Pour les mécanistes et autres philosophistes des Grecs jusqu’à nos jours, la matière est une sorte de locomotive à vapeur dans laquelle on met du charbon (DIEU). C’est la thermodynamique (machines à vapeur et de tout ce qui explose), laquelle ordonne que « rien ne se créé, rien ne se perd, tout se transforme », formant ainsi le déterminisme ou fixisme. La thermodynamique est symbolisé par le moulin force motrice alimenté en eau et faisant tourner quelque chose ; c’était la première usine (fabrique), et le moulin du meunier en fait la partie. Le mot usine vient de moulin (réf.
Hyacinthe Dubreuil :
J’ai fini ma journée).
RAPPEL : Le vrai sens de Chaos ne fait pas la partie de la thermodynamique. Le Chaos est une sorte d’Instant, il est même contenue dedans puisqu’il représente le Vide, ou PLEIN DE TOUS LES POSSIBLES, et à l’infini. Le Chaos c’est : OR-ORDRE et OR-DONNÉ, car l’humain et son mental est synonyme de chaos ou de folie, puisque naturellement toute chose s’ordonne d’elle-même dans le juste déploiement des potentialités qu’elle inclut quand il n’y a pas d’interférence. Le Chaos est donc l’Ordre en toutes choses du Chaos.
Le chaos humain est typiquement le «
Ordo ab chao » des
Illuminés de Bavière, bien dans la logique thermodynamique : l’ordre né du désordre, donc un ORDRE HUMAIN OU FOLIE HUMAINE. Pour s’en sortir il est nécessaire de DOMPTER LE MENTAL.
Le charbon de ces Illuminés de Bavière et de leurs prolongements jusqu’à nos jours sous forme du Nouvel Ordre Mondial ou projet de gouvernance mondiale, est le MESSIE JUIF, son attente ; où ce messie sera sous forme cosmique : événement solaire, électromagnétique, par un virus, d’une planète ou d’un élément de l’espace. Dans ces deux cas le « messie » sera d’origine humaine, même pour le cosmique, car la technologie humaine peut maintenant facilement faire prendre des vessies pour des lanternes : nous vivons désormais dans le MONDE DU FAUX.
Ne pas oublier que « l’élite » ou malades cancérisés par le pouvoir ont fait creuser de nombreux endroits de la Terre pour s’abriter dans des bunkers et autres souterrains, avec réserves de toutes sortes. Ne pas oublier les prémonitions plus ou moins cachées dans les grosses machines hollywoodiennes, genre du film :
2012.
Ne jamais oublier le dualisme du damier en carrelage noir et blanc représenté dans toutes les loges des francs-maçons spéculatifs, signifiant en gros
la loi de cause et effet, elle aussi dans la thermodynamique.
Ne pas oublier que SATAN = POUVOIR, POUR VOIR. Et ça aussi c’est de la thermodynamique sujet-objet !
Ne pas oublier que depuis des millénaires les guerres de religions font des morts pour établir qui est la « meilleure religion ». Les guerres sont typiquement de la thermodynamagogie en winner ! L’entropie étant les losers...
Ne pas oublier que la Trinité gène terriblement le judaïsme et l’islam, et la franc-maçonnerie, qui veut conserver la sienne : égalité-liberté-fraternité.
La thermodynamique c’est l’arrivée du messie juif ou Antéchrist, permettant à la fois de supprimer le trop plein d’humains ou de bouches à nourrir sur cette planètes, et ensuite instauration du POUVOIR (pour-voir ou big brother maçonnique).
La thermodynamique est donc le Dieu Charbon, remplacé à la fin du 19è siècle par le Dieu Pétrole qui donnera les
pétrodollars ou outil du Dieu Fric. Mais pas seulement, car ça atteint la vie de tous les jours, voyez les plastiques, lessives, engrais, tee-shirts et chaussettes en polyester, etc., tous ces objets de la vie actuelle. La thermodynamique c’est aussi « l’énergie fossile » mieux acceptée par les « écologistes ».
Mais bien mieux, la thermodynamique dirige notre civilisation, au point de vue politique cela nous donne la démocratie actuelle, basée uniquement sur le Dieu Fric. Tout pour la vapeur, rien que la vapeur, et après on parle de gaz si à la mode depuis les première et seconde guerres mondiales, jusqu'à la Syrie de 2013.
La thermodynamique est politique, le charbon aussi. Il a colonisé tout le 19è siècle s’industrialisant. Le charbon fut le Dieu du 19è siècle si matérialiste. Il est produit sur des territoires restreints, et par une petite partie de la population (les mineurs), avant d’être distribué au plus grand nombre dans les foyers ; il suffit de regarder les photos de toits d’immeubles parisiens à la fin du 19è siècle pour imaginer le nombre de cheminées brûlant du charbon. Le Dieu Charbon va de pair avec tout cet autre matérialisme : fer et acier ou poutrelles métalliques, dont le sommet en forme de symbole est bien la
Tour Eiffel à Paris, aussi symbole de cette fièvre des expositions « universelles » glorifiant la production et le progrès tout au long de la seconde moitié du 19è siècle début du 20è, jusqu’à nos
Arts Ménagers rayonnant fortement jusqu’à la fin des années 1970, l’
American way of life pénétrant en France dévastée par la guerre et en Europe, grâce surtout au
Plan Marshall. Je me rappel les citernes noires de
l’usine à gaz marchant au charbon et qui se trouvait au bord de la Seine à Paris, sur un vaste terrain vague, où se situe maintenant la
Maison de la Radio.
Au 19è siècle le pouvoir arrive, enfin, aux pauvres : les travailleurs et ouvriers. On balance aux ordures la bougie et sa magie, place au Charbon. Ce sont ces travailleurs « au charbon » qui produisent véritablement l’énergie nécessaire aux pays. Le Dieu Charbon ou Or noir ayant la même formule chimique que le DIAMANT.
Pour la première fois depuis peut-être des millénaires, mineurs, mécaniciens, chauffeurs, huileurs, conducteurs, etc., détenaient un pouvoir pour perturber, bloquer les paroisses du Dieu Charbon (nouveau Dieu Fric), reliant chaque usine, chaque bureau, chaque foyer, chaque nouveau moyen de transport comme les navires et le chemin de fer. La politique commença à descendre dans le peuple : dès les années 1880 des grèves de mineurs américains s’installent ; le mouvement ouvriers s’organise en grève du zèle, grève générale, sabotage, etc., jusqu’à la construction de partis politique, de syndicats suite à l’essor de la législation sur le travail et l’extension du suffrage « universel » de la franc-maçonnerie spéculative. Ainsi se peaufinait le mariage démocratie-fric, tout en essayant de « protéger » les travailleurs, mais en les exploitant encore plus qu’avant, quand il n’y avait aucune machine à vapeur pour actionner quoi que ce soit, parce qu’avec le progrès technologique, nous entrions dans l’esclavage de la production et de la consommation, et du profit ou croissance pour la finance internationale.
Quand arrive le pétrole à la fin du 19è siècle, corrélativement avec la fièvres des chercheurs d’Or aux USA, pétrole et Or (Or noir et Or jaune) façonnent un autre type de démocratie plus pernicieux et diabolique que le précédent. Ce ne sont plus les ouvriers qui ont le pouvoir, mais les financiers et les managers et les ingénieurs devenant essentiels au contrôle de la production de pétrole. C’était la porte ouverte à toutes les Big Industries que nous connaissons.
Le transport de l’Or noir se faisait souvent par des navires, il ne nécessite ni chauffeurs ni porteurs de sacs de charbon ; son approvisionnement est quantitatif, global (mondialiste), et de plus le transport se fait en dehors des espaces territoriaux régis par les législations du travail, et par les autres droits démocratiques obtenus par les luttes ouvrières à l’âge des grandes grèves du charbon et du rail.
La démocratie devenait dépendante du nouveau Dieu Pétrole en devenant de moins en moins égalitaire ! C’est là qu’arrive le Plan Marshall, élaboré par le gouvernement américain pour « reconstruire l’Europe » dévastée par la guerre. L’empire américain s’installait durablement en Europe (future Union européenne) en lui fournissant pendant dix ans le Dieu Pétrole, en lui payant des raffineries, en permettant la construction de routes, le développement de l’essor automobile. L’
American way of life et son pétrole devenait le Paradis ou « Royaume de Dieu (juif) sur Terre », toujours plus de production et toujours plus d’envie « démocratique » de possession, tout cela pour faire taire les revendications sociales et endormir le peuple dans une illusion de confort nommé « progrès ».
Selon certains, le Plan Marshall fut une tactique américaine pour tuer le Dieu Charbon et ses servants : les mineurs, et rendre les Européens dépendant du Dieu Pétrole : 10% de la consommation d’énergie en 1948, un tiers dix ans plus tard.
Dieu Charbon et Dieu Pétrole = FINANCE INTERNATIONALE ou CAPITALISME.
Arrive alors le pétrodollar : construire un dollar basé sur le Dieu Pétrole, mais aussi bâtir une économie dépendante d’une énergie qu’on croyait abondante et bon marché, synonyme de « croissance illimitée ».
Dieu Charbon et Dieu Pétrole nous apportèrent le dogme de la démocratie et de sa QUANTITÉ et de « l’universel » confondu avec le « général ».
Après ces Dieux arrive le Yahvé colérique sous forme du nucléaire, si dangereux que les pouvoirs se tournent maintenant vers le gaz... de schiste. Tout cela tourne avec le dictat énergétique ou thermodynamique de l’Étatisme. Cette vieille vision thermodynamique de cause et effet est le support principal de tout État qui affaiblit ainsi la société civile, et par la même la démocratie et la capacité du peuple à protester sur les ravages du nucléaire et les projets délirants, dangereux du gaz de schiste. Le nucléaire, ou les conneries genres
ITER, c’est au peuple de décider s’il en veux, et pas à un gouvernement, surtout de république maçonnique comme en 2013 !
Donc énergie de demain = régime politique de demain, c’est étroitement lié.
Matérialisme, machines et thermodynamique sont notre société de consommation : fièvre de l’énergie et conversion en travail ou esclavage, avec les grosses pertes qu’engendre la thermodynamique ; perte qui se disperse dans l’environnement sous forme de CHALEUR (usure et violence du rouge de la passion bien dans notre civilisation du profit). L’usure, aussi bien financière que physique, est baptisée entropie, elle ne sert à rien dans la thermodynamique. La diabolique thermodynamique est responsable de la coupure et de la destruction de notre Nature, car cette thermodynamique énonce que tout processus naturel et spontané conduit à une augmentation de l’entropie ou dégradation (vieillesse et sortie du monde spatio-temporel). La croissance de l’entropie se situe bien dans la géométrie de la ligne droite ou évolutionnisme, mais en inverse : en descente vers un « point zéro » ou arrêt, ou « point mort ». C’est encore une opinion de fixiste genre au début un Big bang et à la fin... les Yahvistes et leur Royaume ! Tout cela se résume par PERTE DE CHALEUR. C’est peut-être pour ça que les Chrétiens parlent d’AMOUR ?
Depuis la fin du 19è siècle, nombre de gens cherchent à s’échapper de la diabolique thermodynamique, notamment
Nikola Tesla, et nombre de personnes obsédées par « l’énergie libre » (gratuite, ce qui devrait être le cas même du temps du Dieu Charbon) proposent des tas de bricolages contrés plus ou moins par l’industrie du Dieu Pétrole.
Ne jamais oublier que les États-Unis représentent à eux tout seul LA THERMODYNAMIQUE par excellence : ils sont l’empire de la thermodynamique : celle de la VIOLENCE, mais aussi celle de la technique de l’organisation. L’Américain est un génie de l’organisation, il est tombé dedans avec ses arrières grands parents pionniers et émigrés. Les États-Unis c’est le Dieu Pétrole à eux tout seul. Ils veulent l’exporter, comme la démocratie, partout dans le monde à coups de mensonges et de guerres et de bombes sur la gueule, comme à coups de crimes atroces les Conquistadors espagnols et portugais apportèrent leur « chrétienté » et « civilisation », maladies comprises, aux « Peuples du Soleil » (Mayas, Aztèques, Incas, etc.).
VOILÀ LE RÉSULTAT DE LA THERMODYNAMIQUE : C’EST LA GUERRE ET LA VIOLENCE EN PERMANENCE. My God, quelle énergie ! L’énergie du « peuple élu » américain du « ce qui est bon pour nous est bon pour vous », soit l’énergie de l’empire ou colonisateur.
États-Unis ou nations de gros bouffis d’orgueil (leurs gouvernements successifs), ce qui n’est pas étonnant puisque ces nations réunies ont une constitution fabriquée par la franc-maçonnerie spéculative.
Il est écrit quelque part que LES PREMIERS SERONT LES DERNIERS.
[En haut de page : lampe de mineur à essence, Pays-Bas,
Limbourg]
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