La démocratie c’est le désordre, soit une forme humaine d’ordre.
La démocratie c’est TOUT EST PAYANT : FAIRE DU CHIFFRE. C’est donc un refus du réel : la GRATUITÉ. La gratuité et la Vérité si cruelle pour la république maçonnique.
La démocratie c’est la ploutocratie ou l’oligarchie, la virtualité à l’état pure : celle de l’argent qui n’a pas d’odeur : un riche est riche dans le monde entier, et cette ploutocratie est nécessairement mondialiste, étrangère à l’ordre vivant d’une cité, elle ne peut être (et cela sans frein, sans correction) qu’un facteur de désordre et de parasitisme.
Le temps de cette actuelle fausse élite est bien celui de la CROISSANCE, de l’évolutionnisme : l’ascension (au pouvoir).
Le socialisme est la totale corruption.
La démocratie et sa république « universelle » maçonnique c’est le « Royaume de Dieu juif sur Terre » : le meilleur des mondes où l’on obtient pas ce qu’on désire, mais le Royaume où on désire quelque chose ! Et c’est notre civilisation de consommation et de son pouvoir d’achat ; une civilisation de l’ACHAT, on achète même sa sécurité, bientôt son immortalité ? La civilisation de la carotte et de la baston (bâton). Nous avons la civilisation d’Aladin et sa lampe magique, notamment grâce à l’Internet : la « connaissance », mais plutôt une même soupe pour tous dans un Alpha et Oméga bien cadré.
Dans ce merdier démocratique, percevoir le réel n’est pas donné à tout le monde : « N’est pas fou qui veut » disait le Docteur Psychiatre Henri Ey. Effectivement, la raison peut frapper très durement : un excès de raison menant à la folie ! Le drame du mental où il y a une infinité de façons de s’égarer dans son principe du vagabondage... Par contre, le vaisseau ou contenant ne s’égare jamais.

LA RÉPUBLIQUE EST LE CANCER DU POUVOIR rongeant tout le corps social : par exemple au début du 19è siècle non encore contaminé par le Saint Fric républicain du libéralisme, une extrême familiarité régnait entre le Seigneur du coin et les Paysans : les uns et les autres jouaient aux boules ensemble après la messe, les filles de nobles dansaient avec les fils de paysans et d’ouvriers du village. De tels ACCORDS ne pouvaient exister qu’AVANT le cancer de l’égalité franc-maçonnique, là où chaque classe restait lié à sa position, en dehors de toute contestation et de toute envie. Dans ces milieux où les différences sociales étaient acceptées et vécues comme d’indispensables nécessités, la familiarité pouvait grandir, d’une classe à l’autre, sans danger de promiscuité : une fraternité profonde naissait de l’acceptation de l’inégalité, comme l’écrit si bien Gustave Thibon dans : Diagnostics ; et ça, les francs-maçons de 1717 ne comprennent pas ! Parce que le cancer égalitaire, le messianisme égalitaire, engendre au contraire la révolte, la méfiance, le toujours plus et l'égoïsme : « pourquoi pas moi », et la possibilité d’acheter facilement l’autre par n’importe quel moyen légal ou illégal. L’égalité franc-maçonnique c’est la thermodynamique : la violence permanente de la méfiance à l’égard de celui qui donne les ordres (À vos ordres) ; et cette  même thermodynamique avec réflexe de défense ou la guerre au lieu de la communion ! DEPUIS LE SIÈCLE DES LUMIÈRES, LA FRATERNITÉ MAÇONNIQUE SPÉCULATIVE C’EST LA GUERRE ET SON LIBÉRALISME MORTIFÈRE ET TOTALEMENT CORROMPU.

POUVOIR = MENSONGES

RAPPEL : Ceux qui travaillent à l’amélioration de la condition humaine sont de parfaits égoïstes, aussi ils ont cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque.

Ce système repose, depuis le siècle des perruques poudrées, sur la violence, la guerre et l’explosion : LA THERMODYNAMIQUE. La thermodynamique c’est la « raison » chère aux francs-maçons spéculatifs : se tourner à l’EXTÉRIEUR. Toute notre civilisation et sa technologie est bâtit sur l’EXPLOSION et sa violence. Notre « science » est de mettre de l’essence de l’huile de pierre dans un cylindre, au-dessus on met quatre personnes volontaires, on allume la mèche pour voir s’il y a des survivants à la fin de l’expérience.
Tout est basé sur la CROISSANCE ou EXPANSION : l’explosion ou radiation ; on le voit bien-sûr avec les typiques radiations du nucléaire. Toute notre civilisation est bâtit sur l’évolutionnisme en oubliant l’INVOLUTION. L’explosion c’est aussi la finance internationale.

Dans cette civilisation de la thermodynamique nous avons le célèbre : « À vos ordres ».

ou plutôt À VOS DÉSORDRES.
Le monde sera en vraie Paix quand on n’entendra plus le manipulé par le pouvoir manipulateur de l’autre crier : « À vos ordres ! »

La sécurité la justice et l’ordre règnent, soit :
Bienvenue dans l’Empire du Nouvel Ordre Mondial, celui dont on dit qu’il faut deux Anglais pour faire un match de football, et de un de plus pour faire un Empire : le Nouvel Ordre Mondial ou l’Empire USionistan (la City de Londres étant le coffre-fort du monde).
Bienvenue dans un monde ravagé par le pouvoir, et l’OPINION ; ce monde où l’humain avec sa thermodynamique est tourné vers l’extérieur, mais tourné vers l’intérieur QUAND ÇA L’ARRANGE : il devient aveuglé par son opinion, sa croyance. Il devient fermé dans sa loge ou geôle dès lors que celle-ci ne s’accorde pas avec l’ordre de l’attente et du souhait de son opinion, ainsi il ignore à sa convenance ; quitte à y opposer, si la « réalité » s’entête, un refus d’objectivité censurant toute controverse.

Le « À vos ordres » est la même tyrannie que : « La vérité éclatera, ou éclate ». NON ! La Vérité EST, et ÉTERNELLE, par conséquence aucune violence à prévoir genre explosion de la thermodynamique !

Le « À vos ordres ! » s’entend évidemment des ordres cachés de cette franc-maçonnerie à pouvoir qu’est la maçonnerie spéculative genre Grand Orient de France. Le pouvoir va très bien avec ce qui est caché, le fameux « secret-défense » si pratique et anti-démocratique par excellence, et l’invisibilité fait peur, la nuit fait peur : tout ce qui est invisible, comme cette franc-maçonnerie spéculative, est virtuellement redoutable, surtout si elle est devenu aujourd’hui familière et en apparence inoffensive, car elle ne peut pas être identifié sur-le-champ et à coup sûr ; seules les rares grosses affaires apparaissent en public. La peur est toujours celle du dernier moment : le verdict ou l’Instant.
Cette franc-maçonnerie spéculative n’est plus inoffensive depuis le début du 18è siècle et en France depuis 1870. Cette judéo franc-maçonnerie ne se cache presque plus : voir le nombre important de maçons dans l’actuel gouvernement de François Hollande : un ratio qui n’a jamais été égalé sous la cinquième république.
Ainsi nous avons : Manuel Valls (Grand Orient), Christiane Taubira (Grande Loge féminine), Jean-Yves Le Drian (Grand Orient), Victorin Lurel (Grand Orient), Michel Sapin, Jérôme Cahuzac, Alain Vidalies, etc.
Le ministère de l’intérieur est le « ministère franc-maçonnique ». Cela remonte à Napoléon Bonaparte où des inspecteurs étaient chargés de surveiller les Loges. Ainsi les gouvernements des républicains passent et trépassent, mais les fonctionnaires restent, ainsi ceux qui sont planqués sont ceux qui tirent les ficelles : les nominations font l’objet d’un large consensus entre syndicats et fonctionnaires d’autorité. Réseaux et « fraternité » (magouillage) fonctionnent.
La proportion de maçons est particulièrement élevée chez les commissaires de police : un sur quatre est un « initié » : magouille, magouille !

MAGOUILLE avec le NORME COMPAS-ÉQUERRE HUMAINE (opposée à la norme cosmique) : « A est vrai parce que A est vrai et que si A est vrai A l’est aussi ». Cette norme égalitaire complètement folle est utilisée par les francs-maçons mais aussi par les profanes genre têtus, les fixistes genre Yahvistes et leur évolutionnisme à la Moïse. L’humanité croulant sous la norme et ses lois les plus rigoureuses pour soi-disant la « sécurité » et la « paix », est dans la norme la plus infâme et la plus corruptrice.
L’État-abstraction modèle Nouvel Ordre Mondial conduit et manipule le peuple en le privant de toute initiative personnelle et le besoin du vrai prochain, de la vraie fraternité, et non celle de cette franc-maçonnerie démoniaque supprimant les castes, l’entraide issue de la famille, supprimant le divin à l’aide de son arme laïcité, supprimant le milieu immédiat et organique de l’individu, en deux mots : SUPPRIMANT L’INSTANT en abolissant le rayonnement naturel de communions vitales. Le Nouvel Ordre Mondial donnera, comme en Union Soviétique, le règne de la corruption et de l’anti social : parasitisme sous toutes ses formes ; rien n’isole plus l’être humain dépendant uniquement de l’Étatisme et du mondialisme.
Le socialisme c’est la génération des privilèges : le tous égaux des francs-maçons, donc exploitez-vous, violez-vous les uns les autres !
Le régime a d’autant plus besoin d’être froid et inhumain qu’il a le plus sapé, pour s’établir, le sens de la responsabilité personnelle et de la résignation sociale.
Cette magouille de norme fut splendidement énoncé par l’extraordinaire Fernand Raynaud et son sketch des Croissants : il a envie de croissants et obligatoirement il doit y avoir des croissants  dans n’importe quel bistrot (voir le résumé dans la citation en fin d’article). Croire et désir, plus la volonté avec l’outil mental, et c’est la catastrophe !

Toutes ces conneries et maladies cancéreuses du pouvoir et de l’opinion marchent parce que l’être humain PRÊTE CRÉDIT : règne du Dieu Saint FRIC ; donc l’être humain NE CROIT VRAIMENT EN RIEN, il est incapable de croire en quoi que ce soit ; sinon, pourquoi est-il rapporté la parabole de Jésus sur le « grain de sénevé » offrant la gratuité de « soulever des montagnes » ? Ce grain de sénevé est la symbolique de la RÉALISATION DE L’INSTANT.

Faut-il le voir pour le croire, ou le croire pour le voir ??
La clé réside dans la SIMPLICITÉ, donc dans l’extraordinairement compliqué : ce que tout le monde cherche et que bien peu trouvent. La Simplicité est l’Instant : un abîme de simplicité. Par là, plus une chose est simple plus elle est compliquée, puisqu’elle offre une infinité de possibles, ou de variations.
« Seule l’abondance mène à la clarté, et c’est dans l’abîme que demeure la Vérité ». Vers de Schiller, cité par Werner Heisenberg dans : La Partie et le Tout.