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Le capitalisme commence il y a 10.000 ans Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 11-12-2013 23:29

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le capitalisme commence il y a 10.000 ans
avec lui s’enchaînera la maladie de l’égalité :
POSSÉDER et ÊTRE POSSÉDÉ, soit depuis 1789 :
le pouvoir de se taper sur la gueule en toutes saisons.
 
 
Maladie franc-maçonnique de l’égalité : « Le roi serait souverain et le peuple serait roi ». Ne cherchez pas à comprendre, c’est franc-maçonnique, il faut être un initié chez eux pour entrevoir la lumière.
 
CAPITAL - CAPITALISME : de tête (caput en latin), le couvre-chef, de chef, centralisation ; de capital : la cité principale. Un Capitain est un gouverneur, un Capitaine aussi ; le Capital est le sort principal, et la Capitale est le lieu du gouvernement d’un pays. Capituler est s’avouer vaincu pour un gouvernement ou un chef.
CAPPE est la voûte qui chapeaute l’édifice comme la tête chapeaute un corps.
CAPPEL est un chapeau ; CAPILLAIRE : relatif aux cheveux.
CAPOULIÉ : chef, conducteur, celui qui conduit les moissonneurs.
CAPPITLE est un chapitre, CAPPITULIER ou CAPITOUL est un échevin (magistrat). CAPELERIE : chapelle, bénéfice simple.
CAPPULEUR est un bouffon.
CAPTAL, CAPTAU : chef, seigneur, nom de dignité.
CAPTALIER est un entrepreneur, un fermier qui conduit quelque chose.
CAPTIONNER c’est mettre en prison (rejoins Capituler).
Plus lointainement on trouve le même sens, énergétique, dans CARBONNAGE : droit de faire ou prendre le charbon nécessaire pour son usage personnel (ça donnera charbonnage).
CARBONNÉE : morceau de chair grillée (carbonisée).
En gaulois Tête se dit : barros (sommet, pointe, hauteur), d’où peut-être l’expression populaire : « Il est mal barré » (qui peut aussi avoir un rapport avec la navigation : tenir la barre du gouvernail du navire, mais aussi la barre de lingot d’or, la barre des danseurs, etc.) ; en breton : barr an pen (sommet de la tête). En gaulois condo indique la raison, comparable au vieux irlandais : conn, cund : bosse, chef, tête, bon sens, raison ; on dit en français : avoir toute sa tête, perdre la tête, avoir la tête dure... On parle aussi de « bulbe », de « noyau » (toujours le sens de CAPITAL).
Dans Capital se trouve CAPACITÉ : FAIRE ET FER ! L’argent permet de FAIRE/FAIRE.
Enfin, ne pas oublier que la spécialité première des républicains en matière de répression était, jusqu’à la suppression de la peine de mort en France, de COUPER LES TÊTES DES OPPOSANTS ; et plus tard des criminels.
Enfin, dans le thème Capital il n’est pas étonnant que les républicains de 1789 est affublés les habitants des France du nom de « citoyens » : exit les paysans, place aux habitants et consommateurs des cités industrielles.

MAMMON = RICHE = POSSESSION.


« Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon ». (Matthieu 6:24).

Pour moi le capitalisme ne commence ni avec les générations Coca-Cola, ni au 19è siècle avec la monté en puissance des banques et de l’industrie, ni au Moyen-Âge vers l’époque de Louis 9 et des Croisades, ni au temps des Gaulois qui étaient déjà contaminés, mais il y a plus de 10.000 ans lorsque les Chasseurs-Cueilleurs choisirent dramatiquement la voie de l’Agriculture. La catastrophe commence bien là :

« La fin des frimats du Würm verra le gibier changer, les Cerfs et Sangliers remplacer, au Mésolithique, les Rennes et les Mammouths. Mais il faudra attendre le Néolithique pour que l’homme se livre à la culture et à l’élevage. Les conséquences en seront la sédentarisation, l’apport de sucres lents par les céréales, celui de la viande grasse par le bétail, puis de sel de conservation et de consommation, la constitution de réserves alimentaires, de troupeaux de bêtes domestiques [début du calcul : on compte les bêtes] et la convoitise que ces richesse font naître et attisent [le capitalisme commence bien là, et il faut y ajouter les convoitises pour les terres qui prendront la forme de guerres, avec la fabrication d’armes toujours plus sophistiquées]. Sur le plan nutritionnel, il s’agit bien aussi d’une lente « révolution » néolithique et la stature va diminuer de quelque dix centimètres. À la fin du 19è siècle, l’ère industrielle va accentuer ces phénomènes en nous apportant plus de lipides (saturés) encore, des sucres rapides plus que des sucres lents, moins de fibres et une sédentarité accrue, sans compter les drogues modernes, dont l’alcool et le tabac... ». (Réf. La nutrition préhistorique, de Gilles Delluc, Brigitte Delluc, Martine Roques).

Il y a 10.000 ans, certains Juifs commencent l’agriculture ; puis elle apparaît au Proche-Orient, en Chine, en Amérique centrale et au Pérou ; elle va diffuser aux cours des dix derniers millénaires. « La viande ne représente plus que 10% de l’apport calorique et le nombre d’espèces végétales disponible diminue. Le schéma nutritionnel va peu se modifier jusqu’à la révolution industrielle, qui apporte des viandes riches en graisses (saturées), des sucres rapides, avec cependant un éventail de ressources végétales comparable à celui des peuples cueilleurs, mais des aliments sans fibres. Aux risques d’infections endémiques opportunistes et aux accidents traumatiques ont fait suite au Néolithique ceux des famines, des infections épidémiques sans compter les guerres. Aujourd’hui, l’espérance de vie a cru brutalement au-dessus du niveau de 30-40 ans auquel elle s’était jusque là maintenue, grâce au progrès de l’hygiène [notamment l’eau courante] et de la thérapeutique.
Ces changements culturels s’accompagnent de maladies chroniques dégénératives (l’athérome des artères, l’hypertension essentielle, de nombreux cancers, l’obésité, le diabète non insulino-dépendant) qui sont devenus des causes dominantes de mortalité dans les PAYS RICHES. (Réf. Eaton, cité par G. et B. Delluc et M. Roques)

Il faut y ajouter la prise de conscience du « FEU » et l’apprentissage de ce qu’on peut en tirer, ce qui donnera la saloperie de la thermodynamique encore utilisée de nos jours.
Donc la NOURRITURE EST LE PREMIER CAPITAL : L’APPEL DU VENTRE. Mais à mon avis, il y avaient DEUX COURANTS DE VIE : « l’humain de l’Appel du ventre », et « l’humain de l’appel de l’Esprit ». La Chute mentionnée au début de l’Ancien Testament concerne l’humain de l’Appel du ventre. ATTENTION : l’humain de l’Appel de l’Esprit NE MANGEAIT PAS : il se nourrissait du Prâna et communiquait grâce à la Vraie Télépathie ; et ce courant de vie grâce à la Vraie Télépathie n’avait besoin d’aucun gouvernement ni d’aucun étatisme. Ils se constituaient simplement de petits pays selon leurs affinités.

Avec les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, au lieu de choisir la voie de l’Horticulture, nous sommes « Les Travailleurs de l’Enfer », pour employer le titre du livre d’Ossip Senkovski. Mammon est devenu LA religion universelle de cette planète, avec l’ajout du nouveau supplice de 1789 pour couronner le tout : le SOCIALISME : « Le roi serait souverain, et le peuple serait roi », comme l’écrit en une superbe ironie Senkovski définissant ainsi la maladie de l’égalté. Donc nous avons l’arrivée de l’inversion diabolique : « Ce sont les accidents qui engendrent les essences », les accidents étant les opinions dans le monde spatio-temporel. L’après 1789 fut la porte ouverte au n’importe quoi à ce qui n’a plus aucun sens, ou plutôt à tout mélanger, genre : faire le bien c’est mal et faire le mal c’est bien, ce qui illustre le carrelage noir et blanc des loges judéo-franc-maçonniques symbolisant LE RÈGNE DE L’OPINION OU LIBRE PENSÉE.

Déjà Joseph de Maistre décelait la marque du Diable dans le drame de 1789, et c’est l’époque où paraisse les classiques fondateurs de la littératures fantastique : Le Moine, de Lewis, traduit en 1797 ; puis les romans d’Ann Radcliffe ; Le Vampire, de J.W. Polidori, paraît à Paris en 1819 ; Frankenstein de Mary Shelley en 1821...


CAPITALISME = POUVOIR D’ACHAT ET POUVOIR DE SE TAPER SUR LA GUEULE EN TOUTES SAISONS, libéralisme et république obligent. On peut aussi dire : « Exploitez-vous les uns les autres ». Et Dieu sait que les Gaulois savaient taper sur la gueule des Romains ou d’autres peuples. Le capitalisme va bien avec le règne de l’OPINION : on échange des idées mais on se manipule surement les uns les autres, et au point de se taper sur la gueule !
ET L’ÉGALITÉ VIENT DANS CETTE MALADIE.


En effet, les Gaulois étaient déjà contaminés, ou minés, par le business. Ce qui caractérise l’activité commerciale des Gaulois : CE SONT LEURS MONNAIES, principalement au début du 3è siècle avant notre ère ; et on les retrouve répandues dans l’ensemble du monde celtique, depuis les Îles Britanniques jusqu’en Hongrie. Les Gaulois étaient de nature tellement facile, qu’ils se trouvaient pour ainsi dire invités aux échanges ou commerce. Par les vallées de la Saône et du Rhône, toute la Gaule de l’Est depuis la Moselle et le Rhin, est mise en rapport avec Marseille et la Méditerranée.
Les relations commerciales avec les régions extérieures à la Gaule apparaissent également développées et cela, depuis l’âge du bronze ! Du côté du Midi : les métaux, les armes (déjà), et jusqu’à la poterie de la Péninsule ibérique se répandent des Pyrénées à la vallée du Rhône. Avec la présence de Romains dans le Midi, l’axe principal du commerce gaulois apparaît orienté Est-Ouest. La Gaule avant les Romains apparaît comme une région essentiellement continentale.

Pour les Gaulois, le pire arrive avec les Romains (nos Anglo-Saxons d’aujourd’hui et leur empire) : foisonnement des banques servant d’intermédiaire entre l’administration romaine et les cités gauloises accablées de tributs, d’amendes, réquisitions et contributions de toute sorte, pour lesquels ces banques leur avançaient de l’argent avec biens-sûr déjà des taux usuraires.
L’ivrognerie devait faire des ravages chez les Gaulois, car le vin reste la marchandise la plus demandé : le commerce des fameuses amphores va bon train. Selon Diodore de Sicile les Gaulois ont une véritable passion pour le vin ! Et leur gourmandise les porte à boire largement, « ils s’enivrent jusqu’au sommeil ou à l’égarement ».

Les Gaulois étaient un peuple intelligent qui n’éprouvaient nulle répugnance pour l’étranger (comme beaucoup de Français d’aujourd’hui), et qui avaient au contraire la curiosité. Les Gaulois avaient développé avec Rome et toute l’Italie des rapports commerciaux qu’ils avaient toujours recherchés avec le monde méditerranéen.
En ce qui concerne les monnaies, elle se développent biens-ur en corrélation avec l’utilisation du feu et des MÉTAUX.
Les Romains comme moyen de paiement employaient l’aes rude, fragment de métal brut que l’on pesait. En Gaule les « pièces » étaient des fragments de bronze et de petites haches (retrouvées souvent divisées, comme pour une répartition monétaire). En Grèce et dans l’Italie étrusque, des barres de fer semblables à des broches avaient été employées comme monnaies. D’ailleurs le mot obelos, broche, donnera le mot OBOLE, la menue monnaie grecque. Barre de métal se rapprochant du sens de LA TÊTE : voir en début d’article le thème « CAPITAL » et ses mots en variations.
Marseille et ses colonies ibériques frappaient des monnaies d’argent. La Gaule du centre et du Nord adopta l’étalon Or de Philippe de Macédoine, qui laissera la pratique des monnaies dites « les Philippes ».
La monnaie commence à devenir abondante, chaque peuple et pays frappe la sienne propre et la circulation du fric est active. Dans le voisinage de quelques mines d’argent se rencontrent, avec des lingots de métal brut, des flans préparés pour la frappe et des quantités de pièces prêtes à être mises en circulation. Lyon, la capitale des Trois Gaules, devint le siège d’une Monnaie romaine, frappant Or et Argent, qui fut supprimée par Caligula.

Le nom celtique représente, au premier chef, UNE UNITÉ ÉCONOMIQUE.

(Économie gauloise, en référence à Albert Grenier : Les Gaulois).



« L’homme a une tête et des mains qui doivent marcher ensemble. Penser avec les mains et œuvrer avec la tête... Pour une certaine bourgeoisie, qui réduit le temporel à des questions d’argent, il est difficile de parler de culture. L’homme ne doit pas se couper en tranches : une part pour le Ciel, une part pour la Terre. On a séparé les choses de l’esprit et les choses de l’économie. L’impératif du rendement économique étouffe le spirituel et l’Occident en crève », écrit en mai 1973 si justement Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Il n’y a pas que l’Occident qui en crève, c’est maintenant le monde entier !

Depuis sa date de création, la franc-maçonnerie spéculative est un gros poison du monde dont le principe est l’OPINION en forme de discours « logique » ou de la « raison ». Dans sa loge et sur son carrelage noir et blanc symbole d’opinion, le franc-maçon spéculatif essaye de réaliser la fusion du sacré et du profane. Or, qui dit travail du chapeau, du mental, dit spéculation ou « vérité » vécue comme POSSESSION, comme le fric et l’ego et bien-sûr l’opinion. Comme l’écrit Jean Coulonval, cette franc-maçonnerie est plus que jamais depuis 1717 le moteur occulte des sociétés comme la notre depuis 1789 où l’opinion et le principe de la majorité numérique - le quantitatif du mondialisme et de la maladie égalitaire - sont érigés en dogmes, en critères infaillibles de la Vérité. Là encore le monde en crève. Quantité n’est pas vérité, « si tout le monde le dit » n’est pas vérité, voyez le conte initiatique de Hans-Christian Andersen : Les habits neufs de l’Empereur, qui est une forme de dénonciation de la tyrannie et bêtise de l’opinion.

 
 

Dernière mise à jour : 12-12-2013 00:22

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