifient et la différente harmonie de leur liaison ; d’où les plus savants Mécubales des Hébreux promettent d’expliquer suivant la figure de ces lettres, la forme de leurs caractères, leur signature, leur simplicité, leur séparation, leur renversement et entortillement, leur droiture, leur défaut, leur abondance suivant qu’elles font plus grandes ou plus petites, leur couronnement, leur ouverture, comme elles font fermées, leur arrangement, leur changement, leur liaison, la révolution de ces lettres et des points et des accents ; d’expliquer comment toutes ces choses sont venues de la première cause, et y doivent retourner. Les lettres de l’Alphabet Hébreu se divisent encore en trois parties : savoir en douze simples, sept doubles, et trois mères, lesquelles marquent comme ils disent les douze comme les caractères des choses ; les douze signes, les sept planètes et les Trois Éléments, savoir le feu, la terre et l’eau ; car ils ne prennent pas l’air pour un Élément, mais pour le lien et l’esprit des Éléments ».
(Chapitre 74, La Philosophie occulte ou la Magie, par Henri Corneille-Agrippa)


« Les « étrangers » ont souvent du mal à imaginer les moyens par lesquels la secte dirigeante [les Lévites] a pu maintenir une poigne aussi ferme sur une communauté dispersée de par le monde. Ce pouvoir est basé, en définitive, sur la terreur et la crainte. Ses mystères sont tenus cachés de l’étranger, mais par un examen minutieux, ce dernier peut s’en faire une idée [par exemple répétition systématique et hypnotique de « Yahvé ton Dieu »].
L’arme de l’excommunication est une arme redoutable, et la crainte qu’elle inspire repose dans une certaine mesure sur la croyance littérale judaïte en l’efficacité matérielle des malédictions énumérées dans le Deutéronome et d’autres livres ; l’Encyclopædia Juive témoigne de cette croyance continue. À cet égard, il y a une forte ressemblance avec la croyance de l’indigène africain qu’il mourra s’il est « tagati’d », et avec la peur du Noir américain des sortilèges vaudous. Le bannissement de la communauté est une peine très redoutée (et jadis était souvent fatale), dont on peut trouver des exemples dans la littérature actuelle.
De plus, pour les judaïstes pieux (ou à cet égard superstitieux) la Torah-Talmud est la seule Loi, et s’ils se soumettent officiellement aux lois des pays dans lesquels ils vivent, c’est avec cette réserve en leur for intérieur. Sous cette seule Loi, les prêtres exercent tous les pouvoirs judiciaires et de la magistrature (et souvent se les sont fait déléguer officiellement par les gouvernements), et littéralement la Loi inclut la peine capitale pour de nombreux chefs d’accusation ; en pratique, les prêtres au sein des communautés fermées de la Diaspora ont souvent exigé cette peine ».

« Durant cette période, les Lévites de Babylone achevèrent la Loi, dont l’impact continue d’être ressenti par toutes les nations. Ézéchiel, de la famille du Grand prêtre, en fut l’architecte en chef, et probablement la totalité des cinq livres de la Loi, tels qu’ils furent transmis, porte sa marque. Il fut le père fondateur de l’intolérance, du racisme et de la vengeance en tant que religion, et du meurtre au nom de Dieu.
Le livre d’Ézéchiel est le plus significatif de tous les livres de l’Ancien Testament. Il est encore plus significatif que le Deutéronome, le Lévitique et les Nombres, car il semble être la source d’où les idées obscures des livres de la Loi surgirent d’abord. Par exemple, celui qui étudie les malédictions énumérées dans le Deutéronome ne peut que soupçonner que la divinité au nom de laquelle elles étaient proférées était de nature diabolique et non divine ; le nom « Dieu », dans le sens qu’on lui a donné, ne peut être associé à de telles menaces. Dans le livre d’Ézéchiel, le chercheur trouvera ce soupçon expressément confirmé. Ézéchiel met dans la bouche même de Dieu la déclaration qu’il a créé des lois malfaisantes afin d’inspirer la souffrance et la crainte ! Cela apparaît dans le chapitre 20 et donne la clé du mystère entier de « la Loi mosaïque ».
(Douglas Reed, La Controverse de Sion).


L’Alliance ou la signature du Pacte : « Je t’ai coupé des autres peuples pour que tu sois à moi » (Lévitique). Toujours ce sens de la possession ! Et du donc du « peuple élu » : « Faudra-t-il entendre dire que vous commettez aussi ce grand crime : trahir notre Dieu en vous mariant avec des femmes étrangères » (Néhémie 13, 27).

RAPPEL : Le judaïsme interdit le culte des idoles. C’est son opinion. Ramana Maharshi à l’entretien 31 dit que le culte des idoles aide à la concentration du mental. Devenir concentré et tout ira bien. Il précise que la liberté n’est pas à chercher quelque part, mais à connaître le Soi (Instant) en soi-même.
Déjà, le concept de « Dieu » c’est inventer ce Dieu, lui DONNER UNE FORME ! Donc LUI DONNER UN ATTRIBUT, une distinction. Comme le dit Ramana Maharshi on ne peut pas adorer Dieu sans quelques concepts. N’importe quelle contemplation suppose un Dieu avec attributs. Donc plus de masturbation du mental pour savoir si Dieu a dune forme ou une non-forme, un nom ou un non-nom.

Rappel des Dix Commandements et de la Justice des Pharisiens.


Le Décalogue est résumé comme suit :
1- Tu n’auras point d’autres dieux que l’Éternel.
2- Tu ne feras point d’image taillée, ni aucune représentation, etc.,
    Et tu ne te prosterneras point devant elles.
3- Tu ne prendras point le nom de l’Éternel ton Dieu en vain.
4- Tu te souviendras du jour de repos pour le sanctifier.
5- Tu honoreras ton père et ta mère.
6- Tu ne tueras point.
7- Tu ne commettras point d’adultère.
8- Tu ne déroberas point.
9- Tu ne diras point de faux témoignage contre ton prochain.
10- Tu ne convoiteras point les biens d’autrui.

Quant au Pharisien, il est spécialiste de compas-équerres et père-la-morale : il se croit vertueux parce qu’il respecte la norme : « l’eau la plus souillée lui paraît pure pourvu qu’elle coule au fond du lit des conventions sociales », comme l’écrit justement Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière. Il écrit aussi : « Que la foi et l’amour l’emportent sur la loi, c’est là une vérité chrétienne élémentaire que seuls les Pharisiens méconnaissent ».

Les Pharisiens sont le type même du BINAIRE winner-loser : « Vous êtes comme tous les hommes, mêlés de bien et de mal, et vous voulez pourtant qu’on vous identifie tout entiers à votre vertu ; mais prenez garde : dès que vous ne pourrez plus faire illusion, on vous identifiera tout entiers à votre péché ».
Tout est dit ici par G. Thibon sur l’illusion et la magie yahviste !
« Le pharisaïsme est une tentative frauduleuse pour réaliser cette synthèse ; il fait l’unité au-dehors au lieu de la faire au-dedans ; son désir de perfection s’arrête à la blanche couche de chaux qui revêt l’extérieur du sépulcre ». Thibon définie ainsi le mondialisme et l’éloignement de l’Instant ou Soi.
Avec ses normes le Pharisien est piégé par son mental ou son ego, il baigne dans l’opinion.


[En haut de page : planche à la fin du volume 1 de Henri Corneille-Agrippa sur la Magie. Arrangement des lettres hébraïques, Agrippa écrit que ces lettres sont « les plus efficaces et qu’elles signifient le plus, parce qu’elles ont un rapport avec les corps célestes et avec le monde, et que les lettres des autres langues ne sont pas aussi efficaces, parce qu’elles en sont le plus éloignées ». On retrouve là encore l’opinion en forme de winner-loser ou entre « peuple élu » et non élu...]
 
 
Notes.
1. « L’ouvrier qui ne travaille pas vingt-cinq heures par jour - n’a que faire d’entrer chez moi » (Edison, cité par Villiers de L’Isle-Adam)

2. « Vous n’avez jamais eu le souci ni pris le plaisir de calculer, par exemple, la somme d’heures qu’un perruquier de soixante ans, ayant commencé son métier à dix-huit ans, a dépensée à dire à chaque menton qu’il rase : « Il fait beau ou vilain temps ! » pour engager la conversation, laquelle (s’il lui est répondu) roule cinq minutes sur ce sujet, pour être automatiquement reprise par le menton suivant, et ainsi de suite, et recommencer le lendemain ? Cela donne un peu plus de quatorze années compactes de sa vie, c’est-à-dire la quatrième partie, environ, de la totalité de ses jours ; le reste est employé à naître, geindre, grandir, boire, manger, dormir et voter d’une manière éclairée », écrit somptueusement Villiers de L’Isle-Adam dans L’Ève future.
 
 

Dernière mise à jour : 19-07-2013 02:20

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