Résonance ou ANALOGIE (parenté, induction, relation...)
MIROIR : Bis repetita non placent, sinon routine ou accoutumance : on n’utilise un préservatif qu’une seule fois, il ne doit pas être réutilisé ! De même que le miroir ne peut renvoyer le reflet du vampire déjà trépassé.

 

ICE : la glace en anglais, cela, cette chose, celui (icil, icestes...)
MI : note de musique
MI : du latin medius : qui est au milieu (ma moitié ou ma mi en parlant de sa femme)
MI : moitié vivant moitié mort, comme le vampire mort le jour vivant la nuit. Il est en DÉCALAGE DE FRÉQUENCE.
MIR – OIR
MIR – ACLE : s’étonner
MIRER : se mirer dans l’eau (voir plus bas Narcisse)
MIRER : se mirer dans l’air...
MIROIR : ÇA-VOIR OU SAVOIR : ENSEIGNE au loin, MIRADOR
MIRER – MIREOR – MIRER : réfléchir deux moitiés
MIRAVILE : Merveille
MIROIR/REFLEXE/RÉFLEXION – MI : DEMI – MILIEU – MOI
MI en parts égales et ROIR [MIREOR] : modèle > MIMER - MIMÉTISME
MEI = DEMI, réfléchir la pensée et alors on perd de sa spontanéité.
Matière et lumière (non polarisée) : des MIROIRS, se MI-RÉ dans l’autre moitié, regarder son image. *Minéral* *Mémoire*
C’est la surface qui réfléchit : l’Eau, le Soleil.
La Lumière solaire se reflète bien sur la *Lune* et les 2 rayons éclairent la Terre, tantôt le jour, tantôt la nuit.
Le CIEL sert de Miroir à ce qu’il y a sur TERRE. Ce qui existe sur TERRE, existe aussi dans le CIEL.
MIROIR/CIEL : éléments terrestres en *Correspondance* avec les éléments célestes.MIROIR/LES AUTRES : comment l’on est perçu par l’autre ?
Les miroirs ont-ils une mémoire ?
Miroir de l’Eau, miroirs et Narcisse (voir plus bas).
REFLET : faire du neuf avec du vieux !
Les mots peuvent s’inverser (Argot)
Les faisceaux peuvent se croiser.
Si on allume une bougie, on donne naissance à une flamme. Lorsque l’on éteint la flamme, la poursuite de la Vie de cette flamme continue un court instant au travers de la fumée, puis passe dans l’invisible ; mais cette Vie ne peut-être annihilée.
Le miroir par exemple est un bon AIMANT : l’aimant (Magnétite) est en attente, donc il peut subir le “ recevoir ”. C’est le *Patient*, il n’est pas encore l’*Agent*. L’aimant est agent lorsqu’il attire, il est ici Mercure : l’attraction visible.
Inconscient collectif : reflet du sens entre un penseur et un autre penseur. C’est comparer sa pensée par rapport à la pensée d’un autre. C’est une sorte d’ACCORD, (dans le sens émission/réception) dont l’harmonie est notre sens collectif, à ne pas confondre avec « l’inconscient collectif » de Carl Gustav Jung.


L’organisme s’accoutume par RÉSONANCE. Une nouvelle stimulation est remarqué parce qu’elle est nouvelle et donc non familière. C’est le principe de l’effet domino.

 

 

En général nous ne remarquons pas ce qui reste identique, nous remarquons les différences et les changements. C’est pourquoi pour « regarder » il ne faut pas fixer son œil sur un point, il faut cligner des yeux ou REGARDER À CÔTÉ. Tous nos sens fonctionnent sur ce principe d’accoutumance mémorielle. Donc le « trop poli pour être honnête » est bien une réalité, tout comme la CRÉDULITÉ dont le sens est de ne pouvoir croire en quoi que ce soit !!! Car : « Faut-il le croire pour le voir, ou le voir pour le croire ?? »
Si vous regardez un paysage fixement, seul un petit élément qui bouge attirera immédiatement votre regard. Notre opinion et culture fonctionne de même : les médias ne s’intéressent pas aux choses invariables, ils ne rapportent que des changements ou des différences.
Les animaux s’accoutument aussi à leur environnement. Dès qu’il y a une nouveauté, ils ne sont pas prévenus ou pas habitués (pas dans le confort) alors ils prennent la fuite. Cette réaction se trouve même chez les organismes unicellulaires.
Donc l’organisme s’accoutume par résonance. Une nouvelle impulsion est remarqué parce qu’elle est nouvelle et non familière ; c’est pourquoi la publicité mercantile abuse de terme comme « Nouveau, vu à la télé » ; il en est de même de toute cette civilisation basée sur le fric, avec le mot magique de CROISSANCE. Et ce « toujours plus » se retrouve dans le moindre organisme : comme l’accoutumance, la sensibilisation va avec l’autorésonance : quand une stimulation ayant montré sa nocivité et est ressenti, l’organisme résonne avec lui-même répondant à cette stimulation, avec pour résultat une réponse plus forte.

L’accoutumance c’est le CONFORT, le SÉCURITAIRE, ainsi lorsqu’on passe devant un miroir ou une glace quelconque que l’on n'avait pas remarqué, on est SURPRIS À L’IMPROVISTE dans le double sens du terme : saisit ou capté par le miroir et sursauter ! Qui est cet espion derrière le miroir, cet autre qui me regarde ? Cette brave Alice est passé de l’autre côté du miroir. Le REFLET est bien-sûr le thème du NARCISSE : seule réalité corporelle. Aujourd’hui avec Big Brother et sa NSA nous sommes dans une société à miroirs.
Le NARCISSE est avant tout une fleur symbolisant un sommeil suivit d’un réveil, donc le rythme : mort-sommeil-renaissance. Le bonhomme Narcisse voit son reflet dans l’eau-miroir et ça lui fait comme un court-circuit qu’on peu nommer : égo, vanité, etc. Le seul problème, il est comme celui d’Alice : la PROFONDEUR, que ce soit de l’eau ou du miroir qui en apparence est plat (voir l’effet larsen en vidéo et la transcommunication...)

L’actuel religion de l’homme est du pur narcissisme ! Un monde où les humains se masturbent la cervelle, ils se pensent eux-mêmes avec leur fameuse « raison ». Le socialisme ou communisme fondé sur l’opinion de l’égalité en croyant faire du libérale n’en a rien à foutre de la vraie liberté. Il n’y a pas pire tyrannie que le socialisme ou communisme, et il est en système narcisse ou miroir avec son égalité. Mais un miroir de perdition ne possédant aucun corps aucun reflet magique, je dirais AUCUNE OMBRE : le socialisme est un corps sans ombre, il n’y a plus aucun espoir dans l’égalité : tous les gens sont égaux, alors ils n’en ont plus rien à foutre et se suicident.
Que l’on se souviennent de Peter Pan recousant son précieux reflet au talon de sa chaussure.
L’égalité ça n’existe pas, chaque feuille sur un arbre est différente, chaque être humain sur l’arbre Terre EST DIFFÉRENT. Oui, le communisme ou socialisme égalitariste est comme un corps sans reflet, sans ombre, tantôt lumineux (au moment de la révolution russe de 1917), tantôt éteint (après la chute du mur de Berlin et l’effondrement du système politique de l’Union Soviétique), et comme allumé comme aujourd’hui : le corps sans reflet est alternativement vivant et mort, ou plutôt ni tout à fait l’un ni tout à fait l’autre. Le socialisme est comme ces films d’horreurs où la plupart des créatures monstrueuses sont censés mourir à la fin du film, sans qu’on soit bien sûr que c’est définitif ou pour de bon, alors cela rend angoissé les spectateurs qui risquent de faire des cauchemars la nuit dans leur chambrette.
Le socialisme est comme le vampire : UN CORPS SANS ÂME, un corps qui ne réussit pas à mourir et devient un mort-vivant. Le mondialisme rêvé depuis plusieurs millénaires est la même chose : un mort vivant.


L’ENSEIGNE - L’ENSEIGNEMENT.

Tout l’industrie du porno marche par résonance : regarder d’autres personnes pratiquant une activité sexuelle stimule le désir sexuel de celui ou celle qui regarde par résonance ou analogie : effet MIROIR.
Aujourd’hui les « neurosciences » parlent de « neurones miroirs » : lorsqu’un animal regarde un autre animal en train d’accomplir un geste, les variations de l’activité de ses zones motrices cérébrales reflètent celles qui ont lieu dans le cerveau de l’animal actif. Donc beaucoup d’animaux apprennent leurs modèles comportementaux en imitant les autres membres de leur groupe, il y a MIMÉTISME. Évidemment l’héritage culturel est au sommet chez les humains, avec une grande variété de comportements comme le langage, le savoir-faire physique ou intellectuel comme jouer du violon, compter, écrire un roman... On est toujours dans le phénomène de résonance.
NEURONES MIROIRS = ENSEIGNE ENSEIGNEMENT.

Comme Karl Pribram, je considère que le cerveau n’est qu’un outil : « un analyseur de forme ondulatoire » plutôt qu’un organe de stockage genre disque dur de nos actuels ordinateurs. Et il se pourrait que notre cerveau se comporte comme un hologramme, et tout ce que nous prenons pour « réel » ne se trouve « traité » que par notre cerveau. Notre cerveau serait comme un récepteur qui capterait des formes ondulatoires dans un « champ implicite » les rendant explicites (réf. cité par Rupert Sheldrake, dans : Réenchanter la Science).

Le physicien David Bohm a suggéré que l’univers entier est holographique : la totalité de l’univers est présente dans chaque partie, ce qui rejoins l’Instant ou Centrum Centri où le centre est partout et la circonférence nulle part.
Nous savons voyager dans le temps... mais dans notre cerveau : pour nous souvenir de quelque chose du passé, nous nous « branchons » sur nous-même dans ce passé personnel.

Reconnaître, se souvenir, sont deux choses distinctes.
Reconnaître est l’effet miroir ou analogie entre une chose d’avant et une chose d’après. La dualité est alors solide ! Se souvenir implique une idéation encore plus costaude du passé sur la base de significations ou d’analogies gardées dans le mental.
Reconnaître est plus facile, on reconnaît un visage, une forme, mais pour mettre un nom sur le visage de la personne c’est plus difficile. Comme pour la vision où on ne doit pas fixer un endroit pour trouver quelque chose, se souvenir demande aussi de le pas « fixer un endroit » mais de COMPARER : reconnaître entre plusieurs formes.

Résonance et mémoire font la partie de toutes les religions : survivance de certains aspects de la mémoire à la mort d’une personne. Ainsi chez les Hindous et les Bouddhistes avec la réincarnation, les souvenirs et habitudes ou tendances sont transportés d’une vie à l’autre. Cela fait partie de la loi de cause et effet ou karma.
Pour les matérialistes les souvenirs sont dans le cerveau, tout est là-dedans : quand celui-ci meurt les souvenirs meurent avec lui. Aussi un athée sautera de joie sur ces « folies religieuses » de karma et autre paradis... Ce genre de matérialisme est franc-maçonnique puisque enseigné dans les écoles selon la religion laïque.
Pour l’évolutionniste et matérialiste Jean Piaget, les enfants sont comme des disques durs : primitifs ou « sans raison » avant 11 ans, et ensuite les enfants deviennent « corrects » : les images pensées se situent dans la tête ».

Pourtant ça ne colle pas ! Nous voyons des choses « extérieures » à notre corps ou cerveau... B.F. Skinner, principal béhavioriste américain des années 1950 proclamait : que l’esprit et la conscience sont des entités inexistantes ‘inventées dans le seul but de fournir des explications illusoires... On considère que les évènements mentaux ou psychiques échappent aux sciences physiques, c’est une raison supplémentaire de les rejeter » (cité par Sheldrake, qui appelle ces gens « matérialistes éliminativistes » pour qui la conscience ça n’existe pas). Bref, pour ces matérialistes la conscience se sont des amas de cellules nerveuses, et notre corps n’est qu’une machinerie complexe. On retombe toujours dans la vieille dualité occidentale corps-esprit. Reste la sortie de cette prison par le MIROIR, qui est comparable à un CHAMP/CHANT : paysage, espace OUVERT, PLAINE ou PEINE.
L’Amour ou l’Aimant est typique du CHAMP.

Au final : « Je suis CE JE SUIS » est aussi une forme de MIROIR, ou plutôt d’ÉCHO à la Moïse sur son Mont Sinaï quand il demande « l’identité » de Dieu (des Juifs) et qu’Icelui répond : Je suis CE JE SUIS. C’est une résonance infinie, une FRÉQUENCE ou PORTEUSE infinie. Cet écho, cet effet Larsen porte aussi le nom de TAUTOLOGIE, c’est pourquoi dans une moindre mesure elle est aussi énergie.

Le mot écho est proche d’ego : la réflexion s’exerce dans les deux cas, et dans ego il y a la dualité sujet-objet. Et ECCO en italien indique ICI. ECCO, ECHO, EGO orientent, alors que l’ombre et le reflet n’indiquent aucune direction. L’Echo demande à être amorcé comme une ancienne pompe, il est intermittent ; alors que l’ombre ou le reflet sont de l’ordre de l’INSTANT, donc du perpétuel, c’est pour ça que le vampire sans reflet dans un miroir est entre « la vie et la mort » ou entre la vie mortelle et la vie éternelle ou immortelle.